La vie est une route


Toute une vie a se rendre au lendemain, on peut faire des erreurs, faire des mauvais choix, mais ce qui compte s’est se relever et se faire confiance en soi-même
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La vie est une route

 

La vie est une route. Tu peux choisir de traîner les pieds, de marcher sur le bas côté, tu peux choisir de suivre le troupeau sans lever le front, ou bien tu peux chercher ton propre chemin, sans te soucier de celui qu’on veut t’oblige à prendre. Décider que nul autre ne peut marcher à ta place.

Henri Loevenbruck

Le Saviez-Vous ► Faut-il manger du riz quand on a la diarrhée ?


Légende urbaine ou vérité ? Un des remèdes de grand-mère en cas de diarrhée est de manger du riz. Est-ce efficace ? Pour ma part, je faisais de l’eau de riz pour mes enfants mélangé avec un peu du jus, car ce n’était pas vraiment ragoûtant de voir cette matière visqueuse.. Est-ce que tous les riz se valent ?
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Faut-il manger du riz quand on a la diarrhée ?

 

Bol de riz blanc.

Bol de riz blanc.

© MARTIN LEE/REX/REX/SIPA

 

Si vous (ou vos enfants) êtes un habitué de la gastro ou des voyages en Inde, vous êtes également certainement familier de ce conseil : en cas de diarrhée, mangez du riz. A suivre ?

C’est bien connu, nos mères et nos grand-mères l’ont toujours répété : le riz, ça constipe. Info ? Croyance ? Et basée sur quelles réalités scientifiques ? Petite enquête intérieure au cœur des intestins. Pour comprendre le pourquoi des humeurs changeantes de nos intestins (un coup c’est mou, un coup c’est dur), il faut d’abord se pencher sur les selles. Autrement dit, le caca, c’est quoi ? Eh bien c’est une sorte de pâte composée d’eau, de bactéries et de fibres alimentaires non digérées. Quand cette mixture est trop riche en eau et est évacuée trop souvent, on parle de diarrhée. A l’inverse, quand le mélange manque de liquide, les selles sont dures et ont du mal à se frayer un chemin jusqu’à la sortie. On parle de constipation.

La diarrhée : quand le côlon se laisse déborder

Le responsable du dosage en eau, c’est le côlon. Quand tout va bien, il est censé fabriquer l’étron de consistance idéale, avec juste ce qu’il faut de liquide. Un travail complexe quand on sait que la pâte qui lui est apportée par l’intestin précédent (le grêle) ressemble à de la soupe. Le côlon doit donc assécher ce potage. L’image d’une éponge qu’on essore est séduisante mais d’un point de vue physique, ça ne se passe pas tout à fait comme ça. En réalité, dans les cellules de la paroi intestinale sont logées de petites pompes qui transportent les minéraux (le sel essentiellement) de l’intérieur du côlon vers l’intérieur du corps. Pour équilibrer les concentration en sels de part et d’autre de la paroi intestinale, l’eau, par osmose, suit. Enfin, quand on est en bonne santé.

Car en cas de gastro-entérite, un virus maléfique nommé rotavirus empêche le gros intestin d’effectuer sa tâche correctement. La même chose se produit lors de certaines infections bactériennes. La réabsorption intestinale est alors perturbée car les petites pompes décrites ci-dessus ne peuvent plus assurer leur tâche. Du coup, l’eau reste dans le côlon, et finit par sortir par les voies naturelles en entraînant les déchets de la digestion. C’est la diarrhée.

Riz et diarrhée : les meilleurs ennemis

Que viendrait faire le riz dans cette histoire ? Eh bien, pour être franc, pas grand chose, mais quand même. Parce qu’en cas de diarrhée, le côlon est donc mis à rude épreuve. Et le riz (uniquement s’il est blanc) est un aliment sans résidus : autrement dit, une fois que votre bol de riz a franchi l’intestin grêle, il n’en reste rien. Or, pas de déchet égale pas de selle ! Et pas de selle signifie que le côlon peut se reposer un peu.

