Un fermier trouve des « pommes fantômes » sur ses arbres après un froid polaire


Un curieux phénomène s’est produit dans une ferme au Michigan. Le froid glacial a gelé des pommes dans l’arbre. Mais les pommes ont quand même pu se décomposer laissant une pomme de glace. C’est jolie comme tout !
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Un fermier trouve des « pommes fantômes » sur ses arbres après un froid polaire

 

par  Laura Boudoux

Fermier dans le Michi­gan, Andrew Siet­sema a retrouvé sur ses arbres des « pommes fantômes ».

Avec le froid polaire qui s’est récem­ment abattu sur les États-Unis, un grand nombre de fruits ont tout simple­ment gelé, avant de tomber des arbres. Mais certaines pommes ont gelé, avant de se décom­po­ser à l’in­té­rieur du gel, ne lais­sant sur l’arbre que la coquille glacée formée par le froid, rapporte CNN.

« Il faisait assez froid pour que la glace qui recou­vrait les pommes n’ait pas encore fondu, mais il faisait suffi­sam­ment chaud pour que l’in­té­rieur de la pomme se trans­forme en bouillie, puisqu’elles ont un point de congé­la­tion plus bas que l’eau », a expliqué le fermier.

C’est effec­ti­ve­ment les chan­ge­ments brutaux de tempé­ra­tures qui ont permis la créa­tion de ces « pommes fantômes ».

« Du froid glacial à des tempé­ra­tures supé­rieures à la moyenne cette semaine, nous sommes passés à une jour­née de pluie verglaçante au lieu de la neige à laquelle est habi­tuée l’ouest du Michi­gan », a ajouté le météo­ro­logue Judson Jones. D’après le spécia­liste, ce genre de pluies « trans­for­mera tout ce qu’elle touche en glace pure ».

Sources : CNN

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Mariée au fantôme d’un pirate, elle annonce leur divorce


Bon, pour ma part, les fantômes  et moi, .nous sommes incompatibles.. Mais je respecte ceux qui y croient. Ce que je ne comprends pas par contre comment peut-on légalement se marier avec un « fantôme ».
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Mariée au fantôme d’un pirate, elle annonce leur divorce

 

Amanda Teague a mis fin à sa relation avec « Jack« , un pirate haïtien décédé au 18e siècle qu’elle a épousé au début de l’année.

En février dernier, Amanda Teague, une Irlandaise de 35 ans, a épousé le fantôme d’un pirate prénommé Jack décédé il y a plus de 300 ans. Mais quelques mois plus tard, leur union improbable touche déjà à sa fin. 

« J’ai le sentiment qu’il est temps d’annoncer à tout le monde que mon mariage est terminé », a-t-elle écrit sur les réseaux sociaux, comme le rapporte l’Irish Mirror. « J’expliquerai tout en temps voulu, mais pour l’instant, tout ce que je peux dire, c’est d’être TRÈS prudent quand on touche à la spiritualité. Ce n’est pas quelque chose avec quoi il faut rigoler… »

Pour que l’union soit légale, le couple s’est marié lors d’une cérémonie privée sur un bateau dans les eaux internationales au large de l’Irlande. Amanda avait engagé un médium pour l’occasion, afin que Jack puisse dire « oui » et obtenir ainsi un certificat de mariage officiel.

À l’époque, Amanda avait raconté au magazine américain People qu’elle avait « rencontré » Jack en 2014. Ce pirate haïtien du 18e siècle, qui a été exécuté pour vol, lui aurait rendu visite dans son sommeil. Elle aurait ensuite communiqué avec lui durant plus de six mois avant de se marier avec lui.

« J’ai été horrifiée de découvrir que j’avais des sentiments romantiques pour lui. Je n’avais jamais entendu parler de cela auparavant », avait-elle confié.

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Des bateaux fantômes s’échouent au Japon


Pour survivre en Corée du Nord, les habitants ont besoin d’une alimentation plus soutenue, c’est ce que la mer peut leur donner. Cependant, les embarcations semblent précaires et beaucoup finissent par errer entre les vagues pour devenir des bateaux fantômes et parfois avec des cadavres en accompagnement jusqu’au Japon
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Des bateaux fantômes s’échouent au Japon

 

Sur cette photo datant de novembre 2015, des... (ARCHIVES AFP)

Sur cette photo datant de novembre 2015, des garde-côtes japonais inspectent un bateau en bois nord-coréen s’étant échoué près de la ville portuaire de Sakai.

