Des chiens renifleurs découvrent des sépultures vieilles de 3000 ans en Croatie


On le sait que les chiens peuvent être une grande aide dans divers domaines. Sans oublier leur flair qui est d’une très grande utilité. En Croatie, des archéologues ont mené des expériences avec des chiens. Ils devaient trouver des sépultures récemment trouvé, mais les ossements, artefacts et le sol environnant ont été retiré. Ils ont réussi haut le nez !! Plus encore, ils ont même trouvé des tombes datant de 800 ans sur des sites qui n’avaient pas été défrichés.
Nuage
 


Des chiens renifleurs découvrent des sépultures vieilles de 3000 ans en Croatie


Des chiens renifleurs découvrent des sépultures vieilles de 3000 ans en Croatie© Arterra / Getty Images

Par Emeline Férard –

En Croatie, des archéologues proposent une nouvelle technique pour mettre au jour des sites inconnus : faire appel à des chiens renifleurs. Au cours d’une expérience, ces derniers auraient permis de découvrir cinq nouvelles tombes sur un site préhistorique.

L’excellent sens de l’odorat des chiens n’est un secret pour personne. Selon les estimations des scientifiques, leur olfaction présenterait une précision au moins 10.000 fois supérieure à celle des humains. Une supériorité qu’ils doivent notamment à un nombre de récepteurs olfactifs bien plus nombreux (jusqu’à 300 millions) et une aire cérébrale consacrée à l’analyse des odeurs bien plus développée.

Grâce à leur sens, les chiens sont capables de traquer une piste odorante sur de grandes distances et de détecter des produits à la senteur indétectable pour nous. Une capacité devenue un outil particulièrement utile. Les animaux sont aujourd’hui utilisés pour renifler des substances illicites, des explosifs, des victimes de catastrophe, des disparus ou encore, de façon plus expérimentale, des maladies.

C’est toutefois une casquette plus insolite que des archéologues veulent leur confier, celle de renifleurs de sépultures. En Croatie, une équipe a mené une expérience pour mettre à l’épreuve des chiens dans la recherche de restes humains vieux de milliers d’années. Et les résultats publiés dans la revue Journal of Archaeological Method and Theory se sont avérés plutôt concluants.

Quatre chiens à la recherche de tombes

La mission n’est pas totalement inédite pour les chiens. Il existe déjà des individus spécialisés dans la détection de cadavres.

« Les chiens de détection de restes humains (en anglais HRD) sont fréquemment utilisés dans les affaires criminelles », expliquent les auteurs dans leur rapport. « Cependant, ils sont moins fréquemment employés pour détecter des sépultures historiques ».

Au cours de leur expérience menée en 2015, les archéologues ont mis à l’épreuve quatre chiens sur le site funéraire de la colline fortifiée de Drvišica en Croatie. Un an auparavant, des fouilles avaient permis de mettre au jour quelques tombes remontant au VIIIe siècle avant notre ère. Mais l’équipe soupçonnait que d’autres pouvaient se cacher au même endroit.

C’est ainsi qu’ils ont commencé à travailler avec Andrea Pintar, une éthologue spécialisée dans l’utilisation de chiens entrainés à détecter des restes humains. Lorsque les animaux – trois malinois et un berger allemand – sont arrivés sur place, ils ont été conduits là où des sépultures avaient été découvertes. Celles-ci n’étaient toutefois pas visibles et aucune indication de localisation n’avait été fournie à leurs gardiens.

Les chiens ont été capables de découvrir les trois tombes, bien que les restes humains, les artéfacts et le sol environnant aient été retirés Selon Vedrana Glavaš, professeur assistante à l’Université de Zadar et auteur de l’étude, il est probable que la roche poreuse avait absorbé suffisamment d’odeur liée à la décomposition pour que les détectives canins soient encore capable de la détecter.

Dans un second temps, l’équipe a été menée vers une autre zone où aucune découverte n’avait encore été faite mais où la présence de sépultures était soupçonnée. Les chiens ont indiqué plusieurs sites, révélant cinq nouvelles tombes avec des coffres funéraires contenant les os de plusieurs individus. Les restes humains remonteraient à 800 ans avant notre ère mais on ignore tout de l’identité des défunts.

