Ce Chinois est porteur d’une bacté­rie qui le rend ivre en perma­nence


Avec avec un taux de 19%, ce jeune Chinois, ne passera pas un test d’alcoolémie s’il conduit. Une bien étrange maladie, car il ne consomme aucun alcool. Cela doit être quand même désagréable de se sentir toujours ivre, en plus de supporter le jugement des autres
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Ce Chinois est porteur d’une bacté­rie qui le rend ivre en perma­nence


par  Nicolas Pujos


En Chine, des cher­cheurs ont détecté dans le foie d’un patient de 27 ans la présence d’une bacté­rie qui produit les mêmes effets que l’in­ges­tion d’une grande quan­tité d’al­cool, révèlent-ils dans une étude parue le mois dernier dans la revue Science Daily.

Lorsque l’homme, visi­ble­ment ivre, est venu trou­ver les méde­cins, son histoire avait de quoi surprendre : il affir­mait ne pas boire une goutte d’al­cool mais se trou­ver constam­ment dans un état d’ivresse handi­ca­pant. Après des analyses, les cher­cheurs chinois ont iden­ti­fié dans ses selles un microbe appelé Kleb­siella pneu­mo­niae, qui pour­rait être à l’ori­gine du taux d’al­coo­lé­mie élevé du patient. Quand le taux normal de cette bacté­rie chez l’être humain est de 0,02 %, il attei­gnait 19 % chez le jeune homme.

« Notre étude montre que K. pneu­mo­niae est très proba­ble­ment l’une des causes de sa mala­die. Ces bacté­ries endom­magent votre foie, tout comme l’al­cool, sauf que vous n’avez pas le choix », déclare le Dr Jin Yuan de l’ins­ti­tut pédia­trique de Pékin, coau­teur de l’étude.

Pour le Dr Di Liu de l’Aca­dé­mie chinoise des sciences, le constat est sans équi­voque. « Le fait d’avoir ces bacté­ries dans votre intes­tin signi­fie que votre corps est constam­ment exposé à l’al­cool.»

L’his­toire ne dit pas si le jeune homme a pu retrou­ver un peu de sobriété.

Source : Science Daily

https://www.ulyces.co/

L’évolution humaine a été accélérée par… l’alcool


Il y a environ 10 millions d’années qu’une mutation de nos ancêtres, on permit de métaboliser l’alcool. Au début, ce fut une découverte par la fermentation des fruits, pour en venir à domestiquer la vigne qui serait apparue entre 10 000 et 5 000 ans avant J.C. Malheureusement, beaucoup ne connaisse pas la modération et des conséquences apparaissent sur le corps par l’excès d’alcool.
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L’évolution humaine a été accélérée par… l’alcool

 

Vénus de Laussel

La corne que tient la célèbre Vénus de Laussel (Dordogne), sculptée dans la pierre il y a 25.000 ans serait une corne à boire. Ce qui ferait de ce bas relief la plus ancienne scène de libation connue

©AISA/LEEMAGE POUR SCIENCES ET AVENIR

Par Rachel Mulot

Il y a 10 millions d’années, une mutation apparue chez l’ancêtre de l’homme, lui a permis de métaboliser l’alcool éthylique 40 fois plus vite.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, l’ivresse a précédé la culture du raisin et du blé et même… l’apparition d’Homo sapiens. Nos très lointains aïeux avaient déjà, en effet, un vrai penchant pour l’alcool, comme le rapporte une nouvelle étude.

« Il y a dix millions d’années, une mutation est survenue chez l’ancêtre africain des humains et des grands singes. Elle lui a permis de métaboliser l’éthanol — ou alcool éthylique— quarante fois plus rapidement ! », a ainsi calculé le généticien Matthew Carrigan, du Santa Fe College (Gainesville, États-Unis).

Une mutation qui a eu lieu au moment où ces primates arboricoles et frugivores étaient contraints de descendre des arbres nourriciers, ceux-ci se raréfiant en raison d’un assèchement climatique.

« Ils ont alors commencé à se nourrir de fruits tombés au sol… qui étaient parfois fermentés », poursuit l’expert.

Et ils y ont pris goût! D’autant que l’ingestion d’éthanol a bien des avantages : elle ralentit le métabolisme, facilite la digestion et favorise le stockage des graisses.

Il fallait toutefois à nos lointains ancêtres dégrader rapidement l’éthanol « pour éviter de succomber trop vite à l’ébriété,poursuit Matthew Carrigan. Car dégringoler, ivre, des arbres ou s’assoupir dans un environnement où rôdaient les prédateurs leur aurait été fatal ».