Associated Press
Tokyo

 

Des dizaines de bateaux de bois en très mauvais état et arrivant probablement de la Corée du Nord se sont échoués sur les rives du nord du Japon.

La Garde côtière japonaise a annoncé lundi avoir retrouvé 95 «bateaux fantômes» depuis le début de l’année, ce qui signifie qu’on surpassera probablement le total de 104 embarcations retrouvées l’an dernier. Douze cadavres, parfois réduits à l’état de squelettes, ont été trouvés à bord.

Les vents et les courants poussent des dizaines de bateaux du genre vers les côtes japonaises chaque année. Les fragiles embarcations de pêche nord-coréennes sont particulièrement vulnérables, puisqu’elles ne sont souvent pas assez robustes pour retourner à leur port.

Les responsables japonais ont multiplié les patrouilles en réponse à une explosion des arrivées depuis quelques années.

Cette hausse découle peut-être d’une campagne nord-coréenne pour augmenter les prises de poisson, puisque le pays manque de protéines pour atteindre l’autosuffisance alimentaire et nourrir sa population, ce qui cause de graves problèmes de santé, selon des experts.

Les pêcheurs nord-coréens prennent peut-être plus de risques, et entrent peut-être illégalement dans les eaux territoriales du Japon, pour remplir leurs quotas.

Plus du tiers des bateaux trouvés cette année sont arrivés sur l’île d’Hokkaido, à l’extrémité nord de l’archipel japonais, probablement parce qu’ils naviguent plus au nord pour tenter d’échapper à la Garde côtière japonaise.

La multiplication des «navires-fantômes» suscite aussi des craintes de sécurité. L’an dernier, la Garde côtière a trouvé 40 survivants à bord, mais aussi 30 cadavres.

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En Thaïlande, ces hommes se vernissent les ongles pour ne pas être tués par un fantôme


Les superstitions à certains endroits sont vraiment étonnantes. Des hommes vont mettre du vernis à ongles pour éviter qu’une veuve fantôme viennent les tuer. Tout cela à cause de plusieurs morts dont deux inexpliqués.
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En Thaïlande, ces hommes se vernissent les ongles pour ne pas être tués par un fantôme

 

Crédits : Sanook

par  Dylan Kuperblum

 

À Pu Hong, petit village de la province de Kalasin, au nord-est de la Thaïlande, des jeunes hommes ont décidé de se vernir les ongles.

Après les décès successifs de cinq individus (deux hommes et trois femmes) en trois semaines, ils pensent que le fantôme présumé d’une veuve meurtrière serait derrière la perte des cinq villageois, rapporte le site d’information thaïlandais Coconuts. Se vernir les ongles — selon ces hommes, comme pourrait le faire une femme — aurait pour effet de repousser la veuve-fantôme meurtrière…

Parmi les défunts, deux hommes de la même famille. Les causes de leur mort sont encore non-élucidées, mais d’après les rapports des autorités, ils se seraient morts « sans raisons apparentes ». La troisième victime est décédée dans un accident de moto. Quant aux deux autres, aucune information n’a été partagée pour le moment. Pour Pongpipat Pukrongtoong, le maire adjoint du village, les habitants ne pensent pas qu’il s’agisse d’une coïncidence. Au contraire, ils blâment la caractère surnaturel du village d’être derrière cette vague de mort.

Bussadee Malasee, la médium du village, est également de cet avis et dit être convaincue de la culpabilité de deux fantômes bien spécifiques : celui de la fameuse veuve et un pop (une sorte de fantôme Thaïlandais). Elle ajoute que la veuve fantôme veut tuer des hommes alors que le pop « possède » les personnes âgées et les faibles de son village avant de les manger de l’intérieur. C’est pour cette raison que les jeunes hommes du village ont décidé de se vernir les ongles. A priori, ils ne seraient pas des potentielles victimes du « pop ».  Ils ne s’arrêtent pourtant pas là. Pour faire fuir la veuve fantôme, les hommes ont également accroché des panneaux devant leur maison. Sur cette photo, on peut lire : « Aucun homme ne vit ici ».

