Chacun brille à leur heure


On ne peut pas se comparer à d’autres, chacun vit des émotions, des expériences différentes.
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Chacun brille à leur heure



Ne comparez pas votre vie avec celle des autres. Il n’y a aucune comparaison entre le soleil et la lune. Il brille chacun quand c’est leur heure


Inconnu

Le Saviez-Vous ► Appareils de loterie vidéo: ce que chaque joueur doit savoir


Ces machines à sous ou loto-vidéo que l’on voit un peu partout sont une vraie plaie. Ils rendent les gens addicts et font perdre beaucoup d’argent. Voici une vidéo qui explique le fonctionnement de ces machines. C’est vraiment lancer son argent par la fenêtre .. Même, pour ceux qui gagnent de temps en temps, ils perdent aussi plus souvent. De toute façon, je ne vois pas l’intérêt de voir défiler des images qui nous fait gagner ou perdre.
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Appareils de loterie vidéo: ce que chaque joueur doit savoir

Ce cirque remplace les animaux par des holo­grammes pour lutter contre la maltrai­tance animale


Je suis contre les cirques qui emploient des animaux, mais ce cirque allemand viens de changer mon aversion contre ce genre d’activité. Il n’y a pas d’animaux réels, juste des hologramme qui doit sûrement donner un magnifique spectacle.
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Ce cirque remplace les animaux par des holo­grammes pour lutter contre la maltrai­tance animale 


Crédits : Roncalli


par  Mathilda Caron


Le cirque alle­mand Roncalli a décidé de ne plus utili­ser d’ani­maux dans ses spec­tacles afin de lutter contre la maltrai­tance animale, rappor­tait The Dodo le 5 juin.

Fondé en 1976, ce cirque a fait un choix éthique qui pour­rait s’avé­rer égale­ment stra­té­gique, compte tenu du nombre crois­sant de personnes qui boycotte les cirques pour leur utili­sa­tion des animaux. Grâce à des effets spéciaux épous­tou­flants produits par 11 projec­teurs diffé­rents, le public tout entier peut admi­rer des éléphants, des chevaux et même un pois­son rouge géant évoluer sur la piste.

Crédits : Roncalli

« C’est l’ave­nir du cirque », affirme Jan Crea­mer, le président d’Animals Defen­der Inter­na­tio­nal. Un projet de loi a été adopté la semaine dernière au Royaume-Uni, inter­di­sant aux cirques d’uti­li­ser les animaux sauvages pendant leurs spec­tacles. Il porte le nombre de pays à avoir promul­gué cette inter­dic­tion à 29. La France n’en fait pas partie.

Source : Metro

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Ces abeilles ont construit leur nid entiè­re­ment à partir de déchets plas­tiques


Est-ce une évolution chez les abeilles découpeuses ? Pour chercher des matériaux alternatifs en Argentine, elles se sont intéressées aux plastiques. Et oui, même les abeilles recyclent. Je doute quand même que ce soit une bonne chose
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Ces abeilles ont construit leur nid entiè­re­ment à partir de déchets plas­tiques


En Argen­tine, des scien­ti­fiques de l’Insti­tut Natio­nal de Tech­no­lo­gie Agri­cole ont décou­vert un nid d’abeilles fait unique­ment de déchets plas­tiques, annonçait le maga­zine New Scien­tist le 30 mai.

par  Mathilda Caron

En 2017, l’équipe de cher­cheurs avait placé 63 struc­tures pouvant accueillir des ruches autour d’un champ afin de surveiller l’ac­ti­vité des insectes pendant plusieurs mois.

Seule­ment trois nids ont vu le jour : deux ont été construits en boue et en pétales alors que le troi­sième a été fait entiè­re­ment de plas­tique. Cet habi­tat éton­nant compor­tait trois cellules élabo­rés à partir de deux types de plas­tique. Son obser­va­tion a été rappor­tée par la revue Apido­lo­gie en avril 2019.

« Cela pour­rait mettre en lumière la capa­cité des abeilles à cher­cher des maté­riaux alter­na­tifs pour la construc­tion de leurs nids, en réac­tion aux pertur­ba­tions humaines », expliquent les cher­cheurs.

Bien que l’ani­mal n’ait pas pu être iden­ti­fié, l’équipe pense qu’il s’agit d’une abeille décou­peuse (Mega­chile rotun­data), une espèce euro­péenne.

