Ces sous-marins créent des bébés icebergs pour stop­per la fonte des glaces


Des designers on présenter un projet de petits sous-marins qui dessalent et transforme l’eau en glace. Cela, pourrait-il changer quelque chose à la disparition des icebergs ?
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Ces sous-marins créent des bébés icebergs pour stop­per la fonte des glaces


Crédits : Faris Rajak Kota­ha­tu­haha

par  Nicolas Pujos

Le 6 août, la chaîne NBC révé­lait une idée folle qui pour­rait permettre de lutter contre la fonte des glaces : utili­ser de petits sous-marins pour recréer des icebergs à partir de glace épar­pillée.

L’idée a germé dans la tête de desi­gners indo­né­siens diri­gés par Faris Rajk Kota­ha­tu­haha. Afin de maté­ria­li­ser leur projet, ils ont réalisé une vidéo de présen­ta­tion dans laquelle on voit les sous -marins récu­pé­rer l’eau de l’océan, la dessa­ler puis opérer la trans­for­ma­tion d’eau en glace.

L’idée est sédui­sante mais suscite des réserves de la part de Mark Serreze, direc­teur du centre natio­nal de données sur la neige et la glace à l’uni­ver­sité du Colo­rado.

« L’idée est très inté­res­sante », mais recréer de la glace qui aurait fondu ne serait qu’ « un simple panse­ment » pour lutter contre le réchauf­fe­ment clima­tique, indique-t-il à NBC.

Faris Rajak Kota­ha­tu­haha, à l’ori­gine du projet, en est conscient. « Pour arrê­ter le réchauf­fe­ment clima­tique, nous devons bien sûr encore réduire les émis­sions de carbone dans le monde », dit-il. Mais ces sous-marins n’au­raient voca­tion qu’à appor­ter leur contri­bu­tion à un dispo­si­tif plus large. Pour arrê­ter l’hé­mor­ra­gie, on a aussi besoin de panse­ments.

Source : NBC

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Elle posait sur un iceberg en Islande, une touriste est emportée par les flots


C’est peut-être drôle, mais sur le coup, cela à du être assez éprouvant pour la grand-maman. Elle a quand même été chanceuse qu’un homme en voyage aussi en Islande avait une formation de sauvetage pour ramener la dame sur les côtes.
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Elle posait sur un iceberg en Islande, une touriste est emportée par les flots

 

par  Malaurie Chokoualé

Profes­seure d’an­glais de 24 ans en Corée du Sud, Cathe­rine Streng dit s’être litté­ra­le­ment étran­glée de rire en rece­vant les messages de son père.

Photos à l’ap­pui, celui-ci lui a conté la mésa­ven­ture de sa propre mère, tous deux en voyage en Islande. Pendant qu’elle était assise sur un iceberg pour prendre la pose, la grand-mère de Cathe­rine s’est éloi­gnée dans la grande lagune glaciaire de Jökulsárlón. Elle a été empor­tée par les vagues si rapi­de­ment sur son trône de glace qu’elle a dû être secou­rue in extre­mis. Le 28 février, BuzzFeed News parta­geait sa compas­sion et (surtout) son hila­rité pour la pauvre dame.

Cathe­rine raconte à BuzzFeed News que sa grand-mère a tout d’abord été surprise par ce bloc de glace en forme de trône. Elle n’a pas pu résis­ter à l’idée de se faire prendre en photo, assise fière­ment dessus. Alors qu’elle fixait l’objec­tif, le bloc de glace s’est soudain déta­ché à cause d’une puis­sante vague, l’em­por­tant avec lui pour une prome­nade impromp­tue sur les eaux glaciales.

Crédits : Cathe­rine Streng

Par chance, Randy Lacount, un homme origi­naire de Floride ayant suivi une forma­tion de sauve­teur, a assisté à toute la scène et s’est porté à son secours.

« Il s’est donc plongé dans les eaux tumul­tueuses et l’a tirée de l’ice­berg alors qu’il déri­vait vers la mer, la soute­nant jusqu’à ce qu’ils atteignent la côte », a déclaré le père de Cathe­rine Streng, que la situa­tion a beau­coup amusé.

