Inondations: quelques conseils pour prendre soin de votre santé mentale


Plusieurs villes du Québec, sont en mode inondation. C’est difficile pour plusieurs sinistrés. Beaucoup ont dû quitter leur maison en catastrophe. Certain, c’était la deuxième fois en 2 ans. Il y a des gens qui ont vraiment tout perdu, d’autres ont pu regagner leur demeure et ce fut la consternation de tous ces dégâts causés par l’eau. Il y a encore des secteurs que l’eau risques de monter encore .. Car ce n’est pas encore fini, mais la fin approche. En attendant, et même après, beaucoup auront besoin d’une aide morale et physique
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Inondations: quelques conseils pour prendre soin de votre santé mentale

 

NOIPORNPAN VIA GETTY IMAGES

«Se confier, c’est fondamental.»

 

Des milliers de Québécois sont en ce moment dans l’incertitude quant au sort de leur maison et de leurs effets personnels, en raison d’inondations.

De la peur, de la colère, de la tristesse… ce sont toutes «des réactions normales en réponse à une situation anormale», rappelle la directrice du Mouvement santé mentale du Québec, Renée Ouimet.

Voici quelques conseils pour prendre soin de votre santé mentale, si vous êtes durement touchés par cette crue printanière particulièrement pénible.

Le premier conseil (et le plus important) de Renée Ouimet, c’est de parler de ce qu’on vit.

 «Se confier, c’est fondamental», dit-elle.

Et même quand l’eau va redescendre, que les sinistrés pourront regagner leur maison, ce ne sera pas terminé.

«Avoir un réseau social, être bien entouré, c’est vraiment un élément de protection de la santé mentale, donc il faut rester liés», ajoute-t-elle.

S’établir une liste de priorités.

«Dans une période comme celle-là, on a l’impression que tout est une priorité. Et quand on voit toute une montagne de choses à faire, ça peut être épuisant; on ne voit pas le bout.»

Vaut mieux dresser un ordre des priorités et s’attaquer à une seule chose à la fois.

 

S’accorder des petits moments de répit.

«Trop souvent, en souffrance, on oublie de voir les petites choses qui nous font du bien, alors que c’est important», précise Mme Ouimet.

Ce pourrait être aussi simple que de prendre un verre avec un ami ou de jouer aux cartes avec les enfants, illustre-t-elle.

Surveiller attentivement les symptômes liés à l’adrénaline, s’ils ne s’estompent pas au bout de quelques semaines:

maux de tête, douleurs au dos ou à l’estomac, problèmes de sommeil, importante perte d’intérêt pour les activités professionnelles, sociales et familiales, sentiment de culpabilité ou d’échec, difficulté à se concentrer, difficulté à prendre des décisions, pensées suicidaires, sentiment d’alerte depuis des semaines, flash-back, rêves récurrents traumatisants. Si ces symptômes persistent et vous empêchent de fonctionner normalement, consultez un-e médecin, une personne intervenante psychosociale ou un groupe communautaire.

Connaître les ressources autour de soi pour aller chercher de l’aide, au besoin

«Les CISSS ont libéré des gens sur le terrain pour venir en aide à ceux qui en ont besoin, rappelle Renée Ouimet. Vous pouvez composer le 811 et demander quelle est l’aide offerte dans votre région.»

Êtes-vous dans une situation de crise? Besoin d’aide? Si vous êtes au Canada, trouvez des références web et des lignes téléphoniques ouvertes 24h par jour dans votre province en cliquant sur ce lien.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Peut-on vraiment dépenser son argent comme on veut?


Je n’ai aucun problème avec les gens qui ont des voitures de luxe, ou autre chose qui coûte une fortune. C’est leur argent, ils peuvent faire ce qu’ils veulent. Ce qui est plus choquant par contre, c’est ceux qui se croient mieux que les autres parce qu’ils ont des objets plus chers et plus luxueux. Cependant, ces gens pourraient beaucoup à des organismes d’aide ou encore à la recherche en ayant quelque chose d’utile et plus durable comme l’exemple d’un étui pour le téléphone incrusté de diamants.
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Peut-on vraiment dépenser son argent comme on veut?