Crédits : Sanook

Selon un autre média local, le docteur Pornpat Phunw

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Une femme tombe amoureuse d’un fantôme et espère tomber enceinte


Personnellement, je ne crois pas aux fantômes, et je respecte ceux qui y croient, mais là, c’est un peu fort. Vouloir un bébé avec un fantôme, elle prétend que ce bébé serait aussi un fantôme et comme par hasard, il serait pris dans son corps … En tout cas, elle a délaissé son fiancé pour faire sa vie avec des fantômes.
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Une femme tombe amoureuse d’un fantôme et espère tomber enceinte

 

Tout a commencé avec une présence, il y a dix ans © getty.

Jeanne Poma.

Source: Daily Mail, Metro

Elle déclare qu’elle a déjà eu des relations sexuelles avec une vingtaine de fantômes.

Depuis une dizaine d’années, cette Britannique a décidé de mettre un terme à ses « relations conventionnelles » pour se tourner vers les fantômes. Spécialisée en spiritualité, elle raconte avoir rencontré l’amour en Australie. Pour elle, ce spectre pourrait être sa véritable âme sœur.

La rencontre

« Un jour, je me promenais dans la brousse, je profitais de la nature et j’ai tout à coup ressenti une énergie incroyable. J’ai tout de suite su que je rencontrais mon nouvel amant », raconte-t-elle.

La jeune femme a maintenu cette relation avec le fantôme et, six mois plus tard, elle l’a ramené avec elle, au Royaume-Uni. Elle confie avoir des doutes sur le genre du fantôme mais elle sait que la communication existe et qu’ils ont ensemble des relations sexuelles.

Un bébé

« C’est très sérieux », insiste la jeune femme de 30 ans. D’après ses recherches, elle pourrait créer un « bébé fantôme » avec l’esprit. « Mais comme le bébé serait un fantôme lui aussi, il serait piégé dans mon corps et la grossesse ne se terminerait pas », avance l’experte.

Elle poursuit tout de même ses recherches pour contourner le problème.

La première fois avec un fantôme

Il y a dix ans, la jeune femme était fiancée. Quelque temps après avoir déménagé dans sa nouvelle maison, elle a été surprise par une présence. Elle a directement été séduite par ces sensations et elle a continué à se promener en tenues légères dans sa maison.

« C’était un peu comme si je ressentais un poids, une pression entre mes cuisses. Et en même temps un souffle, une caresse ».

Le fiancé de retour à la maison aurait lui aussi ressenti une présence paranormale. C’est après cet épisode que la jeune femme a décidé de rompre et de laisser tomber les vivants.

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Pourquoi les fantômes n’existent pas ? Les explications scientifique


Comme certains le savent, je ne crois pas aux fantômes, je ne crois pas que ceux qui sont mort viennent nous hanter, même si parfois, il y a des évènements étranges. Si les fantômes existeraient, il dégagerait une forme d’énergie et d’après un scientifique le grand collisionneur de hadrons n’aurait pas détecté une forme de signature des fantômes. Je doute par contre que cela pourrait faire changer d’avis à ceux qui croient aux fantômes
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Pourquoi les fantômes n’existent pas ? Les explications scientifique

 

Nathalie Mayer

Journaliste

 

Le grand collisionneur de hadrons (LHC) est le plus grand et le plus puissant accélérateur de particules au monde. Depuis sa mise en service en 2008, il fournit une avalanche de données qui permettent aux physiciens des particules d’affiner leurs théories et leurs modèles. C’est, par exemple, grâce à lui qu’a pu être identifié le fameux boson de Higgs.

Le rapport avec les fantômes ? C’est le physicien théorique britannique Brian Cox qui l’explique :

« Si nous voulons faire une place aux fantômes dans nos vies, nous devons inventer une extension du modèle standard de la physique des particules qui a jusqu’alors totalement échappé aux expériences menées à l’aide du grand collisionneur de hadrons. C’est presque inconcevable aux échelles d’énergie typiques des interactions de particules dans notre corps », assure le pensionnaire de la Royal Society.