Source : BuzzFeed News

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La NASA a découvert un mystérieux iceberg parfaitement rectangulaire en Antarctique


Difficile à croire que cet iceberg avec sa forme rectangulaire parfaite est fait naturellement. La nature a toujours de quoi surprendre.
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La NASA a découvert un mystérieux iceberg parfaitement rectangulaire en Antarctique

 

 

par  Laura Boudoux

Il est absolument plat, et forme un rectangle parfait, au milieu du chaos des glaciers de l’Antarctique.

Le 17 octobre, la NASA a découvert un iceberg de forme géométrique, prenant de court ses abonnés sur Twitter en postant une photo qui semble truquée.

L’iceberg flotte, à côté de la banquise Larsen C, et « ses angles aigus, ainsi que sa surface plane indiquent qu’il s’est probablement récemment détaché de la banquise », indique l’Agence spatiale américaine dans son tweet.

Voir l'image sur Twitter

 

Un iceberg qui paraît avoir été sculpté par une mystérieuse présence dans l’Antarctique, mais qui est en réalité 100 % d’origine naturelle. Si dans l’imaginaire collectif, un iceberg ressemble plutôt à un mont affûté et pointu, comme celui qui a fait couler le Titanic, il existe en vérité deux sortes de blocs de glace d’eau douce. Les icebergs tabulaires, eux, sont toujours de forme plate, et possèdent une longueur cinq fois supérieure à leur hauteur. Comme les blocs non-tabulaires, la partie visible ne représente que 10 % de sa masse totale.

Kelly Brunt, scientifique à l’université du Maryland, a comparé pour Live Science ce genre de formation à un bout d’ongle, qui aurait trop poussé et qui aurait fini par craquer, se détachant ainsi du reste de l’ongle (soit la banquise). Le plus grand iceberg tabulaire jamais enregistré est l’iceberg B-15, qui s’est détaché de la barrière de glace de Ross en Antarctique en 2000, et s’étend sur plus de 11 000 km2. L’iceberg qui vient d’être découvert n’a pas encore été mesuré, mais sa forme étonnante en fait un spécimen clairement « inhabituel », d’après Kelly Brunt.

Sources : NASA/Live Science


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Groenland: un iceberg menace un village


On déplace des gens quand il y a du danger pour leur vie, tel que les incendies, les inondations, les ouragans etc .. Au Groenland, ce sont les icebergs qui peuvent être dangereux quand ils dérivent près des côtes. Cet iceberg serait le plus grand vue de mémoire d’homme et il y a des risques de séparations qui pourraient causer des inondations dans un petit village.Et ce phénomène risques de reproduire de plus e plus souvent
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Groenland: un iceberg menace un village

 

L'île d'Innarsuit, dans le nord-ouest du Groenland, compte... (photo Magnus Kristensen, Ritzau Scanpix, via l'Associated Press)

L’île d’Innarsuit, dans le nord-ouest du Groenland, compte 169 habitants, mais seuls ceux vivant à proximité de l’iceberg ont été évacués.

PHOTO MAGNUS KRISTENSEN, RITZAU SCANPIX, VIA L’ASSOCIATED PRESS

Un iceberg de 100 mètres de haut à la dérive menace les côtes groenlandaises, conduisant vendredi les autorités locales à évacuer les personnes vivant à proximité de la côté.

La police groenlandaise a exhorté les habitants de l’île d’Innarsuit dont les maisons sont situées sur la côte à s’en éloigner par crainte de submersion si le bloc de glace venait à se rompre.

« Nous craignons un vêlage [NDLR : la séparation] de l’iceberg, provoquant une inondation dans la zone », a déclaré vendredi Lina Davidsen, chef de sécurité pour la police du Groenland, vendredi à l’agence danoise Ritzau.

Le village, situé dans le nord-ouest du Groenland, compte 169 habitants, mais seuls ceux vivant à proximité de l’iceberg – repéré jeudi – ont été évacués, a indiqué Ritzau.

