Avec le temps


Peut-être le fait de s’apercevoir que les années ont passé tellement vite qu’avec le temps, on ne veut rien précipiter
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Avec le temps

 

 

Avec le temps … On comprend que forcer ou accélérer les choses ne donne pas les résultats que l’on attendait … Avec le tempe … On comprend que le meilleur n’est pas le futur, mais plutôt le moment que l’on est juste en train de vivre

Inconnu

Le Saviez-Vous ► Cerveau droit ou cerveau gauche : quelles différences ?


On a longtemps cru que nous étions plus d’un côté du cerveau que de l’autre. D’ailleurs, il existe beaucoup de tests en psychologie qui prétendent découvrir votre personnalité en dévoilant le coté du cerveau qui serait plus utilisé. Maintenant, on sait que c’est un mythe.
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Cerveau droit ou cerveau gauche : quelles différences ?

 

 

Le cerveau comprend deux hémisphères, le droit et le gauche. Existe-t-il une différence importante dans le fonctionnement de ces deux parties du cerveau ? En réalité, l’idée que certaines personnes utilisent plus un hémisphère cérébral que l’autre relève plutôt du mythe.

Vous êtes plutôt cerveau gauche ou cerveau droit ? Vous avez peut-être déjà fait le test dans un magazine ou sur un site dédié à la psychologie… Cette question fait référence à l’idée qu’un hémisphère cérébral prend le dessus sur l’autre, ce qui expliquerait la personnalité des individus. Au départ, dans l’étude du cerveau, des chercheurs ont pu montrer une spécialisation des aires cérébrales. Ainsi au XIXe siècle, Paul Broca et Karl Wernicke ont décrit des zones de l’hémisphère gauche impliquées dans le langage : l’aire de Broca et l’aire de Wernicke. Ces découvertes ont commencé à inspirer l’idée d’une asymétrie du cerveau. La reconnaissance des visages est quant à elle plutôt contrôlée par une zone de l’hémisphère droit du cerveau.

Les fonctions sensorielles et motrices sont portées par les deux hémisphères cérébraux. Les muscles de la partie gauche du corps sont contrôlés par l’hémisphère droit du cerveau, et vice versa, ce qui peut donner l’impression que les deux hémisphères travaillent indépendamment l’un de l’autre. Mais en fait ils communiquent pour accomplir des tâches complexes.

Un mythe bien ancré en psychologie

On présente souvent le cerveau gauche comme associé au raisonnement logique et rationnel, le cerveau droit étant plutôt intuitif et émotionnel. Il y aurait ainsi des personnalités plutôt « cerveau gauche » ou « cerveau droit », qui utiliseraient plus un côté du cerveau que l’autre. Cette conception attribue même plus souvent le cerveau gauche aux hommes et le droit aux femmes, connues pour être plus intuitives… De même, les artistes, plus portés sur la création, utiliseraient davantage leur cerveau droit !

Mais il s’agit là bien d’un mythe qui ne s’appuie pas sur des connaissances scientifiques avérées : il n’est pas possible de définir des personnalités par une spécialisation d’un hémisphère cérébral qui prendrait l’ascendant sur l’autre. Nous utilisons bien nos deux hémisphères cérébraux, quelle que soit notre personnalité.

https://www.futura-sciences.com/

Obèse, ce chat vivait dans une usine de nourriture pour animaux


Je doute que le chat eût envie de retourner chez ses maitre, après avoir trouvé un paradis pour chat. Un paradis ou la nourriture est à volonté. Comme toute bonne chose à une fin, c’est la diète qui l’attend
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Obèse, ce chat vivait dans une usine de nourriture pour animaux

 

Obèse, ce chat vivait dans une usine de nourriture pour animaux

Ce chat est certainement l’idole de toute une génération. Il a fugué de chez ses parents pour élire domicile dans une usine vendant de la nourriture pour animaux ! Récit d’un chat obèse. 

Ce chat en avait certainement marre de réclamer de quoi manger à ses propriétaires. Du coup, sans pression, ce dernier est allé se réfugier dans une usine qui produit de la nourriture pour animaux. Vous ne serez pas surpris si l’on vous dit que ce chat est devenu obèse.

