Comme une montgolfière


C’est une belle analogie avec une montgolfière et le fait qu’on doit parfois lâcher prise

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Comme une montgolfière


La vie c’est comme une montgolfière. Pour aller plus haut, il faut savoir se délester et jeter par-dessus bord tout ce qui empêche de nous élever.


Raphaëlle Giodano

Les feuilles de cette fleur ressemblent à des coli­bris


Encore l’Australie !! Cette fois-ci, c’est une fleur qui est très particulière. Elle ressemble a un oiseau, le colibri. Elle est très jolie.
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Les feuilles de cette fleur ressemblent à des coli­bris


Crédits : Octo­pusP­rime / Reddit

par  Suzanne Jovet

Sur le forum Reddit, un utili­sa­teur surnommé Octo­pusP­rime a partagé la photo d’une étrange fleur austra­lienne ressem­blant trait pour trait à un coli­bri.

En moins de 24 heures, l’image a attisé plus de 47 000 réac­tions d’in­ter­nautes intri­gués. L’un d’eux, connu sous le nom de Soli­tary Bee, a fini par iden­ti­fier son sujet lundi 24 juin.

Cette fleur qui figure un oiseau atta­ché par son bec à la tige s’ap­pelle Crota­la­ria cunnin­gha­mii. Elle a été bapti­sée par le bota­niste et explo­ra­teur Robert Brown au début du XIXe siècle. Mais les habi­tants la surnomment plus simple­ment la fleur d’oi­seau royale. 

Crédits : D. Blumer

Présente dans le nord de l’Aus­tra­lie, la plante exige une expo­si­tion régu­lière au soleil. Elle est géné­ra­le­ment nichée dans les dunes de sable, le long des plages et dans la mulga, cette végé­ta­tion semi-aride austra­lienne. La Crota­la­ria cunnin­gha­mii possé­de­rait des vertus pour soigner les infec­tions oculaires.

https://www.ulyces.co/

Le Saviez-Vous ► Qu’est-il arrivé au dernier dodo ?


On croit probablement à tort que ce sont les hommes qui ont exterminé le dodo sur l’île Maurice, il y a près 80 ans. Bien sûr, que cela n’a pas aidé cet oiseau, surtout que la femelle ne pondait qu’un oeuf à la fois. Quand les étrangers sont arrivés sur l’île, des espèces envahissantes sont venus avec eux. Le dodo n’avait auparavant aucun prédateur qui le pourchassait jusqu’à l’arrivée de certains animaux.
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Qu’est-il arrivé au dernier dodo ?

Nicolas Coter, étudie à Lycée (2020) Traducteur ·

Stefan Pociask Auteur original

Cette réponse peut ne pas être une traduction fidèle de la réponse de Stefan Pociask à Quora en anglais : What happened to the last Dodo Bird?

Le destin du pauvre dodo est légèrement déformé par l’Histoire. Il est bien connu que tous les dodos ont été traqués par les visiteurs européens car ils étaient lents et n’avaient pas de peur innée de l’Homme. Ce n’est que partiellement vrai. Ce n’est pas la raison principale de leur disparition. La vérité est plus tragique. Voici le reste de l’histoire qui explique ce qu’il est advenu du dernier dodo.

En effet, les marins ont traqués bon nombre d’entre eux simplement en s’approchant d’eux, en les attrapant ou en utilisant une machette. Cette histoire seule est vraiment triste, étant donné que les dodos n’étaient en rien stupides (comme ils le sont tristement célèbres). Ils ont juste fait confiance aux humains car ils n’avaient jamais vu d’animaux capables de leur faire du mal de quelque manière que ce soit. On pourrait donc décrire leur comportement de curiosité intrépide plutôt que de stupidité. On ne peut qu’imaginer ce à quoi ils pensaient lorsque les grands visiteurs bipèdes se sont mis à les massacrer.

