Dans cette ferme expé­ri­men­tale, les vaches ont le ventre percé par un hublot


Si je ne m’abuse, des vaches à hublot existent aussi aux États-Unis pour l’avoir vu dans une émission. La vache que j’avais vu à la télé, son hublot était plus propre, mais cela reste à à mon avis, de la maltraitance animale, Cette ferme dans la Sarthe, en France est un abomination. Ce n’est pas juste les vaches qui sont soumis à leurs expériences alimentaires, mais aussi d’autres animaux. C’est visiblement de la cruauté envers les animaux

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Dans cette ferme expé­ri­men­tale, les vaches ont le ventre percé par un hublot

 

Crédits : L214

par  Servan Le Janne

Au milieu des champs de Saint-Sympho­rien, dans la Sarthe, les employés de l’en­tre­prise d’ali­men­ta­tion animale Sanders plongent leur main direc­te­ment dans l’es­to­mac des vaches.

Sur les images abomi­nables révé­lées mercredi 19 juin par l’as­so­cia­tion L214, on peut les voir ouvrir un hublot en plas­tique de 15 à 20 cm, fixé à même l’ani­mal, pour faire un prélè­ve­ment. Ces canules servent à étudier la diges­tion, selon Le Monde.

Si les images ont été tour­nées en février et mai 2019, la pratique est ancienne. Elle avait déjà fait l’objet d’un docu­men­taire appelé Sauver le bœuf en 1970, dans lequel il était ques­tion de « recherches sur l’op­ti­mi­sa­tion de l’en­grais­se­ment des bœufs menées sur des cobayes fistu­lés (vaches à hublot) ». À l’Ins­ti­tut natio­nal de la recherche agro­no­mique (INRA), où cette pratique avait cours, une tren­taine de bovins sont encore soumis au trai­te­ment. On sait main­te­nant que des groupes privés recourent à cette « muti­la­tion », pour reprendre le mot de L214.

Source : Le Monde

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Des photos effrayantes montrent une araignée Sparassidae essayant de dévorer un opossum entier


Ce n’est pas le genre d’araignée qu’on voit chez moi. Cette araignée est assez impressionnante surtout avec la proie qu’elle tient entre ses pattes. On ne sait pas si le phalanger pygmée (un opossum) s’il était vivant ou mort, mais c’est quand même impressionnant.
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Des photos effrayantes montrent une araignée Sparassidae essayant de dévorer un opossum entier



araignee mange phalanger opossum


| Adam et Justine Latton

Jonathan Paiano

En Australie (oui, encore une fois), un petit opossum a eu le malheur de tomber sur une grande et effrayante araignée connue sous le nom anglophone “Huntsman spider”, il s’agit d’une Sparassidae (nom scientifique de la famille). La faune australienne semble ne pas connaître la pitié.

La vue d’une grande araignée, poilue qui plus est, n’est déjà pas une situation très confortable en conditions normales, du moins pour le commun des mortels. Si cette dernière a de plus un appétit suffisant pour tenter de dévorer un vertébré en entier, cette situation inconfortable devient pour le moins cauchemardesque.

Ce n’est vraiment pas une chose courante de voir cette espèce d’araignée choisir une tel animal comme repas. Et c’est encore plus rare de pouvoir immortaliser un tel événement. Le chanceux photographe, Adam Latton, est tombé sur le cas dans un chalet de ski du parc national du mont Field, en Tasmanie.

« C’était l’une des plus grosses araignées de ce genre qu’il ait jamais vues. Et l’opossum, petit, avait à peu près la taille d’une grosse noix », a déclaré Justine Latton, la femme d’Adam, à ScienceAlert.

araignee mange phalanger opossum

Crédits : Adam et Justine Latton

John Woinarski, biologiste de la conservation de l’Université Charles Darwin, croit que la victime de l’araignée est très probablement un phalanger pygmée (Cercartetus nanus).

 « Il y a quelques différences d’habitat entre les deux espèces (trouvées en Tasmanie), et un pygmée de l’Est est plus susceptible de se reproduire dans les habitats alpins et subalpins, tels que le mont Field », a-t-il déclaré.

