L’homme et la bête


Les animaux sauvages ont beaucoup perdu avec l’être humain, que ce soit le territoire, le respect que certains négligent ou encore le fait que la nourriture attirent des animaux affamés n’aide en rien a vivre en paix avec eux. Heureusement, que d’autres cherchent à protéger et sauver les animaux sauvages
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L’homme et la bête

 

Les êtres humains peuvent parfois éprouver certaines difficultés à partager leur territoire avec les animaux… En voici quelques exemples !

Par Julian Cymbalista-Clapp

Crime

Crédit photo : Thinkstock

Amateurs de grand air, attention : tourmenter des animaux peut se retourner contre vous. Fin juillet dernier, cinq amis observaient un orignal sur le lac Eagle, en Ontario. Au lieu de l’épier à distance, les hommes ont encerclé le cervidé avec leur bateau, et l’un des passagers a sauté sur son dos. Bien que l’animal assiégé ait rapidement réussi à s’échapper, ce ne fut pas le cas des deux frères Weiers, Andrew (le conducteur) et Matthew (le cavalier). Reconnus coupables de violation de la Loi sur la protection du poisson et de la faune, les deux hommes ont été condamnés à un total de 2 500 $ d’amende.

Revanche

Crédit photo : Thinkstock

Les rôles se sont inversés un mois plus tard, lorsqu’un habitant de la banlieue de Stockholm a appelé la police après être tombé sur cinq wapitis en état d’ébriété. Rendus soûls par les pommes fermentées du jardin de l’homme, les intrus bloquaient l’accès à sa maison. L’affrontement avec les forces de l’ordre a été évité puisque le gang de cerfs a pris la poudre d’escampette, mais le propriétaire s’est vu conseiller de nettoyer son jardin s’il voulait éviter de nouvelles visites.

Rédemption

Crédit photo : Thinkstock

L’humanité a gagné un bon point en novembre : deux habitants de Terre-Neuve à l’esprit vif ont secouru un requin échoué, repéré en train de s’étouffer sur un morceau de peau d’orignal. Jeremy Ball, un passant, a arraché l’objet blessant de la gorge du requin, avant de pousser et tirer le poisson de 2,5 m jusqu’à l’eau, avec l’aide d’un certain Derrick Chaulk. Après une courte pause, la créature est retournée dans les l’océan.

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Chevaux maltraités : Le propriétaire pourrait être accusé de négligence


Une jument enceinte trop faible par le manque des besoins primaires, une autre on pourrait appeler cela un viol collectif fait par des étalons, cela n’a aucun bon sens que ces chevaux soient en si mauvaises santé Si ce n’est pas un acte criminel alors c’est quoi !
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Chevaux maltraités

Le propriétaire pourrait être accusé de négligence

 

 

     Le propriétaire pourrait être accusé de négligence

    Crédit photo : Gracieuseté de Sylvain Pitre

    Les chevaux du centre manqueraient de nourriture durant l’hiver, au point de devenir très maigres au printemps. Pour les prochains jours, la SPCA s’est assurée que les bêtes ne manquent ni d’eau ni de nourriture.

Un propriétaire d’une trentaine de chevaux fait l’objet d’une enquête de la SPCA en raison du mauvais traitement réservé aux bêtes.

« Il faut qu’il bouge, et vite », indique Nathalie Bouillé, enquêteur à la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de Montréal.

Mercredi dernier, la SPCA a reçu une plainte au sujet du centre Éco-touristique Retour aux sources, à Huberdeau, dans les Laurentides.

Manque de nourriture et d’eau, sabots en piètre état, maladies, mauvaise gestion du troupeau : plusieurs problèmes sur les conditions de vie des chevaux ont été dénoncés.

Les nourrir en cachette

« Ça n’a aucun sens, ce qui se passe là-bas, confie Sylvain Pitre, celui qui a porté plainte. J’allais nourrir les chevaux en cachette quand je le pouvais. »

Spécialisé dans le domaine équestre, cet homme en a vu de toutes les couleurs jeudi dernier, lors de sa dernière visite.

