Choix de vie


Faire ce que l’on veut de sa vie dépend de nous, avec les conséquences de nos choix

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Choix de vie



Chacun vit sa vie comme il l’entend, il y a ceux qui la vivent avec des obsessions, avec de la méchanceté et de la jalousie et il y a ceux, qui comme moi la vivent en pendant qu’un jour chacun aura ce qu’il mérite. Qui sème le vent, récolte la tempête….
Et j’aime le soleil


L. Pasqualetti

Le Saviez-Vous ► Pourquoi les chiens se lèchent-ils les babines ?


Se lécher les babines pour un chien, c’est un peu comme exprimer ses états d’âme, a moins que ce soit pour la bouffe. Cependant, il peut aussi indiquer, s’il est stressé, qu’il veut apaiser une situation, qu’il est malade, et bien d’autres choses.
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Pourquoi les chiens se lèchent-ils les babines ?


chien marron leche babines

Crédits : skeeze/Pixabay

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Lorsque votre chien se lèche les babines, vous supposez naturellement qu’il a faim, qu’il a senti une odeur alléchante ou encore qu’il vient de terminer son repas. Pourtant, il arrive parfois qu’il le fasse alors qu’il n’y a pas de nourriture en vue.

Comment l’expliquer ? En réalité, plusieurs raisons peuvent pousser un chien à se lécher les babines, en dehors de l’appel de la nourriture. Voici lesquelles !

1. Il est stressé

Si votre chien se lèche les babines alors que vous êtes en train de le réprimander ou qu’il se trouve dans un endroit qui le rend mal à l’aise (vétérinaire, marché, toiletteur…), c’est le signe qu’il est stressé. En effet, le fait de se lécher les babines est un comportement nerveux et auto-apaisant. Un peu comme le fait de se ronger les ongles par exemple.

2. Il veut apaiser la situation

Si votre chien se lèche les babines alors qu’il est face à une personne ou à un chien menaçant, cela signifie qu’il tente d’apaiser les tensions. Il fait part de ses intentions pacifiques et de sa volonté d’éviter le combat. Il s’agit donc d’un signe de soumission. C’est sa manière à lui d’hisser le drapeau blanc, en somme.

3. Il est confus ou frustré

Si votre chien a tendance à se lécher les babines, voire à bâiller, lorsqu’il est en pleine séance d’éducation, c’est parce qu’il a du mal à comprendre ce que vous attendez de lui. Vos ordres le plongent dans une certaine confusion qui le rend mal à l’aise. C’est donc le signe qu’il vaut mieux mettre un terme à la séance. Mais tout en terminant sur une note positive (un ordre facile par exemple).

4. Il est malade

Le léchage des babines peut également être causé par des nausées, des allergies, des plaies au niveau des lèvres, des piqûres d’insectes, des maladies dentaires ou encore des douleurs dans la bouche. Mais d’autres affections plus graves peuvent être en cause, notamment une épilepsie, une obstruction intestinale, une pancréatite, une maladie du foie ou un retournement d’estomac.

Ainsi, si vous observez, en plus du léchage des babines, d’autres symptômes inhabituels (vomissements, fatigue, perte d’appétit, salivation excessive…), prenez rapidement rendez-vous chez votre vétérinaire.

5. Il a avalé un épillet

Dès la fin du printemps et jusqu’à la fin de l’été, les épillets représentent un véritable danger pour nos amis canins. En effet, ces petites herbes au bout pointuse détachent des hautes herbes et peuvent pénétrer dans les oreilles, les yeux, l’anus, les coussinets, la gueule ou encore le nez des chiens. Le problème, c’est qu’une fois qu’elles sont logées dans un orifice, elles se déplacent. Elles peuvent alors percer tous les organes qu’elles rencontrent sur leur chemin.

épilletCrédits : Kurt Stüber/Wikimedia Commons

Ainsi, si votre chien se lèche constamment les lèvres, éternue ou secoue la tête de manière excessive après un retour de balade, un épillet peut être en cause. Dans ce cas, il s’agit d’une urgence vétérinaire.