Ces petits rongeurs font partie des plus petits marsupiaux du monde, pesant moins qu’une balle de golf et atteignant en moyenne 11 cm de long, sans compter la queue.

Pendant ce temps, les Sparassida (l’araignée en question) ene mesurent en moyenne que 12 cm. Il n’y a aucun moyen ici de savoir si l’opossum était encore en vie lorsque l’araignée a décidé de le dévorer.

araignee mange phalanger opossum

Crédits : Adam et Justine Latton

« J’observe les araignées depuis assez longtemps et je n’ai jamais rien vu de tel », a déclaré le taxonomiste des araignées John Douglas, du Queen Victoria Museum.

« Les deux animaux ont dû être attrapés et relâchés dehors, afin de pouvoir ouvrir la porte. Mais (alors qu’il était déjà trop tard pour le possum) l’araignée n’a pas été blessée dans l’effort », a déclaré Latton.

L’animal pris au piège, selon les experts, se nourrissait peut-être lui même d’insectes ou d’araignées plus petites peu de temps avant que la scène ne débute. En effet, bien que les phalangers pygmées se nourrissent principalement de nectar et de pollen, leur régime alimentaire inclus aussi parfois des invertébrés.

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Ces mystérieuses îles artificielles ont été construites par des hommes préhistoriques


Les îles artificielles sont faites par des humains, mais ce genre de site n’est pas récent, il semble en effet qu’ils datent de la préhistoire.
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Ces mystérieuses îles artificielles ont été construites par des hommes préhistoriques

Crédits : Fraser Sturt


par  Mathilda Caron

Les centaines d’îles arti­fi­cielles qui subsistent à travers les lacs d’Écosse, d’Ir­lande et du Pays de Galles seraient présentes depuis bien plus long­temps que les archéo­logues l’ima­gi­naient, rappor­tait la BBC le 13 juin.


Plus connues sous le nom de « cran­nogs », elles étaient autre­fois des lieux sacrés. Jusqu’à présent, les experts pensaient qu’elles dataient de l’âge du fer, envi­ron 800 ans av. J.-C. Mais une nouvelle étude publiée par la revue Antiquity révèle que certains des îlots sont beau­coup plus anciens, remon­tant à envi­ron 3700 ans av. J.-C. Ces conclu­sions sont basées sur des fouilles sous-marines qui ont mis au jour des construc­tions du Néoli­thique.

Crédits : Scot­tish Cran­nog Centre

« Ces îlots pouvaient être perçus comme des endroits spéciaux, notam­ment avec leur envi­ron­ne­ment aqua­tique créant une sépa­ra­tion avec la vie quoti­dienne », explique Duncan Garrow de l’uni­ver­sité de Reading. 

Aujourd’­hui, plus de 600 cran­nogs ont survécu.

Source : The Sun

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La zoothérapie a la cote auprès des psychologues et des travailleurs sociaux


    Cela fait longtemps qu’on connaît la zoothérapie, mais ces dernières années, on voit de plus en plus d’animaux venir au secours des enfants, adolescents, et même des adultes dans leur mal-être. L’approche avec un animal se fait plus naturellement et plus rapidement que des sessions conventionnelles.
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    La zoothérapie a la cote auprès des psychologues et des travailleurs sociaux


    Deux femmes entourées de deux chèvres, d'un cochon et d'un chien dans une cour ensoleillée.

    La zoothérapie est un outil qui suscite de plus en plus d’engouement parmi les professionnels en intervention tels que les psychologues, les travailleurs sociaux ou encore les psychoéducateurs. Photo: Radio-Canada / Catherine Dib

    Radio-Canada

    De plus en plus de professionnels se tournent vers la zoothérapie pour leurs interventions. Psychologues, psychoéducateurs et travailleurs sociaux suivent des formations afin de mieux travailler en équipe avec les animaux.

    La zoothérapie, une approche qui gagne en popularité au Québec, englobe les techniques d’intervention requérant la présence d’un animal pour améliorer le bien-être d’une personne.