Après avoir passé plusieurs heures à essayer de relever une jument couchée au sol, le vétérinaire a dû procéder à son euthanasie.

« Elle était trop faible, on ne pouvait rien faire pour elle, raconte-t-il. Quand on l’a mise dans le camion, on a vu qu’elle était enceinte. Ça n’a aucun bon sens. »

Sylvain Pitre souligne aussi qu’une jeune jument a été placée volontairement dans l’enclos des étalons.

« Elle est la seule femelle, et tous les mâles lui passent dessus. Ce sont des viols à répétition, dit-il. Elle a été placée là pour empêcher que les étalons brisent la clôture pour aller rejoindre les autres juments. »

« Certains ont les sabots vraiment maganés et ne pourront plus marcher. C’est vraiment de la négligence », ajoute Chamie Cadorette, de l’Association de protection des chevaux du Québec.

Selon elle, le manque de soins remonte à au moins un an.

« Pour être aussi maigres, ça fait longtemps qu’ils sont négligés. Il y en a six dont la condition est vraiment critique. On va tenter de leur trouver une place en adoption. »

Décompte d’une semaine

Selon la SPCA, les animaux ne sont pas en danger de mort. Or, le propriétaire des bêtes dispose d’environ une semaine pour remédier à la situation.

« Il devra faire voir les chevaux par un vétérinaire, et suivre les recommandations », explique Nathalie Bouillé.

S’il n’effectue pas de changements, la SPCA pourrait à ce moment déposer des accusations de négligence criminelle.

« Il faut prouver l’aspect volontaire. Mais, le compteur est parti. L’eau et la nourriture ne seront pas assez. »

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Parasites: chercher la petite bête


Cette année les signes de printemps est très tôt, malgré les petits gels que nous avons eu tout est arriver avant le temps, même les insectes. Les animaux peuvent être mit donc plus tot en contact avec les méchantes bactéries qui donnent des maladies. Donc a surveillez la santé de vos 4 pattes
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Parasites: chercher la petite bête

 

Un printemps hâtif, comme la météo semble le prévoir cette année, peut contribuer à une éclosion précoce des parasites, nécessitant de rester alerte plus tôt qu’à l’habitude.

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Les parasites qui vivent aux dépens de l’organisme de votre animal de compagnie ne sont jamais les bienvenus et peuvent, outre l’inconfort qu’ils peuvent provoquer, être porteurs de graves maladies.

Au Québec, les chats comme les chiens peuvent être infectés par une multitude de parasites externes (puces, tiques, mites d’oreille, gale, etc., mais aussi internes (vers du coeur, vers plats, vers ronds, toxoplasmose, etc.) que la médecine vétérinaire est maintenant capable de contenir, soigner et prévenir. Un printemps hâtif, comme la météo semble le prévoir cette année, peut contribuer à une éclosion précoce des parasites, nécessitant de rester alerte plus tôt qu’à l’habitude.

Transmissible d’un animal à un autre par une piqûre de moustique, le vers du coeur, doit particulièrement être surveillé. Dans le cadre d’un récent sondage de l’AMVQ, 25 cas ont été déclarés en 2011.

«Les petites larves implantées par la piqûre du moustique se dirigent vers le coeur et forment des vers qui bloquent les artères et le système respiratoire. On a vu apparaître avec le temps doux des maringouins, ce qui est inhabituel pour un mois de mars. Quand arrivent les moustiques, la première chose à laquelle il faut penser, c’est la prévention du vers du coeur. Il y a déjà des cas diagnostiqués, ce qui est anormal à ce temps-ci de l’année, explique Michel Pepin, d.m.v. directeur général de l’Association des médecins vétérinaires en pratique des petits animaux.

Du côté des parasites externes, c’est la tique porteuse de la maladie de Lyme qu’il faut le plus craindre. La Montérégie représente la principale région à risque et la tique est établie ou en cours d’établissement dans au moins trois secteurs: les environs de la rivière Richelieu près de la frontière américaine, la Rive-Sud du fleuve Saint-Laurent entre Châteauguay et Longueuil et les environs des rivières Noire et Yamaska. Au Québec, environ 10% des tiques sont infectées par cette maladie provoquant de graves problèmes d’ordre neurologique et contre laquelle votre animal domestique devrait déjà être vacciné.

