La violence


Le bien ne pas naitre de la violence, elle est contraire a la violence. La violence est l’absence du bien, de la bonté, de la sympathie, la compassion
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La violence

 » Je m’oppose a la violence parce que lorsqu’elle semble engendrer le bien, le bien qui en résulte n’est que transition, tandis que le mal produit… est permanent »

Gandhi

Ne pas remettre a demain


La meilleur façon pour ne pas laisser trainer les choses et de faire ce qui est important tout de suite, a la moindre occasion pour éviter d’accumuler nos priorités
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Ne pas remettre a demain

Ne remettez pas au lendemain : prenez le temps de faire ce que vous avez à faire, quitte à faire une liste des priorités et d’accomplir du mieux possible ce qui vous incombe du quotidien. Mais faites-le !

Cela vous donnera confiance en vous parce que vous serez satisfait d’avoir mené à terme une mission et de laisser place à de nouvelles choses

Michel Poulaert

Le saviez-vous ► expression : « Etre bredouille »


Ne ramener aucun gibier (chasse).
Être bredouille cela arrive a tout le monde .. a un moment donné pour divers occasion, mais il y a longtemps cela signifiait au jeu du moins être chanceux
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« Etre bredouille  »

Ne ramener aucun gibier (chasse).
Ne rien gagner (jeu).
Echouer dans une entreprise.

 
Cette expression vient du jeu de tric-trac, très en vogue entre le XIIe et le XIXe siècle.

A l’origine, jouer "bredouille", c’était gagner tous les coups sans en laisser un seul à l’adversaire.

Le terme a ensuite été appliqué au perdant malheureux, avec l’un des sens qu’il a aujourd’hui, ou à la femme qui revenait du bal sans que quiconque l’ait fait danser, autre manière de revenir sans gibier.

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Un chien de la police médaillé pour son courage pendant les émeutes en Grande-Bretagne


Les chiens qui travaille avec les policiers sont reconnus pour leur courage et leur fidélité et ce au-dela de leur propres besoins
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Un chien de la police médaillé pour son courage pendant les émeutes en Grande-Bretagne

Obi, un berger allemand de trois ans travaillant pour le commissariat de West Drayton, près de Londres, a été décoré le 18 octobre 2011.

Un chien de la police britannique, qui s’était illustré par son courage pendant les émeutes cet été au Royaume-Uni, a été décoré mardi de la médaille de la bravoure animale lors d’une cérémonie organisée à la Chambre des Lords, la chambre haute du Parlement.

Obi, un berger allemand de trois ans travaillant pour le commissariat de West Drayton, dans le Middlesex (sud-est), un comté près de Londres, s’était retrouvé début août en première ligne avec son maître-chien à Tottenham, un quartier déshérité du nord de la capitale, berceau des émeutes.

La police avait alors été la cible de projectiles lancés par les émeutiers – bouteilles, briques ou mobilier urbain – et le chien avait été touché à la tête.

Selon le récit de la police, le chien ne souffrant d’aucune blessure apparente avait continué à travailler pendant plusieurs heures, et son maître ne s’était rendu compte de la gravité de son état qu’en voyant du sang s’échapper de son museau.

Un examen dans une clinique vétérinaire avait ensuite révélé que l’animal souffrait d’une fracture du crâne.

Après sa convalescence, le chien n’a pu reprendre que partiellement son travail. Et il n’a été déclaré totalement apte au service qu’au début de cette semaine.

"Obi avait très envie de reprendre du service. Il n’aimait pas du tout que je le laisse à la maison", a expliqué son maître, Phil Wells, 30 ans.

L’animal a reçu sa récompense, décernée par l’IFAW, une organisation de défense des animaux, lors d’une cérémonie à la chambre des Lords, en présence du policier.

"C’est vraiment bien de voir notre travail reconnu", a souligné Phil Wells, "même si nous ne sommes qu’une des nombreuses équipes cynophiles qui sont dans les rues chaque jour".

Obi vit depuis qu’il est chiot avec le policier, sa femme et ses deux enfants dans leur maison du Surrey (sud-est). Quand ses années de service seront terminées, il restera avec eux, comme animal de compagnie.

Les émeutes survenues dans plusieurs villes d’Angleterre début août ont été les plus violentes dans le pays depuis au moins trente ans. Cinq personnes avaient été tuées et plusieurs milliers arrêtées.

La police montée et des chiens policiers avaient été envoyés sur place pour tenir à distance ou repousser les émeutiers.

© 2011 AFP

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Violence à l’école Les filles plus violentes


Un autre billet sur la violence a l’école et l’intimidation, car c’est un sujet important et alarmant, même si nous enfants, sont grand ou que nous en avons pas .. c’est un problème de société. Plus jeune j’ai vécu l’intimidation, mais jamais de cette façon, par des filles …
Instinctivement quand nous entendons violence, intimidation son s’imagine que ce se sont surtout les garçons, mais la réalité en peut être bien différente
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Violence à l’école  Les filles plus violentes

Violence à l'école - Les filles plus violentes

Nelka Pelletier et sa mère Nathalie Langlois ont toutes les deux subi de l’intimidation de la part de filles, à des époques différentes.

