Des golden retrievers semblent beaucoup apprécier le chat. Pauvre matou, de l’affection féroce. Une aide pour s’échapper des léchouilles aurait probablement été apprécié.
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Un chat « dévoré » par une meute de chiots
Des golden retrievers semblent beaucoup apprécier le chat. Pauvre matou, de l’affection féroce. Une aide pour s’échapper des léchouilles aurait probablement été apprécié.
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Un toutou bien courageux. Voyant sa maitresse en danger, il prend la morsure du serpent à sa place, tel qu’un garde du corps. Heureusement, il retrouvera sa belle gueule bientôt.
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Crédits : Paula Godwin
par Mehdi Karam
Todd a l’air mal en point, mais « voici ce à quoi ressemble un héros » affirme Paula Godwin, sa maîtresse.
Comme le raconte USA Today le 2 juillet, alors qu’ils se promenaient, un serpent à sonnettes a surgi des buissons avant de sauter sur Godwin. Le petit golden retriever n’a pas hésité une seule seconde et s’est interposé, subissant alors la morsure à la place de sa maîtresse.
Une fois le serpent parti (en même temps, tant de bravoure, ça a de quoi impressionner), Godwin a emmené Todd à l’hôpital d’Anthem, en Arizona. Le chiot a été soigné et, malgré sa gueule quelque peu déformée, il n’est pas en danger et tout cela devrait se dégonfler d’ici peu.
Crédits : Paula Godwin
Source : USA Today
Ce Golden Retriever est-il en train de chanter ou d’émettre un commentaire sur la musique de sa petite maitresse qui s’exerce à la flûte ? Il reste près d’elle peut-être pour l’encourager en l’accompagnant qui sait …
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Un très rare chez un chiot venant de naitre d’une maman Golden Retriever en France. Il est le dernier-né d’une fratrie de 8 toutous. Sa particularité n’est pas bien grave, il est simplement vert. Il retrouvera sa couleur naturelle dans quelque temps
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Une première en France !
Le 19 mars dernier, une femelle Golden Retriever – prénommée Liska – âgée de trois ans a donné naissance à une portée de sept chiots.
Un bel événement pour sa maîtresse Amandine Ourdouillie, qui habite dans le Jura où elle tient un élevage. Si tout se passe pour le mieux lors de la mise bas, c’est à l’arrivée du sixième chiot que les choses semblent se compliquer.
Et pour cause puisque Liska vient de mettre au monde un chiot vert. Le septième chiot ainsi que tous les autres sont eux parfaitement normaux. Très surprise, Amandine Ourdouillie surveille de très près le petit chiot vert et contacte même son vétérinaire. Elle tente aussi de le nettoyer afin d’estomper cette couleur verte.
Au téléphone, le vétérinaire explique que ce phénomène très rare – qui serait une première en France – est dû à la biliverdine (un pigment biliaire) et ne durera pas. Le chiot, comme ses frères et sœurs, aura bien une magnifique robe de couleur sable par la suite. Et évidemment, le chiot est en parfaite santé.
Prénommé Olive, le petit chiot serait seulement le cinquième au monde à naître de cette couleur. Sur les photos, vous pouvez le reconnaitre à son collier vert, car la couleur ne ressort pas toujours parfaitement à cause de la lampe chauffante.
Une vraie petite star en herbe cet Olive !
Par Elise PetterCrédits photo :
Amandine Ourdouillie
A chaque jour, vers la même heure, un Golden Retriever s’installe sur le bord de la route au bout du terrain de son maitre. Il attend a fixant la rue. Puis, il devient existé quand le camion de la poste amène le courrier vers les boites postales. À la hauteur du chien, il lui donne le courrier et le chien ramène à son maitre. Il est brillant !
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La cynothérapie est un traitement qui existe aussi au Canada, c’est une thérapie qui aide des patients en maladie mentale à être aidé par un chien. L’avantage, c’est que ces patients sont plus enclins à se confier, et à se mêler un peu plus au groupe tout en diminuant voir disparaitre certains comportements indésirable. U autre effet important, c’est que cela peut aider a diminuer les traitements aux psychotropes
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À Amiens, en France, les patients ont des thérapeutes spéciaux.
À l’hôpital psychiatrique d’Amiens, dans le nord de la France, la liste des soignants comprend… des chiens. Depuis 2010, le centre Philippe Pinel pratique la cynothérapie, un soin sur prescription visant à soigner les malades mentaux avec ces canidés.
Golden retriever dans une main, cavalier King Charles dans l’autre, Priscillia, 27 ans, promène « Zoé » et « Fatou » sous les arcades de cet hôpital impressionnant du 19e siècle en briques rouges.
« J’adore les chiens, c’est sympa », lance-t-elle, guillerette.