Source : New Scien­tist

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Des gravures extraordinaires datant de 14.000 ans découvertes à Angoulême


Des dessins sur une tablette en grès d’animaux et rayures datant de 12 000 ans avant J.C. trouvé en France. Ce qui semble étonnant, c’est qu’il aurait 2 milles ans de différence entre ceux trouvés datant eux de 14 000 ans. À cette époque, l’Homo sapiens était des chasseur cueilleurs donc, nomade en pleine transition climatique vers la fin de l’époque glacière et s’installait un climat tempéré.
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Des gravures extraordinaires datant de 14.000 ans découvertes à Angoulême


Des archéologues ont fait une découverte exceptionnelle sur un chantier de fouilles à Angoulême (France). Ils ont mis à jour des animaux gravés sur une plaquette de grès datant de la fin du Paléolithique.

La découverte réalisée par les archéologues sur un chantier de fouilles à Angoulême (France) est une surprise. Car la pièce de grés qu’ils ont mis à jour est datée d’environ 12.000 ans avant notre ère, ce qui correspond à la période dite de l’Azilien. Dessus, des chevaux et d’autres herbivores gravés.

Or « l’art azilien est souvent considéré comme une rupture, il marque un abandon du figuratif au profit de l’abstraction », explique l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap). « Trouver des chevaux et d’autres animaux dessinés à cette période, c’est exceptionnel », estime Valérie Feruglio, spécialiste de l’art préhistorique.

À l’été 2018, des représentations figuratives avaient été retrouvées sur des plaquettes de schiste gravées du site azilien ancien (vers 14.000 ans avant notre ère) du Rocher de l’Impératrice à Plougastel-Daoulas (ouest de la France). 

« Mais là, cela décale de 2.000 ans la persistance des représentations figuratives dans l’art azilien », ajoute Valérie Feruglio.

La plaquette — ici, des dessins des gravures qui la recouvrent — a été trouvée lors de fouilles préventives de l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) menées dans le quartier de la gare de la ville d’Angoulême entre le 9 avril et le 23 novembre 2018. Ces recherches avaient déjà révélé trois occupations préhistoriques successives, quelque 200.000 silex taillés et 400 pointes de flèches. © Denis Gliksman, Institut national de recherches archéologiques préventives

Des gravures sur les deux faces

Les auteurs des gravures d’Angoulême sont des Homo sapiens encore nomades, qui vivent de chasse et de cueillette. Ils sont en train de vivre une « transition climatique », avec la fin de l’époque glaciaire et le passage à un climat tempéré, souligne Miguel Biard, archéologue à l’Inrap, chargé du chantier de fouilles d’Angoulême. « Cela bouleverse leur mode de vie. »

Présentes sur les deux faces, les gravures associent motifs figuratifs et géométriques (notamment des rayures). Les silhouettes des herbivores finement dessinées s’entremêlent et il faut l’œil expert des spécialistes pour déterminer les animaux concernés. La gravure la plus visible, celle d’un cheval sans tête, occupe la moitié de la surface de la première face. De très fines incisions suggèrent le pelage. Pattes et sabots sont très réalistes. Il y a aussi un autre cheval, un cervidé, reconnaissable à la forme de ses sabots, mais lui aussi sans tête. Et peut-être un auroch. 

https://www.futura-sciences.com/

Été décalé, tendance lourde ?


À la fin de l’hiver au Québec, on ne voyait pas la fin, puis le printemps fut vraiment décevant, l’été approche, la vraie chaleur n’a pas vraiment montré son bout du nez. Est-ce un avant goût des années suivante ? Cela pourrait être un cycle à long terme ou une pause. Il y a tellement de facteurs qui rentre en ligne de compte, qu’il est probablement difficile d’être précis et déjà que la météorologie n’est pas une science exacte, comme on dit qui vivra verra.
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Été décalé, tendance lourde ?


FANNY ROHRBACHER
La Presse

Après un mois de mai décevant, juin commence dans le froid. Depuis quelques années, l’été est en retard, confirme Environnement Canada.

Est-ce une tendance lourde ?

« Si l’on regarde les quatre ou cinq dernières années, l’été est décalé », répond André Cantin, météorologue d’Environnement Canada. « Par contre, il n’existe pas d’étude qui démontre le déplacement de la saison estivale. »

« Un mois de mai froid n’implique pas un mois de juin froid, relativise André Cantin. D’un mois à l’autre, ce n’est pas nécessairement relié. »

Le météorologue explique que, « très souvent, c’est le mois de juin qui, depuis quelques années, est frais. Mais ça peut rentrer dans une variabilité normale du climat, nuance-t-il. Dans le climat, il existe des cycles annuels, mais aussi des cycles qui peuvent s’étendre sur 10, 15 ans ».

Ces cycles qui s’étirent sur plus d’une décennie sont dus aux courants marins, à la température des océans et aux évènements climatiques.

« L’activité solaire, les éruptions volcaniques, [les courants marins de grande envergure] El Niño et La Niña… sont des facteurs qui jouent sur le climat mondial. Ils ont des cycles différents qui peuvent s’additionner ou s’opposer », explique André Cantin.