Des cuites à l’hydromel

Les animaux tiennent en effet plus ou moins bien l’alcool : ainsi, les rouges-gorges tombent vite de leur perchoir alors que les musaraignes d’Asie (Ptilocercus lowii) peuvent « siffler » toute la nuit du nectar de palme à 3,8 % d’alcool sans montrer le moindre signe d’ébriété ». Ces travaux confortent l’ »hypothèse des singes ivres » (2004) de Robert Dudley, selon laquelle notre espèce serait génétiquement prédisposée à être attirée par l’alcool et ses abus.

Selon le biologiste californien, « nos ancêtres auraient notamment recherché très tôt ses effets sur l’humeur », ce qui aurait favorisé leur caractère aventureux. Mais, sans les abeilles, les Homo auraient sans doute dû se contenter de marmelades de fruits pourrissants comme source unique et régulière d’éthanol ! Celles-ci leur ont en effet fourni le premier breuvage alcoolisé au monde, entièrement naturel, selon Roger Morse, professeur à l’université Cornell (États-Unis).

Cet apiculteur, aujourd’hui décédé, aimait à imaginer un tronc empli de miel et de cire tombé au sol puis détrempé par les pluies. Une fois le miel dilué à 70 % d’eau, les levures auraient lancé la fermentation, produisant un hydromel.

« Et un hominidé, par l’odeur alléché, aurait pu y goûter et partager sa découverte avec les siens, ouvrant la voie aux premières libations », renchérit Patrick McGovern, professeur d’archéologie biomoléculaire à l’université de Pennsylvanie (États-Unis) et spécialiste réputé des breuvages anciens, qu’il se fait une joie de reconstituer (lire S. et A. n° 830, avril 2016).

La rencontre entre l’homme et la vigne (Vitis vinifera) intervient quant à elle plus tard, en Eurasie, il y a 2 millions d’années, lorsque Homo erectus quitte son berceau africain et découvre cette liane grimpante. Il en goûte les fruits du côté d’Israël et de la Palestine, de l’Anatolie, du Caucase et de l’Iran. Puis en cueille les grappes dans toute l’Europe il y a 500.000 ans, comme le montre la découverte de pépins sur des sites archéologiques français notamment.

« En revanche, il est difficile de savoir quand nos ancêtres ont commencé à conserver ou fabriquer des breuvages enivrants », souligne Patrick McGovern.

Les outres de peau, les bols de bois ou les paniers tressés se conservent mal… Et aucune pierre creusée n’a livré de traces chimiques d’alcool.

« Il fallait boire rapidement le nectar avant qu’il ne tourne au vinaigre »

Une chose est sûre, les hommes du paléolithique avaient peu de contrôle sur le processus de fermentation, leurs récipients n’étant pas hermétiques. Néanmoins, la purée ou mixture finale pourrait avoir été intéressante et aromatique.

« Une fois connus les délices de ce breuvage, des bandes de nomades sont certainement retournées année après année vers les vignes ! imagine Patrick McGovern. Le calendrier d’élaboration était limité à l’automne. Il fallait boire rapidement le nectar, avant qu’il ne tourne au vinaigre. » 

La domestication de la vigne serait, elle, survenue entre 10 000 et 5000 avant J.-C.

« Elle a probablement eu lieu au sud-est de l’Anatolie, entre le Tigre et l’Euphrate, dans le Croissant fertile, considéré comme le berceau de la civilisation », précise dans une étude le généticien suisse José Vouillamoz.

C’est dans cette région que furent également domestiquées, entre -12.000 et -10.000 ans, les huit plantes fondatrices de l’agriculture, dont l’amidonnier (ancêtre du blé), le petit épeautre, l’orge, le pois chiche et le lin.

« Si les hommes ont domestiqué les céréales, c’est peut-être d’abord pour faire une soupe épaisse de bière nutritive et euphorisante, plus facile à fabriquer que du pain ! », osent Patrick McGovern et Robert Dudley.

À les en croire, ce serait pour trinquer ensemble que les hommes se seraient sédentarisés puis organisés en société.

Il faut toutefois attendre l’invention de la poterie, et plus précisément 7000 ans avant J.-C., pour trouver « la trace du premier breuvage à fermentation contrôlée », dans la Chine du néolithique.