Une réappariton soudaine 

Les propriétaires, dévastés par le départ de leur chat, se sont fait une raison, leur chat ne reviendra plus. Enfin, c’est ce qu’ils pensaient… Après plus d’un an sans donner de nouvelles, le matou a refait surface, pesant le double de son poids ! Mais où était-il durant tout ce temps ? Chez une mamie gâteuse ? Et bien non, Clive se pétait le bide dans un magasin de nourriture pour animaux en gros pendant près de 14 mois.

Le personnel du Pet Superstore, affirme avoir tenté d’attraper le chat pendant plusieurs semaines ! Un week-end, un des membres du personnel a placé un piège pour chat afin de le récupérer. Le lendemain matin, le gros chat était dedans. Après l’avoir emmené chez le vétérinaire, les employés ont pu le rendre à sa famille.

On admire la performance, le matou a quand même tenu plus d’un an sans se faire attraper ! Malheureusement pour lui, retour à la vie domestique. Ses propriétaires sont ravis de le retrouver. D’ailleurs, ils n’ont pas hésité à le mettre au régime. 

https://wamiz.com/

Alpes: un enfant retrouvé vivant après 40 minutes sous une avalanche


Quand ce n’est pas ton heure ! Ce jeune garçon a survécu grâce à un chien secouriste qui a pu le détecter après une avalanche. Généralement, après 15 minutes sous la neige, les chances sont minces, alors que ce jeune homme a survécu presque 3/4 d’heure.
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Alpes: un enfant retrouvé vivant après 40 minutes sous une avalanche

 

Une station de ski, dans la Savoie, en... (Photo archives La Presse)

 

Une station de ski, dans la Savoie, en France.

PHOTO ARCHIVES LA PRESSE

 

Agence France-Presse
Grenoble

Un enfant a été retrouvé vivant mercredi après avoir passé 40 minutes enseveli sous une avalanche qui l’avait emporté pendant qu’il skiait sur un secteur hors piste d’une station située en Savoie, dans les Alpes françaises, a-t-on appris auprès des secours en montagne.

Âgé de 12 ans, le garçon venait de quitter une piste balisée de la station de La Plagne en compagnie de ses parents lorsqu’il a été pris peu après 14h (heure locale) dans une coulée de 150 mètres sur 200 mètres.

L’enfant a été retrouvé conscient une quarantaine de minutes plus tard par un chien des secouristes, qui sont intervenus pour relayer les pisteurs de la station, arrivés sur place peu après l’accident pour sonder la neige.

« C’est un miracle, car il ne portait pas de détecteur de victimes d’avalanches (DVA). Les chances de survie sont infimes après quinze minutes sous la neige. Il a eu beaucoup de chance que le chien ait marqué à un endroit », ont souligné les secours.

Le garçon s’en tire avec une jambe cassée et une grosse frayeur. Il a été transporté à l’hôpital de Grenoble (centre-ouest), où il a été placé en observation.

https://www.lapresse.ca/

Ce couple de chas­seurs de trésors danois a déterré une épée tran­chante vieille de 3000 ans


J’imagine la fébrilité de ce couple quand ils ont trouvé cette épée datant des Vikings, une époque que les épées étaient plutôt rare et symbolisait un statut élevé
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Ce couple de chas­seurs de trésors danois a déterré une épée tran­chante vieille de 3000 ans

 

Crédits : Musée Vestsjæl­land

par  Ulyces

 

Alors qu’ils se prome­naient tranquille­ment dans un champ non loin de la petite ville de Svebølle, dans l’est du Dane­mark, le détec­teur de métaux de Ernst Chris­tian­sen et Lis Ther­kel­sen a soudain émis des sons insis­tants. Fébrile, le couple danois a creusé sur envi­ron 30 centi­mètres de profon­deur à l’en­droit indiqué pour déter­rer une épée vieille de 3 000 ans, qui n’a presque rien perdu de son tran­chant, rappor­tait The Epoch Times le 19 décembre dernier.

Présa­geant le carac­tère incroyable de leur décou­verte, Chris­tian­sen et Ther­kel­sen ont contacté le Musée Vestsjæl­land. Le conser­va­teur du musée, Arne Hede­gaard Ander­sen, a immé­dia­te­ment fait le dépla­ce­ment pour iden­ti­fier l’objet qu’ils n’avaient pas complè­te­ment sorti de terre. Ander­sen a ensuite daté l’épée et établi que celle-ci était anté­rieure de mille ans à l’époque des Vikings.