« L’iceberg est toujours proche du village, la police est actuellement en discussion pour voir la suite des événements », a déclaré à l’AFP Kunuk Frediksen, l’un des responsables de la police groenlandaise.

Susanne K. Eliassen, une conseillère municipale a indiqué au quotidien local Sermitsiaq que les habitants du village avaient l’habitude de voir des icebergs massifs près d’Innaarsuit.

« Mais, cet iceberg-ci est le plus grand que nous ayons jamais vu. Il y a des fissures et des trous, ce qui nous fait craindre un vêlage », a-t-elle souligné en ajoutant que la centrale électrique du village et les réservoirs de carburant se trouvaient à proximité de la côte.

« Personne ne reste inutilement près de la plage, et on a dit à tous les enfants de rester le plus loin possible », selon la conseillère.

La découverte de cet immense bloc de glace intervient quelques semaines après la diffusion d’une vidéo – par des scientifiques de l’Université de New York – d’un iceberg se détachant d’un glacier, dans l’est du Groenland.

Selon les experts, de tels phénomènes vont se produire de plus en plus souvent.

« La production d’icebergs a augmenté au Groenland au cours des 100 dernières années dû au changement climatique », a déclaré à l’Agence France-Presse William Colgan, chercheur à la Commission géologique du Danemark et du Groenland.

Selon lui, le nombre croissant d’icebergs « augmente les risques de tsunami ».

En 2017, 4 personnes sont mortes et 11 ont été blessées à la suite d’un tsunami à proximité d’un autre village groenlandais sur la côte ouest.

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Le visage de Donald Trump gravé sur un iceberg pour dénoncer le réchauffement climatique


Bien que je trouve que Donald Trump ne vaut pas une statue, l’idée de faire son effigie sur un iceberg en Arctique est une idée qui me plait. Ceci est pour montrer au monde surtout aux climatosceptiques, que les changements climatiques sont une réalité vraiment inquiétantes.
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Le visage de Donald Trump gravé sur un iceberg pour dénoncer le réchauffement climatique

 

portrait trump iceberg

Le portrait de Donald Trump pourrait être gravé sur un iceberg.

PROJECT TRUMP MORE

Par Joël Ignasse

Une ONG finlandaise veut tailler un iceberg à l’effigie du président des Etats-Unis pour alerter contre le réchauffement du climat.

En juin 2017, Donald Trump, récemment investi, annonçait que les États-Unis se retiraient de l’Accord de Paris, conclu fin 2015 par plus de 190 pays sous l’égide de l’ONU. Le président Américain n’avait jamais caché son climatoscepticisme et avait annoncé durant sa campagne sa volonté de négocier « un nouveau traité, plus favorable au peuple américain ». Un an plus tard, le processus de Paris suit son cours sans les États-Unis et les oppositions contre la politique environnementale américaine se multiplie aussi bien

Trump va-t-il fondre ?

C’est dans ce contexte de réprobation qu’une ONG finlandaise, Melting Ice, vient de lancer un projet un peu fou mais qui, s’il se concrétise, sera vraiment spectaculaire et sans doute quelque peu effrayant. L’association veut en effet sculpter un immense portrait de Donald Trump sur un iceberg. L’œuvre mesurera près de 35 mètres de hauteur et 20 mètres de large. Un double glacé et glaçant du Mont Rushmore dans le Dakota du Sud où sont gravés les bustes de quatre anciens présidents des États-Unis. L’ambition de l’ONG étant de montrer au monde la réalité du changement climatique en observant l’effigie fondre au fil des mois dans une région, l’Arctique, qui n’est pas épargnée par le réchauffement mondial.

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Le Saviez-Vous ► L’histoire vraie du vieux couple qui meurt en se tenant la main dans "Titanic"


Le Titanic a vraiment existé et a sombrer lors d’une collision avec un Iceberg. Le film même romancé, repose sur l’histoire de ce bateau et de ses passagers.(je n’ai jamais voulu voir ce film, je n’ai vu que des publicités) Parmi eux, un couple très riche ont laissé leur place pour que les femmes et les enfants puissent être sauvés de ce naufrage.
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L’histoire vraie du vieux couple qui meurt en se tenant la main dans « Titanic »

 

© Titanic (1998).