«Il y a déjà une vétérinaire qui m’a signalé il y a quelques jours qu’elle avait des cas de tiques. Mais s’il fait très froid dans les prochains jours, on n’en entendra plus parler», précise le docteur Pépin.

Mieux vaut prévenir

Qu’il s’agisse de parasites internes ou externes, la prévention et le traitement doivent être appliqués au cas par cas, selon les conseils de votre vétérinaire. Habituellement, les traitements s’échelonnent du 1er juin au 1er novembre.

En ce qui concerne les parasites externes, le traitement des puces et des tiques peut commencer plus tôt ou même être administré toute l’année. Un brossage régulier pourra aussi permettre de contrôler le pelage de votre chien ou de votre chat

 «Dès qu’il y a des sorties, des contacts avec d’autres animaux dans des parcs à chiens ou des chenils, il faut traiter pour éviter les parasites à la maison», dit le docteur Pépin.

Même précaution pour les parasites internes. Ainsi, un chien qui va en Floride l’hiver avec ses maîtres, devrait obligatoirement être traité.

«De plus, si on vit près de marécages, de la frontière américaine ou dans les Cantons-de-l’Est, il faut être vigilant. L’année dernière, près d’Ormstown, dans un rang d’environ cinq kilomètres, huit chiens ont été diagnostiqués positifs», ajoute-t-il.

Les médicaments actuels ne traitent pas que le vers du coeur, mais aussi l’ensemble des parasites internes beaucoup plus fréquents, une prise de sang annuelle permettra de s’assurer que l’animal n’a pas été affecté au cours des 12 derniers mois.

Ramasser les crottes de son chien peut aussi aider à diminuer les risques de transmission de parasites vivant dans l’intestin des animaux. Surtout que certains sont transmissibles à l’humain…

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Discours du grand chef Seattle


Un discours d’un grand chef amérindien en 1854 qui possédait une grande sagesse et une vision assez précise du futur de l’Amérique du Nord, a vite compris que l’homme blanc ne cherchait que la gloire, la richesse que protéger la nature .. Il avait compris que la Terre ne se laisserait pas faire car elle riposterais un jour ou l’autre …. Au regard d’aujourd’hui, nous pouvons affirmer qu’il avait raison .. Alors qui est plus sauvage que l’autre ?
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Discours du grand chef Seattle

 

 Discours prononcé en 1854 par Seattle (v. 1786-1866), chef des tribus Duwamish et Suquamish, devant le gouverneur Isaac Stevens.
 
Il s’agit de la traduction française de la version anachronique de Ted Perry. Pour plus d’information concernant les désaccords sur l’attribution du discours voir la fin de cette page
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Discours du grand chef Seattle :
 
Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ?
 
L’idée nous paraît étrange. Si nous ne possédons pas la fraîcheur de l’air et le miroitement de l’eau, comment est-ce que vous pouvez les acheter
 
Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple.
 
Chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les bois sombres, chaque clairière et chaque bourdonnement d’insecte sont sacrés dans le souvenir et l’expérience de mon peuple.
 
La sève qui coule dans les arbres transporte les souvenirs de l’homme rouge.
 
Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu’ils vont se promener parmi les étoiles. Nos morts n’oublient jamais cette terre magnifique, car elle est la mère de l’homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos soeurs; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l’homme, tous appartiennent à la même famille.

Aussi lorsque le Grand chef à Washington envoie dire qu’il veut acheter notre terre, demande-t-il beaucoup de nous. Le Grand chef envoie dire qu’il nous réservera un endroit de façon que nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants. Nous considérons donc, votre offre d’acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile. Car cette terre nous est sacrée.
 
Cette eau scintillante qui coule dans les ruisseaux et les rivières n’est pas seulement de l’eau mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous rappeler qu’elle est sacrée et que chaque reflet spectral dans l’eau claire des lacs parle d’événements et de souvenirs de la vie de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père.