© Sarah-Maude Lefebvre/Journal de Montréal/Agence QMI

Sarah-Maude Lefebvre

Ce ne sont pas que les garçons qui posent problème dans les écoles quant aux actes de violence. De plus en plus de filles règlent leurs conflits par les poings et les injures, un phénomène qui inquiète grandement dans le réseau de l’éducation.

Nelka Pelletier en sait quelque chose. La préadolescente de 12 ans a dû changer d’école primaire à quatre reprises au cours des dernières années, victime de la violence d’autres filles à son endroit.

«On me dit que j’ai une belle voix et je suis toujours en train de chanter. Je crois que cela a provoqué la jalousie de certaines. Le fait que je suis un peu différente des autres filles de mon âge n’a pas aidé non plus», explique-t-elle.

«Bitch», «salope», «chienne», Nelka s’est fait traiter de tous les noms et a enduré ce harcèlement jusqu’à s’en rendre malade physiquement.

«Moi aussi j’ai été reject quand j’étais jeune, ça me rappelle de mauvais souvenirs, confie sa mère Nathalie Langlois. Mais, dans mon temps, l’intimidation et la violence n’allaient pas aussi loin.»

Cri d’alarme

Non seulement la violence chez les filles est méconnue, mais elle est également mal documentée, déplore la chercheuse et professeure au Département d’éducation et formation spécialisées de l’UQAM, France Capuano.

«Des données sur la violence chez les filles, il n’y en a pratiquement pas. Or, c’est un phénomène qui mérite qu’on y prête attention», dit-elle.

«On voit moins de filles violentes que de garçons à la maternelle, par exemple, mais celles qui le sont ont souvent une trajectoire pas très heureuse par la suite. Il faut faire quelque chose pour elles».

Les filles oubliées

«On ne s’occupe pas assez de nos filles. Les petits gars, eux, sont plus dérangeants et nous interpellent davantage», déplore Mme Capuano.

Conscient de cette réalité, le comédien Jasmin Roy a d’ailleurs décidé d’en faire l’objet d’une campagne à la grandeur du Québec cet automne, via sa fondation qui lutte contre l’intimidation en milieu scolaire.

«Les filles sont très dures entre elles. Elles se traitent de salopes comme si de rien n’était. Je trouve ça déplorable, confie-t-il. Elles ont perdu l’héritage féministe de leurs mères et de leurs grands-mères. Aucune étude n’a encore été faite sur le sujet et ça urge. Occupons-nous de nos filles.»

* * *

QUAND ELLES FONT PEUR…

Un rapide survol des forums d’échange pour adolescents démontre à quel point la violence et l’intimidation entre filles sont présentes dans le réseau scolaire. Les témoignages suivants proviennent d’adolescentes qui ont demandé de l’aide sur les sites internet de Jeunesse, J’écoute et Tel-Jeunes.

«Il y a une fille qui m’intimide depuis maintenant 10 ans. J’ai tenté plusieurs choses pour qu’elle arrête, mais elle continue. Dans l’autobus, elle me lance des déchets dessus, dans l’école elle passe à côté de moi et m’écoeure avec sa gang. Ça n’arrête plus. J’ai même été voir la directrice 2 fois et elle n’a rien compris ! Je suis VRAIMENT tannée.»
– Namoure017

«Elle a dit à tout le monde que j’étais une pute. En classe, durant les pauses à l’école et en cours d’éducation physique, elle vient m’intimider. Ça me choque parce que je ne lui ai rien fait. J’aurais le goût de la frapper mais en même temps, j’ai le goût d’aller pleurer quelque part.»
– JeSuisMwa

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Square Victoria Les indignés s’organisent un peu plus chaque jour


C’est la première fois (enfin pour moi) qu’on peut voir une manifestation qui est appuyés par la population de cette manière, tant qu’elle est pacifique je crois que le message se rend beaucoup mieux .. et que malgré la température difficile les indignés sont prêt a rester pour un bon bout de temps
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Square Victoria Les indignés s’organisent un peu plus chaque jour

Square Victoria - Les indignés s'organisent un peu plus chaque jour

Un chiropraticien a prêté un brûleur à grande capacité qui servait déjà à préparer du riz «pour tout le village».

© Étienne Laberge / Agence QMI

Agence QMI
Étienne Laberge et Sarah Bélisle / 24h

MONTRÉAL – Le camping urbain du square Victoria, où 400 personnes dorment chaque nuit 150 tentes, est maintenant desservi par des toilettes chimiques et un réseau d’internet sans fil.

Le parc aux allures de camp de réfugiés ne cesse de grossir depuis samedi. Il reçoit non seulement la sympathie de bien des gens, mais aussi une aide directe pour répondre aux besoins de base des membres d’Occupons Montréal.

Un chiropraticien a prêté un brûleur à grande capacité qui servait déjà à préparer du riz «pour tout le village» mardi après-midi.

