C’est logique, mais pourtant, si on observe un peu les gens, on s’aperçoit qu’on aime mieux parler qu’écouter.
Nuage
Silence
Plus tu deviens silencieux, plus tu es capable d’entendre
Inconnu
C’est logique, mais pourtant, si on observe un peu les gens, on s’aperçoit qu’on aime mieux parler qu’écouter.
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Des anecdotes qui ne changera pas grand chose à l’humanité, mais celle d’Armstrong quand on y pense …
Nuage
par Louison
Il s’est passé beaucoup de choses entre le 1er janvier 1901 et le 31 décembre 2000. Venez (re) découvrir certaines anecdotes historiques sur le XXe siècle.
En 1901, Paris organisait un concours pour éliminer les rats
Dans un article des archives du Figaro, on a retrouvé la mention d’un concours pour tuer les rats. Il y est notamment écrit que la ville s’inquiète de l’envahissement des souterrains par ces « rongeurs à longue queue et à dents acérées ».
En effet, « le rat de Paris est un animal très particulier, pas bête du tout, qui n’a rien de commun avec le grossier rat des campagnes ou le rat naïf de province ».
Neil Armstrong s’est trompé…
Le 20 juillet 1969, la mission Apollo 11 alunit. En sortant de la cabine et en posant un pied sur la Lune, Neil Armstrong devient l’astronaute le plus célèbre de l’histoire, et le premier à marcher sur notre satellite. Il a eu ces mots :
« C’est un petit pas pour l’Homme, et un grand pas pour l’humanité ».
Cette phrase était préparée, mais l’astronaute devait en réalité dire :
« C’est un petit pas pour un homme, un grand pas pour l’humanité ».
Source : CNET-France
Crédits : Pixabay
Féminiser Hitler pour mettre fin à la guerre
Le gouvernement anglais avait un plan, qui a été très sérieusement envisagé. Il s’agissait de féminiser Hitler à l’aide d’hormones pour adoucir ses mœurs agressives.
Utiliser les excréments pour mieux connaître ses potentiels alliés
L’idée parait saugrenue, mais c’est en tout cas ce qu’avait rapporté la BBC il y a quelques années au sujet de Staline. Celui-ci avait fondé un laboratoire dont le but était d’étudier les excréments de ses visiteurs afin d’en apprendre davantage à leur sujet. Ce serait suite à un rapport de ce laboratoire qu’il aurait refusé des accords avec la Chine.
Les tueurs pour la République
Comme dans un film d’action, la France a elle aussi son petit groupe commando pour effectuer des missions sensibles. La cellule Alpha serait un commando qui opère depuis les années 80, et qui effectue des missions clandestines partout dans le monde.
Un décès par flèche lors de la Seconde Guerre mondiale
Bien sûr, il ne s’agit là que des rapports officiels. Mais un soldat allemand a été identifié pour avoir été tué par une flèche en mai 1940 dans le Pas-de-Calais. Le responsable serait un soldat de l’armée britannique connu pour toujours avoir un arc et une épée en plus de l’équipement habituel.
Les immigrés, les sans-papiers qu’on accuse a qui mieux-mieux sont utilisé quand cela faire l’affaire des mieux nantis, même pour Donald Trump qui pourtant veut les chasser du pays. C’est du courage que cette femme dénonce l’humiliation et les abus sachant qu’elle se retrouvera sans travail.
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The Associated PressDonald Trump
Une femme immigrée clandestine travaille depuis cinq ans dans le club de golf de Bedminster appartenant au groupe de Donald Trump, pour lequel elle réalisé plusieurs tâches ménagères durant ses séjours réguliers, a-t-elle raconté au New York Times.
D’origine guatémaltèque, Victorina Morales a elle-même sollicité le quotidien, pour lequel elle a accepté de témoigner à visage découvert, dans un article publié jeudi.
Mme Morales, qui gagne 13 dollars de l’heure, a déjà fait plusieurs fois le ménage dans la villa que possède Donald Trump dans la résidence.
Avec une autre femme, Sandra Diaz, sans-papiers à l’époque où elle travaillait à Bedminster (New Jersey) dans le même groupe qu’elle, Mme Morales affirme que plusieurs autres employés du golf se trouvaient aux États-Unis en situation irrégulière.