6. Il est déshydraté

La déshydratation chez le chien peut être provoquée par un temps chaud, une activité physique intense ou une maladie. Dans tous les cas, si votre chien se lèche les babines et que sa peau manque d’élasticité, donnez-lui de l’eau en abondance !

À noter que pour vérifier l’élasticité de la peau d’un chien, il suffit de lui pincer doucement la peau avec les doigts. Puis de la soulever aussi haut que possible (sans lui faire mal !). Lorsque la peau est relâchée, elle doit normalement retrouver sa forme initiale rapidement. Si ce n’est pas le cas, l’animal est déshydraté.

Source

https://animalaxy.fr/

Sommes-nous prêts pour l’interdiction des plastiques à usage unique?


Que l’on soit prêt ou non à l’interdiction du plastique à usage unique, ne change rien au fait qu’il est plus que temps de prendre nos responsabilités notre la gérance du plastique. Je peux comprendre que cela demande de grand changement pour les industries, commerces etc .. Mais depuis le temps qu’on en parle, si on n’agit pas maintenant, il y aura toujours des excuses.
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Sommes-nous prêts pour l’interdiction des plastiques à usage unique?


Des pailles et des ustensiles de plastique sur une table

Le Canada veut interdire certains plastiques à usage unique. Photo: Radio-Canada

Ximena Sampson

Des solutions de rechange aux produits et emballages de plastique à usage unique existent déjà, mais l’expérience des villes de Seattle et de Malibu montre que la transition doit idéalement se faire par étapes.

Le gouvernement Trudeau a annoncé le 10 juin l’interdiction, dès 2021, de produits et emballages de plastique à usage unique, qui pourraient comprendre les pailles, les ustensiles, les assiettes, les bâtonnets à mélanger et les sacs jetables.

La liste exacte n’a pas encore été établie, mais s’inspirera de celle de l’Union européenne (UE), qui a interdit ces produits en mars dernier, ainsi que les cotons-tiges et les bâtonnets pour ballons gonflables, entre autres. Ce sont les principaux déchets que l’on trouve sur les plages européennes.

Au Canada, des produits réutilisables, compostables ou recyclables sont disponibles pour remplacer le plastique à usage unique.

Mais la meilleure solution demeure la réduction à la source, croit Jennifer Pinna, conseillère en économie circulaire au Centre de transfert technologique en écologie industrielle (CTTÉI) à Sorel-Tracy.

« La matière résiduelle la plus simple à gérer, c’est celle qui n’existe pas du tout », remarque Mme Pinna.

Est-ce qu’on a vraiment besoin d’une paille pour boire un breuvage? C’est la première question qu’on peut se poser. Sylvain Allard, professeur à l’École de design de l’UQAM.

Six verres colorés avec des paillesLes pailles sont très populaires dans les cocktails d’été. Photo : iStock / pixelrainstudio

Si on a vraiment besoin d’un objet, il faut d’abord tenter d’en trouver un qui soit fait avec des matériaux réutilisables, comme des pailles en inox, des ustensiles en bambou et des sacs en tissu, conseille Mme Pinna.

Dans les cas où le réemploi n’est pas possible, on devrait viser des matériaux recyclables, comme le carton et le papier, ou compostables, tout en s’assurant qu’il existe des réseaux pour la collecte et la mise en valeur de ces déchets.

Des consommateurs à éduquer

Une poubelle est pleine de gobelets et de pailles en plastique.Les pailles à usage unique sont interdites à Seattle depuis juin 2018. Photo : iStock / Boyloso

Est-il réaliste de demander cet effort aux consommateurs?

Certainement, croit Fabien Durif, directeur de l’Observatoire de la consommation responsable de l’Université du Québec à Montréal et auteur du guide 100 gestes pour la planète, publié par Protégez-vous.

« Les citoyens sont de plus en plus sensibilisés à la question des emballages et du plastique à usage unique », soutient-il.

Cependant, il estime qu’il y a encore un travail d’éducation à faire, notamment en ce qui concerne les façons de récupérer les différents types de matériaux.

