On n’a pas tort


Pourquoi que beaucoup d’entre nous ont si mal et sont tellement malheureux, Le passé peut-être est une grande cause de notre santé intérieure. On s’accroche à nos erreurs, aux évènements qui nous ont blessés. Sans faire un trait sur notre vécu, il faut s’en servir comme tremplin, apprendre à se pardonner.
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On n’a pas tort


Malgré ses erreurs, ses regrets, il est inutile de se punir.
Il faut apprendre à s’aider dans toutes les expériences que l’on traverse.
Cesser de penser que l’on a tort.
On apprend, tout simplement.


Inconnu

Le Saviez-Vous ► Top 5 des araignées les plus dangereuses d’Australie


Je bien contente que les araignées que je rencontre ne sont pas aussi dangereuse. Celles d’Australie sont très jolies, mais de loin.

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Top 5 des araignées les plus dangereuses d’Australie


Les araignées australiennes sont les 10 plus dangereux redbacks

Crédits : iStock

par Clara Zerbib, journaliste animalière

L’Australie est réputée pour abriter certaines des araignées les plus dangereuses de la planète. Mais, bien que la plupart qui vivent sur ce territoire sont inoffensives, il y en a effectivement qu’il vaut mieux éviter. Voici la liste des 10 araignées les plus venimeuses d’Australie !

1. L’araignée à entonnoir

Appelée Sydney funnel-web par les anglophones, cette araignée, de son nom scientifique Atrax robustus, ne mesure que 1 à 5 cm. Pourtant, elle est considérée comme l’araignée la plus dangereuse du monde.

En effet, sa morsure est très venimeuse et peut entraîner la mort en à peine 15 minutes. Heureusement, un anti-venin efficace a été mis au point en 1981 et doit être injecté dans l’heure qui suit la morsure. Et depuis, aucun décès n’a été enregistré. On rencontre cette araignée dans les endroits frais et humides de la Nouvelle-Galles du sud, et notamment dans la banlieue de Sydney.

araignée sydney funnel web

Crédits : iStock

2. La veuve noire à dos rouge

La veuve noire à dos rouge (Latrodectus hasselti) porte sur le dos une bande rouge très reconnaissable. Présente dans toute l’Australie, cette araignée d’environ 1 cma tendance à rechercher des endroits calmes et abrités. Ainsi, on peut la retrouver partout, de la boîte aux lettres à la cuvette des toilettes.

Son puissant venin neurotoxique est source d’intenses douleurs et de vomissements. Mais heureusement, aucun décès n’est à déplorer depuis la mise en place d’un anti-venin en 1984.

araignée veuve noire à dos rougeCrédits : Laurence Grayson/Flickr

3. L’araignée souris

L’araignée souris (Missulena) est une toute petite araignée d’environ 1 cm et qui se rencontre dans toute l’Australie. Les femelles de cette espèce restent généralement dans leurs terriers. En revanche, les mâles errent durant la journée à la recherche des femelles justement.

Son venin est presque aussi puissant que celui de l’araignée à entonnoir. L’anti-venin est donc le même.

araignée sourisCrédits : Jason Bond/Wikimedia Commons

4. L’araignée à queue blanche

L’araignée à queue blanche (Lampona cylindrata et Lampona murina), ou white-tailed spider, vit dans le sud et l’est de l’Australie. On la reconnaît à la rayure blanche qu’elle arbore sur son corps. Cette araignée de 2 à 3 cm de long est surtout visible la nuit, lorsqu’elle est à la recherche de nourriture.

Sa morsure, très douloureuse, peut provoquer des nécroses. Cependant, cela reste rare. Cette araignée ne présente donc aucun danger majeur pour l’homme.

araignée white tailedCrédits : Patrick.ehrenbrink/Wikimedia Commons

5. L’araignée noire

L’araignée noire (Badumna insignis), surnommée black house, est une araignée de 2 à 3 cm de long. Elle aime s’installer sur les arbres ou autour des fenêtres et des portes. Les femelles de cette espèce ne quittent jamais leur toile à moins d’y être forcées. C’est aussi là qu’elles se reproduisent avec les mâles et qu’elles pondent leurs oeufs.