Par Catherine Delvaux

Cette scène a marqué tous les fans du film de James Cameron.

Alors que le film « Titanic » va bientôt souffler ses 20 bougies, le magazine Country Living nous raconte aujourd’hui l’histoire de deux passagers du paquebot qui ont réellement existé et qui ont inspiré une célèbre scène du film avec Leonardo DiCaprio et Kate Winslet.

Propriétaires du grand magasin Macy’s à New York, Ida et Isidor Straus faisaient partie des personnalités les plus riches à bord du Titanic. Un peu avant minuit, le 14 avril 1912, lors de la collision avec l’iceberg, le couple s’est rapidement rendu sur le pont du navire et a suivi les instructions des officiers.

« Les femmes et les enfants, d’abord. » Avec son gilet de sauvetage, Ida Straus, 63 ans, s’est donc installée sur un canot, mais son mari Isidor, 67 ans, a refusé de la rejoindre. Selon les récits de la domestique d’Ida et le collègue d’Isidor (qui ont survécu au naufrage), le vieil homme a déclaré qu’il ne monterait pas tant que toutes les femmes et tous les enfants du Titanic (même les plus pauvres) n’étaient pas sains et saufs. En raison de son statut, Isidor aurait eu droit à une place privilégiée mais il a insisté pour rester. Face au refus de son mari, Ida a alors rebroussé chemin.

Elle a donné son gilet de sauvetage à sa domestique et aurait dit à Isidor:

« Nous avons eu une merveilleuse vie ensemble pendant 40 ans et eu six beaux enfants. Si tu ne veux monter pas sur le canot de sauvetage, je ne le ferai pas non plus. »

On peut d’ailleurs apercevoir une partie de cette discussion dans une des scènes coupées de « Titanic » (à voir ci-dessous). 

Sur le site de Country Living, l’historien Paul Kurzman (et arrière-petit-fils du couple Straus) explique les derniers instants d’Isidor et Ida. « Isidor a mis ses bras autour de sa femme. Puis, une grande vague est arrivée à bâbord et les a emportés dans la mer. C’est la dernière fois qu’ils ont été vus vivants. »

Une version légèrement différente de celle du film, qui les montre sur le lit de leur cabine en attendant que le bateau coule

Kurzman précise: « James Cameron m’a dit qu’il savait que ce n’était pas exact mais qu’il avait pris des libertés en tant que réalisateur. La vérité, c’est qu’ils sont morts debouts sur le pont, en se tenant l’un à l’autre. »

Le corps d’Ida Straus n’a jamais été retrouvé, mais sur celui d’Isidor, on a découvert un médaillon en or gravé des initiales I.S. avec une photo du fils aîné du couple, Jesse. Le 12 mai 1912, plus de 6.000 personnes ont assisté aux funérailles d’Ida et Isidor à Carnegie Hall. Un petit parc a été inauguré en leur honneur sur la 106ème rue de New York. Sur leur tombe dans le Bronx, on peut lire cette citation du Cantique des Cantiques:

« Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour, et les fleuves ne le submergeront pas. »

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Antarctique : l’un des plus grands icebergs jamais vu vient de se détacher


Depuis un bout de temps, on parle qu’environ 10% du glacier Larsen C se préparait à se séparer,. Aujourd’hui, c’est chose faite. Quelles sera les conséquences, probablement pas grand chose pour le moment, enfin, disons que la suite est surveillée par les scientifiques
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Antarctique : l’un des plus grands icebergs jamais vu vient de se détacher

 

Xavier Demeersman
Journaliste

 

    C’est fait. La fissure qui galopait ces sept derniers mois le long de la plateforme de glace Larsen C vient de rejoindre la mer. Un des plus grands icebergs jamais vu vient de naître. Aux premières loges pour l’observer, y compris durant la nuit australe et par mauvais temps : le satellite Sentinel-1

     Que va-t-il se passer maintenant que cet iceberg géant s’est décroché ?

