Des jujubes au pot dans un sac d’Halloween


Heureusement, que des parents donnent des consignes de ne pas manger de bonbons pendant la collecte et que les parents font une inspection tout en jetant les bonbons qui n’ont l’emballage d’origine. Dans le fond, je ne vois vraiment pas l’intérêt de faire des bonbons au THC qui sont comme ceux que les enfants mangent. Probablement, qu’il s’agit d’une erreur (enfin, j’espère) cela montre qu’il y a des gens vraiment irresponsables.
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Des jujubes au pot dans un sac d’Halloween

PHOTO FOURNIE PAR LA GRC VIA PC

La police affirme que les parents ont par la suite découvert dans le sac de friandises un sachet aux couleurs de l’Halloween contenant plusieurs bonbons de type jujubes.

(Coldbrook) Des parents en Nouvelle-Écosse ont découvert un produit de cannabis comestible dans le sac de bonbons récoltés par leur enfant à l’Halloween.

LA PRESSE CANADIENNE

Selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC), les parents, de Coldbrook, dans la vallée d’Annapolis, ont déclaré aux enquêteurs que leur enfant faisait partie d’un petit groupe de huit jeunes qui ont passé l’Halloween dans la région jeudi soir.

La police affirme que les parents ont par la suite découvert dans le sac de friandises un sachet aux couleurs de l’Halloween contenant plusieurs bonbons de type jujubes.

Le sachet comprenait, au dos, des informations sur la teneur en THC du produit ainsi qu’un logo représentant une feuille de marijuana.

PHOTO FOURNIE PAR LA GRC VIA PC

Les parents ignorent l’origine du sachet puisque les enfants ont visité des maisons à Cambridge, Kentville et Coldbrook.

https://www.lapresse.ca/

Campagne choc: «pour certaines femmes, le film d’horreur dure toute l’année»


3 courtes vidéos tirées de scènes de films d’horreurs pour une campagne de sensibilisation de la violence faites aux femmes au Québec, cependant cette violence est partout dans le monde. J’aime les films d’horreurs tant que cela reste dans le domaine du fictif pour le cinéma et non dans la réalité des femmes.
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Campagne choc: «pour certaines femmes, le film d’horreur dure toute l’année»


Par Camille Laurin-Desjardins

Les trois vidéos de cette campagne pastichent trois scènes de films d’horreur bien connus, pour rappeler à la population que ce genre d’horreur n’arrive pas que dans les films.


Le Y des femmes de Montréal et le YWCA de Québec profitent de cette journée d’Halloween (en tout cas, ce qu’il en reste) pour lancer une campagne choc, intitulée «Il faut que ça arrête».

Les trois vidéos de cette campagne qui donne froid dans le dos pastichent trois scènes de films d’horreur bien connus (Psycho, Scream et Halloween), pour rappeler à la population que ce genre d’horreur n’arrive pas que dans les films.

Depuis 2004, le taux de criminalité a diminué dans tous les secteurs au Canada, SAUF dans celui des violences faites aux femmes, rappellent les deux organismes. 

Pourtant, «il y a longtemps qu’on ne voyait plus de campagne de sensibilisation contre la violence envers les femmes dans les médias. Il est temps de sortir la violence faite aux femmes des faits divers et de remettre cet enjeu de société à l’avant-plan. C’est exactement ce que souhaite faire cette campagne choc», a souligné Mélanie Thivierge, présidente et directrice générale du Y des femmes de Montréal, dans un communiqué publié ce matin.

Voyez les vidéos ci-dessous… 

Psycho (Psychose):

Scream (Frissons):

Halloween:

Alors que les histoires de violence faite aux femmes ou aux filles se multiplient dans les médias, et que les maisons d’hébergement débordent partout à travers la province, le Y des femmes de Montréal et le YWCA de Québec veulent rappeler aux Québécois que la violence faite aux femmes doit cesser.