Considérée comme venimeuse, l’araignée noire n’est cependant pas mortellement dangereuse. Toutefois, mieux vaut éviter de croiser sa route car sa morsure peut être atrocement douloureuse. Elle peut également provoquer des vomissements, des bouffées de chaleur et des vertiges.

araignée black houseCrédits : CSIRO/Wikimedia Commons

Source

https://animalaxy.fr/

Un Britannique fait don de deux orteils pour un cocktail canadien


Il y a des traditions qui devraient se perdre. Le Sourtoe cocktail est une ces traditions barbares. C’est du whisky avec un orteil momifié servi au Yukon. Comme les orteils ne se trouvent pas à tous les coins de rue. On fait de la publicité pour ceux qui ont eu les orteils amputés suite à des engelures. Il faut 6 mois pour qu’un orteil soit consommable, sans pourtant être destiné à être mangé, juste toucher avec les lèvres. Heureusement, que cette tradition n’est pas à la grandeur du Canada.
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Un Britannique fait don de deux orteils pour un cocktail canadien


C'est Terry Lee, "mixologue" et "maitre de l'orteil" qui va prendre soin des orteils.

C’est Terry Lee, « mixologue » et « maître de l’orteil » qui va prendre soin des orteils.

© Frank HEUER/LAIF-REA / LAIF-REA / Frank HEUER/LAIF-REA

    Le froid avait coûté deux orteils à Nick Griffiths. Ils seront mis à profit pour une tradition locale très particulière, explique « The Guardian ».

    Par LePoint.fr

Élaborer un cocktail est un art. Il faut savoir ajuster les doses, mélanger au shaker ou à la cuillère, choisir les bons ingrédients… Mais si on y ajoute une dose d’originalité, les choses peuvent prendre un tour très particulier. C’est le cas du « Sourtoe cocktail », une spécialité de l’hôtel Downtown à Dawson City dans le Yukon, dans le nord-ouest du Canada. En effet, l’ingrédient majeur est un orteil humain, comme le raconte The Guardian.

C’est grâce à l’histoire du Britannique Nick Griffiths que ce cocktail arrive sur le devant de la carte. Le sportif a participé l’an dernier à la Yukon Arctic Ultra, une course extrême, dans le froid, sur une distance de 692 kilomètres. Un défi qui lui a coûté trois orteils, amputés à cause du froid. Sur son lit d’hôpital, il a repensé à une surprenante publicité qu’il avait vue auparavant.

 « Vous avez des engelures, nous voulons vos orteils. » Initialement, il pensait à une blague. Il s’agit en fait d’une tradition, vieille de plus de 40 ans à l’hôtel Downtown. Les curieux s’y pressent pour avoir la chance de tester le « Sourtoe cocktail ».

Ne pas avaler l’orteil

Cette boisson est composée de simplement deux éléments : un shot de whisky et un orteil momifié. Les clients qui s’y risquent doivent toucher l’orteil avec les lèvres, pour faire partie de ce qui est considéré comme un « club ». En revanche, gare à ceux qui l’avaleraient, une amende est au programme. Pour les faire parvenir dans le Yukon, le Britannique a tout simplement opté pour le courrier.

« Quand la dame à la poste m’a demandé ce que contenait mon paquet, j’ai commencé à bégayer. Elle a dû croire que j’envoyais un sachet de cocaïne », confie Nick Griffiths à Radio Canada.

Pour l’hôtel Downton, c’est une très bonne nouvelle puisque l’établissement a du mal à récupérer des orteils. Il faudra désormais six mois avant qu’ils ne soient « consommables ».

« Nous devrons l’embaumer sur du gros sel avant de pouvoir le servir. Ça fait longtemps, environ trois ou quatre ans, qu’on attend un gros orteil », précise Terry Lee, le mixologue et « maître de l’orteil » des lieux.