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Le 12 juillet, la fissure dans la barrière de glace Larsen C, en Antarctique, apparue il y a plusieurs années, a atteint l’océan. Sa progression fut très rapide ces sept derniers mois.

  • Un iceberg géant, 50 fois plus grand que Paris et contenant autant d’eau que le lac Ontario, vient de naître.

  • Les scientifiques vont le surveiller de près. S’il se disloque, il pourrait dériver dans l’océan. Autrement, il pourrait se maintenir dans la même zone. Le reste de Larsen C devrait se fragmenter.

Le suspense dure depuis plusieurs mois mais l’heure du dénouement est arrivée : la longue fissure dans la plateforme de glace de Larsen C, au nord de l’Antarctique, vient de rejoindre l’océan. C’est donc un des plus grands icebergs jamais observés (de mémoire d’Homme) qui vient de naître ce 12 juillet, sous les yeux des scientifiques. Alors que la nuit et l’hiver austral règnent sur la région, les images radar du satellite Copernic Sentinel-1 (ESA), indispensables dans ces conditions, témoignent du vêlage d’une pièce de glace grande comme deux fois le Luxembourg.

« Cet évènement est un épisode spectaculaire dans l’histoire récente des barrières de glace de l’Antarctique, qui implique des forces au-delà de l’échelle humaine, dans un endroit où peu d’entre nous sont allés, et qui changera fondamentalement la géographie de cette région » écrit dans The Conversation Adrian Luckman, glaciologue à l’université de Swansea, Royaume-Uni, et membre de l’équipe scientifique du projet Midas qui étudie de près la progression de cette fissure.

 Apparue il y a plusieurs années, elle a beaucoup attiré l’attention des médias et du public depuis début 2017. Son avancée rapide impressionne et, enfin, début juillet, les chercheurs savaient que son destin était scellé.

« Nous nous attendions à cela depuis des mois mais la rapidité de la rupture finale a été un peu une surprise, déclare le chercheur à l’ESA. Nous allons continuer à surveiller à la fois l’impact de ce vêlage sur la plateforme de glace Larsen C et le sort de cet énorme iceberg. »

Le saviez-vous ?

Le nom de Larsen donné aux plateformes de glace de la péninsule Antarctique fait référence à l’explorateur norvégien Carl Anton Larsen qui, dans les années 1890, fit leur découverte.

Comme en témoigne cette image radar du satellite Sentinel-1, la fissure dans la plateforme de glace Larsen C est arrivée jusqu’au bout, détachant ainsi un iceberg géant, l’un des plus grands jamais observés. © Copernicus Sentinel data (2017), ESA, CC BY-SA 3.0 IGO

Comme en témoigne cette image radar du satellite Sentinel-1, la fissure dans la plateforme de glace Larsen C est arrivée jusqu’au bout, détachant ainsi un iceberg géant, l’un des plus grands jamais observés. © Copernicus Sentinel data (2017), ESA, CC BY-SA 3.0 IGO

Quel est l’avenir de cet iceberg géant ?

La superficie du nouvel iceberg est de 6.000 km2, ce qui, en comparaison, équivaut à 50 fois la taille de Paris, ou un département français comme le Gard ou la Savoie. Quant à son poids, les chercheurs l’estiment à plus d’un million de millions de tonnes. Il contiendrait autant d’eau que le lac Ontario, situé à la frontière américano-canadienne. Va-t-il fondre tout de suite et se déverser dans l’océan ? Son avenir est encore difficile à prédire, répondent les chercheurs. Il ne devrait pas partir à la dérive mais plutôt se maintenir dans la région durant plusieurs décennies. Sauf s’il se désintègre…, livrant alors une mosaïque de petits morceaux à la dérive vers les eaux plus chaudes. Ce sont des questions auxquelles les scientifiques cherchent des réponses, surtout dans notre monde qui se réchauffe.

Son influence restera toutefois imperceptible. Il ne représente que 10 % de Larsen C. Mais cette barrière qui cède morceau par morceau menace la stabilité des glaciers alentour.