Certains pourraient être tentés d’opposer à Brian Cox que le modèle standard qu’il brandit ainsi est une théorie bien incomplète. Le physicien assure que la question de l’existence des fantômes n’est pas de celles qui posent problème au modèle.

Les expériences menées au cœur du grand collisionneur de hadrons apporteraient la preuve que les fantômes n’existent pas. © Cern

Les expériences menées au cœur du grand collisionneur de hadrons apporteraient la preuve que les fantômes n’existent pas. © Cern

Aucun fantôme détecté au Cern

S’il reconnaît qu’il existe des choses qui ne peuvent pas encore être découvertes grâce au grand collisionneur de hadrons, il affirme que celui-ci permet toutefois de détecter l’énergie induite par les informations qui circulent dans nos cellules. Le physicien est ainsi convaincu que si les fantômes existaient, leur signature aurait immanquablement été détectée par l’accélérateur de particules géant du Cern.

Pour achever sa démonstration, Brian Cox explique aussi que, de toute façon, l’existence des fantômes irait à l’encontre de la deuxième loi de la thermodynamique. Rappelons que celle-ci impose que l’entropie totale — comme une mesure du désordre — d’un système isolé augmente de manière inexorable au fil du temps. Ainsi, l’énergie utilisable par le système est perdue à mesure que le temps passe et que le désordre s’installe. Et, sans énergie extérieure, impossible de renverser la barre.

« Si nous ne pouvons ni toucher ni interagir avec des fantômes, c’est qu’ils sont nécessairement faits d’énergie et non de matière. Or, si la seconde loi de la thermodynamique est vraie, l’énergie se perd et il serait impossible pour de telles entités de maintenir leur existence pour une duréesignificative », conclut Brian Cox.

Des explications qui n’empêcheront pas ceux qui sont persuadés d’avoir vécu des expériences surnaturelles de penser que la science découvrira un jour un modèle défiant toutes les connaissances… et qui redonnera vie aux fantômes !

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Craignant un fantôme tueur d’hommes, 60 Indiens ont fuit leur village


Cette croyance de fantôme semble très forte dans cette région de l’Inde, au lieu de trouver une réponse plus réaliste il préfère croire à un esprit qui selon leur dire serait une femme, car seulement des hommes y meurent
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Craignant un fantôme tueur d’hommes, 60 Indiens ont fuit leur village

Crédits : DR

Au village de Kasiguda, dans la région indienne de Telangana, les hommes ont quitté leurs maisons par peur d’un fantôme.

Cet esprit féminin tuerait exclusivement des hommes. En seulement trois mois, trois d’entre eux sont morts dont deux frères. Selon l’article du 13 octobre du DailyMail, il n’y aurait aujourd’hui plus personne à Kasiguda.

Les soixante habitants qui vivaient dans ce petit village l’ont tout bonnement abandonné. Tailleurs de pierre pour l’essentiel, ils ont déguerpi, craignant d’être étranglés dans leur sommeil. Car les trois mort n’ont pas été expliquées. Il n’en fallait pas plus pour que ces villageois qui croient aux esprits imaginent un spectre féminin tueur d’hommes la nuit tombée. Il n’accepteront de revenir qu’une fois l’endroit « dépossédé ».


Crédits : DailyMail

Source : DailyMail

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Le Saviez-Vous ► Pourquoi croyons-nous (ou pas) aux fantômes ?


Je sais que beaucoup aux fantômes, pour ma part, je crois à une vie après la mort par contre, je ne crois pas aux fantômes.  Quoiqu’il puisse parfois arriver des choses étranges, notre cerveau est prêt à donner une explication surnaturelle à ce qu’il ne comprend pas, encore plus s’il y a une suggestion. Même si la science ne peut pas tout expliquer, je suis certaine qu’il y a toujours une explication logique quelque part
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Pourquoi croyons-nous (ou pas) aux fantômes ?

Pourquoi croyons-nous (ou pas) aux fantômes ?

Pourquoi croyons-nous (ou pas) aux fantômes ?

Les présences de l’au-delà peuvent nous rassurer ou nous faire peur. Et si notre cerveau nous jouait des tours ?

