Les femmes vikings avaient une place aussi importante que les hommes


Des archéologues se sont penchés sur les ossements des Vikings. Il semble que les femmes fussent égales aux hommes d’après l’émail des dents et de la longueur du fémur. Elles auraient eu autant accès à la nourriture et aux autres ressources du temps.Ce qui n’était pas le cas des autres régions européennes
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Les femmes vikings avaient une place aussi importante que les hommes


femme viking

Thomas Boisson

Contrairement à la vision patriarcale et masculine que renvoie généralement la culture Viking, les femmes auraient eu une place importante dans celle-ci. La société viking a peut-être été un exemple d’égalité des sexes il y a un millénaire, alors que les femmes dans une grande partie de l’Europe n’étaient pas aussi valorisées que leurs homologues masculins.

Une nouvelle recherche soutient que ce point de vue précoce peut avoir contribué à la prospérité des pays scandinaves aujourd’hui.

Utilisant l’archéologie pour retracer l’égalité sanitaire et nutritionnelle des Scandinaves vivant entre le VIIIe et le XIe siècle, des archéologues décrivent dans la revue Economics & Human Biology la manière dont les hommes et les femmes de l’époque viking avaient connu une remarquable égalité, en particulier par rapport aux autres régions européennes privilégiant les hommes.

Des chercheurs de l’université de Tubingen ont analysé les dents et les squelettes de restes scandinaves datant de plusieurs milliers d’années afin de comparer la santé des hommes et des femmes à l’aide des données du projet Histoire globale de la santé en Europe, une base de données à l’échelle continentale comprenant des études sur le squelette humain de plus de 100 sites européens des 2000 dernières années.

Une égalité sanitaire et alimentaire entre femmes et hommes

Ils ont constaté que l’émail dans les dents, ainsi que les longueurs du fémur, étaient relativement égaux chez les hommes et les femmes. Si l’égalité faisait défaut, les archéologues soutiennent que les enfants sous-alimentés ou malades auraient présenté des dommages permanents de l’émail dentaire, une lésion connue sous le nom d’hypoplasie linéaire de l’émail.

Les valeurs relatives à la santé étaient plutôt similaires entre les deux sexes, ce qui signifie que les femmes et les hommes avaient un accès similaire à la nourriture et à d’autres ressources. Ces résultats ont été confirmés par une analyse de la longueur du fémur — les fémurs contiennent des informations sur la taille, et des plus longs peuvent indiquer une bonne santé et une alimentation suffisante.

« De telles femmes dans les pays nordiques ont peut-être mené aux mythes populaires sur les Valkyries : elles étaient fortes, en bonne santé et grandes » explique Jörg Baten, ajoutant que la vie urbaine était différente. Mais la situation dans les villes scandinaves était différente. « Les villes suédoises de Lund et Sigtuna – sur le site de l’actuel Stockholm – et à Trondheim en Norvège, avaient mis au point un système de classes au début du Moyen Âge. Les femmes n’y avaient pas la même égalité que leurs soeurs à la campagne ».

La place sociétale importante des femmes scandinaves

Les chercheurs soutiennent que l’égalité peut avoir été liée au type de travail effectué. La culture était en grande partie perçue comme une tâche masculine, car elle nécessitait « une plus grande force musculaire », mais l’élevage a permis aux femmes de contribuer aux revenus de la famille, améliorant ainsi leur place dans la société.

Les femmes scandinaves étaient généralement plus aisées que les femmes des autres régions européennes, en particulier des villes méditerranéennes et d’Europe orientale, et elles ont pu conserver leur place dans la société depuis 1000 ans, dans l’ère industrielle et au-delà. Les chercheurs soutiennent que c’est la raison pour laquelle la Norvège, le Danemark, la Suède et la Finlande occupent une place si importante aujourd’hui en termes d’éducation, de santé, de prospérité économique et d’espérance de vie.

Sources : Economics and Human Biology

https://trustmyscience.com/

Ces hommes qui se nourrissent uniquement de pâtes, burgers et pizzas


Notre alimentation évolue avec les années, de la purée au solide, les goûts se développent. Pourtant, il y a des personnes, surtout des hommes qui demeurent au même stade alimentaire quand ils étaient petits. Ils ne mangent ce qu’ils connaissent et éliminent surtout les légumes, car comme on le sait, les légumes et beaucoup de tout-petits ne font pas toujours bon ménage. Et pour ajouter aux problèmes, avec tout ce qui est vendu pour satisfaire au palais des enfants, ce n’est pas des produits très bons pour la santé.
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Ces hommes qui se nourrissent uniquement de pâtes, burgers et pizzas


Certains hommes n'ont jamais mangé de légumes lorsqu'ils étaient petits et ne voient pas l'intérêt de le faire aujourd'hui. | Oliver Sjöström via Unsplash

Certains hommes n’ont jamais mangé de légumes lorsqu’ils étaient petits et ne voient pas l’intérêt de le faire aujourd’hui. | Oliver Sjöström via Unsplash

Repéré par Odile Romelot

Repéré sur Mel Magazine

Pourtant adultes, ils ne dépassent jamais le stade du Happy Meal.