Roy Clément a quant à lui apporté deux toilettes chimiques qu’il loue à perte, une manière pour lui «de soutenir et aider les occupants».

Autre exemple: une femme a donné une génératrice neuve d’une valeur de 680 $ aux occupants. Ceux-ci s’en servent pour alimenter les ordinateurs sans fil dont les écrans brillent çà et là dans le square Victoria.

Une tente de premiers soins a aussi été installée pour répondre aux urgences, non loin du très achalandé centre des communications.

Générosité débordante

Les gens d’Occupons Montréal, à l’image de son message de solidarité, se réjouissent de pouvoir compter sur la générosité du public.

«On reçoit énormément de dons, a souligné Frédéric Carmel, membre actif du mouvement. Les gens nous donnent de la nourriture. Les dons viennent de partout au Québec. Mais on a besoin de tentes, de sacs de couchage et encore plus de nourriture.»

De plus, le public a donné 2000 $ à Occupons Montréal, une somme qui sert surtout à acheter des dentées.

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Solidarité entre altermondialistes et indignés

Des centaines de participants du Forum international de l’économie sociale et solidaire ont marché jusqu’au square Victoria, mardi, afin de témoigner leur appui aux indignés qui occupent l’endroit.

Ils soutiennent que les entreprises d’économie sociale travaillent «pour le 99 %» de la population. Ils estiment que l’économie sociale, en se détournant du profit, est la solution aux revendications des indignés.

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Cyber-intimidation Des élèves de la CSRDN suspendus


Cette semaine les médias ont mis a jour la violence que subissent les professeurs (Violence envers les profs Un véritable fléau ) cette fois-ci du moins, les directeurs des commissions scolaires concernés ont fait front commun pour agir contre le groupe qui intimidait le professeur …
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Cyber-intimidation Des élèves de la CSRDN suspendus

Cyber-intimidation - Des élèves de la CSRDN suspendus

© Agence QMI / Archives

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Christian Asselin

SAINT-JÉRÔME – 25 personnes, dont certains élèves de la Commission scolaire Rivière-du-Nord (CSRDN), ont été rencontrées par les policiers mardi après-midi à la suite de la publication d’une page sur Facebook qui encourageait la violence envers les professeurs.

Selon les informations obtenues, la page Facebook, qui a été retirée, a incité les internautes à donner un mauvais parti à leur professeur à une date et une heure précise, soit le vendredi 14 octobre à 13 h. L’investigateur serait un élève de l’école secondaire des Haut-Sommet de Saint-Jérôme.

«C’est inacceptable, a déclaré Nadyne Brochu, conseillère en communication à la CSRDN. Pour nous, c’est tolérance zéro face à la cyber-intimidation. Les élèves impliqués qui fréquentent notre commission scolaire ont été interpellés et suspendus», a-t-elle précisé, avant d’ajouter que les directeurs de toutes les écoles concernées se sont mobilisés afin de mettre en place les mesures nécessaires d’intervention.

«Les élèves devront suivre, en compagnie de leurs parents, une formation donnée par les policiers. S’ils se présentent à cette formation, ils pourront réintégrer leur milieu scolaire.»,a-t-elle précisé.

Les personnes interceptées par les policiers sont celles qui avaient accepté de «devenir ami» avec l’événement créé sur Facebook. Elles proviennent de Saint-Jérôme, mais aussi d’ailleurs dans les Laurentides et des régions de Laval et Lanaudière. Certains amis de l’événement sont des étudiants du secondaire ou du cégep alors que d’autres ne sont plus aux études. Parmi eux, on retrouve un élève du premier cycle du secondaire.

«On souhaite que nos élèves apprennent de leurs erreurs. C’est pour cette raison que les interventions sont axées sur la prévention plutôt que la répression. Nous aurons plus de chances de les atteindre ainsi», a conclut Mme Brochu.

Les profs de la CSRDN en sécurité

Le journal de Montréal titrait en une de son édition du lundi 17 octobre «Des centaines de profs agressés». On y a faisait entre autres état des centaines d’enseignants du secondaire, à Montréal, en Montérégie et dans la région de Québec, qui sont victimes chaque année d’actes de violence par leurs élèves. Certains de ces actes ont même été commis par des élèves du primaire.

Bien qu’aucune statistique n’ait été compilée dans les Laurentides à cet effet, le président du syndicat des enseignants à la CSRDN, Jean Dumais, s’est fait rassurant.

«Il est certain qu’il arrive parfois que nos professeurs soient victimes de violence, mais je n’ai pas d’épisodes particuliers en tête.»,a-t-il dit. Il a ajouté qu’un professeur d’une école secondaire de Saint-Jérôme avait été victime de cyber-intimidation il y a deux ans et qu’il avait simplement été changé d’école. Les choses ont donc bien changé.

«Le professeur était menacé de mort. Quand la direction de l’école a trouvé l’élève en question, elle ne voulait pas le sanctionner. L’élève a tout simplement été changé d’école. Cette fois, la CSRDN a agit rapidement, preuve que la commission scolaire est consciente de la gravité du geste posé».

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