Des détecteurs plus précis et moins destructeurs

Vedrana Glavaš, interrogée par IFLScience, a assuré que c’est la première fois qu’une étude scientifique documente l’utilisation de chiens pour la recherche archéologique sur le terrain. Une méthode qui serait à la fois plus précise, moins destructrice que les techniques traditionnelles et moins coûteuse que les nouvelles technologies comme les lasers.

« Cette méthode est excellente parce que les chiens localisent l’odeur d’un corps humain décomposé, qui est spécifique aux êtres humains. Aucune autre créature ne sent comme un humain », a expliqué la spécialiste à Total Croatia News.

Si par manque de temps et d’argent, tous les sites désignés par les renifleurs n’ont pu être fouillés, d’autres expériences en Croatie et en Allemagne auraient abouti à des succès similaires.

Cette étude « démontre que les chiens HDR représentent un outil précieux pour localiser des sépultures comparé à toutes les méthodes de recherche archéologique non-destructrices », d’après le rapport. Les archéologues pourraient ainsi les utiliser dans des contextes divers, a estimé Vedrana Glavaš pour The Guardian. « Je pense que les chiens pourraient résoudre leurs problèmes ».

https://www.geo.fr

Comment la génétique influence la santé de mon chien ?


    La génétique chez les chiens peut jouer un rôle sur la santé, surtout pour les chiens de race. Alors que les croisements de races réduit de beaucoup les risques de maladies génétiques
    Nuage

     

    Comment la génétique influence la santé de mon chien ?

    Comment la génétique influence la santé de mon chien ?

    Le choix d’un chien commence souvent par le choix de sa race. En effet, chaque race présente des traits de tempéraments spécifiques, et cela peut aider pour choisir un chien qui correspond à son mode de vie. Mais beaucoup de races sont concernées par des maladies issues de leur patrimoine génétique : cela concerne-t-il toutes les races ? Les chiens issus de croisements sont-ils concernés ?

    Depuis les années 90 et la découverte du code génétique, notre compréhension du vivant a fait un progrès considérable, de même que la connaissance médicale. Dans cet article, nous reviendrons sur ce qu’est une maladie génétique, et comment celles-ci peuvent affecter (ou non) votre animal.

    Qu’est-ce qu’une maladie génétique ?

    On désigne par maladie génétique une affection causée par une  anomalie génétique (comme une mutation) sur un ou plusieurs des chromosomes. La maladie peut se déclarer dès la naissance, mais aussi pendant la vie de l’animal. La maladie est dite héréditaire si elle est transmissible à la descendance.

    On trouve donc une grande variété de maladies génétiques, qui diffèrent en fonction du/des gène(s) touché(s) : malformation congénitale, retard de croissance, dégénérescence de certains tissus, etc… Certaines peuvent être mortelles, d’autres sont juste handicapantes. Toutes ne se déclarent pas à la naissance : par exemple, le Cavalier King Charles est une race où plus de 80% des individus développent une maladie cardiaque entre 8 et 12 ans.

    Pourquoi les chiens de races ont-ils plus de maladies d’origine génétique que les chiens croisées ?

    Depuis sa domestication, l’humain sélectionne les chiens dont il a besoin en fonction de leurs critères physiques et comportementaux. Suivant les races et les critères retenus dans le standard, la sélection peut être très rigoureuse : des maladies peuvent apparaître, retenues involontairement dans la génétique de la race.

    C’est le cas pour la coloration « chocolat » du labrador : les labradors chocolats sont plus susceptibles de développer des maladies de peau et d’oreilles, et ont une longévité légèrement inférieure à ceux noirs ou jaunes. Il s’agit d’un cas particulier, où la couleur est ici associée génétiquement à des conditions de santé ou même des maladies.

    Il existe même des races qui sont sélectionnées avec des critères morphologiques impliquant des maladies génétiques :

    • le port du bassin bas chez le Berger Allemand, exigé par son standard de sa race, seraient en cause dans les dysplasies fréquemment observées.