 

L'étui de téléphone incrusté de diamants de Drake... (PHOTO TIRÉE DE FACEBOOK)

L’étui de téléphone incrusté de diamants de Drake

PHOTO TIRÉE DE FACEBOOK

OLIVIA LÉVY
La Presse

Le chanteur Drake a dépensé 400 000 $US pour un étui d’iPhone incrusté de diamants. Franck Ribéry, le joueur de soccer vedette du Bayern de Munich, a créé une polémique en exhibant au jour de l’An sur les réseaux sociaux une côte de boeuf, recouverte de feuilles d’or, hors de prix.

 Est-ce indécent? Peut-on vraiment dépenser son argent comme on l’entend?

Et si votre meilleur ami achetait une Porsche flamboyante ou s’offrait un voyage luxueux? Vous le jugeriez? Pourquoi?

«Oui, on peut faire ce qu’on veut avec notre argent, mais il faut vivre avec le jugement des autres et on juge beaucoup, moi le premier, car je suis conseiller financier!», lance Michel-Olivier Marcoux, qui confie qu’il voit beaucoup de gens qui vivent au-dessus de leurs moyens, d’où le jugement sur leurs dépenses.

Il pense aussi que la jalousie ou l’envie teintent parfois les jugements.

Pour l’homme d’affaires et ex-dragon François Lambert, avoir de l’argent est une chose, mais l’exhiber en est une autre.

«Il y a des choses qui ne se font pas, surtout au Québec. Tu ne peux pas flasher avec ton argent, montrer en quelque sorte que tu es meilleur. Manger une côte de boeuf en or, c’est vouloir montrer qu’on est supérieur. C’est ça, le problème, et c’est une erreur de l’exposer sur les réseaux sociaux.»

Hélène Belleau, professeure à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), estime que l’argent est un révélateur

«Ce qu’on juge, ce sont les choix que nous faisons, car l’argent est derrière tout et il est révélateur de notre mode de vie, de notre façon de la concevoir, de nos valeurs et priorités. Dans notre société, dès qu’une personne sort de la norme, on va la juger et vouloir la remettre dans le droit chemin. Est-ce l’argent qui choque ou le fait de sortir du cadre?», s’interroge-t-elle.

Ce qui choque souvent, ce sont les dépenses extravagantes.

«Dans l’absolu, chacun devrait pouvoir dépenser et investir son argent comme il l’entend», pense Geneviève Krebs, coach et auteure du livre Et si tout me réussissait. «C’est lorsque les comportements viennent heurter la morale que cela pose un problème éthique, dit-elle. Ce n’est pas tant le fait d’avoir beaucoup d’argent qui est montré du doigt, c’est ce qu’on en fait, surtout lorsque les choix frôlent le gaspillage, le non-sens, la provocation. La somme investie est jugée comme « inutile » et « choquante », alors qu’elle pourrait soutenir des causes comme la recherche médicale ou les actions qui oeuvrent pour que tout individu puisse se nourrir à sa faim.»

Pour François Lambert, tout est une question de perception.

«Guy Laliberté qui s’offre un voyage dans l’espace, ça passe, mais ça ne passe plus quand il demande un crédit d’impôt! Il a perdu son capital de sympathie. La limite avec l’argent est toujours très sensible, et pas toujours rationnelle», dit-il.

L’homme d’affaires cite en exemple le fait qu’il possède une Lamborghini.

«Je pourrais aller dans les soirées, la montrer et être le gars au-dessus de ses affaires, mais je préfère m’en servir pour les bonnes causes, notamment pour les enfants parce que c’était mon rêve depuis que je suis tout petit d’avoir une Lamborghini. Ça, honnêtement, les gens n’ont pas de problème quand je m’affiche de cette façon, je le vois bien.»

Le choix de la voiture est un sujet qui touche une corde sensible quand il s’agit de dépenser (ou pas) de l’argent. Et il faut assumer les choix plus flamboyants.

«Il y a tellement de gens qui jugent! Il faut prendre en considération l’image que projettent certaines marques d’automobiles comme Porsche ou Mercedes, souligne le conseiller financier Michel-Olivier Marcoux. Certains veulent se faire remarquer, d’autres veulent rester discrets mais une marque comme Porsche peut avoir une image négative auprès des employés et des clients.»

François Lambert pense qu’au Québec, il existe, à tort, encore cette mentalité de ne pas vouloir acheter une voiture trop luxueuse, surtout quand on est entrepreneur ou chef d’entreprise.

«La raison? Pour que les employés ne demandent pas d’augmentation de salaire! Parce que si le patron s’est acheté une grosse voiture, ils vont penser qu’il roule sur l’or et demanderont une augmentation! C’est ridicule! Les employés devraient être fiers de la réussite du patron, car ils font aussi partie de l’entreprise!»