Bruce, originaire de Pennsylvanie, est l’opposé parfait d’Alain Passard. Contrairement au chef étoilé, il se targue de n’avoir jamais mangé un seul légume de sa vie. Même quand sa mère assure qu’elle l’a nourri de purée de petits pois lorsqu’il était bébé, il nie. La preuve, il s’étouffe s’il essaie d’avaler des légumes.

Alors Bruce mange du poulet, beaucoup de poulet. Ou des mac and cheese. Ou encore des bagels, des céréales, des pizzas. Et deux fois par semaine, petit plaisir: dix McNuggets et des frites, le tout copieusement arrosé de Coca-cola zéro. Le problème? Bruce a 56 ans et son régime alimentaire est le même depuis qu’il est enfant.

Selon Nancy Rucker, directrice du Duke Center for Eating Disorders, Bruce n’est pas le seul, loin de là, dans ce cas. Elle explique que sur un échantillon de 2.600 personnes se considérant comme des fines bouches, 75% déclarent que leur comportement a commencé dès l’enfance.

Aujourd’hui, lorsque Bruce commande son plat habituel au restaurant, spaghettis et boulettes de viande, il ne panique plus à la vue d’éventuels légumes dans la sauce. Mais il les exclut quand même méthodiquement, par crainte d’infecter le reste de l’assiette.

«Je les mets de côté et continue mon repas», raconte-t-il, tout en reconnaissant que c’est «étrange d’avoir 56 ans et d’entasser tous ces trucs sur le bord de l’assiette».

Habitudes enracinées

Normalement, avec l’âge, les gens abandonnent naturellement le régime alimentaire enfantin, indique David Wiss, un diététicien de Los Angeles.

«Mais beaucoup de gens sont piégés dans une version d’eux-mêmes vieille de 10 ans et n’atteignent jamais l’âge adulte nutritionnel», poursuit-il.

Selon lui, c’est plus souvent le cas chez les hommes, car «traditionnellement, les femmes ont été les gardiennes de la famille et sont plus susceptibles d’adopter un comportement nutritionnel spécifique».

Ally peut le confirmer. Elle a constaté qu’à 28 ans, son petit copain Brad continuait de «manger comme un enfant de 7 ans»: steaks, pâtes, burgers et bagels pizza, accompagnés de lait chocolaté. Brad n’a jamais fait l’effort de goûter les aliments qu’il n’aimait pas lorsqu’il avait 7 ans. Mais lorsqu’Ally le convainc d’essayer, cela fonctionne la plupart du temps, à la surprise de Brad.

Opter pour des alternatives plus saines peut toutefois être un véritable combat pour le mangeur difficile dont les habitudes alimentaires restrictives sont profondément enracinées.

Les aliments ultra transformés, colorés et assaisonnés procurent plus de plaisir que «les aliments entiers, [qui] demandent beaucoup de travail et libèrent moins de dopamine dans le cerveau», détaille David Wiss.

Parfois, le corps est même incapable de décomposer des aliments entiers non transformés (comme les lentilles), parce qu’il ne l’a jamais fait.

Les risques sur la santé sont évidents. Pourtant, peu d’hommes reconnaissent souffrir d’un trouble de l’alimentation. Ils considèrent plutôt que manger ce qu’ils veulent leur permet de s’affirmer en tant qu’individu libre de ses choix. Seulement, lorsque les conséquences de ces choix commencent à apparaître sur leurs corps, ils sont un peu désemparés.

http://www.slate.fr/

Cancer du sein, les hommes aussi


Même si le cancer du sein est moins de 1 % chez les hommes, il peut s’avérer utile de faire un dépistage. Cependant, il y est important de surveiller les signes qui sont les mêmes que les femmes.
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Cancer du sein, les hommes aussi


marstockphoto/Shutterstock.com

Les cancers du sein sont généralement considérés comme des cancers exclusivement féminins. Les hommes peuvent pourtant aussi être touchés. Ils ne doivent donc pas négliger les symptômes.

Moins de 1% des cancers du sein affectent les hommes. Ces messieurs doivent pourtant savoir qu’ils peuvent être concernés.

Comme pour les femmes, certains facteurs de risque exposent les hommes au cancer du sein. Il peut s’agir de l’âge (les plus de 60 ans sont ainsi plus exposés), d’antécédents familiaux, d’une prédisposition génétique (liée à la mutation du gène BRCA2), d’une exposition aux rayonnements (en particulier du thorax) ou encore d’une cirrhose du foie qui peut augmenter le taux d’œstrogène et baisser le taux d’androgènes.

