Malgré la couleur de la peau, nos différences physiques, nous sommes tous de la même famille habitant la même planète
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Amis
Il n’y a pas d’étrangers ici, mais des amis que tu n’as pas encore rencontrés
Inconnu
Malgré la couleur de la peau, nos différences physiques, nous sommes tous de la même famille habitant la même planète
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Amis
Il n’y a pas d’étrangers ici, mais des amis que tu n’as pas encore rencontrés
Inconnu
Peut-être que pour l’Europe, la différence entre l’Angleterre, la Grande-Bretagne et le Royaume-Uni, c’est clair comme de l’eau de roche. Moi, cela m’a toujours mélangé.
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Dans le langage courant, on a trop souvent tendance à les confondre. Certains pensent même que le Royaume-Uni et la Grande Bretagne, c’est la même chose. Et bien non.
Quelle est donc la différence entre l’Angleterre, le Royaume-Uni et la Grande-Bretagne ?
L’Angleterre est l’une des quatre nations composant le Royaume-Uni
La Grande-Bretagne est une île composée de trois nations : Angleterre, Écosse, Pays De Galles et des petites îles associées (sauf l’Ile de Man)
Le Royaume-Uni est un état composé de quatre nations : Angleterre, Écosse, Pays de Galles et l’Irlande du Nord.
L’Irlande du Sud est un état totalement indépendant.
Le drapeau du Royaume-Uni est la fusion des drapeaux de l’Angleterre, l’Ecosse et l’Irlande :
Mauvais choix de mot pour demander aux parents de ne pas déposer les enfants sur un terrain qui n’appartient même pas à l’école. Il est vrai que parfois, les parents manquent un peu de discernement quand il est question de déposer leur enfant à l’école. Croyant que c’est plus sécuritaire pour eux, peut avoir un effet contraire et non sécuritaire.
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PHOTO TIRÉE DE TWITTER
La Presse Canadienne
Winnipeg
Une entreprise de Winnipeg a dû s’excuser après avoir tenté de dissuader les parents de déposer leurs enfants sur sa propriété avec une touche d’humour.
La pancarte posée devant l’établissement de Parenty Reitmeier Translation Services indiquait « Ceci n’est pas une zone de débarquement » et « Les enfants laissés ici seront mangés ».
Un parent, de même que la division scolaire de Louis Riel, se sont plaints du choix de mots, ce qui a poussé le propriétaire de l’entreprise à recouvrir la deuxième phrase. Jean-Pierre Parenty dit avoir commandé un nouveau panneau par souci de bon voisinage.
M. Parenty fait valoir qu’il demande année après année aux parents de ne pas utiliser son terrain pour déposer leurs enfants à l’école primaire avoisinante, en raison de nombreux accidents évités de justesse.
« Il est question d’intrusion sur ma propriété et, deuxièmement, mais surtout, de la sécurité des enfants, plaide-t-il. Nous voyons que les enfants sont mis en danger par cette pratique. »
Christian Michalik, directeur par intérim de la division scolaire, croit toutefois que M. Parenty a envoyé le mauvais message.
« Dans un monde idéal, ce panneau ne serait pas accroché. Nous voulons vraiment collaborer avec le propriétaire pour trouver des solutions », a-t-il déclaré.
Si l’accord de Paris ne fonctionne pas, je ne crois pas que ce soit à cause du mouvement des gilets jaunes en France, mais bien plus à l’incapacité de partager les coûts. Ce n’est pas toujours aux gens moins nantis a payer jusqu’à leur derniers sous. Quoi qu’il en soit, les gilets jaunes ne sont pas assez stupides pour vouloir Trump dans leur rang.
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© photo news.
Donald Trump a critiqué une nouvelle fois samedi l’accord de Paris sur le climat, estimant que le mouvement des « gilets jaunes » en France était la preuve que cet accord « ne marche pas » et affirmant, sans preuves, que des manifestants scandaient « Nous voulons Trump ».
« L’accord de Paris ne marche pas si bien que ça pour Paris. Manifestations et émeutes partout en France », a écrit sur Twitter le président américain alors que des manifestants défilaient dans le pays pour une quatrième journée d’actions.
« Les gens ne veulent pas payer de grosses sommes d’argent, beaucoup aux pays sous-développés (qui sont gouvernés de manière discutable), avec l’objectif, peut-être, de protéger l’environnement », a poursuivi le 45e président des Etats-Unis, coutumier des tweets matinaux.