Les trois scénarios – inspirés du fait que dans les films d’horreur, les agresseurs sont majoritairement des hommes et les victimes, majoritairement des femmes – ont été réalisés par Sarah Pellerin. Les vidéos mettent en vedette Mylène McKay, Charlotte Aubin et Catherine Renaud.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

33 vieilles photos terrifiantes


Il fut une époque que l’horreur n’était pas juste au cinéma. Des photos du passé qui peuvent donner la chair de poule
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33 vieilles photos terrifiantes

 

1. Des mannequins fondus et endommagés après un incendie au musée de cire de Madame Tussaud à Londres. [1930]

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

2. Des patrons du Hell’s Café à Paris, qui a fermé ses portes au milieu du 20e siècle.

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

3. Des candidates à un concours de beauté où les juges ne devaient pas les évaluer sur leurs looks.

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

4. Un ancien costume d’Halloween terrifiant. [1910]

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

5. Deux ingénieurs réparent un animatronique de Disney.

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6. Une femme subit un traitement antitaches de rousseur. [1930]

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7. Un masque à gaz Mickey Mouse, utilisé à l’époque pour rendre ces appareils plus attrayants pour les enfants. [1942]

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

8. Myrtle Corbin est née en 1868 avec un bassin supplémentaire. Myrtle a passé ses premières années dans un numéro de cirque.

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

9. Un premier exemple du «horsemanning», la version de 1920 du «planking».

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10. Deux parents posent avec leur fille morte au milieu. La photographie étant dispendieuse à l’époque, une photo était prise à votre naissance, votre mariage et votre décès. [Ère victorienne]

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11. Deux femmes portant des masques d’oiseaux ont une conversation.

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12. Une photo de famille très étrange.

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13. Une fille qui a grandi dans un camp de concentration dessine sa «maison» dans une résidence pour enfants perturbés. [1948]

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14. Des troupes américaines dans des armures corporelles Brewster. [1917]

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15. Katharina Detzel, une malade mentale qui a construit un homme fait de la paille de son lit. [1910]

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16. Deux clowns et le père Noël visitent une fille à l’hôpital. [1950]

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17. L’isolateur, un chapeau qui exclut tous les sons. L’oxygène était acheminé à l’aide d’un réservoir et les yeux avaient des fentes de sorte que vous ne pouviez voir qu’une seule ligne de texte à la fois. [1925]

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18. Des enfants à l’Halloween. [1900]

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19. Le père Noël n’était pas toujours de bonne humeur.

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

20. Des participantes à un concours des plus beaux yeux en Floride. Elles portaient des masques afin que les juges ne voient que leurs yeux. [1930]

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

21. Une infirmière et un nouveau-né posent dans leurs masques à gaz. [1940]

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

22. Un soldat en état de choc lance un regard effrayant. [1916 – 1918]

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

23. Un train à vapeur R’lyehian après l’explosion d’une chaudière.

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24. Le neurologue Duchenne de Boulogne électrocute le visage d’un homme pour étudier les muscles du visage en France. [1862]

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

25. Une réunion du Club Mickey Mouse. [1930]

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

26. Le costume d’Halloween de l’homme pauvre. [1940]

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

27. Deux patrons à la fête Rothschild «Illuminati». [1972]

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

28. Ella Harper souffrait d’un trouble affaiblissant les ligaments dans les genoux. Elle était connue comme la Fille Chameau. [1870-1921]

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29. Un homme Navajo habillé comme un esprit Nayenezgani.

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30. Le ventriloque Jules Vernon avec sa famille de marionnettes terrifiante. [1867 – 1937]

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31. Un poumon d’acier utilisé pour traiter les enfants avec la polio. [1930]

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32. Des garçons reviennent de leur initiation dans le Poro, une société secrète dans certaines parties de l’Afrique. [1936]

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33. Max Schreck assis entre les prises du film muet Nosferatu: A Symphony of Horror. [1922]

33 vieilles photos terrifiantes pratiquement inexplicables

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Un enfant hospitalisé après avoir mangé un chocolat qui contenait du métal


Si on ne veut pas fêter l’Halloween, qu’on est contre cette fête, ou qu’on veut faire des conneries, on n’attaque pas les enfants en leurs donnant des bonbons contaminer avec des objets ou des comprimés. Les parents doivent vraiment être vigilant avec toutes les idioties des gens qui s’amusent dangereusement au dépens des enfants
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Un enfant hospitalisé après avoir mangé un chocolat qui contenait du métal

 

MICHAEL FRESHWATER / EYEEM VIA GETTY IMAGES

D’autres cas de bonbons contaminés ont été rapportés en Ontario à la suite des festivités d’halloween.

La police régionale de Waterloo, en Ontario, a révélé qu’une fillette de 11 ans a dû subir une chirurgie après avoir mangé une friandise chocolatée qui contenait du métal.