En tout cas, « il n’y aura certainement pas d’effondrement imminent, sans aucun effet direct sur le niveau de la mer, car l’iceberg est déjà à flot et déplace son propre poids dans l’eau de mer » explique le professeur Luckman.

Du moins pas tout de suite. À terme, « compte tenu uniquement des bassins versants de glaciers qui s’écoulent dans Larsen C, le total, même après des décennies, sera probablement inférieur à un centimètre ».

Une partie des scientifiques, dont Luckman, pensent qu’à moyen terme, le reste de Larsen C, la quatrième plus grande plateforme de glace de l’Antarctique, aura le même sort que celui qu’ont connu Larsen A et B (en 1995 et en 2002), lesquels s’étaient désintégrés assez soudainement. Les satellites sont aux aguets

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Progression de la faille dans Larsen C depuis un an. Animation créée à partir des images radar de Copernic Sentinel. © Copernicus Sentinel data (2016–17), Swansea University

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Un iceberg géant sur le point de se détacher en Antarctique


 

En Antarctique, un des plus gros icebergs est sur le point de rupture. Il ne semble avoir de conséquences sur la montée des eaux pour le moment, mais il est annexé à une barrière qui pourrait laisser passer d’autres icebergs qui eux feraient augmenter les eaux de quelques cm aux mers du monde
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Un iceberg géant sur le point de se détacher en Antarctique

 

 

Au final, Larsen C (photo) pourrait ainsi suivre l’exemple de Larsen B, une autre barrière de glace qui s’était désintégrée de façon spectaculaire en 2002 au terme du même processus. Une 3e plateforme glaciaire, Larsen A, avait disparu en 1995.

PHOTO ARCHIVES REUTERS/NASA

 

Agence France-Presse
Paris

Un des plus gros icebergs jamais vus est sur le point de se détacher du continent antarctique, ont indiqué jeudi des chercheurs de l’Université de Swansea (Royaume-Uni).

Surveillée depuis des années, la crevasse qui fissure sur près de 200 km un énorme pan de glace attaché à l’ouest de l’Antarctique s’est encore allongée de 17 km en seulement six jours, du 25 au 31 mai, annoncent les scientifiques dans un communiqué.

Il ne reste plus que 13 km avant que ce morceau de banquise de plus de 5000 km2 (soit près de 50 fois la superficie de Paris, ou la taille de Bali) ne se détache.

«L’extrémité de la crevasse semble se diriger nettement vers (la mer), ce qui signifie que le moment du vêlage est sans doute très proche», indique Adrian Luckman, professeur à la Swansea University (Pays de Galles), qui dirige le projet Midas, consacré aux formations glaciaires dans l’Antarctique Ouest.

Une fois libéré, l’iceberg n’aura pas d’impact sur le niveau des océans, car cette glace de 350 m d’épaisseur flotte déjà sur l’eau.

Mais il fait partie d’une gigantesque barrière de glace, baptisée «Larsen C», qui retient des glaciers capables, eux, de faire gagner 10 cm aux mers du monde s’ils finissaient par se trouver à terme exposés à l’océan Antarctique, selon les chercheurs.

«La perte d’un tel morceau rendra tout le plateau vulnérable à de futures ruptures», souligne leur communiqué.

Au final, Larsen C pourrait ainsi suivre l’exemple de Larsen B, une autre barrière de glace qui s’était désintégrée de façon spectaculaire en 2002 au terme du même processus. Une 3e plateforme glaciaire, Larsen A, avait disparu en 1995.

La formation des icebergs est un processus naturel, que le réchauffement de l’air comme des océans contribue cependant à accélérer, soulignent les scientifiques.

L’Antarctique est une des régions du monde qui se réchauffent le plus rapidement, rappellent les responsables du projet Midas.