Ce n’est pas la première fois que le locataire de la Maison Blanche donne son opinion sur ce mouvement. Il avait déjà ironisé mardi sur les concessions faites par Emmanuel Macron aux « gilets jaunes », estimant que l’accord de Paris était voué à l’échec.
Cette nouvelle attaque intervient au moment même où près de 200 pays sont réunis à Katowice, en Pologne, pour la 24e conférence mondiale sur le climat.
« Ils chantent ‘Nous voulons Trump’. J’adore la France », a conclu le président américain, sans apporter de preuves.
Donald Trump avait retweeté mardi le message de Charlie Kirk, un commentateur conservateur, selon lequel la France est secouée par des émeutes « en raison de taxes d’extrême gauche sur l’essence » et qui ajoutait: « Les gens scandent +Nous voulons Trump+ dans les rues de Paris ».
Selon les services de fact-checking de l’AFP, il semblerait que Charlie Kirk se soit basé sur une vidéo publiée le 2 décembre sur Twitter. Présentée comme ayant été filmée en France, cette vidéo vient en réalité de Londres, et date probablement de juin.
Il semblerait que les intestins fabriquent des cellules souche et que lors d’une greffe d’intestin, ce sont les cellules souche du donneur qui entre en action. Cela pourra faire avancer la science sur les greffes de n’importe quel organe et d’éviter les rejets.
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Crédits : Flickr/Global Panorama
par Yohan Demeure
Des chercheurs américains ont fait une sacrée découverte après l’étude du sang de patients ayant reçu une greffe d’intestin. En effet, a été observée la présence de cellules sanguines du donneur, issues des cellules souches de l’intestin. Cela pourrait assurer le succès des greffes !
Une découverte étonnante
Les cellules qui circulent dans notre sang – à savoir les globules blancs et les globules rouges – proviennent à l’origine cellules souches hématopoïétiques que l’on trouve dans la moelle osseuse. Une récente découverte effectuée par des chercheurs de l’Université Columbia (États-Unis) a permis d’identifier une autre source de ces cellules souches.
Dans leur étude publiée dans la revue Cell Stem Cell le 29 novembre 2018, les chercheurs expliquent avoir étudié le sang de 21 patients suivis durant cinq années après une greffe d’intestin. Or, leur sang a été qualifié de “chimère”, c’est-à-dire composé d’un mélange de leur sang et de celui du donneur. Le fait est que le sang du donneur – provenant donc de l’intestin greffé – contenait également des cellules souches hématopoïétiques !
L’espoir d’éviter les rejets de greffe est-il permis ?
« Cela pourrait améliorer considérablement la vie des patients transplantés », a déclaré Megan Sykes, principale auteure de l’étude.
Il faut savoir que dans de nombreux cas, les greffes d’intestin sont pratiquées sur des patients souffrant de pathologies telles que la maladie de Crohn. Comme pour toute greffe, il est question d’éviter les rejets par l’organisme du receveur. Selon les chercheurs, la présence de cellules sanguines du donneur est très bon signe dans ce sens, car cela contribue effectivement à augmenter les chances de succès de la greffe. Il est également question de diminuer l’administration d’immunosuppresseurs, ces médicaments dont le but est de prévenir le rejet de greffe d’organes en empêchant les globules blancs du receveur de passer à l’attaque.
Ainsi, cette découverte est essentielle et permet l’espoir d’un succès systématique des greffes – de n’importe quel membre ! En parallèle, une nouvelle piste de recherche est actuellement explorée. En effet, les scientifiques désirent ajouter des cellules souches hématopoïétiques au membre greffé afin d’optimiser les chances de réussite ! Par ailleurs, l’apparition des organes artificiels pose la question d’une possible obsolescence des greffes d’organes naturels, mais cela est une autre histoire.
Sources : Medical Xpress – Futura Sciences
Le harcèlement sexuel est malheureusement plus présent que l’on pense, cela va de la jeune gardienne d’enfant, a la femme au travail, pendant les sorties etc ,… Aucune femme, (et homme non plus) ne devrait être victime d’harcèlement que ce soit en parole ou par geste et il est temps qu’on arrête de minimiser toute forme d’harcèlement sexuel.
