Enseignement des enfants


Il est vrai que ces trois enseignements, les enfants sont des professeurs hors pairs, mais quand à demander de toutes leurs forces ce qu’ils désirent, au secours ! Il faut de la patience. Cependant, en temps qu’adulte nous pouvons donc apprendre a tenir tête devant les plus grands, les plus forts.
Nuage

 

Enseignement des enfants

 

 

Un enfant peut toujours enseigner trois choses à un adulte : Être content sans raison, s’occuper toujours à quelque chose et savoir exiger de toutes ses forces ce qu’il désire

Paulo Coelho

Le Saviez-Vous ► 10 raisons pour lesquelles nous n’avons pas encore rencontré d’extraterrestres


Sommes-nous seuls dans l’univers ? Probablement pas ! Les extraterrestres, sont-ils déjà venus rencontrer les Terriens ? Aucune idée, mais, je ne suis pas convaincue. Sont-ils trop loin, la technologie n’est pas encore rendu là ?
Nuage

 

10 raisons pour lesquelles nous n’avons pas encore rencontré d’extraterrestres

 

© getty.

Morgane Goffin

Les scientifiques écoutent les ondes, les passionnés scrutent le ciel, les astronautes planifient d’aller toujours plus loin. Pourtant, pour le moment, aucune vie extraterrestre n’a encore pu être détectée. Dans une galaxie riche de plusieurs centaines de milliards d’étoiles, cela peut paraître étonnant. Voici quelques théories qui pourraient donner un semblant d’explication à ce mystère.

Selon le paradoxe de Fermi, célèbre physicien italien et prix Nobel de physique, si une civilisation extraterrestre existait, elle serait déjà rentrée en contact avec les terriens. Les hypothèses suivantes donnent quelques réponses à cette ambivalence.

Un problème de communication

Pour le moment, nos moyens de communication dans l’espace sont limités par l’avancement des technologies. Il se peut que les extraterrestres, plus avancés, disposent de modes de communication différents de ceux des Terriens et que les signaux d’appel ne font que se croiser sans se rejoindre.

Une planète unique en son genre

Les conditions qui doivent être réunies pour que la vie émerge sont nombreuses et complexes. C’est pourquoi, si on dénombre beaucoup d’exoplanètes, aucune de celles découvertes jusqu’alors n’abrite la vie. L’émergence de civilisations comme celle présente sur Terre serait extrêmement rare ou simplement nulle.

Le délai est trop court

Vu la vitesse à laquelle les ressources de la planète Terre sont exploitées et consommées, il se peut que l’humanité ne tienne plus très longtemps. C’est peut-être – ou cela a peut-être été – le cas d’autres civilisations qui se sont auto-détruites avant d’avoir pu se déplacer sur d’autres planètes habitables.

Le grand filtre

La Terre, dans son évolution, est passée au travers de bien des catastrophes qui ont provoqué parfois des extinctions de masse. Si la vie sur Terre a eu cette chance, ce n’est peut-être pas le cas sur les autres planètes. La vie y a peut-être disparu suite à une collision avec un astéroïde, des guerres d’extermination, des épidémies, des éruptions solaires ou des explosions de supernovæ… À moins que ce ne soit à cause de changements climatiques?

Le grand silence

Les extraterrestres sont déjà passés et la civilisation terrienne, moins avancée ou trop éloignée de la leur, ne les a pas intéressés. C’est sans doute difficile à avaler mais cela reste une possibilité.

Seuls dans l’Univers

Dans les milliards d’étoiles que compte la galaxie et bien au-delà, il n’y a en fait que la Terre qui ait développé une forme de vie. Même si cela paraît improbable et que l’on veut continuer à y croire, cette hypothèse est plausible tant que le contraire n’aura pas été prouvé.

Des lève-tôt

Selon le Dr Peter Behroozi, assistant professeur à l’Université d’Arizona, 92% des planètes similaires à la Terre ne sont pas encore nées. Ce qui fait de la Terre une pionnière dans le domaine de la vie. Il y en aura peut-être d’autres mais pour le moment, les Terriens sont les premiers.

De formes de vies différentes

Pour imaginer les formes de vies extraterrestres, le modèle qui est pris comme exemple est celui de l’être humain. Il est pourtant plausible que les prochaines formes de vie que la civilisation terrienne rencontrera seront bien différentes de cela. Dans leur fonctionnement, leurs envies ou leurs états qui ne seraient peut-être pas biologiques ou centrés sur une composition carbonique.