Les rivières sont nos frères, elles étanchent notre soif. Les rivières portent nos canoës, et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous rappeler, et l’enseigner à vos enfants, que les rivières sont nos frères et les vôtres, et vous devez désormais montrer pour les rivières la tendresse que vous montreriez pour un frère. Nous savons que l’homme blanc ne comprend pas nos mœurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c’est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la terre ce dont il a besoin. La terre n’est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu’il l’a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l’oubli. Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu’un désert.
 
Il n’y a pas d’endroit paisible dans les villes de l’homme blanc. Pas d’endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps, ou le froissement des ailes d’un insecte. Mais peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas. Le vacarme semble seulement insulter les oreilles. Et quel intérêt y a-t-il à vivre si l’homme ne peut entendre le cri solitaire de l’engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d’un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et ne comprends pas. L’Indien préfère le son doux du vent s’élançant au-dessus de la face d’un étang, et l’odeur du vent lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon.
 
L’air est précieux à l’homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle.
 
La bête, l’arbre, l’homme. Ils partagent tous le même souffle.

 
L’homme blanc ne semble pas remarquer l’air qu’il respire. Comme un homme qui met plusieurs jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l’air nous est précieux, que l’air partage son esprit avec tout ce qu’il fait vivre. Le vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir. Et si nous vous vendons notre terre, vous devez la garder à part et la tenir pour sacrée, comme un endroit où même l’homme blanc peut aller goûter le vent adouci par les fleurs des prés. Nous considérerons donc votre offre d’acheter notre terre. Mais si nous décidons de l’accepter, j’y mettrai une condition : l’homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.
 
Je suis un sauvage et je ne connais pas d’autre façon de vivre.
 
J’ai vu un millier de bisons pourrissant sur la prairie, abandonnés par l’homme blanc qui les avait abattus d’un train qui passait. Je suis un sauvage et ne comprends pas comment le cheval de fer fumant peut être plus important que le bison que nous ne tuons que pour subsister.
 
Qu’est-ce que l’homme sans les bêtes ?. Si toutes les bêtes disparaissaient, l’homme mourrait d’une grande solitude de l’esprit. Car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l’homme. Toutes choses se tiennent.
 
Vous devez apprendre à vos enfants que le sol qu’ils foulent est fait des cendres de nos aïeux. Pour qu’ils respectent la terre, dites à vos enfants qu’elle est enrichie par les vies de notre race. Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes.
 
Nous savons au moins ceci : la terre n’appartient pas à l’homme ; l’homme appartient à la terre. Cela, nous le savons. Toutes choses se tiennent comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses se tiennent.

Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre.
 
Ce n’est pas l’homme qui a tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil. Tout ce qu’il fait à la trame, il le fait à lui-même.
 
Même l’homme blanc, dont le dieu se promène et parle avec lui comme deux amis ensemble, ne peut être dispensé de la destinée commune. Après tout, nous sommes peut-être frères. Nous verrons bien. Il y a une chose que nous savons, et que l’homme blanc découvrira peut-être un jour, c’est que notre dieu est le même dieu. Il se peut que vous pensiez maintenant le posséder comme vous voulez posséder notre terre, mais vous ne pouvez pas. Il est le dieu de l’homme, et sa pitié est égale pour l’homme rouge et le blanc. Cette terre lui est précieuse, et nuire à la terre, c’est accabler de mépris son créateur. Les Blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que toutes les autres tribus. Contaminez votre lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.
 
Mais en mourant vous brillerez avec éclat, ardents de la force du dieu qui vous a amenés jusqu’à cette terre et qui pour quelque dessein particulier vous a fait dominer cette terre et l’homme rouge. Cette destinée est un mystère pour nous, car nous ne comprenons pas lorsque les bisons sont tous massacrés, les chevaux sauvages domptés, les coins secrets de la forêt chargés du fumet de beaucoup d’hommes, et la vue des collines en pleines fleurs ternie par des fils qui parlent.
 
Où est le hallier ? Disparu. Où est l’aigle ? Disparu.
 