L’argent est encore tabou, on en parle peu.

«C’est lié à notre passé religieux et à la figure avare de Séraphin qui est très présente», estime Hélène Belleau, auteure de L’amour et l’argent. «Dans un couple, vous savez, beaucoup de gens gèrent séparément leur budget pour éviter que le conjoint ait son mot à dire sur les dépenses de l’autre, parce qu’ils les jugent et n’ont pas les mêmes priorités. Alors pour les dépenses plus extravagantes, certains ne les font pas ou alors les cachent!»

Michel-Olivier Marcoux pense que la relation que nous avons avec l’argent est en train de changer

. «J’ai 29 ans, et avec les gens de mon âge, on parle ouvertement de nos salaires, on est décomplexés. Pour nous, avoir de l’argent, c’est avoir la liberté de pouvoir réaliser nos rêves. On ne voit pas ça de manière négative.»

https://www.lapresse.ca//

Les enfants


Avec des enfants, ou petits-enfants on ne peut pas tout prévoir, il faut lâcher prise de temps à autre
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Les enfants

 

Les mômes existent pour nous rappeler que les priorités ne sont pas toujours celles qu’on croit. Même si c’est parfois difficile, ils remettent de l’ordre dans nos existences.

Franck Thilliez

Combien ça coûte


On s’inquiète de la surpopulation, on voit des gens avec peu ou sans ressources pour vivre, alors qu’on voit des milliards dépenser dans l’armement, les guerres. Pourquoi, il est si difficile de faire ce qui est nécessaire
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Combien ça coûte

 

Combien ça coûterait de nourrir le monde?
Moins cher que de le bombarder…

On a pas d’argent pour nourrir chaque être humain et lui prodiguer les soins nécessaires ainsi qu’un logement et satisfaire les besoins de chacun mais dépenser des fortunes pour s’entretuer, ça on trouve facilement de l’argent…

Tout n’est que question de priorités !

Louis Berger

Sa propre nature


Avant de regarder ailleurs, nous devons d’abord connaitre nos propres défauts et apprendre a mieux cernés nos points positifs et les mettre en valeurs
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Sa propre nature

 

L’homme se trompe de combat, il ne doit pas se battre avec la nature mais avec sa propre nature. Combattre son égoïsme, son égocentrisme, arrêter de vouloir dominer les autres et la nature et pouvoir se dominer soi-même.
Revoir ses priorités et retrouver le bon sens sont des priorités!

Louis Berger

Les priorités


On remet souvent à demain mais souvent demain il y a des imprévus ou de la paresse qu’on remet encore et encore plus loin dans le temps. Mais qui dit qu’un jour le temps sera une questions de jours, ou d’heure voir même de minutes
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Les priorités

 

On se dit qu’on a le temps, que les choses viendront quand ce sera le bon moment. Mais quand ta vie devient un compte à rebours, tu réfléchis différemment. Tout est remis en perspective et, devant l’urgence, les priorités changent.

Gilles Legardinier

Priorité


Ca ne sert a rien de tout donner a ceux qui nous regarde de haut, nous serons jamais assez bien pour eux .. donc c’est vraiment du temps perdu alors qu’il y a d’autres qui nous acceptent tel que nous sommes
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Priorité

 

 

L’expérience nous apprend qu’il faut donner priorité aux rares personnes capables de nous apprécier tels que nous sommes.

Gail Godwin

CE QUE L’ARGENT RÉVÈLE DE VOTRE PERSONNALITÉ…


Le rapport que nous avons avec l’argent peut définir notre personnalité. Certains y voient comme un outil alors que d’autres pensent que c’est la seule option pour apporter le bonheur
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CE QUE L’ARGENT RÉVÈLE DE VOTRE PERSONNALITÉ…

 

Ce que l’argent révèle de votre personnalité…

    La manière dont vous gérez ou utilisez votre argent révèle votre personnalité.

    Elle révèle vos peurs, vos priorités ou simplement votre manière de fonctionner…

    Voici un petit décodage de différentes attitudes face à l’argent.

    J’économise et j’ai toujours quelques réserves

    Antoine aime avoir un peu d’avance, de marge comme il dit, sur son compte en banque.