« Priscillia souffre de psychoses infantiles. Quand je l’ai prise en charge, elle n’avait comme rapport au monde que la souffrance, elle se scarifiait, se brûlait… Après une séance de cynothérapie, tout cela a disparu, c’était spectaculaire », assure William Lambiotte, infirmier cynothérapeute qui a introduit l’activité dans l’hôpital.
« Elle s’est ouverte aux autres, elle est devenue coquette, elle a retrouvé la valorisation qu’elle n’a jamais eue », ajoute M. Lambiotte, également éducateur canin.
Effet « anti-dépresseur », enrayement du processus d’isolement, diminution du stress, adaptation à la vie sociale… côtoyer, promener et s’occuper des canins engendrerait de nombreux bénéfices pour les patients.
GARY JOHN NORMAN
L’hôpital Philippe Pinel, qui compte environ 300 malades et quatre chiens, est l’un des rares établissements en France à recourir à la cynothérapie pour aider des patients soignés en psychiatrie. Le centre hospitalier de Mulhouse (est) propose lui aussi cette activité. La pratique existe aussi dans d’autres pays, notamment en Europe du Nord et au Canada.
« Les chiens sont aussi indispensables qu’inexplicables. Pourquoi des malades qui ne reconnaissent pas leur propre famille, reconnaissent, « Fatou », « Zoé » ou « Evie » ? Je ne l’explique pas », avoue M. Lambiotte.
« Evie » – un autre cavalier King Charles – sur les genoux, l’infirmier anime chaque semaine un groupe de parole d’une dizaine de malades. À tour de rôle, chacun dit ce qu’il a sur le coeur:
« Mon père est mort », lance ainsi Karim avant de s’éclipser; « moi, ma cousine est vivante », poursuit Sylvie, alors que Jean-Claude raconte sa visite du château de Versailles.
« On a remarqué que la présence d’un chien lors des groupes de parole attirait davantage de patients, mais surtout libérait la parole plus facilement », explique, en blouse blanche, M. Lambiotte.
«Un médicament comme un autre»
Depuis la création de l’activité à l’hôpital Philippe Pinel, 259 patients de six à 98 ans et porteurs de 97 diagnostics différents ont été pris en charge, et 54 médecins sont désormais « prescripteurs de cynothérapie ».
« On a commencé à utiliser ce type de thérapie pour des patients qui avaient du mal à s’ouvrir sur l’extérieur. Le patient replié sur lui-même se focalise sur l’animal qui le rassure, et arrive ainsi à faire abstraction du milieu persécutif environnant pour se confronter à la réalité », explique le Dr Cyril Guillaumont, chef d’un pôle de l’hôpital.
Ainsi, « petit à petit, ces patients sortent de leur chambre, du service, de l’hôpital. On constate comment l’animal a pu être le traitement qui leur a permis de s’ouvrir », ajoute-t-il.
À l’image de Stéphane, 43 ans, un patient atteint de schizophrénie qui pique-nique avec « Zoé » à ses côtés dans la cour de l’hôpital.
« Quand on m’a demandé de le prendre en charge, il vivait nu et seul dans sa chambre, il avalait tout, des fourchettes, ses draps qu’il coupait en lanières… Puis il a vu les chiens et ça lui a sauvé la vie, l’ingestion de corps étrangers s’est arrêtée du jour au lendemain », témoigne M. Lambiotte.
Cette thérapie « permet aussi de diminuer chez certains patients les traitements psychotropes administrés jusqu’alors. L’effet d’apaisement apporté par l’animal rend les patients plus calmes et de ce fait-là, il n’y a pas besoin d’être dans une escalade thérapeutique », affirme le Dr Guillaumont.
Finalement, « c’est un médicament comme un autre: il y a une évaluation initiale, une prescription avec l’accord du patient et un effet thérapeutique qui est évalué », conclut-il.
La mutation somatique peut être vue chez l’être humain, plante, insecte, et même chez les animaux. C’est ce que souffre ce Golden Retriever et qui heureusement pour lui, sa différence ne le dérange pas.
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Atteint d’une mutation génétique, ce jeune chien est très spécial. Sa particularité physique le rend encore plus unique que jamais… mais qu’importe : il est adorable.
Comme tous les jeunes canidés qui se respectent, Enzo le Golden Retriever adore jouer, dormir, rencontrer de nouvelles personnes et profiter de ses maîtres. Mais s’il fait parler de lui, ce n’est pas pour sa joie de vivre de petit toutou. En effet, ce dernier est atteint d’une rare mutation génétique qui lui confère un charme tout particulier.
Il souffre d’une mutation somatique. A l’instar du vitiligo, cette maladie n’est pas douloureuse pour l’animal. Elle impacte juste la pigmentation de son pelage. C’est pour cette raison qu’il est doté d’une jolie tache noire au beau milieu de son visage couleur crème.