Mais revenons-en à la question… oui, beaucoup d’entre eux ont bien été récupérés par les marins néerlandais. Cependant, il y a autre chose qui a eu un plus grand impact sur leur disparition définitive… les animaux envahisseurs que les marins ont apportés avec eux à bord de leurs navires; c’est-à-dire, des rats, des chats et des cochons qui sont retournés à l’état sauvage. Avant leur arrivée par la mer, il n’y avait jamais eu de rats sur l’île. Et les marins ont toujours eu cette façon de laisser les cochons ou les chèvres s’échapper sur les diverses îles qu’ils visitaient. Et les chats étaient amenés en tant qu’animaux de travail. Donc les cochons et les rats se sont proliférés dans la nature étant donné qu’ils n’avaient aucun ennemis naturels sur l’île. Et ils ont, en réalité, scellé le destin du dodo en mangeant tous les œufs de dodo qu’ils ont pu trouver, ceux-ci étant tous par terre dans les nids simples et non-protégés des dodos. La mère dodo ne pouvait poser qu’un œuf par saison. Cela n’a alors pas pris beaucoup de temps pour que la production de nouveaux bébés dodos subisse un très dur déclin. Aucun nid n’était à l’abri des cochons sauvages à la recherche de nourriture et des rats récemment introduits sur place. Le dodo en tant qu’espèce n’a pas eu de chance à ce moment-là; ces oiseaux étaient donc condamnés. Même ceux qui avaient fait leurs nids dans des lieux isolés ont fini par voir leurs petits ou leurs œufs se faire dévorer par les envahisseurs.

Sans ces animaux en maraudage, le dodo aurait bien pu survivre aux assauts des marins et des colonisateurs les chassant sur les 1800 m2 de l’île Maurice. Beaucoup d’entre eux sont mêmes devenus plus prudents par rapport aux chasseurs humains et ont adapté leur comportement en conséquence. C’est une petite consolation mais il a été rapporté que de nombreux chasseurs ont été tués par l’énorme bec crochu du dodo durant ce qui a été peut-être été leur tout dernier acte de défi. Donc oui… ils ont riposté. Mais il n’y avait aucun moyen de cacher les nids et les bébés des cochons et des rats. Et le gentil et confiant dodo en a payé l’ultime prix. “Le Dernier Dodo” peut très bien avoir été un bébé ou un œuf solitaire, perdu quelque part dans la jungle, sur lequel s’est précipité un rat et qu’il a décidé de manger… ne sachant pas qu’il ou elle, après un parcours d’un million d’années, était le dernier… le dernier de toute cette espèce.

Et cela s’est passé à peine 80 ans après que le premier dodo ait aperçu un homme tomber sur les rivages pacifiques de l’île. Il s’est dandiné avec courage ainsi qu’une curiosité simple et innocente afin d’observer ces nouveaux visiteurs… et a été massacré là où il se trouvait.

https://fr.quora.com/

L’idée du «suicide rationnel» pour les personnes âgées émerge aux États-Unis


Je suis contre l’euthanasie assistée,alors que penser des personnes aux États-Unis qui veulent avoir l’opportunité d’un suicide rationnel. C’est-à-dire, choisir de mourir avant une dégradation physique et mentale d’une personne qui avance en âge. Jusqu’où cela peut être acceptable. Qui dit que ces personnes ne sentent pas obligé de faire ce choix de peur d’être un fardeau pour la famille, ou même la société.
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L’idée du «suicide rationnel» pour les personnes âgées émerge aux États-Unis

Un suicide qualifié de «rationnel» parce qu'il ne résulte pas d'une souffrance mentale motivant un acte impulsif guidé par les affects. | Justin Natividad / Unsplash

Un suicide qualifié de «rationnel» parce qu’il ne résulte pas d’une souffrance mentale motivant un acte impulsif guidé par les affects. | Justin Natividad / Unsplash


Repéré par Ines Clivio

Repéré sur Washington Post


Elles y pensent de plus en plus.

Doit-on légaliser la mort voulue par un être humain? Le débat avance plus vite aux États-Unis qu’en France, puisque depuis le 13 juin dernier, le Maine est le huitième État à avoir fait entrer le suicide médicalement assisté dans sa législation. Les seniors américain·es vont encore plus loin. Ces générations avancent l’idée que la mort pourrait être encadrée médicalement avant même qu’un individu se trouve en phase terminale, comme l’exige la loi pour le moment. Il s’agirait alors d’un «suicide rationnel».

Dena Devis, professeure de bioéthique à l’université Lehigh de Pennsylvanie, défend ce terme dans une interview accordée au Washington Post. Opposée à l’idée communément admise sur le sujet, Davis évoque un suicide «rationnel» parce qu’il ne résulte pas d’une souffrance mentale motivant un acte impulsif guidé par les affects. À l‘image de la conception des stoïciens, il est ici considéré comme une décision relevant du libre arbitre, qui manifeste et sauvegarde à la fois la dignité humaine. La question est évoquée avec le plus grand sérieux par des personnes qui évoluent dans le milieu médical.