    • les chiens brachycéphales naissent avec un appareil respiratoire réduit et comprimé, dans un but esthétique (le faciès juvénile, c’est-à-dire la face plate, nous attire) : les bruits respiratoires (ronflements) qu’ils expriment toute leur vie sont dus à cet appareil respiratoire écrasé. Ils naissent également avec un squelette fragile au niveau de la colonne, et de gros risques de hernies ou fractures vertébrales.

    • certaines races naines comme le chihuahua ne peuvent plus se reproduire sans assistance humaine : la réduction de la taille n’est pas proportionnée au corps du chien, qui a réduit plus vite que la tête. Si bien que lors de la naissance, la tête des chiots ne peut plus passer le bassin de la mère : les naissances se font donc obligatoirement par césarienne.

      Comment la génétique influence la santé de mon chien ?

      Le standard de la race impose d’avoir un port de bassin bas : il y aurait un lien avec la dysplasie de la hanche fréquente chez les Bergers Allemands.

      Pourquoi les éleveurs n’éliminent pas ces tares génétiques ?

      Il est important de mentionner que le travail de l’éleveur de chiens de race est de maintenir le standard de la race sans sélectionner de maladies génétiques : ce n’est pas un travail facile, à mesure que la connaissance avance.

      Aujourd’hui, de nombreux outils sont à leur disposition pour les aider : des tests génétiques ou des examens de santé précoces permettent de dépister les animaux porteurs, et de les sortir de la reproduction.

      Par exemple, la fameuse mutation MDR1, fréquente chez les colleys (87% en France), et provoquant une intolérance médicamenteuse, est aujourd’hui identifiable par un test génétique abordable : cela permet aux éleveurs de privilégier les chiens non porteurs du gène à la reproduction.

      Cependant, tous les éleveurs ne réalisent pas ce travail consciencieusement : trafic d’animaux, impératifs économiques et coût des analyses, etc… il convient à chaque futur propriétaire de chien de choisir son élevage avec soin, en évitant ceux qui ne présenteraient pas un tel niveau de qualité. Un éleveur passionné par sa race doit la connaître, et il sera à même de vous expliquer les détails sur les maladies génétiques liées à sa race, en toute transparence.

      Comment la génétique influence la santé de mon chien ?

      Les chiens croisés ont-ils moins de maladies que les autres ?

      Le croisement entre deux races permet souvent d’éliminer les maladies génétiques qui étaient présentes chez les deux races, mais cela dépend énormément des croisements et de la maladie surveillée : il peut y avoir des exceptions.

      En effet, le croisement n’empêche pas une maladie génétique de se transmettre. Par contre, il réduit drastiquement la probabilité qu’elle s’exprime : on reconnait les chiens croisés avec moins de problèmes dégénératifs (maladie cardiaque, problème immunitaire,…) ou de naissance, et souvent une longévité supérieure.

      Dr Stéphane Tardif

      Docteur vétérinaire et rédacteur pour Wamiz

      https://wamiz.com/chiens/

      Ce chien blessé se rend seul aux urgences


      C’est toute une histoire pour un chien de 9 mois. Il a été enlevé, abandonné, blessé et grâce à son instinct, il a su ou trouver de l’aide. Et enfin retrouver son maître
      Nuage

       

      Ce chien blessé se rend seul aux urgences

       

      Source: Daily Mail

      En Turquie, un homme a retrouvé son jeune chien à l’hôpital. Blessé, l’animal avait été kidnappé puis abandonné, avant de se rendre par ses propres moyens aux urgences.

      L’histoire aurait pu être tragique, elle se finit finalement bien, grâce au courage et à la perspicacité de Silla. Le jeune berger allemand de 9 mois avait été kidnappé alors que son propriétaire se trouvait au travail.

      Déterminé à tout mettre en œuvre pour le retrouver, le Turc a promis de l’argent (260 euros) à celui ou celle qui retrouverait son animal de compagnie.

      L’appel du propriétaire a eu le mérite de décourager les kidnappeurs, qui se sont rendus compte que le chien était alors impossible à vendre, selon le Daily Mail.