    Cette attitude peut révéler une peur de manquer. Être à zéro sur votre compte l’angoisserait et avoir un matelas de sécurité le tranquillise. La peur de manquer l’incite à économiser pour se sentir bien. Cette attitude est saine, car la sécurité est un besoin de base qui permet à chacun d’entre nous de se sentir bien !

    Économiser et avoir des réserves peut aussi être signe que l’on sait profiter de la vie. Car tout dépend de l’usage de ces réserves. Si, quand elles sont un peu élevées, cela vous permet de vous offrir ce dont vous rêvez, un voyage, un bel objet… Alors, vous êtes en équilibre. Si au contraire, plus cette épargne monte et plus vous êtes tranquille, sans jamais y toucher, attention, l’argent est anti-angoisse, mais pas source de plaisir comme il le pourrait. C’est dommage pour vous !

    J’économise beaucoup, je dépense le moins possible

    Joëlle se sent économe, les autres la trouvent peut-être avare ! Elle compare les prix partout, possède une vieille voiture, et un logement bien plus petit que ce qu’elle pourrait s’offrir. Elle choisit l’assurance la moins chère, et l’abonnement de téléphone, de gaz, d’électricité les plus économiques. Elle isole son logement, dans le but d’économiser. Tout est calculé. Et chaque euro dépensé a tendance à lui faire mal au cœur.

    L’argent prend trop de place dans sa vie

    Trop d’avarice financière est souvent corrélé à une avarice de cœur. Cette personne ressent une peur de se sentir dépossédée, elle n’aime pas donner, car elle a le sentiment de perdre, voire d’être volée. Si vous connaissez quelqu’un qui a un tel comportement, comprenez que cette personne a certainement un énorme manque de confiance en elle, tout autant qu’un manque affectif. N’ayant pas reçu suffisamment d’affection, se sentant plutôt minable, elle a l’impression de prendre de la valeur en accumulant de l’argent. Un peu comme une personne boulimique a le sentiment que manger beaucoup lui permettra de se sentir mieux. C’est faux bien sûr. Et l’ouverture de cœur lui permettrait d’être plus en relation avec les autres et d’acquérir des liens affectifs qui la combleraient plus que de l’argent. Mais c’est à elle de le réaliser, on ne peut forcer personne à prendre conscience de ses failles…

    Je dépense tout… et je suis dépendant

    Alain dépense beaucoup. Il est toujours à découvert et paye beaucoup d’agios à sa banque. Ne croyez pas qu’il gagne peu. Il est profession libérale, et tout va bien pour lui. Mais il dépense toujours plus qu’il ne gagne. C’est comme si l’argent lui brûlait les doigts. Il n’aime pas en posséder. Pourquoi ? Peut-être qu’il a le sentiment qu’il ne le mérite pas. Peut-être qu’il a besoin de ressentir des angoisses pour se sentir stimulé au point de travailler beaucoup. Car le besoin d’argent est pour lui un moteur. Résultat, il ne travaille pas dans la joie, mais dans le stress. D’ailleurs, il n’aime pas vraiment son métier ! Il faut dire aussi que les parents d’Alain étaient plutôt avares. Alors, son attitude est aussi une réaction par rapport à son enfance. Le problème d’Alain, c’est aussi que son attitude l’infantilise. Il a besoin de son épouse qui elle, a un métier de fonctionnaire, des rentrées stables et qui gère le budget du ménage. Il est très dépendant d’elle pour la gestion et en cas de crise financière grave, ce qui se produit régulièrement. Son attitude avec l’argent révèle donc une immaturité, un sentiment de manque de valeur personnelle, un besoin de stimulant pour travailler, et une désillusion quant à son métier.

    Quand l’argent est un fantasme…

    Cédric explique régulièrement qu’il est en train de créer une boîte. Au début, tout le monde s’intéressait à ses projets. Mais au fil des années, personne ne voit rien venir. Il ne gagne rien, il dépense plutôt en investissements qui n’ont jamais rien rapporté. Sa femme fait bouillir la marmite, et lui court par monts et par vaux pour ses projets mirifiques qui le rendront riche. En attendant, rien à l’horizon. Cédric n’est pas dans la réalité. Il a pourtant fait des études et pourrait trouver un emploi, mais il ne le souhaite pas. Il préfère être un entrepreneur… Sans en avoir la capacité.