Maître de sa vie comme de sa mort

Dena Devis a rencontré un groupe de dix personnes retraitées de Philadelphie, qui ont décidé de se réunir secrètement hors de l’établissement dans lequel elles séjournent pour discuter de leur souhait de mettre fin à leur jour. Toutes préfèrent choisir de mourir plutôt que de subir une dégradation de leur état physique et/ou mental. Ces personnes ne mettent pas en avant l’argument du confort, de la quantité des soins ou de l’adaptation des infrastructures. Même une belle maison de retraite ne pourra pas les empêcher de perdre le contrôle sur leur santé.

«Nous disons “merci c’est gentil”, mais ce n’est pas ce que nous désirons», explique Lois, une des résidentes.

En avril, un sondage de la fondation américaine KHN a montré que quelque 364 suicides en 2017 étaient liés à une présence de longue durée en établissement spécialisé. De nombreuses personnes souffraient de dépression ou d’une autre maladie mentale. Reste à déterminer combien de passages à l’acte résultent d’une décision rationnelle. D’après Dena Davis, il serait temps d’ouvrir le débat.

Un tabou à briser

Les personnes interrogées ont conscience de la portée subversive d’un tel sujet. Il va à l’encontre de nombreuses normes sociétales, de convictions religieuses et morales et des efforts des intervenant·es en prévention du suicide qui prétendent que chaque vie vaut la peine d’être sauvée.

«En tant que membres de la société, nous avons la responsabilité de prendre soin des gens à mesure qu’ils vieillissent, explique Yeates Conwell, psychiatre à l’université de Rochester. La promotion du “suicide rationnel” risque de créer un sentiment d’obligation de recourir à cette méthode plutôt que de préconiser de meilleurs soins qui répondent à leurs préoccupations.»

Il serait pourtant vital de lancer le débat dans la mesure où, à partir d’un certain âge, «le souhait de mourir ou de vivre évolue fréquemment», ajoute Yeates Conwell.

http://www.slate.fr/

Un couple de retrai­tés pris en otage par des goélands pendant 6 jours


En Angleterre, le goéland est une espèce protégée. Au grand malheur d’un couple âgé, deux goélands ont décidé de faire leur nid sur la toiture de leur maison. Les oisillons ont tombé et il est impossible pour le couple de sortir dehors sans se faire attaquer. En attendant que les bébés s’envolent, ils ont de l’aide de la ville pour aider le couple a vaquer à leurs occupations.
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Un couple de retrai­tés pris en otage par des goélands pendant 6 jours


Credits : South West News Service

par  Suzanne Jovet

Au Royaume-Uni, un couple de retrai­tés a été retenu prison­nier dans sa maison en bord de mer par des goélands. À chaque fois qu’ils tentaient sortir du domi­cile, les oiseaux attaquaient, rapporte The Sun. Un cauche­mar digne des Oiseaux d’Hit­ch­cock qui a duré six jours.

Brenda et Roy Pickard se sont retrou­vés avec un nid sur la toiture de leur maison située dans le Lanca­shire, au nord-ouest de l’An­gle­terre. Un jour, des pous­sins sont tombés juste au-dessus de la porte d’en­trée. Il n’était désor­mais plus possible de la fran­chir sans se faire agres­ser par les deux parents goélands en colère.

« Si je tente de sortir, les deux adultes sont là et je n’ai aucune chance », a raconté Roy Pickard « C’est vrai­ment effrayant. Ma femme n’est pas très mobile en ce moment, alors elle compte sur moi. »

L’homme de 71 ans a été picoré si fort à l’ar­rière du crâne qu’il a dû être conduit à l’hô­pi­tal pour soigner ses bles­sures. Par chance, il a pu sortir par le garage, dont il laisse toujours la porte ouverte pour ne pas avoir à sortir de sa voiture.

Credits : South West News Service

Le couple s’est plaint de la situa­tion auprès des auto­ri­tés locales et des orga­ni­sa­tions animales. Seule­ment, les oiseaux sont proté­gés pendant la nidi­fi­ca­tion. Une pergola a pu être instal­lée pour que Roy ferme son garage, et les auto­ri­tés s’as­surent qu’il puisse emme­ner sa femme âgée de 77 ans à ses rendez-vous médi­caux. Mais pour que la menace s’éloigne complè­te­ment, il doit désor­mais attendre que les pous­sins s’en­volent.

https://www.ulyces.co/

Ce chien a été élu “le plus moche” du monde


Le concours a pour but de sensibiliser sur les animaux abandonnés. Avec le concours, les organisateurs veulent encourager les gens à donner une chance à ces chiens.
Un concours aux États-Unis pour trouver le chien le plus laid. Ce concours est pour sensibiliser à l’abandon des chiens physiquement différents. Car ils peuvent apporter beaucoup aux êtres humains. Ce chien, qui a gagné le concours cette année, est d’ailleurs un thérapeute en zoothérapie.
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Ce chien a été élu “le plus moche” du monde

© AFP

Le chien “Scamp the Tramp” a gagné le trophée du “World’s Ugliest Dog Competition” désignant le chien le plus laid du monde. Le concours est organisé aux Etats-Unis.