      Ils l’ont donc abandonné dans la rue. En cherchant son domicile, Silla a croisé la route de chiens de rue, qui l’ont attaqué et blessé à la patte arrière.

      Finalement, le courageux chien a continué sa route en passant à côté d’un hôpital. Son instinct l’a fait entrer à l’intérieur du bâtiment, où un médecin a pu le soigner et le rendre à son propriétaire.

      https://www.7sur7.be/

      Le Saviez-Vous ► Les chiens antichars ou les animaux comme arme de guerre


      La stupidité des hommes à faire la guerre n’a aucune limite pour essayer de faire plus de victimes. On sait qu’il y a des enfants-soldats, et aussi des animaux qui ont participer contre leur volonté aux guerres comme la Seconde Guerre mondiale. Les chiens ont été les plus utilisés, mais dans d’autres conflits, ce fut des singes, chauve-souris, pigeons etc … Ces animaux ont souffert et son mort pour une cause qui n’est pas la leur. En plus pour l’efficacité attendu n’était pas un grand succès
      Nuage

       

      Les chiens antichars ou les animaux comme arme de guerre

       

      PAR MARINE GASC

      Les animaux bombes

      Les premiers animaux à avoir été utilisés comme bombe sont apparemment des cochons, et c’est pas tellement des bombes mais on s’en rapproche. Au IIIè siècle avant notre ère, à Mégara, une ville entre Athènes et Corinthe (rien à voir), on enduit des cochons de poix, de pétrole ou de résine et on leur met le feu en direction des ennemis. Les animaux torturés s’agitent et passent entre les pattes des éléphants ennemis. Dans la panique, les géants piétinent les membres de leur propre armée pendant que les cochons mettent le feu. Ambiance… L’armée chinoise a fait la même chose avec des singes qu’ils habillaient de paille. Ensuite ils les trempaient dans de l’huile et paf, une allumette… C’était au XIIème siècle.

      979

      L’époque la plus parlante en terme d’utilisation des animaux comme bombes c’est quand même la Seconde Guerre mondiale… On va pas se le cacher, les mecs ont fait preuve d’inventivité avec les bombes accrochées aux chauves-souris dans le camp américain, ou encore les pigeons mais surtout, les chiens du coté des Soviétiques.

      L’utilisation des chiens par l’URSS

      C’est en 1924 que le Conseil militaire de l’Union Soviétique décide d’autoriser l’utilisation de chiens dans les conflits militaires. Au départ, on leur apprend le sauvetage, les premiers secours, le transfert de communication, le transport de nourriture ou de médicaments mais aussi de blessés sur des traîneaux. C’est dans une école spécialisée de dressage près de Moscou qu’on forme les premiers chiens puis ensuite on ouvre douze autres écoles. C’est dire à quel point on investit dans les chiens de guerre. Cependant, vu que c’est tout nouveau, il n’y a aucun militaire formé comme dresseur de chien, alors l’armée soviétique fait appel à des chasseurs et des entraîneurs de cirque. C’est dans les années 1930 qu’on décide d’utiliser les chiens pour déplacer les mines. Ce sont souvent des bergers allemands, car ils sont faciles à éduquer. En 1935, les premiers chiens antichars sont officiellement intégrés dans l’armée après une formation de plusieurs mois.

      Les chien antichars de la seconde guerre mondiale

      1229064527_preview_1484617708801

      Dans un premier temps, on apprend aux chiens à récupérer leur nourriture située sous des chars blindés, pour cela, rien de mieux que les affamer quelques jours pour que tous leurs sens soient en éveil et qu’ils sachent directement où aller. Ensuite, on leur apprend à s’enfuir après avoir déposé l’explosif. Mais en fait, ça ne marche pas du tout. Les chiens ne comprennent rien, surtout lorsque la cible se déplace, et ils leurs arrivent de revenir vers les maîtres avec le détonateur entre les dents et de faire exploser une partie des entraîneurs.  Alors on change de plan, les chiens ne vont plus déposer les bombes sous les chars et s’enfuir, non, ils vont exploser sous les chars et mourir donc. C’est plus simple à réaliser… Du coup, on créé une sorte de petit sac à dos pour chien dans lequel on glisse les explosifs et un détonateur, souvent un bâton planté de manière verticale sur le dos du chien. Lorsque le chien passe sous le char et que le bâton s’abaisse, la bombe explose. En revanche, il faut apprendre aux chiens à s’adapter à une cible qui bouge mais aussi aux tirs adverses qui font beaucoup de bruits et peuvent les effrayer. C’est pas simple d’apprendre à un chien à courir vers un char ennemi sous les balles des hommes pour se faire exploser la truffe.