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Un iceberg géant va se détacher de la banquise en Antarctique


Un iceberg de 5.000 km2 s’apprête de se détacher de la banquise en Antarctique. Depuis plusieurs années, cet iceberg a commencé le processus, mais depuis un mois à accéléré la séparation. Cela est probablement dû au réchauffement climatique qui pourrait faire augmenter le niveau de l’eau mondialement
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Un iceberg géant va se détacher de la banquise en Antarctique

 

« 

Larsen C est sur le point de perdre une surface de plus 5.000 km² après une nouvelle progression de la fracture », avertissent les chercheurs du Projet Midas dans un communiqué. © afp.

Un morceau de glace de 5.000 km2 est sur le point de se détacher de la banquise en Antarctique. Cet iceberg se forme sous l’effet du réchauffement climatique.

© epa.

Un morceau de banquise de la taille du Jura est sur le point de se détacher de la barrière de Larsen, dans l’Antarctique, ce qui devrait en faire l’un des plus gros icebergs jamais vus. 

Accélération brutale de la fracture

Larsen C, une étendue de glace côtière de la péninsule Antarctique, se fissure lentement depuis plusieurs années, mais le processus s’est brutalement accéléré le mois dernier, rapportent des scientifiques de l’université de Swansea, au pays de Galles. La fracture s’étend désormais sur 80 km et il n’en reste que 20 pour retenir l’étendue de glace qui se détache.

« Larsen C est sur le point de perdre une surface de plus 5.000 km² après une nouvelle progression de la fracture », avertissent les chercheurs du Projet Midas dans un communiqué.

Élévation du niveau de l’eau à l’échelle mondiale

L’événement, ajoutent-ils, « va changer fondamentalement l’aspect de la péninsule antarctique » et pourrait provoquer d’autres fracturations.

Les scientifiques craignent que le recul de la banquise dû au réchauffement climatique ne provoque une accélération du glissement des glaciers vers la mer, ce qui pourrait se traduire par une élévation du niveau de l’eau à l’échelle mondiale.

Plusieurs étendues de banquise se sont déjà fracturées récemment sur la côte nord de l’Antarctique, dont celles de Larsen A et B, qui se sont respectivement désintégrées en janvier 1995 et en février 2002.

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Et si le Titanic avait coulé à cause d’un incendie?


Le Titanic continu être une fascination pour certains. D’après un documentaire, que j’ai vu, il y a longtemps, beaucoup d’éléments laissent croire qu’il n’était pas prêt à partir et pourtant… Aujourd’hui, on croit qu’il y a eu un autre point faible qui a aidé à rencontrer leur destin à des milliers de personnes
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Et si le Titanic avait coulé à cause d’un incendie?

 

Selon de nouvelles recherches, un incendie serait la cause première du naufrage du Titanic. © afp

« Ce naufrage n’est pas l’histoire d’une simple collision entre un paquebot et un iceberg », indique un expert dans The Independent.

© afp.

Ce mystère a désormais plus d’un siècle: pourquoi le Titanic a coulé en 1912? La thèse de la collision avec un iceberg est la plus connue mais de nouvelles recherches évoquent une autre théorie.

Photos à l’appui

Selon The Independent, le Titanic a coulé parce qu’un incendie a fragilisé la coque. Le journaliste britannique Senan Molony est arrivé à cette conclusion. Il a passé plus de trente ans de sa vie à tenter d’expliquer les causes du naufrage. Il s’est basé sur les photos prises par le chef des ingénieurs électrique avant que le paquebot ne quitte les chantiers navals de Belfast.

Sur ces clichés, Senan Molony a pu identifier de grandes marques noires sur la coque avant droite, tout près de l’endroit où l’iceberg a transpercé la coque du bateau. Selon les experts, ces marques ont bel et bien été causées par un incendie parti dans un stock de carburant.

« Le paquebot n’aurait jamais dû être mis à la mer »

« Ce naufrage n’est pas l’histoire d’une simple collision entre un paquebot et un iceberg. C’est l’addition de facteurs extraordinaires : le feu, la glace et la négligence. Cet incendie était connu mais il a été minimisé. Le paquebot n’aurait jamais dû être mis à la mer », indique Senan Molony..

Le Titanic a coulé au fond de l’Océan Atlantique dans la nuit du 14 au 15 avril 1912. Ce naufrage a fait environ 1 500 morts.

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