« La question, c’est la praticité du geste, pense M. Durif. Pour beaucoup de consommateurs, il faut que ce soit facile; il faut accompagner et pas culpabiliser. »

Ainsi, affirme-t-il, le passage des bouteilles d’eau jetables vers les gourdes s’est fait assez facilement, et un nouveau marché s’est développé pour répondre à la demande croissante.

S’inspirer d’ailleurs

Dans la ville de Seattle, sur la côte ouest des États-Unis, les emballages de nourriture et les verres en styromousse sont interdits depuis 2009. Les ustensiles et pailles à usage unique le sont depuis juin 2018. De plus, les assiettes et les gobelets à usage unique fournis par les services de restauration doivent être recyclables ou compostables.

La mesure a été bien intégrée, croit Pat Kaufman, de la division des services publics de Seattle, dans la mesure où l’industrie et les commerces ont eu le temps de s’adapter.

« Lorsque nous avons mis en œuvre les premières exigences, en 2009-2010, il n’y avait pas beaucoup de choix dans la gamme des pailles et des ustensiles, a expliqué M. Kaufman au micro de CBC. Nous les avons donc exemptés du règlement pendant quelques années. »

L’industrie de l’emballage a parcouru un long chemin. Pat Kaufman, de la division des services publics de Seattle.

Il raconte notamment que l’industrie a finalement développé des cuillères compostables capables de supporter la haute température des soupes et des boissons chaudes sans se désagréger.

Malibu, une autre ville de la côte ouest, a également adopté l’approche progressive, raconte son maire, Jefferson « Zuma Jay » Wagner.

« Nous avons commencé avec les pailles, nous avons ensuite interdit les ustensiles en plastique et, après, les emballages en styromousse. »

« Si nous avions tout interdit en même temps, il aurait été plus difficile pour les gens d’y adhérer, affirme M. Wagner. On voulait laisser la chance au marché de s’adapter. »

Dans les deux cas, les résultats sont probants.

« Bien que nous n’ayons pas effectué d’études spécifiques permettant de corréler nos interdictions de matériaux avec la dispersion de déchets dans la ville […] il y a beaucoup moins de sacs en plastique et presque aucun emballage en styromousse dans les déchets », soutient M. Kaufman, de Seattle.

« La quantité de débris sur les plages va en diminuant à mesure que le temps passe », affirme pour sa part le maire de Malibu.

Du côté de l’industrie

L’industrie canadienne sera-t-elle prête à répondre à la demande d’ici deux ans?

« La problématique qu’on a actuellement, c’est qu’il est très difficile d’avoir une matière première aussi performante que le plastique à aussi bas coût, avec autant de légèreté et de facilité à produire en termes énergétiques, croit Sylvain Allard, professeur à l’École de design de l’Université du Québec à Montréal. Le plastique n’est pas facile à remplacer. »

Des bols de salade.La chaîne Tractor Foods offre déjà des bols compostables. Photo : Radio-Canada / Eva Uguen-Csenge

Cependant, estime-t-il, les recherches vont bon train. Sachant qu’il existe une date limite, l’industrie s’y mettra sûrement encore plus sérieusement.

 « Ce ne sont pas les options qui manquent », ajoute Sylvain Allard.

Recyclables ou compostables, en plastique végétal, en carton ou en métal, plusieurs solutions de rechange sont déjà offertes.

La difficulté réside surtout dans des filières de mise en valeur, pense le chercheur.

« Le problème n’est pas tant au niveau de la matière que dans le système », croit Sylvain Allard.

Si une paille compostable se retrouve dans l’environnement, elle va se décomposer et elle aura très peu d’impact; ce ne sera cependant pas le cas si ce sont des centaines de pailles qui se retrouvent dans la nature.

L’environnement n’est pas une poubelle compostable. Sylvain Allard, professeur à l’École de design de l’UQAM.

La question est la même relativement aux plastiques recyclables. Ce n’est pas le matériau lui-même qui pose problème, mais plutôt le fait qu’on n’a pas développé de façons efficaces de le prendre en charge.