  • Des chiens viennent de tous les Etats-Unis pour participer au “World’s Ugliest Dog Competition” chaque année en Californie. Ce championnat consiste à désigner le chien le plus laid du monde. Parmi la vingtaine de participants, c’est “Scamp the Tramp” qui a remporté le trophée, rapporte le journal local The Press Democrat. 

    Yvonne Morones, la propriétaire du chien, a remporté la somme de 1.500 dollars. En plus de l’argent du prix, elle va aussi voyager avec son chien à New York pour une émission télévisée. Le concours a pour but de sensibiliser sur les animaux abandonnés. Avec le concours, les organisateurs veulent encourager les gens à donner une chance à ces chiens.

    L’événement est une célébration “des imperfections qui rendent tous les chiens spéciaux et uniques”, a expliqué l’organisation. 1.500 dollars sont donc reversés à une association caritative.

    Le petit animal gagnant avait été secouru en 2014 via le site en ligne Pet Finder. Il fait en quelque sorte de la “zoothérapie”, en se déplaçant notamment dans des écoles, des bibliothèques et des maisons de retraite, selon EuroNews.

    © CNN

    © AP

    https://www.7sur7.be/

    Quand des chats montent la garde


    C’est une excellente idée d’utiliser des chats errants qui ne sont pas social ni adoptable. On leur offre un logis, nourriture, eau, des soins médicaux si nécessaire en échange de chasser les rats et autres rongeurs dans les rues, dans les entreprises. Pour avoir un chat de garde, il faut répondre a des exigences strictes. Cela permet d’éviter l’euthanasie pour les chats et un meilleur contrôle de la population de rat dans la capitale des États-Unis.
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    Quand des chats montent la garde

    Tim Williams jetait un quart des graines pour... (PHOTO ANNA-ROSE GASSOT, AFP)

    Tim Williams jetait un quart des graines pour oiseaux et des graines de gazon du magasin Greenstreet Gardens où il travaille, situé à Alexandria, à quelques kilomètres de Washington. Mais depuis le recrutement de Rue auprès de Blue Collar Cats, les attaques de rats sur ses sacs de graines sont désormais un phénomène rare.

    PHOTO ANNA-ROSE GASSOT, AFP


    ANNA-ROSE GASSOT
    Agence France-Presse
    Washington

    Une armée de gardiens à pattes de velours veille sur des dizaines de maisons et d’entreprises de Washington, prêts à bondir toutes griffes dehors sur un intrus. Leur rétribution ? Un bol de lait devrait suffire.

    Ces agents de l’ombre sont des chats errants récupérés dans les rues de la capitale américaine et leurs proies, la population exponentielle de rats et autres rongeurs.

    Le programme Blue Collar Cats, lancé en 2017 dans le cadre de l’initiative Humane Rescue Alliance (HRA) par la ville, présente ces félins peu accoutumés à côtoyer des humains et qui ne feraient pas de bons animaux de compagnie comme une alternative écologique aux pièges et produits chimiques pour lutter contre cette infestation.

    Ils ne démontrent en général aucun intérêt pour la socialisation et, pour la plupart, ne se laissent pas approcher. Des chats parfaits pour les humains n’étant intéressés que par leur instinct de chasseurs.

    « Le chat Blue Collar reçoit du propriétaire des locaux, en échange de son effet dissuasif à l’égard des rongeurs, de la nourriture, de l’eau et un abri en cas de mauvaise météo », explique Lauren Lipsey, une responsable de la HRA, organisation spécialisée dans la protection des animaux.

    Et « le propriétaire s’engage à fournir des soins médicaux d’urgence le cas échéant et à garder un oeil sur le bien-être du chat », relève-t-elle.

    Toute personne souhaitant adopter l’un de ces gardiens solitaires subit un strict processus de sélection avec un questionnaire très précis – y compris sur la présence d’animaux domestiques dans les locaux – pour assurer un environnement accueillant au félin.