Faites-vous partie, comme 42% des Américains, des personnes qui croient aux fantômes, aux esprits ou aux apparitions surnaturelles ? Rien d’étonnant, d’après les scientifiques qui se sont penchés sur cette question ces dernières années, car notre cerveau est programmé pour donner un sens à ce qu’il ne comprend pas. C’est cette prédisposition qui nous permet de voir des formes dans les nuages, d’entendre des messages cachés dans des enregistrements, ou de croire que nous avons aperçu un fantôme.

Elle nous permet aussi de nous attacher à des objets, de nous énerver contre notre ordinateur et de donner un prénom à notre voiture. En ce qui concerne les fantômes, d’autres facteurs apportent leur contribution. La suggestion, avant tout. Lorsqu’on rentre dans une maison « hantée » la nuit, nous sommes prêts à voir un esprit flotter devant nos yeux. Il sera donc plus facile d’interpréter une expérience banale comme une apparition magique. D’après d’autres théories scientifiques, le fait d’avoir perdu une personne aimée et de percevoir sa présence après sa mort peut aider à se sentir moins seuls.

Du bon et du mauvais 

Croire à la présence de forces de l’au-delà nous aide également à maintenir une sensation de contrôle sur le monde qui nous entoure, et parfois, améliorer ainsi notre comportement ou nos performances. Penser que notre balle de tennis est plus « chanceuse » que les autres augmente notre confiance en nous et diminue l’anxiété, ce qui peut nous aider à gagner la partie. Croire aux expériences surnaturelles pourrait donc avoir du bon.

Mais comment faire lorsque ces suggestions terrifient les enfants ? Il n’est pas anodin pour les petits âgés de 2 à 4 ans de souffrir de peurs passagères comme celle des sorcières ou des fantômes. Dans ce cas, vous pouvez veiller à bien choisir les dessins animés, les images et les histoires auxquels l’enfant est confronté. Lorsqu’il a peur, écoutez-le, aidez-le à faire la différence entre le monde réel et le monde de l’imaginaire, et rassurez-le.

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Le mystère de cette moto fantôme (presque) élucidé


C’est vraiment bizarre cette auto en France qui a circulé sans personne pour la guider. Un fantôme, sûrement pas, mais il n’y a pas vraiment explication du parcours de l’auto, sauf que c’est par la suite d’un accident sur la route
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Le mystère de cette moto fantôme (presque) élucidé

 

Le HuffPost  |  Par Diane Frances

Non, cette moto n’était pas conduite par un obscur esprit amateur de sensations fortes. Le Parisien a retrouvé la « moto fantôme » qui a déambulé en solitaire le long de l’autoroute A4 à hauteur de Maisons-Alfort (Val-de-Marne) dimanche 28 mai.

La scène avait scotché de nombreux automobilistes: une moto qui roule, sans pilote, sur une autoroute et sur plusieurs kilomètres sans s’arrêter ni tomber, c’est peu commun. Eddy – comme l’a surnommé Le Parisien qui a recueilli son témoignage – rentrait d’un dimanche en famille où il avait célébré la fête des mères, lorsqu’il a assisté à ce mystérieux phénomène:

C’était en fait un accident de la route. Selon les informations du quotidien, la moto et une voiture sont entrées en collision, ce qui a provoqué la chute du motard. Le conducteur de la voiture s’est alors arrêté pour prendre à son bord le motard blessé et tenter de retrouver la fugitive.

Mais en vain: la moto a étrangement disparu. Les jours passent et le pilote, un jeune homme d’une vingtaine d’années blessé au bras et rétabli après une hospitalisation, n’a toujours pas mis la main son deux-roues.

Il a fini par recevoir un appel de la police: sa moto a été retrouvée, mais on ne sait encore où ni ce qui lui est arrivé entre temps. Soit elle a été volée puis abandonnée, soit ce sont les patrouilleurs de l’autoroute qui l’ont récupérée.

Mais comment a-t-elle pu poursuivre sa course effrénée sans conducteur, d’autant plus après un accroc avec un autre véhicule?

Jean-Pierre Goy, cascadeur moto qui a notamment été la doublure de James Bond, a expliqué au Parisien que ce genre de moto, « avec un centre de gravité très bas, a pu continuer sa route (…) j’ai déjà vu des motos rouler de la sorte même plus longtemps, notamment avec le régulateur de vitesse bloqué ».