Trop lointain

La galaxie dans laquelle la Terre évolue n’a pas encore été explorée, loin de là. Si ces limites n’ont pas encore été atteintes, qu’en est-il du reste de l’Univers ! Les civilisations extraterrestres sont peut-être encore trop lointaines pour pouvoir entrer en contact avec elles.

Ils sont déjà parmi nous

L’explication ne semble pas nécessaire. Si on regarde son voisin de manière bizarre à partir de maintenant, c’est tout à fait normal.

https://www.7sur7.be/

Nous serions maintenant adolescents de 10 à 24 ans


Il est arrivé souvent que la puberté a plus ou moins été plus tard ou plus tôt. La puberté s’est adaptée aux situations sociales des jeunes. Cependant, le début de l’âge adulte n’a jamais été très évident. D’après des chercheurs australiens, la puberté se jouerait entre 10 et 24 ans. Reste à savoir si cela va changer quelques choses dans les lois
Nuage

 

Nous serions maintenant adolescents de 10 à 24 ans

 

Les adolescents devraient maintenant être définis par un âge de 10 à 24 ans

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, les adolescents sont caractérisés par un développement physique, cognitif, social, émotionnel et sexuel rapide, un élargissement du fossé entre la maturité biologique et la transition sociale vers l’âge adulte et un équilibre entre protection et autonomie.

CREATIVE COMMONS

Par Camille Gaubert

L’âge adolescent doit être maintenant compris entre 10 et 24 ans, selon une étude australienne s’appuyant à la fois sur une tendance à la puberté précoce et une entrée sociologiquement retardée dans l’âge adulte.

L’adolescence, que la croyance populaire situe principalement entre 14 et 19 ans, couvrirait en réalité les 10-24 ans, selon une étude australienne parue le 17 janvier 2018 dans la revue The Lancet – Child and Adolescent Health.

Selon la Société Canadienne de Pédiatrie, en 2003 encore l’adolescence était définie comme une période allant de 10 à 19 ans :

« l’adolescence débute avec l’apparition de la puberté physiologiquement normale et se termine lorsque l’identité et le comportement des adultes sont acceptés ».

Une fourchette d’âge correspondant également à la définition de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2017.

Selon les auteurs de l’étude du Lancet, « l’adolescence englobe des éléments de croissance biologique et des transitions de rôles sociaux majeurs, qui ont tous deux changé au cours du siècle dernier ».

Ainsi, la puberté dont la survenue définit l’entrée dans l’adolescence, devient plus précoce, tandis qu’à l’autre bout du spectre, l’âge de « l’achèvement de l’éducation, le mariage et la parentalité, continue de faire évoluer les perceptions populaires du début de l’âge adulte ».

Une puberté plus précoce… Comme pendant la préhistoire

Selon un article paru en 2016, « pendant la majeure partie du 20ème siècle l’âge de survenue des règles a diminué d’environ 3 mois par décennie ».

Selon son auteur, plusieurs études ont démontré « que la tendance séculaire à développer une puberté précoce se manifeste encore au début du XXIe siècle, non seulement dans les pays en développement mais aussi dans les pays développés », tels que le Canada, le Danemark ou la Corée, « en raison de l’amélioration des conditions socio-économiques ».

Ainsi, aux États-Unis l’âge moyen des premières menstruations « est passé de 14 ans au 19e siècle à 12,43 ans à la fin du 20e siècle (entre 1988 et 1994) », soit… Le même âge qu’au moment de la préhistoire, où les règles survenaient entre 7 et 13 ans, mais cette fois pour d’autres raisons : leur espérance de vie étant faible, elles devaient se reproduire plus vite.

Entre les deux, l’auteur précise qu’un retard significatif s’était produit « au début des temps modernes, peu après la révolution industrielle, probablement en raison de la détérioration des conditions de vie » en termes d’hygiène et de densité de la population.

Conséquence probable selon l’auteur : la « facilitation de la propagation des maladies », aurait affecté « la croissance et le développement des enfants », retardant ainsi la maturation pubertaire et les menstruations, de sorte que l’âge des menstruations était plutôt de 12 à 15 ans. La diminution significative de l’âge de la puberté chez les jeunes filles dans la seconde moitié du 20e siècle « semble aujourd’hui ralentir ou se stabiliser », conclut l’auteur.

