Mon plan


Pour ma part, je crois qu’il est sûrement, mieux ainsi, car si c’est sait quel genre de personne, je pourrais être si j’étais riche et célèbre.
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Mon plan

 

 

Mon plan de ne devenir ni riche, ni célèbre se déroule actuellement très très bien

Inconnu ….

Le Saviez-Vous ► Comment est né le cookie aux pépites de chocolat ?


C’est souvent dans des accidents que naissent des grandes découverte même dans les recettes de cuisine.
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Comment est né le cookie aux pépites de chocolat ?

 

Kimberly Vardeman from Lubbock, TX, USA — Perfect Chocolate Chip Cookies

Le cookie aux pépites de chocolat a été inventé par accident dans la cuisine d’un couple d’aubergistes, Kenneth et Ruth Wakefield.

En 1930, ils ont fondé l’auberge “Toll House”. Mais un jour, alors qu’elle préparait des biscuits, Ruth s’est rendu compte qu’il lui manquait du chocolat de pâtisserie.

Elle a donc décidé d’ajouter à sa pâte des morceaux de chocolat Nestlé Semi-Sweet, en pensant que ceux-ci fondraient et que cela donnerait des biscuits chocolatés. Mais ils n’ont pas fondu et c’est ainsi que le cookie aux pépites de chocolat est né.

Nestlé et Ruth Wakefield ont conclu un accord suite à cette invention : la compagnie a pu imprimer la recette du cookie sur l’emballage de son chocolat et Ruth Wakefield a bénéficié d’un approvisionnement à vie de chocolat Nestlé.

 [Source]

https://lesavaistu.fr/

Les résultats des tests génétiques modifient notre physiologie


Notre subconscient nous joue bien des tours. Je sais qu’il y a déjà eu des expériences du genre exposés dans ce billet pour un autre contexte, mais que la connaissance de notre profil génétique peut modifier les risques sur notre santé laisse perplexe.
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Les résultats des tests génétiques modifient notre physiologie

 

Nathalie Mayer
Journaliste

De plus en plus de tests génétiques sont pratiqués pour déterminer les risques que nous encourons. Mais une étude montre aujourd’hui que le simple fait d’avoir connaissance de nos résultats modifie notre physiologie. Jusqu’à influer sur notre profil de risque global.

Donnez à un groupe de personnes un repas. Une semaine plus tard, annoncez – faussement – à ces personnes qu’elles portent un gène qui les aide à les protéger de l’obésité. Et servez-leur le même repas que quelques jours plus tôt. Elles produiront deux fois et demie plus d’hormones de la satiété et atteindront ainsi la satiété physiologique plus tôt. Annoncez-leur qu’elles sont prédisposées à l’obésité, en revanche, et rien ne changera dans leur façon de se nourrir.

Proposez par ailleurs un exercice physique à un groupe de personnes et annoncez-leur – toujours faussement –, une semaine plus tard, qu’elles possèdent un gène les rendant peu aptes à ce genre d’exercice. Leur capacité pulmonaire s’en trouvera réduite et ils seront moins efficaces à éliminer le CO2. À l’inverse, annoncez-leur qu’elles présentent des aptitudes exceptionnelles à l’exercice physique et leurs performances resteront inchangées.

Savoir que vous n’êtes pas génétiquement prédisposé à performer peut suffire à amoindrir vos performances sportives. © MabelAmber, Pixabay, CC0 Creative Commons

Savoir que vous n’êtes pas génétiquement prédisposé à performer peut suffire à amoindrir vos performances sportives. © MabelAmber, Pixabay, CC0 Creative Commons

Comment éviter les conséquences négatives ?

Ce sont les résultats d’une étude menée à l’université de Stanford (États-Unis). Des résultats qui montrent le poids de l’état d’esprit, non seulement sur la motivation d’un individu, mais aussi plus prosaïquement sur la réponse apportée par son corps.

« Recevoir des informations génétiques ne vous rend pas seulement plus informé. Cela peut également avoir un impact physiologique qui modifie votre profil de risque global. Nous devons maintenant nous poser la question suivante : comment peut-on fournir ce type d’informations de manière à encourager des changements de comportement qui n’aient pas d’effet négatif sur la physiologie, les émotions et la motivation de ceux qui les reçoivent ? »,

conclut Alia Crum, chercheur à Stanford.

https://www.futura-sciences.com

Un vaccin pour les abeilles face à «l’apocalypse des insectes»


On sait que l’agriculture intensive et les pesticides sont des causes de la diminution des pollinisateurs. En plus, les abeilles sont atteintes du syndrome de l’effondrement des colonies d’abeilles. Sur ce point, il semble qu’un vaccin soit possible., qu’on administre à la reine via le sucre et qu’elle transmet l’immunité a sa progéniture.
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Un vaccin pour les abeilles face à «l’apocalypse des insectes»

 

SAM KINGSLEY
Agence France-Presse
Helsinki

En Finlande, des scientifiques ont mis au point ce qu’ils croient être le premier vaccin au monde pour protéger les abeilles, avec l’espoir d’enrayer la chute des populations de cet insecte, qui pourrait provoquer une crise alimentaire mondiale.