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Une manifestation #MeToo en Californie le 10 novembre | Sarah Morris / AFP
Repéré par Barthélemy Dont
Repéré sur The Guardian
En 2017, à la suite des révélations sur les viols et agressions sexuelles commises par le producteur Harvey Weinstein, le mouvement #MeToo a encouragé les femmes à témoigner des violences qu’elles ont subies et subissent afin de montrer à quel point le phénomène est global, massif et systématique. L’objectif est de montrer aux autres victimes qu’elles ne sont pas seules et de lutter contre la minimisation des violences.
Une nouvelle étude montre que malgré ces efforts, les hommes sous-estiment encore largement le harcèlement sexuel. Une étude Ipsos appelé «Les périls de la perception» vise à mettre en avant les différences entre les statistiques relatives à un sujet et les estimations que les gens s’en font. L’un de ces sujets était donc le harcèlement sexuel, et les résultats sont probants.
Ipsos a sélectionné des sondages (sujets à caution, donc) qui indiquent l’ampleur du harcèlement sexuel dans douze pays différents. L’institut a ensuite demandé à des habitants et habitantes: «Sur cent femmes de votre pays, selon vous, combien d’entre elles ont été la cible d’une forme de harcèlement sexuel depuis l’âge de 15 ans?». Les hommes sont souvent bien loin de la vérité.
Les hommes plus loin de la vérité que les femmes
En France par exemple, Ipsos se base sur un sondage de 2012 qui estime que 75% des femmes ont déjà subi une forme de harcèlement sexuel. Les hommes français estiment ce pourcentage à 41%, une différence de trente-quatre points avec la réalité.
Pareil aux États-Unis, où les hommes pensent en moyenne que 44% des femmes ont été victimes alors qu’un sondage effectué cette année suggère qu’elles sont 81% à avoir été touchées. L’étude a été réalisée peu de temps après le témoignage de Christine Blasey Ford contre Brett Kavanaugh, le dernier juge nommé à la Cour suprême des États-Unis. Le pays avec le plus grand écart est le Danemark, où quasiment cinquante points de pourcentage éloignent les estimations de la réalité.
Les femmes, quant à elles, ont aussi tendance à sous-estimer le harcèlement dont elles sont dans leur globalité victimes, mais pas autant que les hommes. En France par exemple, elles estiment que 47% d’entre elles ont été harcelées.
J’ose espérer que personnes ne croient que coloniser Mars serait le sauvetage ultime pour des terriens qui auront perdu la Terre.
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© getty.
L’ex-astronaute américaine Mae Jemison a appelé mardi le monde à « une prise de conscience » des menaces du changement climatique, soulignant devant la COP24 sur le climat que la planète Mars ne pourrait pas devenir « un plan B » pour l’humanité.
Même si la lutte contre le changement climatique est « peut-être le problème le plus important » auquel l’humanité ait jamais été confronté, « nous devons le résoudre et c’est vraiment important de comprendre que c’est notre problème à tous », a déclaré la première afro-américaine à être allée dans l’espace, au 3e jour de la 24e Conférence de l’ONU sur le climat (COP24) à Katowice, en Pologne.
« Quand les gens disent ‘sauvez la Terre’, ils se trompent. Il ne s’agit pas de sauver la Terre, il s’agit de s’assurer qu’on ne continue pas à l’endommager au point qu’elle ne puisse plus nous accueillir », a-t-elle noté, évoquant l' »incroyable planète bleue », « forte et résistante », qu’elle avait vue depuis la fenêtre d’une navette spatiale en 1992.
« La Terre n’a pas besoin de nous »
« Nous devons être très clairs, c’est une première prise de conscience: la Terre n’a pas besoin de nous, nous avons besoin de la Terre. Et malgré mon envie d’aller sur Mars, ce n’est pas un plan B pour notre civilisation et notre espèce », a-t-elle encore ajouté.
Quelque 200 pays sont réunis depuis dimanche à Katowice, capitale polonaise du charbon, pour tenter de donner vie à l’accord de Paris. Ils doivent finaliser d’ici mi-décembre les règles d’application de ce pacte de 2015 qui vise à limiter le réchauffement de la planète à +2°C, idéalement +1,5°C, par rapport à l’ère pré-industrielle.
Un récent rapport des scientifiques du Giec, tout en évoquant les nettes différences en termes d’impacts attendus entre ces deux objectifs, a souligné qu’il faudrait, pour rester sous +1,5°C, réduire les émissions de CO2 de près de 50% d’ici à 2030 par rapport à 2010.