« Il y a plein de plastiques très utiles, croit Jennifer Pinna. L’idée, c’est d’allonger leur cycle de vie en s’assurant qu’ils soient récupérés et transformés, sans être mélangés ni contaminés. »

On doit surtout gérer le cycle d’un bout à l’autre, conclut Mme Pinna.

« L’idée, ce n’est pas de récupérer tous nos plastiques en centre de tri, de faire des ballots et d’envoyer ça à l’étranger. C’est plutôt de conserver notre capital matière avec des plastiques à longue durée de vie et de les récupérer après usage. »

Cela permettrait de boucler la boucle et d’avoir des produits à usage multiple plutôt qu’à usage unique.

https://ici.radio-canada.ca/

Donald Trump promet d’éliminer le cancer et le sida


Comme toute élection, les politiciens y va de bons coeur avec leurs promesses. Donald Trump ne fait pas exception. Il reprend ses anciennes promesses et en ajoute, Sauf que … Il promet des choses qui sont probablement irréalisable du moins pendant un mandat de 4 ans. Promettre de guérir le cancer est présomptueux, alors que donner plus d’argent à la recherche est plus acceptable comme promesse. Éradiquer le Sida aux États-Unis ? Je serais bien curieuse de voir comment il va s’y prendre. Là aussi, il faut beaucoup d’argent pour y arriver.
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Donald Trump promet d’éliminer le cancer et le sida


Donald Trump à Orlando en Floride, le 18 juin 2019. | Joe Raedle / AFP 

Donald Trump à Orlando en Floride, le 18 juin 2019. | Joe Raedle / AFP

Repéré par Claire Levenson

Repéré sur The Daily Beast

Le président américain a officiellement lancé sa campagne de réélection lors d’un discours en Floride, le 18 juin 2019.

Pour le lancement de sa campagne de réélection, le 18 juin, Donald Trump a répété les thèmes favoris de sa campagne de 2016.

À Orlando, le président américain a beaucoup plus parlé de son ancienne opposante Hillary Clinton que des candidat·es démocrates en lice pour 2020 et comme il y a trois ans, la foule a scandé «Enfermez-la! Enfermez-la!» au sujet de l’ancienne secrétaire d’État.

Les autres classiques des discours de Trump étaient au menu, dont la haine des journalistes –copieusement hué·es par la foule–, le mur frontalier et la diabolisation du Parti démocrate, que le président accuse de vouloir «détruire» le pays.

«Un vote pour n’importe quel Démocrate en 2020 est un vote en faveur de la montée du socialisme radical et de la destruction du rêve américain», a-t-il déclaré.

Fox News «fake news»

Trump a fait des promesses grandioses dans des termes très vagues:

«Nous trouverons des solutions à de nombreux problèmes et nous guérirons de nombreuses maladies, dont le cancer et d’autres, nous nous en rapprochons tout le temps.»

Il a également annoncé qu’il allait «éradiquer le sida aux États-Unis» et envoyer des astronautes américains sur Mars.

Le 16 juin, le président américain a limogé plusieurs sondeurs de sa campagne après qu’un sondage interne le donnant perdant a fuité dans la presse. La veille de son discours, il a aussi qualifié Fox News, sa chaîne préférée, de «fake news» car un de leurs sondages aboutissait à la même conclusion.

Via Twitter, Trump a promis d’expulser des millions de sans-papiers à partir de la semaine du 24 juin –un thème très rassembleur parmi ses fans.