Crédits : Musée Vestsjæl­land

Le Musée a confirmé dans un commu­niqué le remarquable état de conser­va­tion de cet arte­fact long de 82 centi­mètres, bien que sa poignée de cuir ait disparu depuis long­temps. Il précise égale­ment qu’à l’époque, les épées étaient extrê­me­ment rares et que les haches étaient plus souvent utili­sées au cours des combats. En effet, plus que des armes, les épées étaient consi­dé­rées comme un symbole du statut élevé de leur proprié­taire. Celui à qui celle-ci appar­te­nait n’a pas encore été iden­ti­fié.

En atten­dant d’être plus ample­ment étudiée, l’épée est expo­sée au musée de Kalund­borg.

Source : The Epoch Times

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À Pompeï, les archéo­logues découvrent les restes de chevaux pétri­fiés dans une étable


Quand le Vésuve à éclaté en l’an 79, il a arrêté le temps depuis des siècles. Des personnes ont été figées ainsi que des animaux. Aujourd’hui encore, des chevaux ont été trouvés dans le même état qu’il y a près de 2 000 ans
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À Pompeï, les archéo­logues découvrent les restes de chevaux pétri­fiés dans une étable

 

Crédits : Cesare Abbate/EPA

par  Ulyces

À Pompeï, dans la région italienne de Campa­nie, une équipe d’ar­chéo­logues a fait une nouvelle décou­verte incroyable dans la ville dévas­tée par l’érup­tion du Vésuve en l’an 79.

Ils ont déterré les restes de deux chevaux encore harna­chés dans l’étable d’une ancienne villa, en bordure de la ville, raconte le Guar­dian.

Le direc­teur des fouilles, Massimo Osanna, a confié à l’agence de presse italienne Ansa qu’il s’agis­sait des destriers d’un offi­cier mili­taire de haut rang, peut-être un géné­ral de l’époque romaine. Les chevaux ont été pétri­fiés par les cendres brûlantes du Vésuve, figeant leurs carcasses pour l’éter­nité.

Dimanche 23 décembre, Osanna a déclaré que deux ou trois autres carcasses de chevaux de plus avaient été décou­vertes par les archéo­logues sur le site. Les terrasses de la villa donnaient une vue impre­nable sur Naples et, au-delà, sur l’île de Capri. Une dernière vision enchan­te­resse.

Source : The Guar­dian

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Un jeune béluga s’entête à explorer les Maritimes


Un béluga nage en dehors de son territoire et n’est pas du tout farouche envers les humains. Malheureusement, l’absence de peur des hommes est dangereuse pour lui. Des spécialistes on essayer de l’envoyer un peu plus loin dans le fleuve Saint-Laurent, mais il revient et personne ne sait pourquoi.
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Un jeune béluga s’entête à explorer les Maritimes

 

Un photographe animalier a repéré «Nepi» à Ingonish,... (PHOTO PC, FOURNIE PAR LEVON DROVER)

Un photographe animalier a repéré «Nepi» à Ingonish, en Nouvelle-Écosse, et les chercheurs ont pu l’identifier à partir des photographies.

PHOTO PC, FOURNIE PAR LEVON DROVER

 

ALEX COOKE
La Presse Canadienne
Summerside

Un groupe de chercheurs en sciences marines considère qu’un jeune béluga est trop attaché aux Maritimes pour son propre bien.

Nepi, dont on estime l’âge à environ 4 ans, a été aperçu sur la côte de Summerside, à l’Île-du-Prince-Édouard, au début du mois de décembre, au grand bonheur des participants à un cours de plongée.

«Nous avons entendu une baleine ou ce que nous pensions être quelque chose qui soufflait, puis cette baleine est apparue», se souvient Kimball Johnston, un instructeur du programme de plongée commerciale du Holland College.

Le groupe, qui comprenait 11 étudiants, croyait que la baleine s’éloignait pour maintenir une distance avec les plongeurs, mais Nepi a plutôt passé plusieurs heures à nager près d’eux.