Les autorités policières ont expliqué que l’enfant, qui réside dans la région de Cambridge, a ingéré un morceau de «moule au beurre d’arachides Reese» contenant un morceau de métal dont la provenance fait l’objet d’une enquête.

Selon la police, la fillette a été transportée à l’hôpital de sa région avant d’être transférée à l’établissement de Hamilton pour subir une chirurgie.

La porte-parole de la police, Cherri Greeno, a précisé vendredi que l’état de santé de l’enfant ne faisait pas craindre pour sa vie.

D’autres cas de bonbons contaminés ont été rapportés en Ontario à la suite des festivités d’halloween.

À London, les policiers ont dit ne pas être en mesure de retracer l’endroit où un enfant s’est fait offrir une petite barre de chocolat contenant une aiguille. L’enfant n’a heureusement pas été blessé.

À Barrie, les policiers ont rapporté qu’un enfant de 11 ans a reçu un bonbon «Tootsie Roll» contenant une pilule. La substance a été identifiée comme de la mélatonine, un supplément qui aide à contrer les effets du décalage horaire ou à aider à favoriser le sommeil chez les gens qui ont un horaire de travail inhabituel ou qui souffrent d’un trouble du rythme circadien.

Du côté du Nouveau-Brunswick, les policiers enquêtent sur des incidents rapportés à Fredericton et à Bathurst. Un clou et une aiguille ont été retrouvés dans des friandises d’halloween.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

L’Halloween et l’effrayante industrie des confiseries


C’est assez effrayant, je trouve, que des statistiques canadiennes parlent de plusieurs millions amassés juste en octobre pour l’industrie de la confiserie. Si on ajoute en plus des autres fêtes, ce sont des milliards de dollars. Alors dans le monde, si on fait le total, les chiffres sont exorbitants.
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L’Halloween et l’effrayante industrie des confiseries

 

 

Par Catherine Lefebvre


Pendant que les enfants se réjouissent à faire du porte-à-porte pour faire le plein de bonbons chez tous les voisins du quartier, les confiseurs, eux, se remplissent les poches de millions de dollars.

Même si les origines de l’Halloween nous viennent de nos ancêtres irlandais (et Écossais comme mon ami Jack, me l’a fait rappeler nlrd), la tradition du trick-or-treat est apparue en Amérique dans les années 1950. Les confiseurs ont profité de l’occasion pour produire de plus petits formats de leurs bonbons adorés, de manière à rendre la tradition d’autant plus agréable. Bien que les fêtes de Noël et de Pâques étaient déjà lucratives pour les fabricants de bonbons, voilà que l’Halloween est devenue une vache à lait importante pour l’industrie.

L’année dernière, les détaillants de confiseries et de grignotines ont enregistré des ventes de près de 420 millions de dollars au mois d’octobre seulement, selon les données de Statistiques Canada, soit 100 millions de plus que la moyenne mensuelle de 2015. C’est plus que les prédictions d’Agriculture et Agroalimentaire Canada des ventes annuelles de boissons énergisantes. À force de consommer des bonbons à l’Halloween, à Noël, à la Saint-Valentin, à Pâques, à l’année quoi, les ventes totales de friandises et grignotines frôlent les 4 milliards de dollars par année.

N’ayez crainte! Agriculture et Agroalimentaire Canada n’ont que de bons mots à propos des confiseries canadiennes :

« Lorsqu’elles font partie d’un régime alimentaire équilibré, les confiseries canadiennes peuvent être très nutritives et répondre à une bonne part des besoins quotidiens en calcium, magnésium et riboflavine, ainsi qu’en vitamines A, C et B12. »

Peu importe le « rush » de sucre, il ne faudrait pas passer à côté des vitamines et minéraux dans les jujubes ?

Ce discours farfelu est fréquemment utilisé par l’industrie de la confiserie, tout comme alimentaire, et par le ministère qui la représente il faut croire. Premièrement, personne ne devrait se fier à des bonbons ou autres sucres ajoutés pour combler ses apports en nutriments, pas même le sirop d’érable ni le miel. Deuxièmement, mangeons des (vrais) aliments, pas des nutriments. Sinon, ça tend à médicaliser l’acte de manger et rendre le tout bien moins agréable. Troisièmement, si vous mangez des bonbons ce soir, mangez ceux qui vous tentent. Ils sont tous épouvantablement sucrés de toute façon, même si le sucre est « naturel » et bio.