Pendant ce temps-là, Nick Griffiths pourrait bien se décider à retourner sur place afin d’être le premier à goûter le cocktail avec son propre orteil à l’intérieur.

« Les gens vous regardent comme si vous étiez un peu fou. Mais je pense surtout que c’est amusant », souligne le donateur au quotidien britannique.

https://www.lepoint.fr/i

Les automobilistes incités à aider les tortues à traverser la route


Pour ceux qui ne savent pas encore, il y a des tortues qui vivent dans notre coin du monde. Il y a 8 espèces en Ontario et 6 espèces au Québec, et malheureusement, elles sont menacées. Sachant que les tortues se déplacent pour pondre leur oeufs, elles doivent souvent traverser la route. Et la route n’est vraiment pas le meilleur endroit pour la sécurité des tortues. Il est donc demandé d’aider ces animaux a traverser avec douceur.
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Les automobilistes incités à aider les tortues à traverser la route


PHOTO HO, PC

La Presse Canadienne
Pelee Island

Le groupe Conservation de la nature Canada exhorte les automobilistes à aider les tortues à traverser la route.

Kristyn Ferguson, directrice de la conservation pour la région de l’Ontario, rappelle que nous traversons le moment de l’année où les tortues doivent traverser les routes pour se rendre à leurs aires de nidification. Elles peuvent aussi creuser ou de déposer leurs oeufs sur l’accotement de sable ou de gravier des routes ou se réchauffer sur l’asphalte.

Les huit espèces de tortues recensées en Ontario et six autres au Québec sont considérées comme menacées.

Les tortues sont des éléments importants de l’écosystème des milieux aquatiques parce qu’elles se nourrissent de feuilles mortes, d’insectes et de débris.

Mme Ferguson dit qu’il peut s’écouler jusqu’à 25 ans avant qu’elles se reproduisent et que seulement 2 % des oeufs parviennent à l’âge adulte. En conséquence, même la mort d’une seule tortue tuée par un véhicule peut avoir des effets importants sur une population.

Elle ajoute que la plupart des tortues peuvent être facilement transportées.

Sur le site carapace.ca, on conseille de « [soulever] la carapace à deux mains vers l’arrière de la tortue en la maintenant près du sol ou de la pousser doucement hors de danger [avec un objet].

https://www.lapresse.ca/

Une épidémie menace un perroquet en danger d’extinction


Le plus gros perroquet, le Kakapo qui vit en Nouvelle-Zélande, semblait se relever du danger de disparaître à tout jamais grâce aux efforts pour protéger cette espèce. Malheureusement, une épidémie sévit sur ces oiseaux.
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Une épidémie menace un perroquet en danger d’extinction

Le kakapo, dont le nom signifie perroquet de... (PHOTO ANDREW DIGBY, AGENCE FRANCE-PRESSE)

Le kakapo, dont le nom signifie perroquet de nuit en maori, était autrefois si commun qu’un explorateur européen avait dit qu’on pouvait les faire tomber des arbres comme des pommes.

PHOTO ANDREW DIGBY, AGENCE FRANCE-PRESSE

Agence France-Presse

Wellington

Une épidémie frappe durement le plus gros perroquet du monde, le kakapo, espèce menacée de disparition, ont annoncé jeudi des scientifiques néo-zélandais.

L’une des dernières populations de kakapos, vivant sur l’île de la Morue, une terre isolée dans le sud de la Nouvelle-Zélande, a été frappée par une infection respiratoire fongique appelée aspergillose, a déclaré le Département chargé de la conservation (DOC).

Sept perroquets en sont morts, dont deux adultes, et 36 reçoivent un traitement, selon le DOC. Cela représente une perte énorme pour une espèce qui compte moins de 150 spécimens adultes.

« L’aspergillose a un impact dévastateur sur le kakapo, » a déclaré jeudi le DOC dans un communiqué.