Arrivée illégalement aux États-Unis en 1999, Victorina Morales est entrée au service de la résidence, qui comprend un parcours de golf, après avoir présenté de faux papiers.
Lors de son entretien d’embauche, elle assure avoir dit à celle qui allait devenir sa supérieure que ses papiers étaient faux, une confession qui ne l’a pas empêchée de décrocher un emploi.
Cette femme de ménage de 45 ans explique avoir souhaité raconter son histoire en réaction aux propos très durs de Donald Trump sur les migrants, en particulier ceux venus d’Amérique latine, mais aussi aux quolibets racistes d’un supérieur.
«Nous sommes fatigués des abus, des insultes, de la manière dont il parle de nous alors qu’il sait que nous l’aidons à gagner de l’argent», a déclaré Mme Morales au New York Times. «Nous nous mettons en quatre pour satisfaire tous ces besoins et nous devons supporter qu’il nous humilie.»
La femme de ménage exprimait là un point de vue général sur Donald Trump mais explique avoir été traitée avec respect par l’ancien promoteur immobilier, qu’elle décrit comme exigeant mais poli et susceptible de donner de généreux pourboires.
«Nous avons des dizaines de milliers d’employés dans nos établissements et avons des méthodes de recrutement très strictes», a indiqué à l’AFP une porte-parole de la Trump Organization, le holding de Donald Trump.
«Si un employé a produit de faux documents pour contourner la loi», a-t-elle ajouté, «il sera immédiatement licencié».
Mme Morales a expliqué qu’elle s’attendait à perdre son emploi dès la publication de l’article.
Il est vrai que dans les grandes villes (et même les petites) ce que l’on retrouve beaucoup dans les poubelles ou sur le sol, sont des gobelets de différents restos rapides comme McDo, Tim Horton etc .. On devrait réutiliser les tasses et verres de smoothies ou autre.
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ÈVE DUMAS
La Presse
Les cafés indépendants de Montréal se mobilisent pour réduire la quantité de gobelets à usage unique en circulation.
C’est Samuel Perreault, copropriétaire des cafés Paquebot et de l’entreprise de torréfaction Zab, qui a lancé l’appel sur Facebook, cette semaine. Depuis, des dizaines de cafés ont manifesté leur intérêt pour l’imposition d’une « taxe » de 25 cents sur les contenants non réutilisables.
Une discussion sur le sujet doit se tenir mardi prochain, au Paquebot Bélanger. Sur la page du groupe Facebook Baristas MTL, les commentaires sont nombreux, et tous positifs. De plus, au moins 125 personnes se sont dites intéressées par la rencontre.
Dans le document intitulé Projet d’éco-responsabilité dans les cafés indépendants de Montréal, on peut lire que le premier geste serait de « vendre le contenant à 0,25 $ l’unité, somme qui serait ajoutée à l’addition du client et qui pourrait inciter ce dernier à poser un geste plus écologique lors de sa prochaine visite, soit en apportant son propre contenant réutilisable ou en choisissant de consommer sur place ».
« Les montants recueillis par la vente des contenants à utilisation unique seront réinjectés dans l’organisme dans le but de financer la recherche et le développement de produits et de méthodes plus écologiques pour les coffee shops et l’instauration de pratiques vertes dans tous les cafés participants », poursuit le document.
Le point de départ
C’est la visite d’une jeune étudiante en sciences de l’environnement, Olivia St-Laurent, qui est à l’origine du projet. Elle a cogné aux portes de quelques cafés indépendants montréalais. Puis il y a eu une rencontre entre les propriétaires des trois succursales de Paquebot et ceux des cafés Esquina, Oui Mais Non, La graine brûlée et Nocturne.
Olivia St-Laurent a travaillé comme barista en Australie pendant deux ans. Elle a remarqué que les pratiques n’étaient pas particulièrement écoresponsables. De retour ici et en première année de son baccalauréat à l’Université McGill, elle a décidé d’inviter quelques acteurs du milieu à unir leurs forces pour trouver des solutions au gaspillage et à la surabondance de déchets.