Le chiot n’a pas conscience de sa différence… et c’est tant mieux ! Il ne manque de rien, fait le bonheur de sa famille et attire les regards curieux.
Beaucoup de personnes se questionnent à son propos. Ses maîtres en profitent donc pour leur répondre, leur parler de la maladie de leur compagnon et leur prouver que l’on peut être un Golden Retriever… et avoir deux couleurs !
Il est adorable n’est-ce pas ?
Son apparence peu commune fait son charme…
Par Deborah KoslowskiCrédits photo :
Instagram – @mister.enzoviola
C’est peut-être cela qu’il faudrait chez mon dentiste ! C’est tellement stressant, même si c’est juste pour un nettoyage de dent.
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Un cabinet de pédiatrie dentaire de Chicago a trouvé la méthode révolutionnaire pour rassurer ses jeunes patients : avoir le meilleur des assistants. Et celui-ci n’est autre qu’un chien !
Endroit aseptisé, tension palpable, bruits de roulette, cris … pas de doute, si toutes ces conditions sont réunies, vous vous trouvez bien dans le cabinet d’un dentiste ! Lieu de toutes les angoisses, il est synonyme de stress intense pour bon nombre d’entre nous. Mais avec Jojo à ses côtés, le Pediatric Dentistry of Northbrooksemble avoir trouvé LA solution parfaite.
Jojo ? C’est l’adorable Golden Retriever du cabinet qui a pour rôle de courir au secours des patients nerveux en leur apportant sa tendre présence.
«La majeure partie du temps, les patients ont besoin de sédatif pour les aider à se relaxer», a confié Veronica Renteria, dentiste, au site The Dodo. «Mais lorsque Jojo vient près d’eux et s’assied sur leur chaise, ils sont rassurés. […] Elle fait vraiment un bon travail avec eux.»
Non contente de rassurer les patients, la chienne est aussi une aide précieuse pour le personnel
. «Quand ils sont vraiment très anxieux et effrayé, ils ont tendance à beaucoup bouger. Lorsque Jojo est là, les soins sont beaucoup plus simples et rapides à réaliser. Les médecins réussissent à faire leur travail.»
Il faut dire qu’avec sa patte amicale et son doux regard, on comprend aisément que les enfants appréhendent beaucoup d’aller voir leur dentiste !
«Elle aime venir près d’eux. Elle est très bien formée et sait ce qu’elle fait. Sa présence nous apporte beaucoup !»
Un bien bel échange de bons procédés, non ?
Si l’amitié était si simple ! Au-delà des différences et des coutumes, il serait possible de s’entendre. Si nous sommes capables de faire ami-ami entre animaux alors pourquoi pas l’homme
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L’amitié c’est : Un Golden Retriever, 8 oiseaux et 1 hamster
@bob_goldenretriever
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Un chien né dans une usine à chien pouvait présager un sombre destin et pourtant… Sorti d’un endroit malsain, ce chien aveugle est devenu un excellent chien de thérapie
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Photo : CAPTURE D’ÉCRAN CBC NEWS
Smiley, un golden retriever né sans yeux et atteint d’un nanisme, a grandi dans une usine à chiot. C’est Joanne George, de Stouffville, au Canada, qui a sauvé l’animal de la mort deux ans plus tard. Aujourd’hui, dix ans après son adoption, son emploi du temps est bien chargé.
L’animal est en effet chien de thérapie pour le programme local Dog St. John Ambulance Therapy. Chaque jour, il réconforte et divertit les patients des hôpitaux et des maisons de retraite, ou soutient des enfants en difficulté de lecture dans une bibliothèque.
Source d’inspiration
Un job qui correspond parfaitement à l’animal. Pour sa propriétaire, c’était une évidence de proposer sa compagnie comme moyen de soin, de part l’inspiration qu’il peut dégager. Teddy, le patient d’une maison de soins infirmiers, incapable de communiquer a ainsi été témoin du don de Smiley.
« Un jour, il a mis ses pattes en face de Teddy et celui-ci a commencé à lui sourire et à faire du bruit, explique Joanne à CBSnews. Toutes les infirmières se sont précipitées dans la pièce. Elles n’avaient jamais vu ce genre de réaction. »
Smiley a ainsi changé le quotidien de centaines de femmes, hommes et enfants. Mais après une décennie au service des autres, sa maîtresse confie qu’il arrive doucement vers la fin de sa vie.
« Il est venu à mon premier rendez-vous amoureux, il était le porteur de mon alliance lors de mon mariage. Il m’a également accompagné pendant ma grossesse », se souvient Joanne, qui précise que Smiley « a changé sa vie ». Une pensée douloureuse atténuée par le fait que ce bon samaritain est loin d’avoir eu une vie de chien.