Trop de sucre, ce n’est pas bon. Tout le monde sait ça. Mais, ce n’est généralement pas ce qui convainc une bibitte à sucre de se tenir loin du bol de friandises censées être données aux enfants le soir de l’Halloween.

Ceci dit, chaque fois que vous achetez des bonbons, solides ou liquides, pensez plutôt à la multinationale que vous encouragez, celle qui veut vous faire croire qu’en ayant « un régime alimentaire équilibré », vous pouvez manger des confiseries et des boissons sucrées sans vous soucier du reste, de tout le reste. Ça, c’est bien plus horrifiant que tous les clowns effrayants rassemblés.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► UNE HISTOIRE DE L’HALLOWEEN


L’halloween est issu d’une fête païenne qui plus tard le christianisme a voulu s’approprier de cette fête pour la Toussaint fêtée le 1 er novembre le fête des morts. Ce qui n’a pas vraiment marché étant donné que l’halloween a évolué avec le temps et demeure toujours une fête païenne
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Une histoire de l’halloween

 

 


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Si l’Halloween est aujourd’hui une fête associée à l’enfance et aux bonbons, ses origines sont plutôt liées à d’anciennes traditions celtiques…

Les célébrations de la Samhain:


Jeux de divination en Irlande le 31 octobre
Crédit photo:
Daniel Maclise, 1833

Chez les populations celtiques d’Écosse et d’Irlande, et plus particulièrement chez les Gaéliques, la période de la fin des récoltes était source de célébrations et marquait en même temps le passage à l’hiver, au froid et à la noirceur. Une période propice à une ouverture entre le monde des vivants et celui des morts, pendant laquelle il était possible de communiquer avec eux, mais pendant laquelle il fallait aussi se protéger de ceux qui pourraient revenir avec de mauvaises intentions. Ces croyances ont donné lieu à un festival appelé la Samhain, célébré il y a plus de 2000 ans du coucher du soleil du 31 octobre à celui du 1er novembre.


(
Source)

Pendant la journée, les gens rentraient les récoltes pour l’hiver, en échangeaient entre eux lorsque nécessaire et ramenaient le bétail des pâturages pour la froide saison. La fin des travaux agricoles était alors marquée par des festivités autour d’un feu de joie, dont la lumière allait protéger les fêtards des mauvais esprits, qui allaient circuler lors de cette nuit bien spéciale.


(
Source)

La christianisation des anciens territoires celtiques au Moyen Âge semble avoir donné naissance à une fête chrétienne dédiée aux Saints catholiques plutôt qu’aux morts, appelée en anglais « All Saints Day », aussi appelée « All Hallows Eve », qui a donné conséquemment le mot populaire d’Halloween. Bien que mise en place afin de détourner les fidèles des anciennes célébrations paiennes, les traditions des feux de joie et des costumes pour effrayer les morts ont été conservées et ont survécu aux siècles…

Des costumes simples… mais effrayants!


(
Source)

Comme les esprits inquiétaient et fascinaient pendant cette nuit bien spéciale, il était de coutume de porter un déguisement la nuit du 31 octobre afin d’effrayer les esprits et fantômes qui auraient voulu faire du mal. À l’origine, ces déguisements étaient simples, mais pensés pour faire peur. Pas de clowns, de sorcières ou de Jedis, de simples draps, de vieux vêtements et de la paille pouvaient être très efficaces!


(
Source)

Et la citrouille?

(Source)

Les origines de l’utilisation d’une citrouille comme lanterne pour circuler dans les rues remontent quant à elles à un ancien mythe irlandais, celui de Jack la Lanterne. La légende raconte que Jack aurait voulu jouer des tours à nul autre que le Diable en personne! Il l’aurait notamment invité un soir pour boire un verre et l’aurait défié de se changer en pièce de monnaie pour payer l’adition. Chaque fois qu’il se jouait du diable, il lui faisait promettre de le laisser tranquille pour une année, pour dix ans, etc. et de ne pas lui prendre son âme.