Mais la diarrhée, ce n’est pas que des excréments liquide, c’est aussi du caca fréquent. On l’a vu, la première tâche du côlon, c’est un travail d’essorage. Mais le gros intestin œuvre également dans la vitesse du transit. En temps normal, les aliments sont poussés grâce à des mouvements réflexes de l’intestin (les mouvements péristaltiques). Sans nous demander notre avis puisqu’il est doté de son système nerveux autonome, le côlon se contracte régulièrement afin d’appuyer sur son continu et de le pousser vers la sortie. Un peu comme on chasserait le dentifrice de son tube. Or, en cas de diarrhée, ces mouvements sont accélérés, d’où un besoin accru de se rendre sur le trône. Là encore, le riz n’a finalement que peu d’influence : son seul pouvoir réside toujours dans son absence de déchet. Sans caca à pousser, le péristaltisme a tendance à ralentir.

Manger du riz en cas de diarrhée ?

En conclusion : ça ne coûte rien de manger du riz en cas de diarrhée, et c’est même recommandé. Les petits grains blancs ne pourront que faire du bien à votre côlon malmené. Mais ça n’est pas un remède miracle qui dispenserait de consulter le médecin… car certains médicaments offrent des effets autrement plus efficaces. Ah, et dernier détail, le riz « anti diarrhée », il doit être blanc. Car le riz complet, chargé de fibres, aurait lui, sur votre système digestif déjà mal en point, un effet aggravant.

Marina Lena

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Porter des Crocs au quotidien est mauvais pour la santé des pieds


Les souliers Crocs ont été créés comme chaussures pour la plage ou la piscine. Sauf que les gens les trouvent tellement confortables qu’ils les portent trop souvent,. C’est une mauvaise idée que de travailler avec ce genre de souliers du moins à long terme selon des podologues américains.
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Porter des Crocs au quotidien est mauvais pour la santé des pieds

 

 

90 pays ont succombé à la mode des Crocs, ces sabots aux qualités anti-microbiennes et anti-transpirantes.

90 pays ont succombé à la mode des Crocs, ces sabots aux qualités anti-microbiennes et anti-transpirantes.

© LE FLOCH PASCAL/TRAVERS ERIC/SIP

Par Lise Loumé

Porter quotidiennement des Crocs, ces sabots en plastique de couleur vive, est une mauvaise idée, selon les podologues.

Depuis 2016, aux États-Unis, des podologues alertent régulièrement contre le port quotidien des Crocs, ces sabots aux couleurs vives, qui se sont vendues à plus de 300 millions d’exemplaires dans 90 pays depuis leur lancement en 2002. Ces chaussures entraînent un risque de douleurs articulaires et de déformations au niveau des pieds. Made in USA, les Crocs sont faites en matière plastique (une mousse d’éthylène-acétate de vinyle) et sont originellement conçues pour être portées à la plage ou au bord d’une piscine. Confortables, légères et faciles à laver, elles sont également devenues incontournables dans le milieu hospitalier, surtout auprès des infirmières.

Un risque de tendinite et de déformation d’orteils

Mais selon deux podologues américains, ces chaussures martyrisent nos pieds si elles sont portées quotidiennement, préviennent-ils dans les colonnes duHuffington Post.

« Malheureusement, elles ne sont pas faites pour être portées toute une journée, met en garde le Dr Megan Leahy, podologue basée à Chicago. Elles « ne soutiennent pas assez le talon. Quand celui-ci est instable, les orteils ont tendance à se recroqueviller pour retenir la chaussure, ce qui ce peut provoquer des tendinites (ndlr : ces inflammations des tendons qui surviennent lorsque ceux-ci ont été trop et/ou mal sollicités). À ces problèmes d’articulations s’ajoutent des risques de « déformation d’orteils, de problème d’ongles, des cors ou des callosités, la même chose peut se produire avec le port excessif de tongs », ajoute la spécialiste.