« Depuis le début des années 2000, on constate une majorité de mois de mai frais. Le même phénomène s’est produit dans les années 20 et à la fin des années 40, début 50. » – André Cantin, météorologue

L’hiver répond à la même logique. Le météorologue observe des cycles en ce qui concerne la quantité de neige que reçoit Montréal. Dans les années 70, la ville a reçu beaucoup de neige. Les années suivantes, la quantité de neige est revenue près ou sous les normales.

« Si on remonte au début du siècle, c’est la même chose. Il existe des périodes de 10 à 15 ans avec des hivers très neigeux, suivies de 10 ou 15 années où la neige est beaucoup moins abondante. »

Dans leur jargon, les météorologues appellent ce genre de tendances des « blocages » atmosphériques à grande échelle, qui peuvent s’étendre à l’Amérique du Nord, voire à tout l’hémisphère Nord.

« Ces systèmes persistent de quelques jours à quelques semaines. Ils donneront du temps froid ou, à l’inverse, du temps chaud, comme ce fut le cas dans les prairies canadiennes alors que nous grelottions dans l’est du pays. »

Jeudi dernier, MétéoMédia a annoncé que le Québec avait connu « huit mois consécutifs sous les températures normales ».

L’avis de Paul Houde

L’animateur de radio Paul Houde constate aussi un décalage de l’été ces dernières années. Ce mordu de météo en parlait à l’émission Drainville PM, la semaine dernière. Paul Houde a dit qu’août et septembre semblent être les nouveaux mois d’été.

L’animateur, qui a une formation de géographe, note la météo depuis 47 ans grâce à sa station personnelle. Tous les jours, il consigne température, pression atmosphérique et force du vent.

Malgré ces tonnes de données accumulées au fil des décennies, il reste prudent.

« Je ne suis pas météorologue ou climatologue », a-t-il dit à Drainville PM.

Ce qui ne l’empêche pas de suggérer aux Québécois de partir en vacances le 1er août, comme les Français.

https://www.lapresse.ca/a

Les humains ingèrent des dizaines de milliers de particules de plastique par an


Il semble que nous consommions ou respirons jusqu’à 52 000 micro-particules de plastique par an et avec la pollution cela augmente de 121 000, plus 90 000 si nous buvons que de l’eau en bouteille. Pour le moment, les conséquences sur l’estomac et les poumons, présentement, ne sont pas prouvées, mais en principe nous ne devrions pas ingérer des micro-plastiques.
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Les humains ingèrent des dizaines de milliers de particules de plastique par an

Des chercheurs canadiens ont mis en regard des... (PHOTO AFP)

Des chercheurs canadiens ont mis en regard des centaines de données sur la contamination par les microplastiques, avec le régime moyen et modes de consommation des Nord-Américains.

PHOTO AFP

Agence France-Presse
Paris

Les humains ingèrent et respirent des dizaines de milliers de particules de plastique chaque années, selon des recherches publiées mercredi.

Ces micro-plastiques, venus de la dégradation de produits aussi divers que les vêtements synthétiques, les pneus, les lentilles de contact…, se retrouvent désormais partout sur la planète, sur les plus hauts glaciers comme dans le fond des océans.

Des chercheurs canadiens ont mis en regard des centaines de données sur la contamination par les microplastiques, avec le régime moyen et modes de consommation des Nord-Américains.

Résultat de ces estimations (qui individuellement varieront selon le mode et le lieu de vie) : un homme adulte ingère jusqu’à 52 000 micro-particules de plastique par an. Et si l’on prend en compte la pollution de l’air, ce chiffre passe à 121 000.

Quelque 90 000 particules supplémentaires sont à ajouter si l’on consomme uniquement de l’eau en bouteille, ajoute l’étude, parue dans la revue Environmental Science and Technology.

L’impact sur la santé humaine reste à préciser, notent les chercheurs.

Pour autant, les particules les plus fines (moins de 130 microns de diamètre) «peuvent potentiellement passer dans des tissus humains (et) générer une réponse immunitaire localisée», ajoutent-ils.

Pour Alastair Grant, professeur d’écologie à l’Université d’East Anglia, qui n’a pas participé à ces recherches, rien ne prouve que les particules de plastique pointées dans l’étude posent «un danger significatif à la santé humaine».

Selon lui, il est probable que seule une petite part des éléments inhalés atteignent les poumons, notamment pour des raisons liées à la taille des particules.

Pour les auteurs de l’étude, il faut renforcer la recherche sur la quantité de matière atteignant poumons et estomac, et son impact sur la santé.

Et en attendant, «la façon la plus efficace de réduire la consommation humaine de micro-plastiques sera sans doute de réduire la production et le recours aux plastiques», ajoutent-ils.

https://www.lapresse.ca/