D’autres facteurs peuvent être liés à la survenue de ce type de cancer chez l’homme. Mais devant le manque de preuves scientifiques, la prudence reste de mise. La gynécomastie, c’est-à-dire le développement exagéré des seins chez l’homme, l’obésité ou la consommation d’alcool ont ainsi déjà été pointés du doigt.

Les mêmes symptômes que chez la femme

La rareté et le caractère généralement indolore de la maladie retardent souvent le diagnostic. Les hommes doivent donc être attentifs à leurs seins pour repérer la tumeur le plus rapidement possible. Tout changement doit vous conduire à consulter. Le signe le plus fréquent du cancer du sein chez l’homme est une masse indolore, habituellement située près du mamelon ou en-dessous. Un écoulement ou saignement du mamelon, un mamelon qui pointe soudainement vers l’intérieur, une douleur ou enflure au sein ou encore une masse à l’aisselle sont autant d’autres signes évocateurs.

Sachez enfin que l’évolution de la maladie et les traitements proposés aux hommes sont les mêmes que pour un cancer féminin.

Adapter les directives de dépistage aux hommes ?

Une étude américaine vient de montrer qu’un programme de dépistage du cancer du sein chez les hommes à risque était tout à fait pertinent. Dans la mesure où les hommes sont dépistés à un stade avancé de la maladie, une mammographie de contrôle permettrait une prise en charge précoce.

  • Source : Institut national du cancer, consulté le 18 septembre 2019

  • Ecrit par : Vincent Roche – Edité par : Emmanuel Ducreuzet

https://destinationsante.com/

Ne faire qu’un


L’être humain comprendra-t-il un jour qu’il n’est nullement supérieur à la nature ? Déjà, qu’il est sourd aux signes du temps, que la nature prend maintenant des moyens drastiques pour lui faire entendre raison
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Ne faire qu’un

 

L’Homme et la Nature ne font qu’un. Protéger la nature, c’est préserver l’avenir de l’homme

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Le cerveau des femmes est “plus jeune” que celui des hommes au même âge


Les chercheurs ne savent pas trop pourquoi, mais il semble que le cerveau des femmes sont environs 3 ans plus jeunes que les hommes en comparant aux mêmes âges chronologiques
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Le cerveau des femmes est “plus jeune” que celui des hommes au même âge

 

cerveau

 

Le cerveau des femmes plus jeune que celui des hommes au même âge ? Crédits : Flickr/affen ajlfe

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Une récente étude suggère que le cerveau des femmes est plus jeune de quasiment trois ans que celui des hommes au même âge chronologique. Cela pourrait notamment expliquer les différences de déclins cognitifs observés entre les deux sexes passés 60 ans.

Les modifications du cerveau liées à l’âge semblent s’opérer plus lentement chez les femmes que chez les hommes. C’est du moins la conclusion d’une étude menée par des chercheurs de la Washington University School of Medicine de Saint-Louis, aux États-Unis. Au même âge chronologique – nombre d’années écoulées depuis la naissance – le cerveau des femmes semble en moyenne plus jeune de quasiment trois ans comparés à celui des hommes, du point de vue métabolique. Les détails de l’étude sont publiés dans les Actes de la National Academy of Sciences.

« Nous commençons à comprendre comment divers facteurs liés au sexe pourraient affecter la trajectoire du vieillissement cérébral, et comment cela pourrait influer sur la vulnérabilité du cerveau face aux maladies neurodégénératives, explique Manu Goyal, principal auteur de l’étude. Le métabolisme cérébral pourrait nous aider à comprendre certaines des différences que nous constatons entre les hommes et les femmes à mesure qu’ils vieillissent ».

Cerveaux “plus jeunes”

Notre cerveau carbure au glucose (sucre de la famille des glucides), mais la façon dont le il sirote ce carburant évolue à mesure que nous prenons de l’âge. Les enfants, par exemple, utilisent une très grande partie de ce sucre pour favoriser le développement et la maturation du cerveau (glycolyse aérobie). Dès l’adolescence en revanche, et plus nous prenons de l’âge, moins le cerveau consacre de sucre à la glycolyse aérobie. Cette fraction diminue progressivement à mesure que l’on vieillit, et finit par se stabiliser à des quantités faibles à partir de 60 ans environ.

Il existe donc des différences de métabolisme cérébral selon les âges, mais observe-t-on également des changements selon les sexes ? Pour le savoir, les chercheurs se sont penchés sur 205 personnes – 121 femmes et 84 hommes – âgées de 20 à 82 ans.