Bien sûr, même s’il ne faut pas les porter 8 à 10 heures par jour, les Crocs ne sont pas déconseillées par les podologues pour un port occasionnel à la plage ou à la piscine.

« Les deux seuls types de patients qui pourraient bénéficier du port quotidien de ces chaussures sont ceux qui ont le voûte plantaire très élevée ou ceux qui souffrent d’œdème excessif de leurs jambes ou leurs chevilles », précise au Huffington Post le Dr Alex Kor, président de l’Académie américaine de podologie.

Plusieurs pays, comme les États-Unis, la Grande-Bretagne, le Canada, la Suède et l’Autriche, ont interdit depuis 2011 le port de ces chaussures des hôpitaux non pas pour des raisons de santé du pied, mais de sécurité : les Crocs ne seraient pas assez solides pour protéger le pied d’instruments pointus comme les seringues ou les aiguilles qui pourraient traîner par terre…

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La Myrmarachne formicaria désignée araignée de l’année


Des araignées, il en a tous les genres, chez les araignées sauteuses, une en particulier est unique en son genre, car elle imite les fourmis. Cette capacité de mimétisme a fait de cette espèce l’araignée de l’année.
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La Myrmarachne formicaria désignée araignée de l’année

 

© Twitter.

La Myrmarachne formicaria de la famille des araignées sauteuses (Salticidae) a été désignée comme araignée de l’année 2019 par 83 arachnologues issus de 26 pays européens, rapportent mercredi Natuurpunt et Arabel (Société Arachnologique de Belgique).

 L’araignée est ainsi nommée en raison du fait qu’elle calque son comportement sur celui d’une fourmi afin de mieux surprendre ses proies.

Ce mimétisme est la raison principale du choix de l’arachnide comme araignée de l’année, explique Natuurpunt.

« Grâce à une initiative telle l’araignée de l’année, nous espérons non seulement attirer l’attention sur un groupe animal malaimé mais aussi qu’un public plus large signale cette espèce afin que les chercheurs reçoivent de nouvelles données sur la répartition actuelle de cette araignée sauteuse. »

Les araignées sauteuses

L’animal en question appartient à la famille des araignées sauteuses qui constituent avec 6.100 espèces différentes la plus grande famille d’araignées au monde.

« De nombreuses araignées sauteuses ont un corps compact au contraire de celle-ci dont le corps ressemble à celui d’un fourmi », poursuit l’association environnementale flamande.

Les mouvements des fourmis

« Ces araignées imitent non seulement l’aspect extérieur des fourmis mais aussi leurs mouvements. Elles se déplacent ainsi par intermittence comme les fourmis, comme si elles suivaient une piste de phéromones », explique Hendrik Moeremans de Natuurpunt.

« L’araignée imite la fourmi mais pas pour la manger car elle se nourrit principalement de moucherons et de petits moustiques mais aussi de pucerons. L’espèce profite surtout du fait que les fourmis ont peu d’ennemis en raison de leur agressivité relative de sorte que l’araignée est moins souvent la proie de prédateurs tels que les guêpes ou les oiseaux. »

En Europe et aux États-Unis

L’araignée-fourmi peut être observée durant toute l’année mais sa période d’activité principale s’étend d’avril à août. Elle se rencontre en Europe mais aussi aux Etats-Unis. Fréquente, elle n’est pas menacée.

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Égypte: découverte d’une tombe vieille de plus de 4400 ans


Une grande tombe vieille de plus de 4 000 ans, d’Égypte, très bien conservé, avec couleurs, statuts dans des niches qui appartenait à un prêtre de haut rang
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Égypte: découverte d’une tombe vieille de plus de 4400 ans

 

La tombe contient notamment des « scènes montrant le... (Photo MOHAMED ABD EL GHANY, REUTERS)

La tombe contient notamment des « scènes montrant le propriétaire de la tombe avec sa mère, sa femme et sa famille, de même qu’un certain nombre de niches avec de grandes statues colorées du défunt et sa famille », précise le gouvernement égyptien dans un communiqué.