Une entrée dans l’âge adulte socialement retardée

« On peut admettre que la période de transition de l’enfance à l’âge adulte occupe maintenant une plus grande partie de la vie », exposent les chercheurs australiens dans The Lancet, expliquant qu’à notre époque, « des forces sociales sans précédent, notamment le marketing et les médias numériques, affectent la santé et le bien-être au cours de ces années ».

Une observation qui explique qu’ils considèrent que 24 ans est la nouvelle limite supérieure définissant l’âge de l’adolescence.

« Bien que de nombreux privilèges juridiques commencent à 18 ans, les responsabilités de l’âge adulte arrivent généralement plus tard », estime Susan Sawyer auprès de Mashable, directrice du centre pour la santé des adolescents du Royal Children’s Hospital de Melbourne et auteure principale de l’étude.

 Selon eux, cette définition élargie serait « essentielle » pour une élaboration plus appropriée des « lois, politiques sociales et systèmes de services ».

https://www.sciencesetavenir.fr

Ce sanctuaire de papillons va être rasé au bulldozeur pour construire le mur de Trump


Comment la Justice peut autorisé à un gouvernement qui ne se soucient ni des gens, ni des animaux, ni de l’environnement a passer par-dessus de 28 lois fédérales pour un mur qui fera plus de mal que de bien
Nuage

Ce sanc­tuaire de papillons va être rasé au bulldozeur pour construire le mur de Trump

Crédit : Natio­nal Butter­fly Center

par  Ulyces

« Les murs aux fron­tières sont des condam­na­tions à mort, autant pour la faune que pour les humains »,

Début décembre 2018, la Cour suprême des États-Unis a auto­risé l’ad­mi­nis­tra­tion Trump à passer outre 28 lois fédé­rales, notam­ment celles qui concernent les espèces mena­cées d’ex­tinc­tion et la pollu­tion atmo­sphé­rique. Cela signi­fie que 33 nouveaux kilo­mètres de mur vont être érigés, au cœur du Rio Grande et du Natio­nal Butter­fly Center.

« Les murs aux fron­tières sont des condam­na­tions à mort, autant pour la faune que pour les humains », dénonce Amanda Munro, du centre envi­ron­ne­men­tal South­west auprès du quoti­dien britan­nique The Guar­dian.

Dans ce sanc­tuaire, les visi­teurs peuvent actuel­le­ment obser­ver 60 varié­tés de papillons, dont l’ha­bi­tat, qui s’étend sur plus 40 hectares, devrait être détruit dès février 2019.

« Dans le centre, on se croi­rait dans Fanta­sia. Lorsqu’on s’y promène, il faut se couvrir la bouche pour ne pas aspi­rer de papillon », décrit la direc­trice du parc, Marianna Wright.

Si la dispa­ri­tion de ce sanc­tuaire inquiète beau­coup les locaux, certains dénoncent avant tout l’as­pect inhu­main et dange­reux d’un tel mur.

« Les familles qui tentent d’en­trer aux États-Unis vont être repous­sées dans le désert, pour y mourir », dénonce ainsi Scott Nicol, du Sierra Club Border­lands, une ONG qui défend les droits civiques.

Pour lui, les consé­quences de la construc­tion du mur sont encore plus désas­treuses qu’elles n’y paraissent.

 « Les murs empêchent les animaux sauvages d’ac­cé­der à la nour­ri­ture, à l’eau et à leurs congé­nères, dont ils ont besoin pour survivre. Ils affai­blissent la diver­sité géné­tique, frag­mentent l’ha­bi­tat et piègent les animaux lors d’inon­da­tions meur­trières. En paral­lèle, ils poussent les deman­deurs d’asile déses­pé­rés à risquer leur vie dans le désert impi­toyable », alerte le co-président de l’or­ga­ni­sa­tion. 

Sources : The Guar­dian

https://www.ulyces.co

De quelle immunité Trump peut-il se prévaloir ?


C’est compliqué la politique. Est-ce qu’un président des États-Unis peut avoir l’immunité ? Sur ce que les démocrates veulent accuser Donald Trump pour le destituer semble plus compliqué, car rien n’est clairement établi par la loi. Pour ma part, quand une personne gouverne un pays, il doit être responsable de ses actes avant, pendant et après.
Nuage

 

De quelle immunité Trump peut-il se prévaloir ?