(
Source)

À sa mort, Jack s’est vu refusé les portes du Paradis, en raison de son côté joueur de tours. Et pour se venger, le Diable lui a aussi refusé les portes de l’Enfer, condamnant Jack è à errer de par le monde avec un morceau de charbon pour éclairer son chemin. Jack aurait creusé un navet pour se faire une lanterne et de ce mythe découlerait la tradition de faire des lanternes avec des pommes de terres, des navets et des citrouilles lors de la nuit de l’Halloween, toujours dans l’espoir d’éloigner les mauvais esprits…

Evelyne Ferron
Spécialisée en histoire ancienne

http://www.historiatv.com/

Le Saviez-Vous ► «Ghostwach», le faux documentaire d’Halloween qui a traumatisé l’Angleterre


En 1992, l’Angleterre à été traumatisé par un faux documentaire de fantôme au temps de l’Halloween. Ils croyaient que tout était vrai …
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«Ghostwach», le faux documentaire d’Halloween qui a traumatisé l’Angleterre

 

Repéré par Grégor Brandy

Quand les téléspectateurs sont persuadés de regarder la réalité, alors que tout n’est que fiction…

Vous avez probablement déjà entendu parler de l’histoire autour de La Guerre des Mondes et de son adaptation radio diffusée par Orson Welles le 30 octobre 1938, qui aurait causé un vent de panique un peu partout aux États-Unis, alors que les Américains étaient persuadés d’entendre un vrai journal et s’attendaient à l’arrivée des extraterrestres. Si cette histoire relève plus de la légende urbaine que des faits, il y a bien une autre histoire fausse qui a traumatisé une population. Pour de vrai.

Le site Mental Floss revient dans un article passionnant et détaillé sur un faux documentaire diffusé le 30 octobre 1992 sur la BBC.

«Après avoir déclenché plus de 20.000 appels, un accouchement, et des milliers de lettres enragées, l’équivalent du CSA britannique a convoqué une audition. Le 27 juin 1995, ils ont déterminé que les producteurs de “Ghostwatch”, avait délibérément “cultivé une sensation de menace”. En d’autres termes, la BBC avait été reconnue coupable d’avoir fait bien flipper onze millions de personnes.»

Ce soir-là, la chaîne britannique avait diffusé un mockumentaire sur une famille vivant dans une maison apparemment hantée où un fantôme refusait de partir et terrorisait la famille. Histoire de faire les choses bien, les producteurs avaient fait venir des animateurs familiers pour présenter le programme, et seul un des crédits indiquait que l’émission avait été écrite par un scénariste.

Au fur et à mesure de la soirée, on apprenait que Pipes (le nom du fantôme) était en fait probablement celui d’un homme dérangé, lui-même hanté par le fantôme d’un tueur d’enfants du XIXe siècle.

Au fur et à mesure, Pipes devient plus effrayant et dangereux, jusqu’à ce qu’une présentatrice «disparaisse dans le vide sanitaire sous les escaliers pendant qu’un expert en paranormal annonçait que les téléspectateurs venaient d’assister à une séance de spiritisme collective qui venait d’enhardir un peu plus Pipes. À la fin de l’émission, Michael Parkinson, un présentateur alors en studio était apparemment possédé par l’esprit du fantôme».

Autant dire que tout le monde n’a pas bien vécu cette histoire, visiblement persuadé que ce qui venait de se passer était réel. Quelques heures plus tard, la BBC prévient ses téléspectateurs que tout ceci était fiction. Trop tard. Tout le monde tombe sur la chaîne britannique –dont ses propres experts– et l’émission doit faire face aux conséquences sur son ambigüité.

Dix-huit mois après, un rapport publié dans le British Medical Journal évoque deux cas de stress post-traumatique chez des enfants de 10 ans à cause de cette émission. D’autres médecins évoquent eux aussi des cas similaires. Plus grave, un jeune adulte se suicide quelques jours après, et ses parents accusent «Ghostwatch» d’avoir joué un rôle.

L’émission annonçait en un sens le succès à venir de programmes similaires, comme Le Projet Blair Witch ou Paranormal Activity.

«Si ces films n’ont pas eu pour autre conséquence que des envies de vomir chez certains spectateurs, “Ghostwatch” a parfaitement combiné la crédibilité de la BBC avec une histoire de fantômes efficace pour créer une expérience que l’on ne dupliquera probablement jamais. Non pas que la BBC veuille la recréer. Depuis sa première diffusion, le programme n’a jamais été rediffusé au Royaume-Uni.»

http://www.slate.fr/

Des hommes habillés en clowns tentent d’attirer des enfants dans les bois


Est-ce vrai où c’est un canular que des gens qui se déguisent en clown pour terroriser les enfants et adultes ? Cela provoque une peur incontrôlable aux États-Unis, qui est augmenter par les réseaux sociaux.
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Des hommes habillés en clowns tentent d’attirer des enfants dans les bois

 

À quelques semaines d’Halloween, fête pendant laquelle les Américains adorent mettre des costumes lugubres, une série de clowns sinistres aperçus à travers les Etats-Unis crée la panique, forçant police, écoles et même la Maison Blanche à intervenir.