    « J’aime les animaux et même les rats – je ne les déteste pas », a confié à l’AFP Christian Kelleher, propriétaire d’une menuiserie et client de Blue Collar Cats, tandis qu’il réceptionnait deux chats de garde.

    « Avec un peu de chance, ces chats vont limiter un peu le nombre de leurs forces vives et (les rongeurs) ne vont pas se reproduire et se répandre partout », a-t-il ajouté.

    Tim Williams jetait un quart des graines pour oiseaux et des graines de gazon du magasin Greenstreet Gardens où il travaille, situé à Alexandria, à quelques kilomètres de Washington.

    Mais depuis le recrutement de Rue auprès de Blue Collar Cats, les attaques de rats sur ses sacs de graines sont désormais un phénomène rare.

    Les simples patrouilles du chat parmi les pots de fleurs suffisent à tenir les rongeurs à l’écart, a-t-il expliqué.

    Outre un terrain de jeu inépuisable et un abri, Rue dispose d’une litière et d’un griffoir.

    Ce programme s’est révélé être très efficace pour maîtriser le nombre de rats parcourant la capitale américaine, mais a aussi permis de sauver la vie de nombreux chats.

    « Avant la création de ce programme, ces chats étaient euthanasiés parce qu’ils ne pouvaient être remis en liberté là où ils avaient été capturés et ils n’étaient pas sociables ni adoptables », a précisé Mme Lipsey.

    Près de 250 chasseurs de souris ont été placés à ce stade. La HRA prévoit étendre ses services à l’avenir.

    https://www.lapresse.ca/

    250 espèces qu’on croyait dispa­rues retrou­vées dans une cité perdue au Hondu­ras


    La cité perdue au Honduras, un endroit sans route, sans infrastructure, une végétation dense, viens de dévoiler aux explorateurs des secrets. Elle cache dans sa forêt des espèces qu’on croyait éteintes au Honduras et d’autres jamais répertoriées. Preuve quand l’homme est absent, la nature se porte à merveille. C’est une raison qu’il faut préserver ce coin du monde.
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    250 espèces qu’on croyait dispa­rues retrou­vées dans une cité perdue au Hondu­ras


    Crédits : Conser­va­tion Inter­na­tio­nal’s Rapid Assess­ment Program

    par  Suzanne Jovet

    Dans une cité perdue du Hondu­ras, au fond de la forêt tropi­cale, des scien­ti­fiques ont décou­vert un écosys­tème rempli d’es­pèces mena­cées ou que l’on pensait éteintes, rapporte CNN.

    Une équipe de l’as­so­cia­tion Conser­va­tion Inter­na­tio­nal a passé trois semaines à explo­rer un site archéo­lo­gique dans la forêt de Moqui­tia.

    Cette « cité perdue du singe d’or » ou « ville blanche » aurait été bâtie par une civi­li­sa­tion pré-colom­bienne.

    Crédits : Conser­va­tion Inter­na­tio­nal’s Rapid Assess­ment Program

    « Il n’y a pas de route, pas d’in­fra­struc­ture logis­tique, vous devez donc y aller en héli­co­ptère. Et quand vous le faites, vous visi­tez des endroits où la faune à tendance à être beau­coup plus abon­dante» a déclaré Trond Larsen, direc­teur du programme.

    Parmi les animaux rares obser­vés, trois avaient, pensait-on, disparu depuis long­temps du Hondu­ras. Il s’agit de la chauve-souris au visage pâle (phyl­lo­derma stenops), du serpent coral­lien (rhino­bo­thryum boval­lii) et de la cicin­dèle (odon­to­chila nica­ra­guense), un coléo­ptère.

    Crédits : Conser­va­tion Inter­na­tio­nal’s Rapid Assess­ment Program

    Au total, les scien­ti­fiques ont décou­vert 246 espèces de papillons, 30 espèces de chauves-souris et 57 espèces d’am­phi­biens et de reptiles ; 22 n’avaient jamais été réper­to­riées au Hondu­ras.

    « Cela fait de la région une prio­rité abso­lue en matière de conser­va­tion », a indiqué le scien­ti­fique.

    Bien que la cité perdue soit offi­ciel­le­ment proté­gée depuis 2015, la défo­res­ta­tion illé­gale reste une menace pour l’éco­sys­tème.

    Crédits : Conser­va­tion Inter­na­tio­nal’s Rapid Assess­ment Program

    Source : CNN

    https://www.ulyces.co/