Les abeilles contribuent en effet à la pollinisation de 90 % des principales cultures dans le monde.

Mais ces dernières années, ces précieux animaux ont été décimés par le « syndrome de l’effondrement des colonies d’abeilles », un mal mystérieux. On accuse aussi bien les acariens, les pesticides, les virus que les champignons, voire la combinaison de plusieurs de ces facteurs.

Selon l’ONU, plus de 40 % des pollinisateurs invertébrés, en particulier les abeilles et les papillons, sont menacés d’extinction.

Les scientifiques ont prévenu que ce déclin vertigineux pourrait entraîner une hausse des prix des denrées alimentaires et un risque de pénuries.

Percée médicale

Le vaccin, mis au point par une équipe de l’Université d’Helsinki, procure aux abeilles la résistance nécessaire pour combattre des maladies microbiennes graves, potentiellement mortelles pour les communautés pollinisatrices.

« Si nous pouvons sauver ne serait-ce qu’une petite partie de la population d’abeilles avec cette invention, je pense que nous avons fait notre bonne action et sauvé un peu le monde », a déclaré Dalial Freitak, chercheuse à la tête du projet.

« Même une augmentation de 2 à 3 % de la population d’abeilles serait énorme », a-t-elle déclaré à l’AFP. 

On croyait auparavant qu’il était impossible de vacciner les insectes, car ils n’ont pas d’anticorps, l’un des principaux mécanismes que les humains et les autres animaux utilisent pour combattre les maladies. 

Mais, en 2014, Mme Freitak, spécialiste des insectes et de l’immunologie, a remarqué que les papillons nourris de certaines bactéries passaient leur immunité à leur portée.

« Ils pouvaient transmettre quelque chose d’avalé. Je ne savais tout simplement pas quel était le mécanisme », dit-elle. « J’ai rencontré Heli Salmela, qui travaillait sur les abeilles mellifères et une protéine appelée vitellogénine. Je l’ai entendue parler et je me suis dit : OK, je pourrais parier que c’est ta protéine qui transmet mon signal d’une génération à l’autre ».

Le duo a créé un vaccin contre la loque américaine, la plus répandue et la plus destructrice des maladies bactériennes de l’abeille.

Le traitement est administré à la reine des abeilles par l’intermédiaire d’un morceau de sucre, manière selon laquelle de nombreux enfants reçoivent le vaccin contre la polio. 

La reine transmet ensuite l’immunité à sa progéniture.

En plus de travailler sur des vaccins contre d’autres maladies, l’équipe cherche à lever des fonds pour rendre le vaccin disponible sur le marché, avec un retour « très positif » jusqu’à présent, selon Mme Freitak.

Mais « il existe de nombreux obstacles réglementaires. Quatre à cinq ans pour atteindre le marché est une estimation optimiste », dit-elle.

Croissance des cultures affectée

Les scientifiques estiment que les maladies ne sont qu’une des nombreuses raisons de la perte des pollinisateurs. Les pesticides et l’agriculture intensive, qui réduit la diversité de l’alimentation des insectes, en font aussi partie.

Mais l’équipe de Mme Freitak croit que la protection des populations d’abeilles contre les maladies les rendra plus fortes, et partant mieux équipées pour résister aux autres menaces.

L’Union européenne et le Canada ont voté en faveur de l’interdiction des néonicotinoïdes, dont des études ont montré que la nuisibilité pour la reproduction des abeilles.

Selon une étude de l’ONU publiée en 2016, l’équivalent de 507 milliards d’euros d’aliments cultivés chaque année dépendent directement des pollinisateurs. Le volume d’aliments produits qui dépendent des pollinisateurs a augmenté de 300 % au cours des cinquante dernières années. 

Avec la diminution du nombre de pollinisateurs, certains agriculteurs se sont tournés vers la location d’abeilles ou la pollinisation à la main – comme dans le cas des arbres fruitiers dans certaines régions de Chine.

À Helsinki, le projet s’est appuyé sur un financement extérieur, mais l’équipe a maintenant accepté de poursuivre ses recherches à l’Université de Graz en Autriche, celle du célèbre zoologue Karl von Frisch. Ses découvertes sur la danse des abeilles lui avaient valu le prix Nobel de médecine en 1973.

https://www.lapresse.ca/