 

Donald Trump... (Photo Jacquelyn Martin, Associated Press)

 

Donald Trump

PHOTO JACQUELYN MARTIN, ASSOCIATED PRESS

 

CHARLOTTE PLANTIVE
Agence France-Presse
Washington

Après une série de révélations embarrassantes, des élus démocrates ont appelé à inculper Donald Trump malgré les obstacles légaux. Qu’en est-il exactement du statut pénal du président des États-Unis ?

Le contexte 

Lors de la campagne présidentielle de 2016, Michael Cohen, alors avocat de Donald Trump, a organisé, « à la demande » de son patron, des versements pour faire taire deux femmes qui prétendaient avoir eu des liaisons avec le milliardaire, ont déclaré des procureurs la semaine dernière. 

Pour la justice, ces versements constituent une violation des lois sur le financement des campagnes électorales. 

Ces révélations ont rouvert un débat sur l’immunité du président en exercice.

« Je suis intimement convaincu qu’un président peut être inculpé », a déclaré le sénateur démocrate Richard Blumenthal.

« Je ne crois pas que le département de la Justice ou la Constitution aient souhaité que le président, par le simple fait d’être en exercice, se trouve au dessus des lois », a renchéri son confrère de la Chambre des représentants, Adam Schiff.

Pour lui, il faut inculper rapidement Donald Trump afin de stopper la prescription (cinq ans pour les faits en cause), et le juger une fois qu’il ne sera plus président. 

Les textes 

La Constitution américaine prévoit une procédure spécifique, l’impeachment, pour démettre de ses fonctions le président en cas de « trahison, corruption ou autre crimes et délits graves ». La Chambre des représentants est chargée de la mise en accusation, le Sénat de le juger. 

Cette procédure empêche-t-elle l’ouverture en parallèle de poursuites criminelles ?

La question n’est pas évoquée dans la Constitution. Mais l’un des pères fondateurs, Alexander Hamilton avait écrit dans les Federalist Papers – recueil qui fait référence pour interpréter la Loi fondamentale – que le président pouvait « après son mandat être poursuivi et puni par la loi ordinaire ». Cela sous-entend qu’il jouit d’une immunité pendant son mandat.

En 1973, puis en 2000, le département de la Justice a rendu des décisions en ce sens. Il a estimé dans des mémos qui font référence, qu’inculper un président en exercice « nuirait » au bon fonctionnement de la Maison-Blanche.

Les précédents

La procédure d’impeachment a été enclenchée à trois reprises contre des présidents sans aller à son terme : en 1868, contre le démocrate Andrew Johnson ; en 1974 contre le républicain Richard Nixon dans le cadre du scandale du Watergate (il avait démissionné avant le vote à la Chambre), et en 1998 contre le démocrate Bill Clinton, mis en accusation pour « parjure » à la Chambre basse, mais acquitté au Sénat.

En droit civil, la Cour suprême a estimé qu’un président pouvait être poursuivi pendant son mandat pour des actes accomplis avant son entrée en fonction, et autorisa en 1997 Paula Jones à poursuivre Bill Clinton pour harcèlement sexuel lorsqu’il était gouverneur de l’Arkansas.

C’est pourquoi Summer Zervos, une ancienne candidate de l’émission de téléréalité de Donald Trump, a pu porter plainte en diffamation en 2017 contre le président qu’elle accuse d’avoir menti en niant l’avoir pelotée de force.

Mais au pénal, aucun procureur n’a jamais essayé d’aller à l’encontre des règles édictées par le ministère de la Justice.

Le débat d’experts

Certains juristes estiment donc que rien n’est gravé dans le marbre.

Le professeur de droit Neal Katyal, qui a travaillé pour l’administration du président démocrate Barack Obama, estime ainsi que les mémos du ministère sont « des lignes directrices générales » mais pas « une jurisprudence établie ».

Pour lui, ils ne s’appliquent pas aux délits commis pour devenir président.

« Sinon, ce serait une incitation à tricher encore plus », relève-t-il.

Preuve qu’il existe une marge d’interprétation, le juge de la Cour suprême Brett Kavanaugh, nommé par Donald Trump, a lui même changé d’avis.

Dans les années 1990, il faisait partie de l’équipe du procureur Kenneth Starr qui enquêtait sur la liaison du président Bill Clinton avec sa stagiaire Monica Lewinsky.

« Pourquoi est-ce que le président devrait être différent des autres quand il est convoqué par un grand jury ? », écrivait-il en 1995.