      Une efficacité mitigée

      Selon les Soviétiques, l’enrôlement des chiens dans l’armée a permis de grandes victoires… Ils prétendent que les chiens antichars ont détruit jusqu’à trois cent chars allemands et que l’armée ennemie a du faire des changements sur les mitrailleuses des engins afin de pouvoir tuer les chiens, qui sont des cibles plus basses et plus rapides que les hommes. Mais aussi que les Allemands se sont armés de lance-flammes pour arrêter les chiens-mines sans que ce soit efficace car les dobermans, par exemple, ne ralentissent pas leur course malgré les flammes. Selon les Allemands et, ensuite, les experts militaires occidentaux, les chiens-antichars ont surtout causé beaucoup de pagaille jouant de vilains tours aux Soviétiques. D’une part, les chars soviétiques ont des moteurs diesel et les animaux étaient entraînés à récupérer leur nourriture sur les réservoirs, or, les chars allemands ont des moteurs essence, donc les animaux repéraient et attaquaient les chars soviétiques plus que les chars allemands… Ou, étant désorientés et effrayés, les chiens partaient en tous sens et déclenchaient les détonateurs à des endroits peu stratégiques, style dans l’armée soviétique ou dans des arbustes… De nombreuses fois, les maîtres ont du abattre leurs chiens-antichars qui revenaient vers eux afin de ne pas causer trop de dégâts dans les tranchées soviétiques.

      Le déclin de l’utilisation des chiens-antichars dans l’armée soviétique

      F_ww2_sov16

      Il semblerait que plus de 40 000 chiens aient été envoyés au combat pour différentes tâches du coté des Soviétiques et les Allemands se sont servis de cet argument pour discréditer l’armée soviétique qui préfère envoyer des chiens au combat plutôt que de les affronter directement et risquer la mort. En 1942, un grand contingent de chiens antichars a paniqué et forcé le retrait des troupes soviétiques, alors les animaux ont été retirés des combats mais les chiens ont continué à être entraînés jusqu’en 1996 (!!!) pour réaliser des missions antichars…

      Pour soutenir Raconte-moi l’Histoire tu peux acheter le tome 1 ou le 2, mais encore participer à ta guise sur Tipeee

      http://www.racontemoilhistoire.com/

      Ces chiens qui vivent bien malgré leur handicap


      On sait que les produits ménagers vendus dans les magasins ne sont pas inoffensifs. Il semblerait qu’en fait, ils sont plus dangereux pour la santé pulmonaire et les victimes sont surtout des femmes. Pourquoi ? Majoritairement, ce sont les femmes qui font le ménage. Il y a moyen de minimiser les risques, en fabriquant nous-même les produits de nettoyage

      Nuage

       

      Ces chiens qui vivent bien malgré leur handicap

       

      © Facebook – Roo & Penny chicken

      Roo est un petit chihuahua handicapé de naissance. Mais grâce à son chariot à roulette et à Penny la poulette, il vit comme n’importe quel autre toutou !

      Le handicap n’est pas une fin en soi. Si cela vaut pour les humains, c’est aussi vrai pour nos animaux de compagnie : un chien qui a perdu l’usage d’un ou de plusieurs membres n’est plus forcément promis à l’euthanasie et peut très bien s’en sortir… avec un fauteuil roulant !

      Certains maîtres mettent un point d’honneur à ce que leur animal, affaibli mais pas mourant, puisse profiter des années qu’il lui reste à vivre comme n’importe quel autre être humain.

      Alors ils n’hésitent pas à investir des sommes considérables dans un appareillage sur mesure permettant à leur chien de se déplacer même s’il est partiellement invalide.