Pour le lancement de sa campagne, des militant·es d’extrême droite, dont des membres du groupe néofasciste violent Proud Boys, ont fait le déplacement et défilé dans les rues d’Orlando, mais la police leur a interdit d’accéder au stade où parlait Trump.

http://www.slate.fr/

Elle tue sa «meilleure amie» pour 9 millions de dollars promis sur l’internet


Il y a des personnes qui devraient ne jamais aller sur Internet. Pour $ 9 000 US, promit par un faux millionnaire rencontrer dans les réseaux sociaux. Pour cette somme, il voulait voir l’exécution et un viol d’une personne. Une jeune fille a mordu a l’action et a pris avec elle des complice pour tuer une personne avec un retard mental qu’elle connaissait. Tu parles d’une amie !!
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Elle tue sa «meilleure amie» pour 9 millions de dollars promis sur l’internet

Denali Brehmer, 18 ans, a été recrutée pour... (PHOTO 10NEWS WTSP)

Denali Brehmer, 18 ans, a été recrutée pour tuer son amie par Darin Schilmiller, un homme de 21 ans qui se faisait passer sur les réseaux sociaux pour un millionnaire et avait noué une relation avec elle.

PHOTO 10NEWS WTSP

Agence France-Presse
Los Angeles


Une jeune Américaine est soupçonnée d’avoir organisé le meurtre de sa « meilleure amie » parce qu’un homme qu’elle avait rencontré sur l’internet lui avait promis neuf millions de dollars si elle commettait ce crime.

D’après les enquêteurs, Denali Brehmer, 18 ans, qui vit en Alaska, a été recrutée pour tuer son amie par Darin Schilmiller, 21 ans. Le jeune homme, qui réside à des milliers de kilomètres d’elle, dans l’État d’Indiana, se faisait passer sur les réseaux sociaux pour un millionnaire et avait noué une relation avec elle.

Selon l’acte d’accusation, le duo a notamment parlé de violer et tuer quelqu’un en Alaska, et Darin Schilmiller a promis au moins neuf millions de dollars pour ce crime, en échange d’images du meurtre.

Denali Brehmer a alors entrepris de rassembler des complices. Le petit groupe a choisi pour cible Cynthia Hoffman, 19 ans, une jeune fille souffrant de troubles mentaux. 

Selon son père, elle avait l’âge mental d’une enfant de douze ans et considérait Denali Brehmer comme sa « meilleure amie ».

Le 2 juin, Cynthia Hoffman a été ligotée à l’aide de ruban adhésif et abattue d’une balle dans la nuque, avant d’être poussée dans une rivière au nord-est d’Anchorage, indique dans un communiqué le département de la Justice d’Alaska.

Son corps a été retrouvé deux jours plus tard.

La police estime que la victime a été attirée par Denali Brehmer et Kayden McIntosh, un adolescent de 16 ans, sous prétexte de faire une randonnée le long de la rivière. McIntosh est accusé d’avoir tué la jeune fille avec une arme appartenant à Denali Brehmer et de s’être débarrassé du corps.

De son côté, Denali Brehmer communiquait avec Darin Schilmiller tout au long de cette macabre entreprise, lui envoyant « par Snapchat des photographies et des vidéos d’Hoffman ligotée, et ensuite du corps », relève l’accusation.

Brehmer et McIntosh ont tous deux été mis en examen pour meurtre. Le prétendu millionnaire a lui aussi été arrêté, ainsi que trois autres jeunes mineurs soupçonnés d’avoir participé à l’organisation du guet-apens ou à son exécution.

Schilmiller et Brehmer ont en outre été mis en examen mardi pour des actes pédophiles commis par cette dernière, là encore à la demande de Darin Schilmiller, sur deux enfants âgés de huit et neuf ans ainsi qu’une victime de quinze ans.

https://www.lapresse.ca/

L’histoire du bébé de 4 mois séparé de ses parents par l’administration Trump


Même si des gens immigrent illégalement, ce n’est pas une raison de séparer les enfants des parents. Et aux États-Unis sous le gouvernement de Donald Trump, ont a pu constater toute l’inhumanité de cet homme égoïste. C’est un vrai fiasco. Le père n’a pas tué, ni posé de bombe, il a simplement eu l’espoir d’un avenir meilleur pour lui et sa famille.
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L’histoire du bébé de 4 mois séparé de ses parents par l’administration Trump

Une mère porte son bébé dans un camp à Tijuana, au Mexique, près de la frontière américaine, le 28 novembre 2018. | Pedro Pardo / AFP

Une mère porte son bébé dans un camp à Tijuana, au Mexique, près de la frontière américaine, le 28 novembre 2018. | Pedro Pardo / AFP


Repéré par Claire Levenson

Repéré sur New York Times

Le New York Times a retrouvé le plus jeune enfant isolé de sa famille à la frontière mexicaine.