Les vases de Jiahu, un site du Henan, ont révélé en 2003 des résidus de raisins sauvages, de baies d’aubépine, de riz et de miel.

« Une sorte de grog au parfum de chrysanthème! », évoque Patrick McGovern.

Et, pour transformer l’amidon en sucre et déclencher la fermentation, les humains auraient trouvé l’astuce : mastiquer les céréales, une enzyme spécifique étant présente dans la salive. Quant aux tout premiers crus, ils ont été identifiés dans des céramiques d’Iran datées de 5400 ans avant J.-C., trahis par la présence de résine de térébinthe, un agent conservateur.

« Les plantes psychoactives et les boissons alcoolisées avaient aussi un rôle sacré »

Au fil des siècles, l’alcool aurait ainsi joué un rôle majeur, allant peut-être jusqu’à participer à l’invention de l’écriture et la fondation des villes! Sur le site de Tell Bazi, au nord de la Syrie, vieux de 3400 ans, chaque maison possédait en effet sa « microbrasserie » : de gigantesques jarres d’argile (200 litres) ont conservé la trace d’orge et d’oxalate, un dépôt chimique produit par la céréale en présence d’eau.

Pour l’archéologue allemande Adelheid Otto, de l’université Ludwig-Maximilians de Munich, « les nutriments essentiels, notamment les vitamines, fournis par la fermentation des céréales ont permis aux Mésopotamiens d’avoir une croissance physique correcte alors que leur régime alimentaire à base de pain et de gruau était déficient ». 

Selon l’archéologue Elisa Guerra Doce, spécialiste de l’ébriété dans les périodes préhistoriques à l’université de Valladolid (Espagne), les boissons alcoolisées n’ont pas eu qu’une fonction hédoniste.

« Les plantes psychoactives et les boissons alcoolisées avaient aussi un rôle sacré. La plupart des traces matérielles proviennent de tombes de membres de l’élite et de sites cérémoniels, ce qui indique que la consommation de produits psychoactifs pouvait être socialement contrôlée en Eurasie préhistorique. » 

Ce que reconnaît Patrick McGovern : « Communiquer avec les dieux ou les ancêtres implique presque toujours l’usage d’une boisson alcoolisée, que ce soit le vin de l’eucharistie, la bière offerte à la déesse sumérienne Ninkasi, le “grog” viking ou l’élixir des tribus amazoniennes ou africaines. » 

Elles ont aussi servi à traiter la douleur et les infections.

« Ce lubrifiant social, ce stimulant qui altère la pensée » comme le qualifie le spécialiste aurait aussi et surtout participé à la création, à la musique et aux arts.

Revers de la médaille : la soif de l’homme pour l’alcool — avec son cortège d’excès et de maladies — a été largement aussi forte que l’attrait pour ses bienfaits.

« Si l’on ne se lasse pas de raconter l’histoire de ces breuvages, conclut Patrick McGovern, mieux vaut les savourer avec modération. » 

Santé !

https://www.sciencesetavenir.fr/

Science décalée : l’homme qui faisait de la bière dans ses intestins


Un syndrome heureusement rare, mais qu’il est heureusement possible de soigner. La flore intestinale est importante, si elle est endommagée un champignon peut s’y installer
et changer le sucre, pâte, pomme de terre … en alcool et augmenter considérablement le taux d’alcoolémie dans le sang
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Science décalée : l’homme qui faisait de la bière dans ses intestins

 

Par Janlou Chaput, Futura

Publié le 04/11/2017

Un États-Unien de 61 ans se présente aux urgences pour cause de vertiges. L’éthylomètre révèle une alcoolémie de 3,7 g/l. Pourtant, l’individu promet qu’il n’a pas bu une goutte d’alcool. Menteur ou victime d’un syndrome rare ? La deuxième hypothèse, évidemment !

Drôle d’histoire que celle qui est récemment arrivée à un Texan. Ce sexagénaire était ivre alors même qu’il affirmait n’avoir rien bu. D’où venait cet alcool qui lui gâchait la vie ? Les résultats de cette enquête sont parus dans l’International Journal of Clinical Medicine.

Le contexte : ivre sans boire d’alcool

En novembre 2009, un homme se présente aux urgences d’un hôpital texan. En revenant de l’église, il raconte souffrir de vertiges importants. Les symptômes classiques d’une intoxication alcoolique. L’éthylomètre est sans appel : 3,7 g d’alcool par litre de sang, soit 7 fois plus que ce qui est autorisé en France pour conduire (0,5 g/l). Aurait-il abusé du vin de messe ? Le sexagénaire nie les faits, mais le personnel médical doute de sa bonne foi. Pourtant sa femme, infirmière, confirme les propos de son mari.

