Une nouvelle espèce de serpents décou­verte à l’in­té­rieur d’un autre serpent


Il doit être rare de trouver une nouvelle espèce dans le ventre d’un autre animal. C’est ce qui est arrivé a un serpent qui a bouffé un autre serpent tout à fait inconnu a l’humain.
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Une nouvelle espèce de serpents décou­verte à l’in­té­rieur d’un autre serpent

 

Crédits : Camp­bell et al./Jour­nal of Herpe­to­logy

par  Ulyces

 

C’est une espèce que les scien­ti­fiques n’avaient jamais obser­vée aupa­ra­vant, rapporte le maga­zine Natio­nal Geogra­phic.

Surnommé Cenas­pis aenigma, que l’on pour­rait traduire par « mysté­rieux dîner au serpent », le reptile n’a pas été trouvé dans son habi­tat natu­rel, mais dans le ventre d’un autre serpent. Bien diffé­rent de ses congé­nères, il possède une forme de crâne inha­bi­tuelle, des écailles distinctes sous sa queue, et un système de repro­duc­tion diffé­rent.

Après l’ana­lyse de ses dents, les scien­ti­fiques ont conclu que le Cenas­pis, long de 25 cm, se nour­ris­sait essen­tiel­le­ment d’in­sectes, mais aucun spéci­men semblable n’a jamais été retrouvé. Le serpent a en fait été décou­vert en 1976, dans la région du Chia­pas, au Mexique. Mis de côté dans un musée, il aura attendu plus de 40 ans avant que des scien­ti­fiques ne l’ana­lysent en profon­deur, pour fina­le­ment se rendre compte qu’il était unique en son genre.

« Cela prouve à quel point les serpents peuvent être secrets », a déclaré Jona­than Camp­bell, herpé­to­logue respon­sable de la recherche menée sur le Cenas­pis. « Si l’on combine leur carac­tère insai­sis­sable à un accès restreint [aux zones dans lesquelles ils vivent], certains serpents ne nous donnent pas souvent l’oc­ca­sion d’être vus », explique le cher­cheur, persuadé que cette nouvelle espèce n’a pas disparu, mais qu’elle sait tout simple­ment bien se cacher dans son habi­tat tropi­cal… ou dans le ventre des autres.

Sources : Natio­nal Geogra­phic

https://www.ulyces.co/

Les images incroyables d’un crapaud vivant sans tête


Un crapaud sans yeux, nez, mâchoire et langue. Donc sans tête vivant. Tout le reste, il est normal. Probablement, que ce n’est pas une malformation génétique, car il n’aurait pas pu vivre en état d’adulte, mais peut-être lors de la brumation (hibernation) il aurait été mangé par un parasite, ou une bête quelconque .. Ou par la bactérie mangeuse de chair. Quoiqu’il en soit se nourrir et éviter les prédateurs ne doit pas être de tout repos
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Les images incroyables d’un crapaud vivant sans tête

 

Un crapaud vivant sans tête découvert dans le Connecticut - Twitter

Un crapaud vivant sans tête découvert dans le Connecticut Twitter

La découverte dans le Connecticut, aux États-Unis, d’un crapaud vivant dépourvu de tête est une véritable énigme. Les photos et la vidéo de l’amphibien, postés sur le compte Twitter de l’herpétologue américaine Jill Fleming, ont de quoi étonner !

C’est un sacré « casse-tête » pour les scientifiques ! Le mardi 27 février dernier, Jill Fleming a publié sur les réseaux sociaux les images hallucinantes d’un crapaud sans yeux, nez, mâchoire et langue. La tête de l’animal s’apparente à un moignon. Pourtant, l’amphibien de taille normale et doté de quatre pattes semble en parfaite santé. Sur la vidéo, on peut le voir évoluer dans la nature comme si de rien n’était. Découvert dans une forêt du Connecticut en avril 2016 par la scientifique, il possède « un petit trou en guise de bouche », un reste de son ancienne cavité buccale, rapporte le site Mashable.

Voir l'image sur Twitter

Une malformation ou une conséquence de larves mangeuses de chair

Mais comment l’animal a-t-il pu devenir ainsi et survivre ? Pour Jill Flemming, il est possible que la malformation de ce spécimen soit due à sa brumation (nom donné à la période d’hibernation des reptiles). Mais il ne s’agit en aucun cas d’une malformation génétique, car le crapaud est adulte. Il a donc pu se nourrir normalement pendant sa croissance, explique Mashable.

Sur les réseaux sociaux, d’autres hypothèses émergent. La tête du crapaud pourrait avoir été dévorée par des larves de mouches mangeuses de chair, appelées Lucilia bufonivora, lors de sa période de brumation. La face aurait ensuite cicatrisé, suppose la vétérinaire Lydia Franklinos. De même, seule la tête aurait pu être mangée par un prédateur, le reste du corps du crapaud étant mieux caché. Les cas d’animaux sans tête survivant pendant un certain temps sont certes rares, mais existent.