La fin de la vie, le début de la survivance.”

 
 
Chef Seattle, 1854

Australie Un crocodile dans son salon


Chez moi, a des temps plus cléments, j’ai souvent la visite de chats du voisinage, histoire de venir voir si c’est meilleur d’un bol de croquettes a un autre .. c’est nettement mieux ces visiteurs qu’un crocodile qui cherche quelque chose dans a se mettre sur la dent
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Australie

Un crocodile dans son salon

 

TVA Nouvelles d’après AFP

Une famille de Darwin, dans le nord de l’Australie, a eu ce week-end la frousse lorsqu’elle a découvert au réveil qu’un crocodile rôdait dans son salon.

La mère, Jo Dodd, a raconté qu’elle avait été alertée samedi matin par les aboiements frénétiques du chien de la famille.

«Nous avons ouvert la porte de notre chambre, nous avons regardé dans notre salon, et il y avait un crocodile», a-t-elle dit.

«C’était totalement étrange. Normalement, vous ne trouvez pas de crocodiles dans votre salon», a-t-elle commenté.

Des gardes forestiers ont capturé la bête qui mesurait 1,70 mètres et l’ont emporté vers un élevage de crocodiles voisin.

Appelé localement «salties», les crocodiles marins, qui peuvent vivre aussi bien dans l’eau douce que dans l’eau salée, sont courants dans le nord de l’Australie. Leurs attaques tuent deux personnes en moyenne chaque année. Ils peuvent atteindre sept mètres de long et peser plus d’une tonne.

Ces crocodiles sont particulièrement actifs en décembre et janvier, pendant l’été austral, et s’aventurent parfois en milieu urbain.

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Upton: le chien qui a sombré avec le petit Maxime repêché


L’histoire de la disparition diverge d’un site de nouvelle a l’autre, car le grand-père a raconter que l’enfant voulait aller patiner sur la glace et a couleur, un chien a voulu aller le rejoindre et lui aussi a couler et son frère a tenter sans succès de le sauver mais a préférer chercher de l’aide qui était la meilleur chose a faire malgré tout. Quoiqu’il en soit l’enfant est toujours rechercher
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Upton: le chien qui a sombré avec le petit Maxime repêché

 

Le chien que le petit Maxime Dion tentait de sauver quand il est tombée dans la rivière Noire a été repêché mercredi matin.

Photo: Patrick Sanfaçon, La Presse

David Santerre

Importante découverte ce matin dans les recherches visant à retrouver le petit Maxime Dion, qui a sombré lundi dans la rivière Noire à Upton, en Montérégie. Le chien qu’il tentait de sauver quand il a coulé a été repêché.

 

Maxime Dion, six ans.

PHOTO FOURNIE PAR LA FAMILLE

Ce sont les deux pompiers de la municipalité d’Acton, qui arpentent à pas de loup la fine couche de glace en aval de la résidence devant laquelle l’enfant a disparu qui, avec leur incroyable vigilance, ont réussi à apercevoir le golden retriever blond à travers la glace, à une centaine de mètres de la maison.

Ils ont pratiqué une incision dans la glace pour sortir le cadavre congelé de la bête.

Cette découverte a ravivé l’ardeur des secouristes qui sont confiants de retrouver l’enfant dans ce secteur de la rivière. L’hélicoptère de la Sûreté du Québec a marqué le point GPS du lieu.

Les secouristes devront faire vite car la fine neige qui tombe couvre la glace, ce qui fait qu’il est plus difficile de voir au travers.

Après une journée et demie infructueuse, les recherches avaient repris ce matin.

Une excavatrice amphibie, communément appelée grenouille, qui sert généralement à défaire les embâcles printanières sur les rivières, devrait être mise à l’eau. Elle servira à casser la glace et l’épaisse couche de gadoue en suspens sous celle-ci pour permettre au corps de l’enfant de remonter à la surface.

Le jeune homme est disparu lundi alors qu’il jouait près du cours d’eau avec son frère de 10 ans. Il aurait tenté d’aller chercher le chien d’un voisin sur la glace, qui a cédé sous son poids.

 

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