L’idée consistait ici à mesurer le flux d’oxygène et de glucose dans le cerveau des participants, dans le but d’évaluer la fraction de sucre engagée dans la glycolyse aérobie. Les chercheurs ont ensuite formé un algorithme d’apprentissage automatique pour trouver une relation entre l’âge des personnes et leur métabolisme cérébral. L’ordinateur pouvait alors prédire l’âge chronologique d’une personne en fonction de “l’âge métabolique” de son cerveau.

Près de trois ans d’écart

Les chercheurs ont alors formé l’algorithme en utilisant uniquement les données d’âge et de métabolisme cérébral des hommes. Ils ont ensuite saisi les données des femmes dans cet algorithme pour estimer leur âge métabolique. Il en ressort alors que, entraîné sur les données des hommes, l’algorithme donnait des âges métaboliques du cerveau féminin de 3,8 ans plus jeunes que leur âge chronologique. Inversement : basé sur les données des femmes, l’algorithme a pu estimer l’âge cérébral des hommes. Le cerveau de ces messieurs était alors environ 2,4 ans plus vieux que leur âge chronologique.

« Ce n’est pas que les cerveaux des hommes vieillissent plus vite, ils arrivent simplement à l’âge adulte avec environ trois ans de plus que les femmes, explique le chercheur. Ce que nous ignorons, c’est ce que cela signifie ».

Les chercheurs suggèrent néanmoins qu’un métabolisme cérébral plus jeune pourrait expliquer pourquoi les femmes âgées ont tendance à obtenir de meilleurs résultats que les hommes du même âge aux tests cognitifs passé 60 ans.

« Nous travaillons actuellement sur une étude visant à confirmer cela ».

Source

https://sciencepost.fr

Les hommes et femmes ne se rappellent pas de la douleur de la même manière


On dit que la femme est plus sensible à la douleur, mais en comparaison aux hommes elles ne gardent pas le même souvenir qu’eux. Une chance, sinon, on ne voudrait pas revivre l’accouchement plusieurs fois. Enfin, c’est surtout pour la douleur chronique que cette étude peut-être intéressante pour mieux cibler les traitements.
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Les hommes et femmes ne se rappellent pas de la douleur de la même manière

 

Les hommes et les femmes ne se rappelleraient pas de leur douleur passée de la... (Photo fournie par Getty Images)

PHOTO FOURNIE PAR GETTY IMAGES

 

STÉPHANIE MARIN
La Presse Canadienne
Montréal

Les hommes et les femmes ne se rappelleraient pas de leur douleur passée de la même manière, et l’anticipation de la douleur rend les mâles plus sensibles aux prochaines expériences douloureuses similaires, révèle une récente étude dirigée par des chercheurs basés à Montréal et Toronto.

La raison ? Les hommes se souviennent plus clairement que les femmes de la douleur qu’ils ont ressentie dans le passé.

Ce résultat a été une surprise pour les chercheurs car il est bien connu, disent-ils, que les femmes sont plus sensibles à la douleur que les hommes, et aussi qu’elles sont généralement plus stressées. Bref, de voir que les hommes réagissaient plus dans le cadre de l’étude a été une découverte étonnante pour eux.

Ces travaux ont été réalisés alors que les scientifiques croient de plus en plus que l’un des facteurs importants de la douleur chronique semble être le souvenir de la douleur antérieure.

L’équipe menée par des chercheurs de l’Université McGill à Montréal et de l’Université de Toronto a publié ses résultats jeudi dans la revue scientifique Current Biology.

Leur étude, menée sur des humains et des souris, suggère qu’il y aurait des variations, basées sur le sexe, de la façon dont l’on se souvient de la douleur.

Parce que les hommes se souvenaient plus de leur douleur passée, ils étaient plus stressés dans le cadre de l’étude, et hypersensibles à la douleur subséquente causée au même endroit où elle avait été ressentie la première fois. Les femmes – et les souris femelles – ne semblaient pas stressées par leurs expériences antérieures de douleur, a expliqué en entrevue téléphonique Jeffrey Mogil, professeur au département de psychologie de l’Université McGill et l’un des auteurs de la recherche.

Mais pour l’instant leurs découvertes sont limitées à un contexte où une douleur subséquente a été appliquée au même endroit que la première, dans un laps de temps relativement court. On ne parle donc pas d’une cheville cassée et d’un coup de poing au visage le mois suivant: il faudra plus de recherches pour extrapoler les résultats de cette façon.