« À plusieurs, on pourra mettre de la pression sur les consommateurs, sur le gouvernement et sur les grandes chaînes », souhaite la jeune femme de 22 ans.
L’essentiel de nos rebuts
En novembre, La Presse a justement publié le résultat d’une étude de caractérisation des déchets à Montréal, qui révélait que l’essentiel de nos rebuts était constitué de contenants de boissons. Tim Hortons, McDonald’s et Starbucks en sont les principaux générateurs. L’étude réalisée par la coopérative de solidarité Les Valoristes, pour la Ville de Montréal, recommande l’utilisation de contenants réutilisables et l’élargissement du système de consigne. Celui-ci est d’ailleurs instauré dans une poignée de cafés de la métropole, grâce au projet La tasse.
Aux cafés Paquebot, on pourrait instaurer la taxe de 25 cents dès le 1er janvier.
« Cet argent servirait entre autres à payer Olivia pour son travail. Avec le café Pista, on a fait un petit calcul rapide qui donnait des revenus d’environ 35 000 $ par année avec cette taxe, pour quatre établissements seulement ! » dit Samuel Perreault.
Même s’il n’y a pas d’explication terre-à-terre, parce qu’on ne sait pas ce qui était présent sur le sol à ce moment-là, ce genre de phénomène n’est pas quelque chose de surnaturelle.
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Dans la nuit du 3 au 4 décembre 2018, alors que l’orage grondait au-dessus de Kalgoorlie, une ville minière du sud-ouest de l’Australie, une étrange lueur verte est soudain apparue dans le ciel, rapporte le West Australian.
Leigh Stevens filmait la tempête depuis son perron lorsqu’il a vu le rai de lumière verdâtre apparaître dans les nuages.
« Regarde ! Qu’est-ce que c’est ? » l’entend-on dire à un ami alors qu’il zoome sur l’étrange phénomène.
« WTF! » a-t-il écrit en postant la vidéo. « J’ai filmé ça la nuit dernière pendant un orage électrique depuis mon jardin. »
Visionnées par un scientifique interrogé par le journal, les images ne font pas plus de sens.
« Nous n’avons jamais vu une chose pareille », a réagi Neil Bennett, de l’Office de météorologie australien. « Nous n’avons pas l’impression que la lueur verte fait partie de l’orage, ne pensons qu’il s’agit de la réflexion de quelque chose qui se trouve au sol, plutôt que dans les nuages. »
En les regardant, on peut effectivement écarter tout de go la thèse de l’ovni. La lueur verte semble être projetée depuis le sol, et sa projection s’accompagne d’un signal sonore qui ne ferait pas tâche dans un film de science-fiction. L’objet au sol et le but de la manœuvre, eux, sont toujours bel et bien non identifiés.
Source : The West Australian
Une offre d’emploi assez inusité, mais la demande parait assez logique. Pour éviter le vol dans un magasin, mieux vaut faire appelle à des professionnels. Ici, ce sont des voleurs ! Il faudrait probablement que ce soit incognito, pour ne pas mettre la puce à l’oreille de la police.
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Crédits : Prudence Earl
par Dylan Kuperblum
Pour empêcher les vols dans son magasin de vêtements au Royaume-Uni, la propriétaire, qui souhaite rester anonyme, a décidé d’adopter une approche très peu conventionnelle.
Elle veut embaucher des criminels professionnels pour voler dans sa boutique, avant de lui expliquer comment ils ont fait pour qu’elle puisse empêcher que cela se reproduise. rapportait Mirror le 29 novembre dernier.
L’offre d’emploi a été postée sur le site de petites annonces britannique Bark.com. La propriétaire dit être disposée à payer des voleurs 56 €/h pour tenter de voler dans son magasin, avec en prime la possibilité de conserver trois des objets qu’ils auront réussis à voler. Les candidats doivent se rendre dans la boutique régulièrement sur une durée de plusieurs semaines, puis rédiger un rapport sur toutes les choses qu’ils y ont volé et comment ils s’y sont pris. Consciente que son offre peut paraître étrange, la commerçante explique qu’elle adopte simplement une approche différente de la prévention au vol après des années de pertes considérables pendant la période des fêtes.