      En France, il existe de tels appareillages, des « charriots pour chien » créés sur mesure pour rééduquer votre chien à la marche malgré son handicap. C’est le cas du chariot Kerdog.

      Malheureusement, il faut compter plusieurs centaines, voire miliers d’euros pour s’offrir ce petit bijou, et la plupart des maîtres n’en ont pas les moyens.

      Rendons hommage à ces chiens handicapés qui se battent pour vivre comme les autres :

      Buddy le Boxer a perdu l’usage de ses pattes arrières à cause de l’arthrose, une maladie courante chez les grands chiens. Pour son 10ème anniversaire, ses maîtres lui ont offert un chariot pour qu’il profite de la vie à nouveau.

      © handicappedpets.com

      Little Bit est un chien hors du commun. Sauvé par une bonne âme alors qu’il était né d’une portée abandonnée, l’animal n’avait plus de pattes arrières car elles avaient probablement été rongées par un rat. Plus tard, l’animal a sauvé sa maîtresse qui faisait une grave crise d’asthme en prenant le téléphone et en lui mettant dans la main. Il vit aujourd’hui une vie des plus (extra)ordinaires grâce à son chariot.

      chien berger allemand handicap

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Kiya la chienne Berger allemand senior a immédiatement adopté le chariot que son maître attentionné lui a offert. On pouvait sentir l’excitation dans ses yeux.

      chien basset handicap

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Quand Kirby le chien Basset voit sa maîtresse arriver avec son charriot sur mesure, il se penche d’avant en arrière d’excitation. Il s’en sort très bien et n’a aucun problème pour se déplacer avec

      chien handicap dysplasie

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Buster le chien a partiellement perdu la mobilité de ses jambes arrières. Grâce à son appareillage, il peut à nouveau chasser les écureuils et oublie presque qu’il a des roulettes.

      chien teckel handicap

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Jule la chienne Teckel, de nature énergique, a connu une phase de dépression après sa paralysie. Depuis qu’elle a un petit charriot à sa taille, elle a retrouvé la joie de vivre et court comme une folle dans la nature.

      chien teckel paralysé

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Ru Ru le Teckel a accidentellement été paralysé quand un Rottweiler avec qui il jouait lui a marché sur le dos. Il a retrouvé toutes ses capacités grâce à son chariot.

      chien corgi paralysie handicap

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Sandy, la chienne Corgi de 14 ans, a perdu la mobilité à cause d’une myélopathie dégénérative. Avec son petit charriot, elle peut à nouveau marcher et jouer à la balle.

      chien paralysie handicap chariot

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Cody a subitement été paralysé de la taille vers le bassin à l’âge de 8 ans, sans que les médecins ne puissent expliquer pourquoi. Refusant l’euthanasie, ses maîtres ont pris toutes les dispositions pour que le Border collie puisse marcher à nouveau. Aujourd’hui, Cody court comme un lapin !

      chien k9 handicap chariot

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Shadow a travaillé dans la police (k-9) 8 ans durant avec son maître. Avec la vieillesse, il a perdu l’usage de ses pattes arrières, mais son maître n’a pas voulu se résoudre à le voir diminué ainsi. Il ne regrette pas une seconde son investissement.

      chienne handicap chariot

      Photo suivante© handicappedpets.com

      Alors qu’elle était poursuivie par un ours brun, Mandy la chienne a fait une chute qui l’a paralysée de l’arrière-train. Passée proche de l’euthanasie, ses maîtres ont fait tout ce qu’ils ont pu pour lui offrir une nouvelle vie. Elle adore son charriot !

      chien handicap chariot

      Première photo© eddogphotography.com

      La maîtresse de Max, 13 ans, aimerait que son chien soit un modèle d’inspiration pour ceux dont l’animal est vieillissant et perd sa mobilité. Senior, certes, mais Max est comme un jeune chiot quand il est dans son charriot !

      https://wamiz.com

      Des chiens donneurs de sang sollicités


      Comme les êtres humains, le don sang existe aussi chez les chiens, et même sur d’autres animaux. Au Canada, une banque de sang existe pour les cliniques vétérinaires qui en besoin pour sauver une vie de chien
      Nuage

       

      Des chiens donneurs de sang sollicités

       

      PC/JASON FRANSON

      Hans Granholm et son chien Parker.