Un cas étrange qui interpelle Barbara Cordell, du Panola College et Justin McCarthy, gastro-entérologue dans la ville de Lubbock. Et si ce patient disait vrai ? En discutant avec lui, ils apprennent que l’homme a subi une opération du pied qui l’a obligé à prendre par la suite un traitement antibiotique. Depuis, il disait se sentir mal après avoir bu deux bières et ressentait même l’ébriété sans avoir consommé d’alcool.

C’est alors que son épouse, intriguée par la question, a expliqué avoir mené ses propres recherches et suppose que son mari souffre du syndrome de fermentation intestinale, un trouble rare et très peu documenté. Alors, en avril 2010, le protagoniste est invité à revenir pour participer à une petite expérience afin de vérifier l’hypothèse.

L’étude : les levures de la bière dans les intestins

Il est placé dans une chambre et interdit de visite. Ses affaires sont fouillées de manière à s’assurer qu’aucune fiole d’alcool n’y est cachée. Ainsi isolé durant 24 h, le patient reçoit une alimentation riche en sucres, avec notamment des friandises. Toutes les deux heures, l’alcoolémie est évaluée par un éthylomètre. Verdict : son taux d’alcool dans le sang est monté jusqu’à 1,2 g/l. Des prélèvements révèlent la présence dans ses intestins d’une levure :

 Saccharomyces cerevisiae.

La levure Saccharomyces cerevisiae est un champignon unicellulaire circulaire très familier et surtout non pathogène. Sauf dans certains cas... © AJC1, Flickr, cc by nc sa 2.0

La levure Saccharomyces cerevisiae est un champignon unicellulaire circulaire très familier et surtout non pathogène. Sauf dans certains cas… © AJC1, Flickr, cc by nc sa 2.0

Ce champignon unicellulaire est célèbre car il est aussi bien utilisé par les boulangers pour faire lever le pain que par les brasseurs pour alcooliser la bière (d’ailleurs, cerevisiae et cervoise ont la même étymologie). Retrouvée fréquemment, cette levure n’est normalement pas pathogène car elle ne fait que transiter dans le tube digestif. Malheureusement pour cet Américain, les antibiotiques utilisés après son opération ont probablement débarrassé son tube digestif d’une bonne partie de sa flore intestinale. Le champignon a donc profité du vide pour coloniser les lieux.

Ainsi, à chaque fois que cet homme consommait sucré (friandises, pâtes, pommes de terre, soda, etc.), les levures transformaient le glucose en éthanol pour produire l’énergie nécessaire à leur métabolisme. Voilà pourquoi l’alcoolémie montait parfois en flèche. Six semaines de régime sans sucre combiné à un antifongique ont eu raison des levures.

L’œil extérieur : une maladie rare, des conséquences importantes

Dans la littérature scientifique, seules quelques situations similaires ont été rapportées. Dans les années 1970, une bonne douzaine de cas ont été décrits dans deux études. Mais sur les 30 dernières années, on en dénombre moins qu’il n’y a de doigts sur une main. Évidemment, dans un premier temps, les médecins sont un peu stupéfaits, car il est bien plus fréquent d’avoir affaire à des personnes alcoolodépendantes qui se cachent pour boire. Ici, ce n’est pas le cas. Cependant, il peut arriver que le traitement soit le même : certains patients, notamment une adolescente de 13 ans, ont eu droit à une cure de désintoxication pour apprendre à supporter le manque.

http://www.futura-sciences.com

Vietnam : ivres, ils ouvrent un réservoir et plongent 2 villages sous les eaux


Quelle idiotie ce que peut faire l’ivresse. Deux villages inondés au Viêtnam perdent toutes leurs cultures parce que trois jeunes ont voulu savoir à quoi servaient une vanne dans un réservoir d’eau.
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Vietnam : ivres, ils ouvrent un réservoir et plongent 2 villages sous les eaux

 

Vue sur le mont Fansipan, le point culminant des

Vue sur le mont Fansipan, le point culminant des « Alpes du Tonkin » dans le nord du Vietnam, le 30 septembre 2016 HOANG DINH NAM  /  AFP

Les villages de Nguyen et Suoi Bac, dans le centre du Vietnam, ont été ravagés par les eaux dans la nuit du 14 au 15 mars. Pas à cause de pluies torrentielles ni de vagues géantes, mais bien de la folie de trois jeunes hommes. Ivres, ils ont pénétré dans l’enceinte d’un réservoir d’eau, et se sont demandés ce qu’il pourrait bien se passer s’ils en ouvraient une vanne, rapporte le site vietnamien dantri.com.