Quant à l’intérêt de cette recherche, les chercheurs estiment que les résultats obtenus pourraient éventuellement aider à développer des traitements pour la douleur chronique, qui afflige de très nombreuses personnes. De plus, le fait de confirmer qu’il y a une autre différence entre les hommes et les femmes sur la façon de ressentir la douleur permettra de mieux cibler les soins à leur offrir.

https://www.lapresse.ca/

Homme et Nature


C’est l’erreur que l’humain a faite, croire qu’il pouvait maîtriser la nature alors qu’il doit s’unir avec elle. Et cette erreur laisse craindre un avenir difficile non pas pour la nature, mais bien pour l’homme.
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Homme et Nature

 

 

L’homme et la nature ne font qu’un. Protéger la nature, c’est préserver l’avenir de l’homme

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Elle verse de l’eau de Javel sur les hommes qui prennent trop de place


Une étudiante russe part en guerre contre les hommes qui prennent trop de place dans les transports en commun. Il est vrai que ces hommes auraient vraiment avantage de se serrer les jambes et respecter l’espace des autres. Cependant, jeter de l’eau de javel sur ces hommes me parait vraiment stupide et dangereux. Je crois que c’est vraiment que c’est question d’éducation et qu’il faut rappeler à l’homme un meilleur maintient.
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Elle verse de l’eau de Javel sur les hommes qui prennent trop de place

 

L:e Saviez-Vous ► Homme vs animal : qui est le plus fort ?


L’être humain aurait parfois besoin d’une leçon d’humilité face aux autres espèces qui font partie de ce monde. Sommes-nous aussi performants en tout, que ce soit la vitesse, notre ADN, notre force etc. ?
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Homme vs animal : qui est le plus fort ?

 

 

L’Homme, cet étrange animal, existe depuis 2,5 millions d’années, depuis les premières tailles de pierre d’Homo habilis. L’humanité a connu depuis des phases très difficiles et, parmi la douzaine d’espèces du genre Homo, une seule subsiste encore aujourd’hui : la nôtre.

Pourtant, les scientifiques estiment qu’elle a frôlé l’extinction il y a plusieurs dizaines de milliers d’années, quand la population se résumait à quelques milliers d’âmes, réparties sur le territoire africain. Homo sapiens a résisté… et même mieux que cela, puisqu’il a depuis colonisé tous les continents, tous les milieux, et s’est adapté à tous les climats. L’humanité compte aujourd’hui plus de 7 milliards de membres et gouverne le monde.

Une domination sans partage due à des capacités supérieures à tous les niveaux ? Même pas, comme le révèle ce diaporama. L’Homme n’est pas le plus grand, ni le plus fort. Il n’a pas le plus gros cerveau. Il n’est pas celui qui vit le plus longtemps. On peut toujours lui opposer un animal qui fait mieux. L’occasion pour nous de faire preuve d’un peu d’humilité…

On vous dit souvent que vous avez une cervelle de moineau ? C’est un très beau compliment ! Pendant longtemps, pour se rassurer, l’espèce humaine a considéré que l’intelligence était fonction du rapport entre la taille du cerveau et la taille du corps… et elle croyait être la championne, selon ce critère.

C’est faux ! Le cerveau humain, représenté ici par Albert Einstein, ne compte que pour 2 à 2,5 % du poids du corps alors que chez le moineau, la proportion s’élève à 7 % !

© Skeeze, Wikipédia, DP et InformiguelCarreño, CC by-sa 4.0

Le guépard peut se moquer en regardant courir Usain Bolt, recordman du monde du 100 m (9 secondes 58 centièmes) et du 200 m (19 secondes 19 centièmes). Certes, le Jamaïcain reste l’Homme le plus rapide de l’histoire. Lorsqu’il a réalisé ces exploits, il a parcouru la ligne droite à la vitesse moyenne de 37,58 km/h départ arrêté, avoisinant les 45 km/h après environ 80 m de course.

Un résultat pourtant bien lent pour un guépard (Acinonyx jubatus) qui franchirait la ligne du 100 mètres en un peu plus de 3 secondes lancé à sa vitesse maximale : 110 km/h. Il mettrait juste un peu plus de temps départ arrêté.

© Aktiv I Oslo.no, CC by-nc 2.0, JonathanC Photography, Shutterstock et Aki Sasaki, CC by-nc 2.0

Se rêvant appartenir à l’espèce la plus complexe, l’Homme a un temps estimé que son génome devait être composé de 100.000 gènes, travaillant de concert pour aboutir à une telle perfection. Quelle désillusion quand la carte du génome humain révéla qu’on ne disposait que de 23.000 gènes environ !

Surtout, quelle surprise lorsque l’on découvrit que la daphnie rouge (Daphnia pulex), une puce d’eau transparente de quelques millimètres, en possédait 31.000, soit 8.000 de plus…

Alors, le plus haut degré de complexité dépend-il vraiment du nombre de gènes ?

© Carl Sagan, DP et Paul Hebert, CC by 2.5

Robert Wadlow est reconnu comme étant l’Homme le plus grand du monde avec une taille de 2,72 mètres. Il souffrait d’une hypertrophie de l’hypophyse, ce qui se traduisait par une production excessive d’hormones de croissance, le transformant en géant. Il grandissait encore à 22 ans, lorsqu’il mourut.