(…) Les provinces du Canada prennent aussi au sérieux le phénomène des clowns terrifiants.

Les premiers signalements de ces silhouettes effrayantes ont eu lieu en août en Caroline du Sud quand la police a été appelée pour enquêter sur des informations selon lesquelles des hommes habillés en clowns tentaient d’attirer des enfants dans les bois.

Elles se sont révélées fausses, mais depuis des signalements similaires de clowns rôdant près des écoles ou d’entreprises, parfois armés au volant de camionnettes, ont eu lieu dans des douzaines d’Etats.

Une école en Ohio (nord) a fermé par précaution après qu’une femme eut dit avoir été attaquée par un homme habillé en clown.

Des centaines d’étudiants de l’université Penn State, en Pennsylvanie (est), sont partis à la chasse au clown mardi soir après des signalements semblables.

La Maison Blanche est même intervenue pour dire lors d’un briefing que ces rôdeurs devaient être pris au sérieux et que 12 personnes avaient déjà été arrêtées. La police fédérale (FBI) et le département de la Sécurité ont été consultés sur la manière de réagir à cette menace potentielle.

A quelques semaines d’Halloween, le 31 octobre, quand des millions d’enfants déguisés vont de maison en maison récolter des bonbons sous la menace de jeter des sorts (le fameux « trick or treat »), le phénomène a également envahi la toile avec « #IfISeeAClown » (si je vois un clown) parmi les hashtags les plus populaires sur Twitter et le compte @SpookyClowns (clowns effrayants) attirant plus de 200.000 abonnés.

Le réseau social Instagram croule aussi sur les photos de gens habillés en clowns qui prennent des poses menaçantes ou au contraire offrant des câlins.

Phobie

La paranoïa est telle que les autorités de Californie et de l’Oregon se sont trouvées forcées d’intervenir pour répondre aux signalements de clowns et aux menaces sur les réseaux sociaux dirigés contre des écoles, considérés comme des canulars.

Le sergent Juan Briseno, de la police du comté de Los Angeles, a expliqué à l’AFP que les patrouilles avaient augmenté dans la ville de Carson, en banlieue de Los Angeles, à la suite de messages menaçants sur Twitter, et qu’un officier de police rattaché aux écoles avait été dépêché pour informer chaque établissement du problème.

Autre ville proche de Los Angeles, Lancaster a aussi été prise de panique quand des hommes portant des masques de clowns et qui auraient peut-être porté des couteaux ont été vus à pied, tentant d’effrayer les gens, selon la police.

Une école dans l’Oregon s’est trouvée contrainte d’envoyer un email à tous les parents pour les rassurer après des rumeurs qu’un clown prévoyait de s’en prendre à des étudiants.

L’épidémie, réelle ou imaginée, de clowns effrayants et la paranoïa qu’elle entraîne est à rapprocher du phénomène de « coulrophobie », nom clinique donné par les psychologues à la phobie des clowns, et qui a augmenté dans la foulée du roman de Stephen King publié en 1986 « Ça », par la suite adapté en film, qui dépeint un clown malfaisant.

« Près d’une personne sur dix dit avoir la phobie des clowns », fait remarquer Matthew Lorber, directeur du service de psychiatrie pour enfants et adolescents de l’hôpital Lenox Hill à New York.

« Ne pas être en mesure de voir le visage de quelqu’un fait peur aux enfants », ajoute-t-il.

D’après M. Lorber, la chambre de résonance des réseaux sociaux attise cette phobie, qui pourrait se traduire par des traumatismes et attaques de panique durables chez certains jeunes enfants.

En tout cas, l’école de cirque Ringling Bros. and Barnum & Bailey ne trouve pas ce phénomène très drôle.

« Cela perturbe nos clowns qui veulent juste faire rire et sourire les gens », a écrit l’établissement dans un communiqué transmis aux médias américains.

Mais Stephen King, le pape du roman d’horreur, a appelé tout le monde à arrêter « l’hystérie » sur Twitter:

« la plupart d’entre eux sont gentils, ils amusent les petits et font rire les gens ».