      Parker, un schnauzer géant croisé, a donné 12 fois en même pas cinq ans!

       

      • Colette Derworiz

      • La Presse canadienne

      Parker n’a pas encore célébré son cinquième anniversaire, mais il donne du sang depuis trois ans déjà.

      Hans Granholm, d’Edmonton, rapporte qu’il en est à son douzième don.

      Ce que l’altruisme de Parker a de particulier, c’est qu’il est un schnauzer géant croisé. Le chien enjoué ne semble voir aucun inconvénient à ses séances de collecte de sang.

      Hans Granholm, son propriétaire, le présente comme un véritable «clown».

      «C’est le seul chien que j’aie rencontré qui sourit réellement, dit-il. Quand on entre, il fait son tour et sourit à toutes les filles et à tous les techniciens.»

      Parker, qui a quatre ans et demi, compte parmi les donneurs réguliers à la clinique NAIT d’Edmonton, qui tente actuellement de recruter plus de chiens comme lui.

      «Notre bassin de donneurs s’est considérablement appauvri», se désole Beth Knight, directrice de laboratoire à la Banque canadienne de sang pour animaux, à Winnipeg.

      Tout don de sang effectué par un chien dans une clinique canadienne est acheminé à la Banque pour des soins vétérinaires. Les transfusions sont destinées aux chiens en convalescence après une chirurgie ou à ceux qui se remettent de maladies comme le cancer.

      Les chats et les autres animaux peuvent également donner du sang, mais il s’agit d’une procédure plus complexe qui n’est pas réalisée dans le cadre de ce programme.

      Les donneurs canins doivent remplir plusieurs exigences, et les cliniques sont plus particulièrement à la recherche de chiens «de nature douce».

      Beth Knight affirme que les cliniques ne posent pas trop de questions personnelles, mais elles s’assurent que les donneurs n’ont pas tendance à mordre.

      Les chiens doivent fournir un petit échantillon de sang pour vérifier s’ils sont eux-mêmes aux prises avec des problèmes de santé, précise Mme Knight.

      «Une fois que le donneur a franchi ces petits obstacles, nous lui donnons un gros câlin et lui demandons de s’étendre sur la table», explique-t-elle.

      Un total de 450 millilitres de sang — le même volume que celui demandé des humains — est prélevé avec une seringue à partir de la veine jugulaire, après que la zone eut été rasée et préparée.

      «Ça prend deux à trois minutes», dit Beth Knight.

      Chaque pitou est différent.

      «Nous avons à la fois le yin et le yang en matière de donneurs, soutient-elle. Certains adorent venir, certains sont contents de partir. D’autres pensent qu’ils vont se faire couper les griffes, alors ils paniquent jusqu’à ce qu’ils aient la grosse aiguille dans leur jugulaire et alors ils relaxent totalement. Ils se disent:  »Oh, c’est ça qu’on est venu faire. »»

      Elle expose que le meilleur ami de l’homme récupère généralement plus vite que lui après un don de sang.

      On dénombre sept principaux groupes sanguins parmi les chiens. Les lévriers, les bergers allemands, les pitbulls et les braques de Weimar ont de meilleures chances d’être des donneurs universels.

      Chaque don peut aider jusqu’à trois autres chiens.

      Les donneurs canidés doivent avoir entre un et huit ans, peser au moins 25 kilogrammes et être à jour dans leur vaccination.

      S’ils en ont un jour besoin, ils peuvent recevoir gratuitement des produits sanguins. Après leur deuxième don, ils ont aussi droit à un bandana, à une médaille et à une puce électronique.

      M. Granholm, qui fait effectuer des dons de sang à ses chiens depuis 2004, exhorte les autres propriétaires à faire de même avec leurs compagnons canins.

      «C’est la même chose qu’un humain qui donne du sang, croit-il. C’est rendre service aux autres.»

      «Ah oui, et il a droit à une gâterie après.»

      http://quebec.huffingtonpost.ca