    L’attitude de Cédric est pathologique et sa femme commence à menacer de le quitter, car elle en a assez de tout assumer et de lui procurer de l’argent de poche et d’investir dans des projets fumeux. Cette séparation serait peut-être une solution car confronté à des besoins concrets auxquels elle a répondu pendant des années, Cédric serait obligé de faire face à la vraie vie. Dans le cas de Cédric, ses parents l’ont toujours mis sur un piédestal en lui transmettant l’idée qu’il n’était pas comme tout le monde et qu’il aurait un grand destin. Et ce comportement a biaisé sa vision du monde…

    Quand l’argent est un jeu

    Michel n’a jamais eu peur de manquer. « J’ai déjà investi dans deux sociétés qui ont raté. Et une qui a bien réussi. Et bien, je n’ai pas peur de tout réinvestir, et de prendre des risques et c’est ce que je fais ! Pour moi, l’argent me permet de vivre des aventures. Je ne me vois pas tout mettre de côté et aller m’allonger sur la plage. J’avoue que ma femme est salariée, ce qui fait que nous avons une sécurité minimale aussi ! Ça  joue, je le sais… Car les enfants pourraient me rendre moins aventurier ». Le rapport de Michel à l’argent montre une grande confiance en lui. Il ne confond pas argent et valeur personnelle. Il a confiance en lui, car il sait que même sans argent à un moment donné, il se sentira parfaitement capable de rebondir.

    L’argent est pour lui un moyen d’avoir des aventures. Tout en gardant les pieds sur terre au présent (il sait ce qu’il doit à son épouse) et pour le futur (il pense à ses futurs enfants). On pourrait souhaiter à tous et à la société d’avoir plus de personnes comme lui pour leur côté positif et sans doute aussi pour leur action de moteur sur l’économie !

    Et vous, quel est votre rapport à l’argent ?

    Notre relation à l’argent est complexe et dépend donc de notre histoire, de notre environnement, de notre confiance en nous, de nos rêves, de ce que nos parents nous ont transmis ou pas…

    Alors, en vous posant quelques questions, vous pouvez mieux vous comprendre.

  • Avez-vous peur de manquer ?

  • Ou savez-vous que vous vous débrouillerez toujours ?

  • Est-ce important pour vous d’avoir des réserves d’argent, ou pas du tout ?

  • Dépensez-vous sans compter ou êtes-vous économe ?

  • Comment vos parents se comportaient-ils vis-à-vis de l’argent ?

  • Avez-vous des rêves que vous ne réalisez pas et pour lesquels l’argent pourrait vous aider ? Lesquels ?

  • Pourquoi ne les réalisez-vous pas ?

  • Qu’est-ce qui vous en empêche ?

  • Le manque d’argent est-il la vraie raison ?

Vous interroger peut être l’occasion de faire le point pour évoluer au mieux dans cette relation à l’argent.

Article publié par Dr Catherine Solano
Sources : « Cigale ? Fourmi ? Les clés d’une bonne relation à l’argent : Un guide d’auto-coaching pour bien vivre avec son porte-monnaie»,Emilie Devienne, Interéditions 2011. « L’âme de l’argent, transformer sa relation avec l’argent et la vie », Lynne Twist, Editions Ariane, 2004.  « Prenez la responsabilité de vos finances », Nathalie Cariou, Editions Jouvence, 2011.

http://www.e-sante.be

Souffrir de procrastination


Quand on sent le temps nous échapper il serait judicieux de prendre quelques moments pour réfléchir a trouver la bonne méthode pour y remédier
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Souffrir de procrastination

Vous remettez toujours au lendemain ?

Arrivez-vous toujours en retard ?

Vous souffrez de procrastination. Au delà d’une discipline et organisation des priorité, peut-être souffrez-vous de manque de confiance en vous.

Il arrive que ce problème est le reflet de ce mal être. Forcez-vous à arriver à l’heure et vous verrez que cela vous donnera confiance en vous !

Michel Poulaert

Ne pas remettre a demain


La meilleur façon pour ne pas laisser trainer les choses et de faire ce qui est important tout de suite, a la moindre occasion pour éviter d’accumuler nos priorités
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Ne pas remettre a demain

Ne remettez pas au lendemain : prenez le temps de faire ce que vous avez à faire, quitte à faire une liste des priorités et d’accomplir du mieux possible ce qui vous incombe du quotidien. Mais faites-le !

Cela vous donnera confiance en vous parce que vous serez satisfait d’avoir mené à terme une mission et de laisser place à de nouvelles choses

Michel Poulaert