Mais ce n’est rien comparé à ce que lui oppose le monde animal ! Si tout le monde pense à la girafe (plus grand animal terrestre qui dépasse allègrement les 5 m) ou à la baleine bleue (jusqu’à 30 m de long), on oublie souvent le ver lacet (Lineus longissimus) qui, malgré son petit centimètre de diamètre, détient le titre d’animal le plus long du monde. Certains spécimens dépassent les 55 m !

© Ollyy, Shutterstock et Helena Samuelsson, CC by 3.0

Dans chaque cellule humaine (à quelques exceptions près), on trouve un noyau d’ADN long de 3,2 milliards de paires de base. Si on le déplie, on obtient un filament d’environ un mètre, preuve qu’il est extrêmement compacté pour tenir dans une sphère de quelques micromètres.

Dans le règne animal, le plus fort de tous est un poisson étrange appelé protoptère éthiopien (Protopterus aethiopicus). Son génome se compose de 132,8 milliards de paires de base. Déplié, le filament d’ADN est long de 45 mètres !

© Luc Viatour et Daderot, DP

La vue est un sens particulièrement important pour l’espèce humaine. Nos ancêtres sautant de branches en branches, nous avons hérité de leur capacité à apprécier les distances et de leur sens du détail. Pourtant, les rapaces nous surpassent largement quand il est question de vision !

Doté de la meilleure vue du règne animal, un aigle peut distinguer un objet de 10 cm depuis 1 km de hauteur. À pareille distance, les yeux humains ne perçoivent que des objets de 26 cm. Cet oiseau voit donc 2,5 fois mieux que nous !

© ChristianGeorg, DP et Macro eye, Shutterstock

L’Homme est recouvert de poils mais, sur la majorité de son corps, ceux-ci sont très courts, ce qui donne l’illusion d’un singe nu, à l’exception de quelques régions, comme le pubis, les aisselles… et le sommet du crâne ! Là-haut, les cheveux se comptent en moyenne au nombre de 150.000, soit une densité de 500 par cm².

Une moyenne ridiculement faible à côté de la loutre de mer (Enhydra lutris) qui, elle, comprend aussi 150.000 poils… mais pour chaque cm² !

© Andrew Reding, CC by-nc 2.0 et Celso Pizzolato, Shutterstock

Chez la femme, la grossesse c’est 9 mois de bons et de moins bons moments : la douleur au moment de l’accouchement est forte et même à la limite de l’intolérable chez certaines. Pourtant, à la naissance, le bébé humain est presque un prématuré tant il n’est pas dégourdi. Une gestation plus longue se traduirait cependant par l’impossibilité physique de laisser passer un être aussi gros par les voies naturelles.

L’éléphante, en revanche, doit donner naissance à un éléphanteau de plus de 100 kg, qui, très vite, apprend à marcher. Il faut donc le laisser plus longtemps dans l’utérus : jusqu’à 22 mois !

© Vasilyev Alexander et Andrzej Kubik, Shutterstock

Les centenaires sont de plus en plus nombreux. Les progrès de la médecine repoussent chaque année de 3 mois notre espérance de vie. L’aînée de l’humanité, Jeanne Calment, est morte à l’âge de 122 ans. Elle est née en 1875, avant même que Graham Bell n’invente le téléphone, et elle a fini par décéder en 1997, alors que les portables commençaient à coloniser le marché.

Si son existence a pu lui paraître longue, qu’en est-il des tortues géantes des Galápagos, qui atteignent assez régulièrement les 150 ans ? Et sans aucun médicament ! Décidément, Jean de la Fontaine avait raison, c’est toujours la tortue qui gagne à la fin…

© Bernard Gagnon, GFDL et Lena1, DP

L’espèce humaine peut se vanter d’avoir franchi les 2 m 45 par l’intermédiaire d’un homme : Javier Sotomayor. C’est déjà énorme, mais bien peu comparé à certains félins comme le puma ou le tigre, qui atteignent au moins 4 m.

Cela en devient ridicule en comparaison de la puce, si l’on ramène la performance à la taille de l’animal. L’insecte, qui mesure quelques millimètres, peut en effet sauter 300 fois sa taille. À l’échelle d’un homme d’1 m 80, cela équivaut à un saut de… 540 m. Le plus dur sera la chute !

© Marie-Lan Nguyen et Katja ZSM, CC by 3.0

L’Iranien Hossein Reza Zadeh a fait très fort à l’épaulé jeté en 2004, aux Jeux olympiques d’Athènes. La performance est immense : 263 kg portés à bout de bras.  Selon la Fédération internationale d’haltérophilie, aucun autre être humain n’a fait mieux. Mais ce gaillard de 190 kg n’a porté finalement que 1,4 fois son propre poids…

C’est déjà pas mal, mais cela amuserait le bousier s’il savait qu’on acclame ce genre de champions. Du haut de ses quelques grammes, l’insecte peut soulever des charges de l’ordre du kilogramme !