Voir l’image sur Twitter

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Plus de 13 000 dollars de dégâts

Deux millions de mètres cube d’eau ont été libéré, de déversant en masse jusqu’au bas de la vallée. En plus des deux villages inondés, 15 tonnes de canne à sucre et 20 hectares de champs n’ont pas survécu à cette nuit alcoolisée.

D’après l’agence de presse vietnamienne, le coût des dégâts est estimé à plus de 13 000 dollars. « La police a assigné les individus à résidence afin de l’aider dans l’enquête en cours » affirme Vo Duc Tho, chef de du district de police local.

Les autorités réfléchissent à présent à la sanction qui sera prise conte les trois suspects. Ils pourraient être poursuivis pour des charges criminelles.

Les villageois contraints de s’exiler

Trois employés du réservoir étaient présents sur place la nuit des faits, mais ne se sont pas rendu compte de la présence des intrus.

Face à la dévastation de leurs habitations et de leurs cultures, les villageois ont été contraints de s’exiler dans les hauteur, pour tout le temps que prendront les réparations.

http://www.ladepeche.fr

L’écureuil mange trop de pommes fermentées


On dit que semblable bête, mais c’est plutôt le contraire, c’est la bête ivre rend semblable à l’homme. Un écureuil est venu ce gaver de quelques pommes trop mures bien fermentées. Trop ivre pour se déplacer sur une neige molle, il fait son clown devant la caméra
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L’écureuil mange trop de pommes fermentées

 

Saskatchewan : Ivre morte dans la neige, elle manque perdre ses doigts


En état d’ivresse, on sous-estime le danger, et cette Canadienne d’adoption a vraiment connu un des pires risques de rester dehors longtemps sans bouger en hiver
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Saskatchewan : Ivre morte dans la neige, elle manque perdre ses doigts

Ivre morte dans la neige, elle manque perdre ses doigts

Crédit photo : Imgur

Une Australienne complètement saoule, qui s’est endormie dans un banc de neige après une soirée bien arrosée dans un bar àPrince Albert en Saskatchewan, a failli perdre plusieurs doigts.

(Photo Imgur)

La jeune femme, qui habite au Canada depuis quatre ans, s’est tout à coup volatilisée un peu avant la fermeture du bar où elle s’amusait avec ses amis cet hiver, rapporte MailOnline.

Elle a été retrouvée trois heures plus tard recroquevillée dans la neige, les mains complètement gelées.

(Photo Imgur)

La Saskatchewanaise d’adoption a été soignée d’urgence afin de sauver ses doigts bleuis et en très mauvais état. Ses doigts brûlées par le froid ont ensuite pelé.

La jeune femme qui n’a pas été identifiée a mis des photos sur Imgur reconnaissant s’être comportée comme une imbécile.

(Photo Imgur)

Les médecins qui l’ont traitée demeurent préoccupés par la récupération de son auriculaire gauche et de son majeur droit.

(Photo Imgur)

http://tvanouvelles.ca/

Des orignaux ivres forcent la police à intervenir


Que la police vienne mettre de l’ordre quand a cause de l’ivresse est malheureusement normale, mais pour des orignaux, cela doit être plutôt rare.  On dit que l’alcool rend l’homme semblable a la bête, mais je dirais que c’est plutôt le contraire … Au Québec aussi, les orignaux, les chevreuils aiment les pommes jusqu’à l’ivresse. 
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Des orignaux ivres forcent la police à intervenir

 

La police suédoise d'une ville tranquille de la région de Stockholm a rapporté... (Photo Patrik Stollarz, archives AFP)

PHOTO PATRIK STOLLARZ, ARCHIVES AFP

Agence France-Presse
Stockholm

La police suédoise d’une ville tranquille de la région de Stockholm a rapporté mercredi avoir dû intervenir pour chasser une bande prête à en découdre avec un habitant: des orignaux enivrés par des pommes fermentées.

L’incident s’est déroulé mardi soir, dans une rue qui serpente au milieu des bois sur l’île d’Ingarö.

