Elle prend la situation en main Héroïne à 5 ans


Une maman qui doit être très fière de sa fille et qui lui a sans doute sauver la vie. Elle a eu une grande maîtrise de soi pour ses 5 ans et prendre les choses en main après avoir appeler les urgences
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Elle prend la situation en main

Héroïne à 5 ans

 

Héroïne à 5 ans

Crédit photo : Agence QMI

TVA Nouvelles

Une enfant de 5 ans de Saint-Jérôme a fait preuve d’un sang-froid incroyable.

La jeune Mia Roy a contacté les policiers lorsqu’elle a vu sa mère inconsciente sur le sol. Celle-ci souffrait d’hypoglycémie.

En plus de téléphoner au 9-1-1, l’enfant s’est occupée de sa petite soeur de 6 mois.

À l’arrivée des policiers, Mia avait aussi contacté son père par Skype avec le téléphone cellulaire de sa mère. Les agents ont été impressionnés de voir que l’enfant de 5 ans avait pris la situation en main.

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Des pubs qui font du bruit Un bar de danseuses suscite la controverse


Comment il se fait que des femmes se sont battues pour le respect, la dignité et qu’on soit encore aujourd’hui a défendre les mêmes principes que les années passées. On a l’impression que tout est a recommencer tout comme on voit des jeunes filles qui ne s’affirment pas mais plutôt se soumet a utiliser leur atours que de montré leur valeurs morales et intellectuelles .. et malheureusement cela ne se jouent pas seulement dans les publicités mais aussi dans les images ou photos qu’on partagent Le corps de la femme est un passe partout a n’importe quoi
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Des pubs qui font du bruit

Un bar de danseuses suscite la controverse

Un bar de danseuses suscite la controverse

Crédit photo : Gracieuseté

Par Stéphane Sinclair | Agence QMI

La campagne publicitaire d’un bar de danseuses de Saint-Jérôme fait rager la Coalition nationale contre la publicité sexiste (CNCPS), qui la juge «sexiste», «méprisante» et «choquante».

Les images controversées de la campagne du motel St-Pierre se sont retrouvées sur des panneaux publicitaires le long de l’autoroute 15. elles ont aussi été publiées dans certains médias locaux depuis quelques semaines.

(Image: Gracieuseté)

Dans la première vague de publicité, le Motel St-Pierre montrait les jambes de pyjama d’une femme et ses pantoufles roses «chez vous», et les jambes nues d’une femme en escarpins avec le «string» descendu aux genoux «chez nous», faisant référence à ce qu’il se passe dans le club.

Dans sa seconde phase publicitaire, le St-Pierre montre les jambes d’une ménagère avec son seau et son balai à poils durs «chez vous», et les longues jambes d’une femme accotée sur un poteau de danse «chez nous», toujours en référence aux activités du club.

«Faire du ménage et vendre son corps»

Chantal Locat, présidente de la CNCPS a dénoncé la campagne de publicité du Motel St-Pierre et de ses créateurs.

«Aussitôt qu’on regarde la publicité, le message que l’on comprend c’est que la femme est bonne pour deux choses, faire du ménage et vendre son corps. On peut aussi comprendre que, pour les hommes à la maison, la femme est banale, inintéressante, pas coquette, mais juste bonne pour faire du ménage, mais que les femmes dans les bars seront à leur service encore une fois et répondront à leurs fantasmes», dénonce-t-elle.

Mme Locat soutient que ce genre de publicité démontre que la société est encore loin de l’égalité entre les femmes et les hommes. Il s’agit, selon elle, d’une illustration éloquente que certaines entreprises publicitaires manquent cruellement de respect et de créativité et les propriétaires d’entreprises, de jugement ainsi que de respect pour l’intégrité et la dignité des femmes.

Sur place, le gérant a affirmé ne pas pouvoir joindre un membre de la direction et n’a pas voulu commenter.

Joint par courriel samedi, Dominic Cayer, le président de Tapage Communications, l’entreprise qui a conçu la campagne, n’a pas réagi à la controverse.