Cette nouvelle menace intervient alors qu’il y a quelques semaines les scientifiques se réjouissaient d’une saison de reproduction exceptionnelle pour cet oiseau nocturne incapable de voler, que l’on a cru éteint. 

Grâce à des efforts soutenus sur plusieurs décennies, le nombre de kakapos – une cinquantaine dans les années 90 – a progressé légèrement.

Le programme de reproduction étroitement surveillé a comptabilisé 249 oeufs pondus, laissant espérer que 75 oisillons survivraient cette année, deux fois plus que le record précédent.

Mais les efforts se consacrent aujourd’hui à sauver les oiseaux infectés par l’aspergillose, qui semblait n’avoir tué qu’un seul kakapo avant cette année, selon le vétérinaire du zoo d’Auckland, James Chatterton.

« C’est une menace sans précédent et nous nous efforçons de comprendre pourquoi c’est arrivé cette année », a-t-il déclaré à TVNZ. 

« Notre hypothèse à l’heure actuelle est le climat : ce fut une année très chaude dans le Sud. »

La chaleur et la surpopulation des nids sur l’île de la Morue aurait pu provoquer une abondance de spores d’aspergillose.

Le kakapo, dont le nom signifie perroquet de nuit en maori, était autrefois si commun qu’un explorateur européen avait dit qu’on pouvait les faire tomber des arbres comme des pommes.

Mais ils ont disparu peu à peu en raison de l’introduction de prédateurs comme des chats et chiens et en raison de leur habitudes reproductives restrictives : ils ne s’accouplent que tous les deux à quatre ans, lorsque le rimu, un arbre indigène à la Nouvelle-Zélande, donne beaucoup de fruits.

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Une grenouille Pinocchio découverte en Nouvelle-Guinée


Une nouvelle grenouille vient de rejoindre la famille des amphibiens. Le Litoria pinocchio a un nez qui ressemble a Pinocchio, chez le mâle.
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Une grenouille Pinocchio découverte en Nouvelle-Guinée

Litoria vivissimia est une grenouille arboricole des forêts de Papouasie qui se distingue par une petite protubérance pointue entre ses narines. © Stephen Richards

Litoria vivissimia est une grenouille arboricole des forêts de Papouasie qui se distingue par une petite protubérance pointue entre ses narines. © Stephen Richards

Floriane Boyer
Rédactric

Pinocchio existe. Il vit en Nouvelle-Guinée et c’est un petit amphibien.

En effet, une nouvelle espèce de grenouille arboricole de 3 cm de long, découverte dans les forêts des monts Foja, dans la province de Papouasie (partie occidentale de l’île de Nouvelle-Guinée administrée par l’Indonésie), a été baptisée Litoria pinocchio, car les mâles possèdent une petite pointe de 2,5 mm entre leurs narines, rappelant le nez à rallonge du pantin dans les contes. La protubérance faite de chair peut se redresser ou pendouiller en avant. Les chercheurs soupçonnent qu’elle joue un rôle dans la sélection ou la reconnaissance entre espèces. Paul Oliver, conservateur au Queensland Museum et chercheur à l’université Griffith, en Australie, et ses collègues ont fait la rencontre de cette drôle de créature dès 2008 et la décrive à présent dans Zootaxa.

Une autre grenouille du même genre, Litoria vivissimia, arborant également une petite pointe sur le bout du nez, a été observée dans la cordillère Centrale de l’île de Nouvelle-Guinée, également dans sa partie indonésienne. Elle fait aussi l’objet d’une publication dans Zootaxa.

Le « petit nez pointu » porté par les mâles de cette nouvelle espèce de grenouille arboricole vivant en Papouasie, a inspiré son nom de Litoria pinocchio. © Tim Laman, Paul Oliver et al., Zootaxa, 2019

Le « petit nez pointu » porté par les mâles de cette nouvelle espèce de grenouille arboricole vivant en Papouasie, a inspiré son nom de Litoria pinocchio. © Tim Laman, Paul Oliver et al., Zootaxa, 2019


https://www.futura-sciences.com/

Augmentation des cas d’ingestion de détergent en sachet


Il y a des produits qui semblent nous faciliter la vie, mais en réalité sont de vrais danger pour les enfants. Les sachets de détergents sont une plaie, car malheureusement des enfants se sont intoxiqués croyant que c’était autre chose que du savon.
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Augmentation des cas d’ingestion de détergent en sachet


Une capsule de détergent bleue, rouge et blanche.