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Quand les sorcières sont-elles apparues en Occident ?


On continue les billets étranges, faut dire que la journée s’y prête et connaitre l’origine des choses permet d’avoir sa propre opinion sur certaines fêtes.. Tout a commencé en Europe alors que surtout des femmes ont été accusées de sorcelleries, plusieurs ont été condamnées par l’Église. Aujourd’hui, encore dans des coins ou l’ignorance fait loi, des femmes (surtout) sont brûlées vivantes pour des raisons idiotes telle que la jalousie (Le pays où l’on brûle les «sorcières»)
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Quand les sorcières sont-elles apparues en Occident ?

 

Sorcières s'envolant vers un sabbat (Gravure du 19è siècle). Avant d'être représentées sur des balais, les "sortiaria" enfourchaient des animaux, en général des boucs. ©MARY EVANS/SIPA

Sorcières s’envolant vers un sabbat (Gravure du 19è siècle). Avant d’être représentées sur des balais, les « sortiaria » enfourchaient des animaux, en général des boucs. ©MARY EVANS/SIPA

Par Bernadette Arnaud

Magiciennes, ensorceleuses… En ces jours d’Halloween, héritage d’anciennes fêtes païennes, que sait-on des « sorcières », ces créatures  apparues au Moyen Âge qui furent persécutées pendant des siècles ? Rencontre avec Maxime Perbellini.

CITROUILLES. En ces temps d’Halloween, lointain héritage d’anciennes fêtes païennes, les sorcières n’enfourchent plus leur balai… et les citrouilles se transforment en lanternes : Harry Potter est passé par là ! Mais que sait-on aujourd’hui de ces créatures apparues au Moyen Âge — essentiellement des femmes  —, qui furent persécutées pendant des siècles au point de finir au bûcher ?

Rencontre avec Maxime Perbellini, doctorant au Centre de recherche historique de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), à Paris, spécialiste de la représentation des sorcières à la fin du Moyen Âge.

Quand parle-t-on pour la première fois de « sorcière » en Europe ?

Il y a un grand débat sur l’origine et l’étymologie de ce mot, mais sa première mention en français apparaît au milieu du XIe siècle, dans leRoman d’Éneas (1060). Avant l’an 1000, sous les Carolingiens, on qualifie ces femmes, qui manipulent des herbes et que l’on soupçonne d’ensorceler, d’herbariae,  de sortiariae, de fascinatrices, d’enchanteresses, de stryges ou de femmes maléfiques. Le paysage lexicographique de la sorcière est riche. Dans les faits, dès la loi salique des Francs, vers  500, jusqu’à Charlemagne et divers conciles, il y aura amalgame entre magie, sorcellerie et paganisme.

Pourquoi les sorcières sont-elles représentées chevauchant des balais ?

Légende image : Gravure du XIXesiècle représentant des sorcières sur des balais au dessus d’une ville. © MARY EVANS/SIPA

C’est un grand mystère, qui donne toujours lieu à d’âpres discussions ! Mais ces chevauchées nocturnes, d’abord effectuées sur des bêtes — souvent des boucs — puis plus tard sur des balais, étaient décrites comme servant à rejoindre des puissances païennes.

La première mention de ces vols se trouve dans le Corrector sive Medicus, rédigé en 1095 par l’évêque allemand Burchard de Worms. Dans un journal écrit vers 1392, le Ménagier de Paris, il est aussi écrit que les femmes refusent de dormir avec des balais dans leurs chambres, de peur qu’on les prenne pour des sorcières. Cette femme qui s’envole pour le sabbat n’est pourtant qu’un visage de la sorcière.

Qu’est-ce-que le sabbat ?

Là aussi, la notion du sabbat est un débat historiographique. C’est dans l’arc alpin, et en particulier dans le canton de Vaud, en Suisse, qu’il sera question des premiers sabbats entre 1430 et 1440. Au XVe siècle, l’adjectif “sabbat” désigne des “réunions nocturnes de sorciers” qui se retrouvent au cœur de la nuit, dans des landes désertes ou des forêts pour participer à des cérémonies et des orgies rituelles.

Que s’est-il passé après le XIIIe siècle pour que l’Église veuille éradiquer la sorcellerie ?