Le Britannique Robert Knell s’est livré à une expérience assez inédite pour regarder quelle charge relative le bousier pouvait supporter. Le scarabée portait sur son dos un récipient qui se remplissait d’eau au fur et à mesure. L’animal a finalement arrêté de marcher lorsqu’il portait sur ses épaules l’équivalent de 1.141 fois son propre poids… Il faudra encore beaucoup d’entraînement à Hossein Reza Zadeh avant de soulever 217 tonnes !

© Peter van der Sluijs, GFDL et Pixabay CCO

Le Brésilien César Cielo est le nageur le plus rapide de l’histoire, détenteur des records du monde du 50 m (20 secondes 91 centièmes) et du 100 m nage libre (46 secondes 91 centièmes). Sur cette seconde distance, il a nagé à 7,7 km/h : il est donc allé plus vite qu’un humain marchant.

Bel exploit, sachant malgré tout qu’il a bénéficié d’un plongeon et d’une coulée lui permettant d’améliorer un peu sa moyenne. À titre de comparaison, certains marlins, comme le voilier de l’Indo-Pacifique (Istiophorus platypterus) ici en photo, peuvent atteindre les… 110 km/h !

© Stockphoto mania, Refat, Shutterstock

Dans l’eau, soit on descend en profondeur, soit on tient longtemps, mais il est difficile pour l’Homme de faire les deux ! Ainsi, l’Autrichien Herbert Nitsch est descendu en apnée « no limit » jusqu’à 214 m de profondeur, record du monde homologué, au terme d’une plongée de 4 min 24. De son côté, le Français Stéphane Mifsud tient 11 mn 35 s la tête sous l’eau au niveau de la surface, sans bouger. Des performances surnaturelles !

Pourtant, il y a beaucoup mieux parmi les mammifères. Le cachalot va ainsi se nourrir jusqu’à 2.000 m de profondeur, après plus d’une heure sans être remonté respirer !

© Gabriel Barathieu, CC by-sa 2.0 et Dudarev Mikhailn, Shutterstock

Le 29 mai 1953, l’alpiniste néo-zélandais Edmund Hillary et le Sherpa Tensing Norgay devinrent les premiers êtres humains à atteindre le toit du monde, le mont Everest, qui culmine à 8.848 m. Des températures glaciales, des niveaux d’oxygène très bas… si haut, le terrain est très hostile.

Cela n’empêche pourtant pas les oies à tête barrée (Anser indicus) de voler en formation à des altitudes de 9.000 m !

© Travel Stock, Raju Soni, Shutterstock

L’Homme a toujours rêvé de prendre de la hauteur et s’amuse à grimper sur ce qu’il trouve en milieu naturel (falaises, roches, etc.). Certains s’attaquent même aux constructions humaines. C’est le cas par exemple d’Alain Robert, surnommé le Spiderman français, du fait des nombreux gratte-ciel qu’il a escaladés à mains nues et sans être assuré.

Pour le gecko, cette performance qui nous paraît inouïe relève de la normalité. Il possède des pattes extrêmement adhésives, montées de fines lamelles qui profitent des anfractuosités les plus fines du décor. Les chercheurs veulent s’en inspirer pour développer des robots tout-terrain.

© Photobac et Kittipong053, Shutterstock

Il est des animaux assez extraordinaires. Le genre Gerris regroupe différentes espèces d’insectes dotées d’une capacité spéciale : ils peuvent marcher sur l’eau. Ils profitent de leur légèreté et de terminaisons hydrophobes au bout de leurs pattes pour flotter, un peu comme s’il y avait de l’huile sur de l’eau.

Naturellement, il est impossible pour l’Homme de réaliser une telle performance. Alors, pour se donner l’illusion de dompter la nature, il s’est créé une planche de surf et la laisse courir devant les vagues.

© MarkMirror et Trubavin, Shutterstock

https://www.futura-sciences.com/

Le Saviez-Vous ► Les maladies cardiaques, un problème d’hommes?


L’égalité des sexes n’existe pas tout le temps dans la maladie, ainsi que dans les traitements. Les maladies du coeur sont un bon exemple. Alors que les hommes ont des symptômes plus évident, pour les femmes, cela peu-être déroutant, car les symptômes peuvent être reliés a n’importe quoi d’autres que le coeur. Les traitements sont souvent trop tard et peuvent être mal ajustés.

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Les maladies cardiaques, un problème d’hommes?

 

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Hum, non!