Des adolescents publient sur les médias sociaux des images d’eux en train de mordre dans des sachets de détergent. Photo: Associated Press / Pat Sullivan

La Presse canadienne

Au Québec comme aux États-Unis, le nombre de personnes de plus de cinq ans qui se sont intoxiquées avec du détergent en sachet a augmenté depuis quelques années.

Les chercheurs de l’hôpital pédiatrique Nationwide, dans l’Ohio, ont constaté une forte augmentation des expositions à ces détergents chez les personnes de plus de six ans entre 2012 et 2017. Deux enfants de moins de deux ans sont morts pendant cette période.

La situation est similaire au Québec. Des données fournies par le Centre antipoison révèlent que le nombre de cas d’exposition à ces détergents a presque quintuplé en quatre ans, passant de huit chez les plus de cinq ans en 2014 à 38 en 2018.

Ces sachets sont arrivés sur le marché en 2012. Leur présentation colorée les rendait attrayants et on a rapporté plusieurs cas d’enfants empoisonnés après les avoir croqués. Les produits chimiques toxiques qu’ils contiennent peuvent interférer avec le système nerveux central et le système respiratoire. Ils peuvent aussi causer des blessures graves aux yeux et aux poumons.

Puis, à la fin de 2017, le « Tide Pod challenge » a fait surface : des adolescents se mettaient au défi de mordre dans ces sachets et de mettre les images en ligne sur les réseaux sociaux.

« C’est difficile pour moi de dire ce qui est derrière [cette augmentation], puisqu’on ne peut pas distinguer ce qui est 8 ans de ce qui est 18 ans, a commenté la directrice médicale du Centre antipoison, la docteure Maude St-Onge. Mais certainement le  »Tide Pod challenge » est un phénomène dont l’envergure augmentait et pour lequel on a envoyé plusieurs messages de prévention. […] L’idéal est de ne pas avoir ces produits-là à la maison si on est capables d’utiliser autre chose. »

En revanche, les expositions chez les moins de cinq ans ont reculé de près de 34 %, passant de 148 à 98, un phénomène que la docteure St-Onge juge « encourageant ».

Aux États-Unis, le nombre d’enfants qui se sont empoisonnés a chuté de 18 % entre 2015 et 2017, une réduction à propos de laquelle les auteurs d’une nouvelle étude disent qu’on « peut faire mieux.

L’étude américaine rapporte que les centres antipoison du pays ont reçu près de 73 000 appels concernant ces sachets entre 2012 et 2017. Cela correspond à environ un appel toutes les 42 minutes, dont 92 % qui concernaient des enfants de moins de six ans.

Les auteurs de l’étude écrivent dans le journal médical Pediatrics qu’il serait pertinent de « renforcer les normes actuelles en matière de sécurité des produits pour réduire encore davantage les expositions ».

Au Québec, les deux plus grands hôpitaux pédiatriques de la province décrivent un phénomène « rare ».

« Nous ne suivons pas spécifiquement ce type d’intoxication/ingestion. […] Je peux vous assurer que c’est relativement rare. Puisque la majorité des ingestions aux savons ne sont pas dangereuses, la majorité des cas sont traités en préhospitalier par le [Centre antipoison du Québec] », a indiqué dans un courriel le docteur Antonio D’Angelo, le chef du département de pédiatrie d’urgence du CHU Sainte-Justine.

Même son de cloche du côté de l’Hôpital de Montréal pour enfants, où on a recensé un maximum de quatre cas par année entre 2013 et 2018 (dont un seul cas par année en 2014, 2015 et 2016).

https://ici.radio-canada.ca