    La psychologue Emmanuelle Fournier-Chouinard est familière avec le pouvoir thérapeutique des bêtes depuis longtemps.

    L’animal dans sa particularité d’être un être relationnel, mais non verbal, vient permettre de désengager les chemins habituels où l’on peut se cacher dans sa tête, explique-t-elle.

    Une méthode particulière

    Au Centre Humanimal à Saint-Honoré, Emmanuelle Fournier-Chouinard sort du cadre conventionnel de la psychothérapie en favorisant une interaction entre l’animal et l’humain, parfois par le biais d’activités.

    Chèvres, cochons, chiens, chats, tortues et canards sont notamment présents durant les séances.

    Est-ce qu’on fera un jeu de frontière avec les chevaux […] pour en apprendre plus sur notre conscience corporelle? Ou encore sur les limites à ne pas dépasser si nous ne sommes pas invités chez l’autre?, cite-t-elle en exemple.

Les bêtes peuvent être aussi un prétexte pour aborder des sujets plus difficiles. Certaines séances avec la clientèle adolescente requièrent parfois l’assistance des canards. La présence des oiseaux peut par exemple faciliter une conversation sur la puberté et la sexualité.

    Selon elle, les adolescents se sentent plus confortables de cette façon, car on n’est plus en face à face, on est en côte à côte et on ne parle plus de sexe chez les humains, on s’intéresse aux canards.

À travers ça, beaucoup vont pouvoir poser des questions qui, autrement, sont plus compliquées à discuter. Emmanuelle Fournier-Chouinard, psychologue et fondatrice du Centre Humanimal

Apprendre la zoothérapie

Emmanuelle Fournier-Chouinard transmet son savoir à de nombreux étudiants, notamment au cégep ainsi que par le biais de cours individuels.

L’une de ses apprenties, Sylvie Beauchamp, est psychologue depuis 26 ans. Elle voit déjà la différence qu’apporte un animal durant une séance de psychothérapie.

Selon elle, la présence d’une bête a permis de contourner certains mécanismes de protection, car la personne n’a plus l’impression de travailler sur elle-même, mais plutôt avec le chien.

En une seule rencontre, elle a fait des prises de conscience que je pense que ça lui aurait pris trois, quatre ou cinq rencontres dans le contexte traditionnel pour les réaliser, raconte Sylvie Beauchamp.

Une pratique de plus en plus répandue

Emmanuelle Fournier-Chouinard observe qu’il y a bel et bien un engouement pour la zoothérapie.

On le voit dans l’explosion en recherche qu’il y a sur les relations humain-animal […], dans la multiplication des formations […], souligne-t-elle.

Actuellement, on est dans un zeitgeist, un air du temps, on redéfinit la relation que nous avons avec un autre d’une autre espèce. Emmanuelle Fournier Chouinard, psychologue et fondatrice du Centre Humanimal

Zoothérapie Québec a aussi remarqué cet intérêt croissant pour la pratique. L’organisme rapporte une hausse de 12 % des services de zoothérapie offerts l’an dernier, soit un total de plus de 8000 heures d’intervention.

Le directeur général de Zoothérapie Québec, Gaël Magrini, voit une évolution des interventions.

 Notre demande auparavant était beaucoup axée sur le loisir, du moins plus qu’aujourd’hui, mais de plus en plus, on sent que les équipes de soins souhaitent nous intégrer dans leur plan d’intervention, dit-il.

La zoothérapie, il ne faut pas voir ça comme une profession en soi, il faut voir ça comme un outil d’intervention qui peut s’ajouter dans le coffre d’un intervenant, d’un professionnel de la santé ou de l’éducation. Gaël Magrini, directeur général de Zoothérapie Québec

Le directeur général espère que la pratique sera plus connue dans les années à venir.

On tient à ce que les milieux institutionnels, les décideurs, commencent à considérer la zoothérapie comme un outil clinique, comme un outil pédagogique qui peut avoir une portée importante, avance-t-il.

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