Il y a trois ans, une affiche géante de ce club de danseuses avait créé un embouteillage sur l’autoroute 15 à la hauteur de Blainville. Des chroniqueurs de circulation l’avaient mentionnée.

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Cyber-intimidation Des élèves de la CSRDN suspendus


Cette semaine les médias ont mis a jour la violence que subissent les professeurs (Violence envers les profs Un véritable fléau ) cette fois-ci du moins, les directeurs des commissions scolaires concernés ont fait front commun pour agir contre le groupe qui intimidait le professeur …
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Cyber-intimidation Des élèves de la CSRDN suspendus

Cyber-intimidation - Des élèves de la CSRDN suspendus

© Agence QMI / Archives

Agence QMI
Christian Asselin

SAINT-JÉRÔME – 25 personnes, dont certains élèves de la Commission scolaire Rivière-du-Nord (CSRDN), ont été rencontrées par les policiers mardi après-midi à la suite de la publication d’une page sur Facebook qui encourageait la violence envers les professeurs.

Selon les informations obtenues, la page Facebook, qui a été retirée, a incité les internautes à donner un mauvais parti à leur professeur à une date et une heure précise, soit le vendredi 14 octobre à 13 h. L’investigateur serait un élève de l’école secondaire des Haut-Sommet de Saint-Jérôme.

«C’est inacceptable, a déclaré Nadyne Brochu, conseillère en communication à la CSRDN. Pour nous, c’est tolérance zéro face à la cyber-intimidation. Les élèves impliqués qui fréquentent notre commission scolaire ont été interpellés et suspendus», a-t-elle précisé, avant d’ajouter que les directeurs de toutes les écoles concernées se sont mobilisés afin de mettre en place les mesures nécessaires d’intervention.

«Les élèves devront suivre, en compagnie de leurs parents, une formation donnée par les policiers. S’ils se présentent à cette formation, ils pourront réintégrer leur milieu scolaire.»,a-t-elle précisé.

Les personnes interceptées par les policiers sont celles qui avaient accepté de «devenir ami» avec l’événement créé sur Facebook. Elles proviennent de Saint-Jérôme, mais aussi d’ailleurs dans les Laurentides et des régions de Laval et Lanaudière. Certains amis de l’événement sont des étudiants du secondaire ou du cégep alors que d’autres ne sont plus aux études. Parmi eux, on retrouve un élève du premier cycle du secondaire.

«On souhaite que nos élèves apprennent de leurs erreurs. C’est pour cette raison que les interventions sont axées sur la prévention plutôt que la répression. Nous aurons plus de chances de les atteindre ainsi», a conclut Mme Brochu.

Les profs de la CSRDN en sécurité

Le journal de Montréal titrait en une de son édition du lundi 17 octobre «Des centaines de profs agressés». On y a faisait entre autres état des centaines d’enseignants du secondaire, à Montréal, en Montérégie et dans la région de Québec, qui sont victimes chaque année d’actes de violence par leurs élèves. Certains de ces actes ont même été commis par des élèves du primaire.

Bien qu’aucune statistique n’ait été compilée dans les Laurentides à cet effet, le président du syndicat des enseignants à la CSRDN, Jean Dumais, s’est fait rassurant.

«Il est certain qu’il arrive parfois que nos professeurs soient victimes de violence, mais je n’ai pas d’épisodes particuliers en tête.»,a-t-il dit. Il a ajouté qu’un professeur d’une école secondaire de Saint-Jérôme avait été victime de cyber-intimidation il y a deux ans et qu’il avait simplement été changé d’école. Les choses ont donc bien changé.

«Le professeur était menacé de mort. Quand la direction de l’école a trouvé l’élève en question, elle ne voulait pas le sanctionner. L’élève a tout simplement été changé d’école. Cette fois, la CSRDN a agit rapidement, preuve que la commission scolaire est consciente de la gravité du geste posé».

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