«Il a commencé à faire le tour et semblait plutôt curieux. Il plongeait avec nos étudiants et se rapprochait de plus en plus jusqu’au point où il se trouvait juste à côté d’eux et ceux-ci pouvaient le voir très clairement», a-t-il raconté.

Kimball Johnston, qui plonge depuis plus de 20 ans, affirme n’avoir jamais vu un béluga aussi près de l’île.

Si les étudiants étaient très enthousiastes de côtoyer un béluga de si près, l’instructeur assure qu’ils n’ont pas pourchassé la baleine ni tenté de la retenir auprès d’eux.

«Nous faisions notre affaire et il faisait la sienne, a-t-il décrit. Nous nous occupions de ce que nous devions faire et il continuait de faire intrusion.»

Robert Michaud, directeur scientifique du Groupe de recherche et d’éducation sur les mammifères marins (GREMM) établi à Tadoussac, trouve inquiétant de voir un jeune béluga aussi amical avec des humains alors qu’il se trouve loin de chez lui. Et surtout considérant que Nepi est un récidiviste en la matière.

L’équipe de Robert Michaud a fait la connaissance du jeune béluga en juin 2017. Après avoir reçu un appel concernant une baleine coincée dans l’embouchure de la rivière Nepisiguit, à Bathurst au Nouveau-Brunswick, le groupe a coordonné son sauvetage afin de ramener Nepi jusque dans les eaux du fleuve Saint-Laurent, près de Cacouna.

L’expert des mammifères marins précise que ce sauvetage était une expérience.

«La population de bélugas du Saint-Laurent est en déclin, ils sont en voie de disparition, alors on se demandait si sauver un animal pouvait aider à faire croître la population, explique-t-il. Comme il n’était pas trop loin de la maison, c’était faisable, alors on a essayé.»

Un tempérament aventurier

Le groupe de recherche marine a installé un dispositif de repérage sur Nepi afin de pouvoir suivre ses déplacements, mais le grand espiègle a réussi à s’en défaire au bout d’une vingtaine de jours.

Un an après s’être évanoui dans la nature, un photographe animalier l’a repéré à Ingonish, en Nouvelle-Écosse, et les chercheurs ont pu l’identifier à partir des photographies.

Robert Michaud admet être dérouté par la réapparition du béluga à l’Île-du-Prince-Édouard. Il ne comprend pas pourquoi Nepi semble tant attiré par les Maritimes.

«Ce jeune béluga serait beaucoup mieux entouré de ses semblables dans la région du Saint-Laurent. C’est pourquoi nous l’avons ramené à Cacouna la première fois, soutient-il. La question, c’est pourquoi y est-il retourné ? Est-ce que c’est son tempérament d’être aventurier ?»

Selon M. Michaud, lorsque les bélugas s’approchent trop près des bateaux et des gens, cela peut devenir tragique pour une espèce en déclin.

Le GREMM a eu vent de nombreux cas de bélugas heurtés par un bateau ou par des hélices et qui en sont morts. C’est pourquoi il est risqué de laisser les baleines s’approcher et de les amadouer.

Bien que la plupart des bélugas vivent dans l’Arctique, leur habitat le plus au sud se trouve dans l’estuaire du Saint-Laurent, un habitat essentiel à la survie de l’espèce, qui est protégée en vertu de la Loi sur les espèces en péril du Canada.

En 2012, l’estuaire du Saint-Laurent comptait environ 900 bélugas, mais on croit qu’il pouvait y avoir jusqu’à 10 000 individus avant 1885.

Robert Michaud demande à toute personne qui aperçoit un béluga plus au sud que l’estuaire d’en informer le GREMM afin qu’il puisse tenter de l’identifier. Malgré ses inquiétudes d’expert face aux envies de grand voyageur de Nepi, il espère que le béluga rentre enfin chez lui sain et sauf.

«Ce sont des navigateurs extraordinaires, ils ont le meilleur radar sous-marin que vous puissiez imaginer, raconte le spécialiste. L’Île-du-Prince-Édouard se trouve un peu plus près du Saint-Laurent que la Nouvelle-Écosse, il y a donc de quoi garder espoir. Je croise les doigts pour lui.»

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