Un détail ne tient cependant pas la route dans cette théorie: la moto en question n’était pas pourvue d’un régulateur de vitesse. Affaire à suivre…

 

http://quebec.huffingtonpost.ca

Le Saviez-Vous ► «Ghostwach», le faux documentaire d’Halloween qui a traumatisé l’Angleterre


En 1992, l’Angleterre à été traumatisé par un faux documentaire de fantôme au temps de l’Halloween. Ils croyaient que tout était vrai …
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«Ghostwach», le faux documentaire d’Halloween qui a traumatisé l’Angleterre

 

Repéré par Grégor Brandy

Quand les téléspectateurs sont persuadés de regarder la réalité, alors que tout n’est que fiction…

Vous avez probablement déjà entendu parler de l’histoire autour de La Guerre des Mondes et de son adaptation radio diffusée par Orson Welles le 30 octobre 1938, qui aurait causé un vent de panique un peu partout aux États-Unis, alors que les Américains étaient persuadés d’entendre un vrai journal et s’attendaient à l’arrivée des extraterrestres. Si cette histoire relève plus de la légende urbaine que des faits, il y a bien une autre histoire fausse qui a traumatisé une population. Pour de vrai.

Le site Mental Floss revient dans un article passionnant et détaillé sur un faux documentaire diffusé le 30 octobre 1992 sur la BBC.

«Après avoir déclenché plus de 20.000 appels, un accouchement, et des milliers de lettres enragées, l’équivalent du CSA britannique a convoqué une audition. Le 27 juin 1995, ils ont déterminé que les producteurs de “Ghostwatch”, avait délibérément “cultivé une sensation de menace”. En d’autres termes, la BBC avait été reconnue coupable d’avoir fait bien flipper onze millions de personnes.»

Ce soir-là, la chaîne britannique avait diffusé un mockumentaire sur une famille vivant dans une maison apparemment hantée où un fantôme refusait de partir et terrorisait la famille. Histoire de faire les choses bien, les producteurs avaient fait venir des animateurs familiers pour présenter le programme, et seul un des crédits indiquait que l’émission avait été écrite par un scénariste.

Au fur et à mesure de la soirée, on apprenait que Pipes (le nom du fantôme) était en fait probablement celui d’un homme dérangé, lui-même hanté par le fantôme d’un tueur d’enfants du XIXe siècle.

Au fur et à mesure, Pipes devient plus effrayant et dangereux, jusqu’à ce qu’une présentatrice «disparaisse dans le vide sanitaire sous les escaliers pendant qu’un expert en paranormal annonçait que les téléspectateurs venaient d’assister à une séance de spiritisme collective qui venait d’enhardir un peu plus Pipes. À la fin de l’émission, Michael Parkinson, un présentateur alors en studio était apparemment possédé par l’esprit du fantôme».

Autant dire que tout le monde n’a pas bien vécu cette histoire, visiblement persuadé que ce qui venait de se passer était réel. Quelques heures plus tard, la BBC prévient ses téléspectateurs que tout ceci était fiction. Trop tard. Tout le monde tombe sur la chaîne britannique –dont ses propres experts– et l’émission doit faire face aux conséquences sur son ambigüité.

Dix-huit mois après, un rapport publié dans le British Medical Journal évoque deux cas de stress post-traumatique chez des enfants de 10 ans à cause de cette émission. D’autres médecins évoquent eux aussi des cas similaires. Plus grave, un jeune adulte se suicide quelques jours après, et ses parents accusent «Ghostwatch» d’avoir joué un rôle.

L’émission annonçait en un sens le succès à venir de programmes similaires, comme Le Projet Blair Witch ou Paranormal Activity.

«Si ces films n’ont pas eu pour autre conséquence que des envies de vomir chez certains spectateurs, “Ghostwatch” a parfaitement combiné la crédibilité de la BBC avec une histoire de fantômes efficace pour créer une expérience que l’on ne dupliquera probablement jamais. Non pas que la BBC veuille la recréer. Depuis sa première diffusion, le programme n’a jamais été rediffusé au Royaume-Uni.»

http://www.slate.fr/