«Cinq orignaux ivres se montrent menaçants envers un résident qui ne peut rentrer dans sa maison. Les orignaux restent sur place et mangent des pommes fermentées», écrit dans un rapport la police de Värmdö, à une vingtaine de kilomètres à l’est de la capitale suédoise.

«La police qui se rend sur place pour aller voir les orignaux constate que ces derniers ont été prévenus de l’arrivée de la police et ont eu la présence d’esprit de quitter les lieux», ajoute la police, avec une pointe d’humour.

Les forces de l’ordre conseillent au propriétaire de «se débarrasser de tous les fruits tombés à terre. Les orignaux pourraient chercher l’ivresse ailleurs».

Les orignaux qui s’enivrent avec des pommes en fin d’été et en automne peuvent se montrer agressifs, si bien qu’il est conseillé de s’en éloigner.

http://www.lapresse.ca/a

VIDÉO. Viol: la vidéo en référence au viol de Steubenville plébiscitée par le Web, "A Needed Response"


A première vue je n’aurais pas mit ce billet et sa vidéo mais après avoir avoir lu … cette vidéo est malheureusement nécessaire pour montré aux  hommes qu’on doit traiter les femmes avec respects et ce même si elles sont dans une situation précaire .. Il faut quand apprendre qu’est ce qu’est le consentement et non spéculer
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VIDÉO. Viol: la vidéo en référence au viol de Steubenville plébiscitée par le Web, « A Needed Response »

 

« Salut les potes ! Regardez qui s’est évanouie sur le canapé ».

Tels sont les premiers mots du garçon sur la vidéo, fixant la caméra avec un regard lubrique tandis qu’on aperçoit une fille inconsciente affalée sur le canapé derrière lui.

« Devinez ce que je vais lui faire ».

Probablement pas ce que vous redoutez…

Le « pote » en question s’avance alors pour donner à la fille un oreiller, une couverture, et un verre d’eau avant de se retourner vers la caméra et de dire:

« Les vrais hommes traitent les femmes avec respect. »

En à peine 26 secondes, la vidéo de Samantha Stendal, étudiante à l’université de l’Oregon et intitulée « Une réponse nécessaire », est aussi courte qu’incisive. Adressée aux « violeurs de Steubenville… et d’ailleurs », l’objectif de la vidéo peut paraître évident, mais le message mérite d’être souligné, dans la foulée du procès du viol de Steubenville.

Reconnus coupables de viol sur une étudiant mineure qui avait été abusée après une soirée, lors de leur procès à Steubenville (Ohio), la présentatrice de la chaîne CNN a choqué il y a quelques jours l’opinion en se désolant de l’avenir contrarié de « deux jeunes hommes ayant un futur prometteur (…), de très bons étudiants, qui ont vu leur vie s’effondrer ». Ils avaient filmé leur crime et l’avaient posté sur Internet.

Vidéo virale

Adam Mordecai de Upworthy.com le résume bien quand il écrit :

 » Je n’arrive pas à croire que cette vidéo soit effectivement nécessaire. Et pourtant, les gars doivent apprendre ce que consentir veut dire ».

Depuis son téléchargement sur YouTube la semaine dernière, la vidéo de Stendal a été vue plus de 1,6 million de fois.

« J’espère que ce que les gens retiendront de cette vidéo est le fait que chacun doit traiter autrui avec respect » a déclaré Stendal, interviewé sur la chaîne KVAL News, à Seattle (état de Washington).

« Peu importe que nous soyons homme ou femme, nous devons nous écouter l’un l’autre et s’assurer qu’il y ait bien consentement. »

Le consentement était au centre du procès sur le viol de Steubenville qui a abouti le 17 mars à la condamnation de deux joueurs de football du lycée Ohio, pour le viol d’une jeune fille de 16 ans lors d’une fête très alcoolisée l’été dernier. L’affaire avait fait les gros titres nationaux et lancé les débats sur la question du consentement en état d’ivresse.

L’avocat de l’un des adolescents condamnés, Walter Madison, a déclaré auCleveland Plain Dealer quela victime « n’avait pas dit non de façon affirmative ».

Mais le magazine d’information culturelles The Nation, de tendance gauche, fait remarquer que : « L’absence d’un ‘non’ n’est pas la même chose que la présence d’un ‘oui’. Et tant que la culture et la loi américaines ne souligneront pas le côté proactif et explicite du consentement sexuel, les victimes de viol n’auront pas droit à la justice. »

http://www.huffingtonpost.fr