Mais en 2009, il jugeait qu’un président devrait être épargné de poursuites civiles et pénales lors de son mandat.

https://www.lapresse.ca

Un python de 8 mètres capturé en Indonésie


 

Ce n’est pas le genre de rencontre qu’on aimerait faire lors d’une promenade. Ce serpent il est immense. Malheureusement, je crains pour lui qu’il ne pourra plus vivre en liberté
Nuage

 

Un python de 8 mètres capturé en Indonésie

 

 

Des villageois indonésiens ont réussi à capturer un python géant de huit mètres alors qu’il refermait son étreinte mortelle autour de l’un d’entre eux, peut-on voir dans une vidéo devenue virale (que vous pouvez visionner ci-haut).

Les villageois ont d’abord pensé que le serpent, qui se reposait sur les berges d’une rivière, était simplement un vieux rondin, avant que l’un d’eux ne le touche et déclenche son attaque.

Dans une vidéo tournée fin novembre, on voit cet homme se battre contre le serpent géant, alors que ses camarades tentent de le libérer de son étreinte mortelle. La vidéo tournée par Ronal Efendi Coto, l’un des villageois, est devenue virale et comptabilise plus d’un million de vues.

Après avoir appelé à l’aide et maîtrisé le serpent, les villageois ont réussi à le faire rentrer dans une cage, désormais gardée au village de Pucuang Anam, sur l’île de Sumatra.

AFP

Le zoo local à qui les villageois ont demandé de l’aide a en effet refusé de prendre en charge le python, expliquant être déjà surchargé.

« Pour l’instant, on le garde juste en cage afin que les gens puissent venir y jeter un coup d’oeil », a expliqué Ronal Efendi Coto à l’AFP, évaluant la longueur du serpent à huit mètres.

Le python figure parmi les plus longs serpents au monde, mais il dépasse rarement sept mètres à l’état sauvage.

Dans l’archipel des Célèbes, une Indonésienne avait été retrouvée morte en juin dans le ventre d’un python géant, capturé près de l’endroit où la femme avait disparu alors qu’elle s’occupait de son potager.

https://quebec.huffingtonpost.ca//

L’évolution spectaculaire du poulet en 60 ans témoigne de notre impact sur la nature


 

Alors que la nature met des millions d’années pour qu’un animal évolue, l’humain peut réussir en moins de cent ans. Le poulet est un bon exemple.
Nuage

 

L’évolution spectaculaire du poulet en 60 ans témoigne de notre impact sur la nature

TAWATCHAIPRAKOBKIT VIA GETTY IMAGES

Des chercheurs ont remarqué que la volaille, domestiquée il y a 8000 ans, a subi des transformations radicales en quelques décennies.

Corps énormes, pattes difformes et coeurs défaillants… les hommes ont totalement modifié la morphologie des poulets d’élevages en quelques décennies, selon une étude publiée mercredi dans la revue Royal Society Open Science.

« Le poulet d’élevage moderne est méconnaissable par rapport à ses ancêtres ou à ses congénères sauvages », explique à l’AFP Carys Bennett de l’université de Leicester en Angleterre, coauteur de l’étude mettant en avant « un squelette surdimensionné, une composition chimique des os et une génétique distinctes ».

Originaire d’Asie du Sud-Est, le poulet a été domestiqué il y a environ 8.000 ans mais ce n’est qu’à partir des années 1950 et la recherche de rythmes de croissance très élevés que les poulets d’élevages ont rapidement formé une nouvelle espèce morphologique, précise l’étude.

« Il n’a fallu que quelques décennies pour produire une nouvelle forme d’animal contre des millions d’années normalement », précise Jan Zalasiewicz, également de l’Université de Leicester et coauteur de l’étude.

Recherché pour sa chair et ses oeufs, le poulet est actuellement la viande la plus consommée dans le monde: aujourd’hui la planète en héberge 23 milliards.

« La masse totale des poulets domestiques est trois fois supérieure à celle de toutes les espèces d’oiseaux sauvages réunies », fait remarquer Carys Bennett.

S’ils permettent de nourrir une large partie de l’humanité, les poulets d’élevage d’aujourd’hui sont également un bel exemple de la façon dont nous modifions les organismes vivants qui se développent sur la Terre et « un marqueur potentiel de l’Anthropocène », la période actuelle marquée par l’influence de l’homme sur les processus terrestres, notent les chercheurs.

Une évolution « tragique si l’on considère les conséquences pour ces oiseaux », précise Carys Bennett.

Agence France-Presse

https://quebec.huffingtonpost.ca/