PHOTO MOHAMED ABD EL GHANY, REUTERS

Agence France-Presse
Le Caire

 

La tombe d’un prêtre datant de plus de 4400 ans a été découverte sur le site de Saqqara, près du Caire, par une mission archéologique égyptienne, ont annoncé samedi les autorités.

La tombe du prêtre nommé « Wahtye » date de la Ve dynastie (entre 2500 et 2300 avant J. -C.), pendant le règne de Néferirkarê, selon le ministère des Antiquités.

La tombe est « exceptionnellement bien conservée, colorée avec des sculptures à l’intérieur. Elle appartient à un prêtre de rang élevé », s’est réjoui samedi le ministre des Antiquités, Khaled el-Enany devant un parterre d’invités et la presse.

La tombe contient notamment des « scènes montrant le propriétaire de la tombe avec sa mère, sa femme et sa famille, de même qu’un certain nombre de niches avec de grandes statues colorées du défunt et sa famille », précise le ministère dans un communiqué.

Les niches sont au nombre de 18 et les statues de 24, selon la même source qui précise en outre que la partie basse de la tombe contient 26 niches plus petites.

En novembre, sur le même site de Saqqara, les autorités égyptiennes avaient révélé la découverte de sept tombes, dont quatre datant de plus de 6000 ans, par la même mission archéologique égyptienne.

Les archéologues avaient notamment mis au jour des scarabées et des chats momifiés.

Le site de Saqqara, au sud du Caire, est une vaste nécropole qui abrite notamment la célèbre pyramide à degrés du pharaon Djéser, la première de l’ère pharaonique.

Ce monument, construit vers 2700 avant J. -C par l’architecte Imhotep, est considéré comme l’un des plus anciens monuments à la surface du globe.

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Elle se suicide après une opération des yeux au laser


Toutes opérations chirurgicales peuvent avoir des effets secondaires. Certaines chirurgies sont coordonnées généralement de succès, mais, les risques même rares existent. Une chirurgie au laser aux yeux fait partie des actes médicaux qu’il peut y avoir des risques.
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Elle se suicide après une opération des yeux au laser

 

© Photo publique Facebook.

Par: Deborah Laurent

Jessica Starr, météorologue sur une chaîne de télévision locale à Détroit, a subi une opération des yeux en octobre dernier.

Elle aurait dû reprendre le travail le 13 novembre mais ses yeux étaient secs en permanence et elle voyait toujours flou. Son retour au travail a été repoussé.

Dans une vidéo postée sur Facebook, elle se plaignait des suites de son opération au laser. Elle expliquait que son rétablissement était difficile. Dans un ultime tweet, elle confiait qu’elle « luttait ». « Pensez à moi en cette période difficile. » Quelques heures plus tard, Jessica Starr mettait fin ses jours par pendaison.Le suicide de la présentatrice météo doit-il être lié à l’opération au laser qu’elle a subie? Le Journal of Cataract and Refractive Surgery rapporte que 96% des patients sont satisfaits du résultat de leur chirurgie au Lasik. Plus de 9,5 millions d’Américains ont déjà été opérés avec cette méthode. C’est le cas de Tiger Woods, Courteney Cox et Brad Pitt. Une fois opérés, huit patients sur dix peuvent laisser tomber leurs lunettes.

L’ancien président de la Société américaine de la cataracte et de la chirurgie réfractive confie au Times que si le risque est faible, il existe bel et bien. Et pour la minorité de patients concernés, les résultats sont dévastateurs. Ils souffrent de douleurs chroniques et de pensées suicidaires.

En octobre dernier, un Canadien de 54 ans se suicidait vingt ans après une opération au laser ratée.