 

Les maladies cardiaques, un problème d’hommes ? Rien de plus faux, a constaté le Détecteur de rumeurs. Les femmes sont non seulement de plus en plus nombreuses à en souffrir, mais elles seraient aussi moins bien soignées que les hommes…

  1. Les maladies cardiaques sont rares chez les femmes : FAUX

Selon Statistique Canada, les maladies du cœur (cardiopathie ischémique, insuffisance cardiaque, crise cardiaque, etc.) sont la deuxième cause de décès après les cancers chez les Canadiennes.

« Malheureusement, les maladies cardiaques sont encore perçues comme un problème d’hommes », déplore le Dr Nicolas Noiseux, cardiologue au CHUM. « Les femmes se sentent peu concernées par les maladies du coeur, alors qu’elles sont cinq fois plus à risque d’en mourir que du cancer du sein », souligne le spécialiste.

Certes, les hommes restent encore plus nombreux à mourir d’une maladie cardiaque. Mais l’écart entre les deux sexes ne cesse de diminuer. En 2013, 23 437 femmes en

  1. Elles sont moins susceptibles de mourir d’une crise cardiaque : FAUX

Alors que les hommes sont plus susceptibles de mourir de cardiopathie ischémique et d’insuffisance cardiaque, les femmes sont, en moyenne, 30 % plus susceptibles de mourir d’une crise cardiaque que les hommes. De plus, selon la Fondation des maladies du coeur (FMC), elles sont plus à risque de subir un deuxième événement cardiaque dans les six mois suivants.

« Souvent, leur pronostic est moins bon, car les maladies cardiaques touchent les femmes plus tardivement que les hommes en raison des hormones qui les protègent jusqu’à la ménopause », explique le Dr Nicolas Noiseux. « Comme elles ont aussi tendance à ignorer les signes précurseurs des maladies cardiaques, elles tendent à attendre davantage pour consulter. Quand on les diagnostique, elles sont plus âgées et la maladie est plus avancée : ça joue en leur défaveur », ajoute le médecin.

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  1. Les symptômes d’une crise cardiaque sont similaires chez les deux sexes : FAUX

Une douleur intense à la poitrine qui s’étend dans le bras gauche fait partie des signes avant-coureurs classiques d’une crise cardiaque chez les deux sexes. Toutefois, de nombreuses femmes décrivent plutôt des symptômes atypiques, comme des essoufflements, des nausées, des sueurs ou des douleurs dans le dos qui peuvent apparaître des mois avant la crise cardiaque.

« Comme ces symptômes peuvent passer pour de l’anxiété, une indigestion ou des signes de vieillissement, elles ont tendance à y accorder peu d’importance », explique le Dr Noiseux.

  1. Les tests diagnostiques standards sont adaptés aux femmes : FAUX

Les différents tests qui permettent de faire un diagnostic de maladies cardiaques — comme l’épreuve d’effort effectuée sur un tapis roulant ou l’électrocardiogramme — seraient moins adaptés aux femmes.

« Leur cœur est moins gros et positionné différemment, ce qui rend le diagnostic plus difficile. Les résultats peuvent être normaux, même si la femme a un problème cardiaque. Il faut souvent faire des tests plus poussés pour trouver le problème », explique le Dr Noiseux.

La FMC travaille par ailleurs à sensibiliser les médecins aux différences qui touchent les femmes en matière de maladies du cœur, afin qu’elles soient diagnostiquées plus rapidement.

« Un diagnostic rapide fait toute la différence », souligne Nicolas Noiseux.

  1. Les femmes sont aussi bien traitées que les hommes : FAUX

En partie à cause de ces difficultés diagnostiques, les femmes qui font des crises cardiaques sont aussi plus sujettes aux retards dans leur traitement : moins du tiers recevrait les soins nécessaires dans les délais stipulés, estime la FMC.

Elles seraient aussi moins susceptibles de recevoir des interventions médicales adaptées — comme un pontage — ou à se faire prescrire des médicaments.

« Comme les deux tiers, des études cliniques scientifiques se concentrent sur les hommes, il y a des incertitudes sur les interventions et la médication », déplore le Dr Noiseux. « Il faudra faire des études pour mieux répondre à leurs besoins spécifiques ».

Des facteurs de risques méconnus des femmes

Plus de 50 % des femmes qui ont un risque élevé de souffrir d’une maladie cardiaque l’évaluent comme faible ou modéré. Parmi les facteurs de risque, il faut retenir :

  • L’hypertension
  • Le diabète
  • Le cholestérol
  • L’obésité
  • Les antécédents familiaux
  • La ménopause

S’ajoutent des facteurs comportementaux comme :

  • Le tabagisme
  • La consommation abusive d’alcool
  • La sédentarité
  • Une mauvaise alimentation.

Pour en savoir plus sur les maladies cardiaques chez les femmes, consultez le site de la Fondation des maladies du cœur.

https://quebec.huffingtonpost.ca/