En mai 2018, l’administration de Donald Trump a publiquement reconnu avoir mis en place une politique de séparation des familles à la frontière avec le Mexique. Cela faisait près d’un an que ces nouvelles règles avaient été mises en œuvre, dans le but de dissuader les familles de migrant·es de venir aux États-Unis.

Les séparations ont officiellement été arrêtées à la fin juin 2018, mais des milliers d’enfants avaient déjà été séparés de leurs familles. Les adultes étaient placé·es en détention dans l’attente de leur procès et les enfants envoyé·es soit dans des centres de rétention pour mineur·es, soit dans des familles d’accueil.

En examinant les bases de données gouvernementales, la journaliste du New York Times Caitlin Dickerson a identifié l’enfant le plus jeune à avoir été séparé de sa famille dans ces circonstances. Il s’agit de Constantin Mutu, un bébé roumain qui n’avait que quatre mois quand il a été placé dans une famille d’accueil, tandis que son père était en détention.

L’histoire de ce bébé souligne l’inhumanité de la politique de séparation mise en place par le gouvernement Trump.

Cinq mois en famille d’accueil

Les parents de Constantin, qui sont Roms, avaient quitté leur village de Roumanie dans l’espoir d’une vie meilleure aux États-Unis; beaucoup d’autres membres de la localité avaient fait le voyage. La famille Mutu pensait pouvoir obtenir l’asile en raison des persécutions anti-Roms dans leurs pays.

D’abord passés par le Mexique, Constantin et son père ont été arrêtés à la frontière américaine. La mère du bébé et son autre fils étaient restés au Mexique, avant de repartir en Roumanie.

Constantin a été envoyé dans une famille d’accueil dans le Michigan, loin de la frontière. Après deux mois de détention, son père a été expulsé; les agents lui avaient dit que son fils reviendrait avec lui, mais il n’était pas là.

En tout, Constantin est resté cinq mois dans sa famille d’accueil, qui a communiqué avec les Mutu via Skype pour qu’ils puissent rester en contact avec leur fils.

En juin 2018, la mère de la famille d’accueil a présenté le nourrisson au tribunal, où il a été convenu que Constantin retournerait en Roumanie. L’avocat représentant le gouvernement a tenté de convaincre le juge que les frais de voyage devraient être payés par la famille Mutu, mais le juge ne l’a pas écouté.

Après cinq mois, Constantin s’était attaché à sa famille d’accueil; il a eu beaucoup de mal à s’adapter à sa nouvelle vie avec ses parents en Roumanie. Le New York Times souligne que le bébé semble avoir développé un retard de langage –à l’âge de dix-huit mois, il ne dit aucun mot.

Quant à l’assistante sociale qui avait placé Constantin dans une famille d’accueil, comme nombre d’autres mineur·es, elle a depuis démissionné: son travail était devenu émotionnellement trop difficile.

http://www.slate.fr/

Une photo saisissante montre l’accélération de la fonte des glaces au Groenland


        Une photo pris au Groenland qui est particulière surtout à cette époque de l’année. Que l’eau soit visible sous la glace, et même a des endroits elle peut s’infiltrer dans les fissures. Généralement, cela est supposé arriver plus tard en fin de Juin-juillet.
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        Une photo saisissante montre l’accélération de la fonte des glaces au Groenland

        Des chiens et des traîneau avancent sur la glace dans un bras de mer recouvert de quelques centimètres d'eau.

        Sur cette photo, les chiens et les équipages de traîneaux semblent marcher sur la surface de l’eau. La présence de l’eau de fonte sur un plancher de glace de mer de plus d’un mètre d’épaisseur contribue à l’illusion. Photo: Radio-Canada / Steffen M. Olsen / Twitter

        Radio-Canada

        La fonte rapide cette année des glaces de surface sur la mer au Groenland a permis à des climatologues danois de capter des images spectaculaires de la couche d’eau de fonte qui recouvre les glaces.