« Je ne ressens plus aucun plaisir », a écrit Paul Fitzgerald dans sa note de suicide. « Juste la douleur brûlante aux yeux et dans ma tête. »

Il souffrait de migraines et de sécheresse oculaire depuis la chirurgie en 1996.

Max Cronin, un ancien combattant américain, a, lui, subi deux interventions chirurgicales des yeux.

« Il avait l’impression d’avoir des aiguilles dans les yeux », se souvient sa mère.

Il s’est suicidé en 2016.

La complication rare mais grave de l’opération au laser est une névralgie cornéenne. On la confond avec de la sécheresse oculaire. En réalité, elle provoque une douleur intense causée par des nerfs endommagés dans la cornée

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En Antarctique, les scientifiques entrent en « hibernation psychologique » pour supporter l’hiver


Affronté l’hiver chez moi, il faut s’adapter et profiter le plus possible du soleil, mais en Antarctique, cela n’est pas évident. Comme vivre à travers l’hiver dans une région hostile sans y perdre la tête. ?
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En Antar­c­tique, les scien­ti­fiques entrent en « hiber­na­tion psycho­lo­gique » pour suppor­ter l’hi­ver

 

par  Ulyces

 

Pour endu­rer les condi­tions extrêmes dans lesquelles ils travaillent en Antar­c­tique, les scien­ti­fiques déve­loppent un « syndrome d’hi­ver­nage », aussi connu sous le nom d’ « hiber­na­tion psycho­lo­gique ».

Ces états mentaux surviennent lorsqu’un confi­ne­ment est observé sur le long terme, comme lorsque les astro­nautes voyagent dans l’es­pace.

« Il s’agit d’un méca­nisme de protec­tion contre le stress chro­nique qui est assez logique. Si les condi­tions sont incon­trô­lables, mais que vous savez qu’à un moment, dans le futur, les choses vont s’amé­lio­rer, vous pouvez choi­sir de réduire vos efforts d’adap­ta­tion, pour préser­ver votre éner­gie », analyse Nathan Smith, l’un des auteurs de l’uni­ver­sité de Manches­ter à l’ori­gine de l’étude publiée le 4 décembre 2018.

Pour obser­ver les mani­fes­ta­tions d’un tel syndrome, l’équipe s’est inté­ressé à l’état mental des membres de la station Concor­dia, français et italiens. Leur sommeil a été contrôlé, ainsi que leur santé émotion­nelle et leurs stra­té­gies d’adap­ta­tion aux condi­tions extrêmes. Ce que les cher­cheurs ont alors observé, c’est que la qualité de leur sommeil et de leur état émotion­nel se dégra­dait lorsque l’hi­ver forçait les scien­ti­fiques à rester enfer­més. Mais ce qui a surpris Nathan Smith, c’est de consta­ter que les cher­cheurs vivant en Antar­c­tique rédui­saient aussi leurs capa­ci­tés à mettre en place des stra­té­gies d’adap­ta­tion actives, se lais­sant douce­ment aller à une passi­vité psycho­lo­gique incons­ciente.

Cette passi­vité et cette iner­tie face au stress chro­nique et au confi­ne­ment abou­tit à une forme « d’in­dif­fé­rence géné­rale et de plati­tude émotion­nelle » qui est fina­le­ment béné­fique, puisqu’elle aide les cher­cheurs à passer l’hi­ver. Nathan Smith compare ce condi­tion­ne­ment à une « fugue psycho­lo­gique modé­rée », carac­té­ri­sée par « un état de conscience altéré, ou une absence totale d’es­prit, une “dérive” de l’es­prit, une perte d’at­ten­tion et une dété­rio­ra­tion de la conscience de la situa­tion ».

Un phéno­mène qui par chance est réver­sible, puisque l’état mental des scien­ti­fiques français et italiens s’est amélioré dès les premiers beaux jours d’été.

Sources : Science Alert / Univer­sity of Manches­ter

https://www.ulyces.co/