Au milieu du XIIIe siècle, le statut du sorcier est passé sous l’influence du diable, faisant naître la notion d’hérétique : Celui qui refuse la grâce de Dieu, offrant son action à satan, ira brûler dans le feu éternel de l’enfer. Ce Factum hereticale a été créé par l’Église sous l’impulsion de différents papes tels que Clément V, ou Jean XXII. Et ce qui jusqu’alors était l’apanage des évêques va passer, via une série de bulles papales, dans les mains de l’Inquisition. Sorciers et sorcières sont les cibles de cette chasse aux hérétiques.

A-t-on une idée du nombre de victimes de ces “chasses aux sorcières ” ?

Selon la chronologie proposée par l’historien américain Richard Kieckhefer, il y a eu 5 à 10 procès par an entre 1300 et 1420 avec la sorcellerie comme chef d’accusation. Puis on passe à 40 procès par an jusqu’en 1500. La tendance ne cessera plus d’augmenter : quelque 30 000 procès aboutiront à un taux très élevé de condamnations à mort entre le XVIe et le XVIIe siècle, notamment dans le Saint Empire, en France et en Suisse (lire l’encadré).

De quand datent les premiers bûchers ?

Vers 730, la Lex Alamannorum relate la condamnation de personnes qui auraient jeté des striae ou herbariae (sorcières ou herboristes) dans les flammes. De même, en 789 un cartulaire de Charlemagne stipule qu’il est interdit de brûler ou de dévorer le cadavre des personnes accusées d’être sorcière, etc. Toutes ces mentions sont très précoces. La dernière sorcière brûlée sera Anna Gödlin, exécutée en Suisse en juin 1782.

Et pour la France ?

En 1824, une femme accusée de sorcellerie fut partiellement brûlée par des paysans dans la commune de Bournel (Lot-et-Garonne), alors qu’en 1856, une autre fut jetée dans un four, à Camalès, dans les Hautes-Pyrénées…

Les chiffres des condamnations à mort pour fait de sorcellerie.

Toute l’Europe s’est lancée dans une immense “chasse aux sorcières” à compter du XIIe siècle, 70 % à 80 % des accusations concernant des femmes, pour qui dans 60 % des cas le verdict a été le bûcher ! En Suisse, 5000 condamnations à mort furent prononcées sur 8000 procès  entre le XVe et le XVIIIe siècle. Dans les îles Britanniques, se furent 1500 et 2500 condamnations à mort sur 5000 procès. En Scandinavie (Danemark, Norvège, Suède et Finlande), entre 1500 et 1800 victimes sur 5000 procès. Le plus bas taux de condamnations se trouve en Europe méridionale. Entre 1580 et 1650, en Espagne, sur 3500 procès, il n’y aurait eu que très peu de condamnations à mort.

Pour en savoir plus :

Claude Gauvard :La renommée d’être sorcières : Quatre femmes accusées de sorcellerie par le prévôt de Paris en 1390-1391.

Jules Michelet : La sorcière » (1862).

http://www.sciencesetavenir.fr/

Hongrie Pas de chats noirs à sacrifier pour les satanistes!


Cette période de l’année ou la mort et ses soi-disant fantômes, revenants, zombies semblent aussi avoir aussi un penchant pour le sacrifice des chats noirs lors des messes noires. Heureusement quelque part en Bucarest, un refuge a été prévenant en interdisant de donner ses chats noirs pendant cette période.
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Hongrie

Pas de chats noirs à sacrifier pour les satanistes!

 

Pas de chats noirs à sacrifier pour les satanistes!

Crédit photo : Agence France-Presse

Assailli de demandes d’«adoption» de chats noirs avant Halloween, un refuge de Budapest a découvert qu’elles émanaient de groupes satanistes et a décidé de garder ses matous sous bonne garde avant la fête, a-t-on appris vendredi.

«Malheureusement, ces chats sont prisés des satanistes qui veulent les sacrifier lors de messes noires durant la période d’Halloween», une fête d’inspiration païenne qui coïncide avec la Toussaint catholique, a indiqué Kinga Schneider, responsable de L’Arche de Noé, le principal refuge hongrois.

Chaque année, celui-ci voit bondir le nombre de demandes d’adoption de chats noirs à l’approche de la fête.

«Nous répondons que nous ne donnons pas de chats entre mi-octobre et mi-novembre», précise la responsable, dont le site internet arbore un chat noir barré de rouge durant la période critique.

À bon escient, selon elle.

Car passé ce délai, ces étranges candidats à l’adoption «ne rappellent jamais», assure Mme Schneider.

http://tvanouvelles.ca