        Cette photo, qui a fait le tour du monde, montrant des équipages de traîneaux à chiens semblant marcher sur les eaux bleu azur d’un bras de mer du Groenland a été prise par Steffen Olsen, du Centre pour l’océan et les glaces de l’Institut météorologique danois, le 13 juin dernier, dans le fjord Inglefield Bredning, dans le nord-ouest du Groenland.

        Selon le quotidien britannique The Guardian, lorsqu’ils ont pris ces photos où des chiens s’engagent dans la couche d’eau qui recouvre la surface de la glace, les scientifiques danois tentaient de récupérer des amarres océanographiques et de l’équipement météorologiques.

        Habituellement, la fonte des glaces de surface s’amorce au moins trois semaines plus tard.

        Selon Rasmus Tonboe de l’Institut météorologique danois, la couche de glace inférieure mesurait environ 1,2 m lors de la prise du cliché.

         « La fonte rapide et la glace de mer à faible perméabilité et peu de fissures laissent l’eau de fonte sur le dessus », a expliqué le scientifique sur son compte Twitter.

        Steffen Olsen a expliqué pour sa part que son équipe s’appuyait sur les connaissances traditionnelles des chasseurs locaux et de leurs chiens pour traverser à des endroits secs sur la glace. L’équipe a également utilisé des images satellites pour planifier son voyage à travers les glaces du Groenland.

        Malgré son aspect surréaliste, cette photo est plus « symbolique que scientifique », a estimé Steffen Olsen.

        Toutefois, souligne Ruth Mottram, climatologue à l’Institut météorologique danois, l’expédition de récupération des instruments qui se fait en traîneau à chiens, soit le moyen le plus pratique de se déplacer dans cette région à cette époque de l’année, a rencontré beaucoup d’eau stagnante sur la couche de glace marine.

      La glace se forme ici chaque hiver et elle est très épaisse, ce qui signifie qu’il y a relativement peu de fractures dans lesquelles l’eau de fonte peut s’écouler. Ruth Mottram, climatologue à l’Institut météorologique danois

      « La semaine dernière, des conditions très chaudes se sont manifestées au Groenland et, en fait, dans une grande partie du reste de l’Arctique, sous l’effet de l’air plus chaud provenant du sud », a expliqué Mme Mottram.

      Selon elle, ces conditions ont fait fondre « beaucoup de glace sur les glaciers et la calotte glaciaire, et sur la glace de mer qui existe encore ».

      La station météorologique DMI située à proximité de l’aéroport de Qaanaaq a enregistré un maximum de 17,3 °C mercredi dernier et 15 °C jeudi dernier, ce qui est élevé pour le nord du Groenland, même en été.

      Fonte prématurée

      Les événements de fonte tels que celui illustré par cette photo ne se produiraient normalement pas avant la fin de l’été, à la fin de juin ou en juillet.

      Mme Mottram a déclaré qu’il était trop tôt pour dire quel rôle le réchauffement de la planète avait joué, car bien que ces températures aient été inhabituelles, les conditions n’étaient pas sans précédent.

      En général, cependant, elle a dit : « Nos simulations du modèle climatique prévoient une diminution générale de la durée de la saison des glaces de mer autour du Groenland [mais] la vitesse et la quantité dépendent fortement de l’augmentation des températures mondiales. »

      Des températures supérieures à la moyenne sur presque tout l’océan Arctique et le Groenland au cours du mois de mai ont entraîné un recul précoce des glaces, la deuxième plus faible étendue de glace en 40 ans étant enregistrée, selon le National Snow and Ice Data Centre américain.

      Le centre a indiqué que la glace de mer de l’Arctique pour le mois de mai était de 12 millions de km carrés, soit 1,13 million de km carrés de moins que la moyenne de la période 1981-2010.

      Avec les informations de The Guardian

      https://ici.radio-canada.ca/