« Depuis que j’ai ouvert mon magasin en 2013, chaque année à l’arrivée de Noël, nous subissons des vols considérables », écrit-elle.
La propriétaire espère donc que cette expérience lui permettra de mieux comprendre le fonctionnement des voleurs et l’aidera à améliorer la sécurité de son magasin. Elle souhaite en particulier savoir si la configuration du magasin doit être modifiée, si les caméras de vidéosurveillance sont correctement positionnées et comment son personnel interagit avec les voleurs. Contacté par Mirror, le fondateur du site Bark.com, Kai Feller, s’est déclaré surpris par la demande de la femme, « mais espère qu’elle trouvera une personne adaptée à ses besoins ».
Source : Mirror
Il semble qu’au Québec, nous avons aussi un Dr House. Non pas par l’arrogance ou le mauvais caractère du personnage de la série télévisé, ni par sa dépendance aux médicaments, mais bien pour trouver ce qui cloche dans des maladies rares.
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MATHIEU PERREAULT
La Presse
Donald Vinh est décrit depuis quelque temps par ses collègues de McGill et des médias comme le Dr House du Québec.
L’infectiologue montréalais vient d’imiter à nouveau le héros de la télévision en identifiant le problème génétique à l’origine des infections qui minent depuis 20 ans la vie d’un homme de 35 ans.
UN ENFANT-BULLE ADULTE
Le patient, qui ne veut pas être identifié, vient d’« une région de l’est de la Gaspésie », explique l’infectiologue de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (CUSM). « À partir de l’adolescence, il a commencé à être souvent malade, dit le Dr Vinh. Mais il a réussi à travailler et à avoir deux enfants. Il y a quelques années, une interniste de sa région a décidé de l’envoyer en consultation dans des hôpitaux universitaires. Quand je l’ai vu, il y a quatre ans, j’ai utilisé un nouveau laboratoire immunitaire que j’avais mis sur pied et j’ai tout de suite vu qu’il lui manquait beaucoup de globules blancs. Il avait l’air d’un enfant-bulle adulte. On a fait des tests génomiques à mon laboratoire de recherche et on a trouvé un gène candidat qui pourrait expliquer ses symptômes. Ensuite, on a cerné le mécanisme par lequel ce gène causait ces problèmes immunitaires. Il y a six mois, on a établi toutes les preuves et on a soumis un papier au Journal of Experimental Medicine. » L’étude a été publiée ce matin.
La prochaine étape est de trouver une manière de pallier la faible activité du gène en cause.
LE Dr HOUSE DU QUÉBEC
Le Dr Vinh a été décrit à plusieurs reprises dans les médias comme le Dr House du Québec, parce que comme le personnage de télévision, il s’attaque à des cas en apparence insolubles. L’an dernier, il a aussi identifié un gène responsable des infections à répétition d’un autre patient, qui avait aussi des problèmes auto-immuns. Dans ce cas, le gène en question était connu, mais pas le type de mutation du patient, complètement nouveau. Le patient de l’an dernier, qui avait alors 35 ans et était malade depuis l’enfance, avait subi de nombreux tests dans les centres les plus réputés du Canada et des États-Unis, sans succès.
DE L’ESPOIR POUR LA TRISOMIE
La découverte du Dr Vinh pourrait avoir des impacts positifs pour les patients atteints de trisomie 21.
« C’est là qu’est située la mutation génétique de mon patient de 36 ans, dit le Dr Vinh. On sait que les patients atteints du syndrome de Down ont plus de risques de problèmes immunitaires. Chez les patients [trisomiques 21], il semble que contrairement à ce qui se passe chez mon patient de Gaspésie, le gène est surexprimé. Nous devons maintenant prouver que le gène de mon patient de la Gaspésie est bel et bien impliqué dans les mêmes problèmes pour le syndrome de Down et que la surexpression de ce gène pose problème. »
Le nouveau gène n’avait jamais été lié à une maladie auparavant et semble très important pour le système immunitaire, ce qui ouvre aussi la porte à des avancées plus générales en infectiologie.