 

 

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Un serpent donne naissance sans interaction avec un mâle


Certains animaux sauf des mammifères ont la possibilité de se reproduire sans mâle, le bébé n’aura donc aucune contribution génétique mâle
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Un serpent donne naissance sans interaction avec un mâle

 

SNAKE

This 2015 photo provided by the Missouri Department of Conservation shows a female yellow-bellied water snake at the Cape Girardeau, Mo., Conservation Nature Center that for the second time in two years has given birth without any help from a male member of the species, conservationists say. The offspring did not survive this summer, but they did in 2014. It is believed to be the first documented cases in the species of parthenogenesis, or asexual reproduction. (Candice Davis/Missouri Department | ASSOCIATED PR

SAINT-LOUIS — Pour la deuxième fois en deux ans, un serpent en captivité dans le sud-est du Missouri, aux États-Unis, a donné naissance sans avoir eu une quelconque interaction avec un serpent mâle.

Des responsables du centre de la nature de Cape Girardeau ont expliqué que la femelle s’était reproduite toute seule en 2014 et pour une nouvelle fois cet été.

Le serpent marin à ventre jaune vit en captivité, sans compagnon mâle, depuis huit ans. Un préposé qui s’occupe du serpent a découvert le rejeton en juillet, mais il n’a pas survécu. Les deux serpents nés l’an dernier sont toutefois toujours en vie et peuvent être vus au centre de Cape Girardeau, situé à environ 160 kilomètres de Saint-Louis.

L’herpétologiste Jeff Briggler, de l’agence de conservation du Missouri, a expliqué que les naissances virginales étaient rares mais pouvaient survenir chez certaines espèces par l’entremise d’un phénomène appelé parthénogénèse. Certains insectes, poissons, amphibiens, oiseaux et reptiles peuvent y parvenir, mais pas les mammifères, a-t-il précisé.

La parthénogénèse est un type de reproduction asexuée au cours de laquelle un embryon est formé à partir d’ovules non fécondés, ce qui implique qu’il n’y a pas de contribution génétique mâle.

Selon l’agence de conservation, il n’y a pas d’autres cas documentés de parthénogénèse chez des serpents marins à ventre jaune.

Le professeur de biologie spécialisé dans l’étude des serpents à l’Université Avila à Kansas City, Robert Powell, soutient que le serpent aveugle du Brahminy — qui vit en Asie du sud-est — a longtemps été le seul serpent connu qui se reproduisait régulièrement sans mâle.

Dans le cas du serpent du Missouri, il est possible, mais improbable, que la femelle ait conservé du sperme du temps où elle vivait en liberté.

Une hypothèse farfelue selon Michelle Randecker, biologiste au centre, qui ne croit pas que du sperme puisse être stocké pendant une si longue période. Robert Powell est du même avis, soulignant que les femelles serpent peuvent conserver du sperme pendant une durée maximale d’un an, même si certains cas laissent entendre que des femelles serpent auraient gardé du sperme pendant trois ans.

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Ardèche : une mue de serpent de 4 mètres effraie les villageois


Sans faire de psychose, c’est quand même inquiétant de savoir qu’un serpent qui ne devrait pas ce trouver dans ce pays. Il y a des enfants et des animaux domestiques qui pourraient faire de mauvaises rencontre
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Ardèche : une mue de serpent de 4 mètres effraie les villageois

 

Un python de Birmanie./Photo d’illustration

Les habitants de la commune de Labastide-de-Virac (Ardèche) sont inquiets : une spectaculaire mue de serpent a été retrouvée dans les environs.

C’est un retraité qui a fait la surprenante découverte la semaine dernière, rapporte France Bleu. Ayant retrouvé un grand nombre de ses poules mortes, il a décidé d’aller investiguer dans la campagne environnante. C’est là qu’il est tombé sur un morceau de peau de reptile… de près de 4 mètres de long.

La chasse au python birman

D’après un herpétologue, il s’agirait d’une mue de python birman, l’un des plus gros serpents au monde. La gendarmerie en charge de l’affaire n’écarte aucune hypothèse : canular pour effrayer les habitants ou bien fuite du reptile de chez un particulier. Ce qui est certain, c’est que le serpent en liberté ne devrait pas survivre longtemps aux froides températures nocturnes de la région. En attendant sa capture, le maire Jacques Marron a demandé aux villageois d’être prudents :

« Surtout, si quelqu’un aperçoit le python, qu’il n’essaie pas de l’arrêter tout seul et qu’il prévienne immédiatement les autorités ». Et de confier à l’AFP : « Je ne veux pas qu’il y ait une psychose ».

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On peut faire des têtards sans casser les œufs


On sait que les grenouilles pondent des oeufs qui après éclosions sont des têtards et deviennent dans les jours à venir des têtards. Toutes ? Non, car une découverte d’une grenouille ne pond pas mais met au monde des têtards et que le père s’occupe à les protéger des prédateurs
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On peut faire des têtards sans casser les œufs

Un couple de Limnonectes larvaepartus (le mâle à gauche) | Jim McGuire

L’herpétologiste américain Jim McGuire n’en est toujours pas revenu. Lorsque l’été dernier, crapahutant dans la forêt indonésienne de l’île des Célèbes, ses yeux aiguisés se sont posés sur une petite grenouille verte de 5 cm, il a d’abord ressenti un vif plaisir.

Spécialiste reconnu du genre, le chercheur de l’université de Berkeley, en Californie, ne se souvenait pas avoir déjà vu ce petit animal. Mais c’est lorsqu’il a attrapé ce qu’il pensait être un mâle que la véritable surprise, suivie d’une intense émotion, l’a saisi. Dans ses mains, une douzaine de petits têtards, tout juste nés, rampaient tranquillement. Le biologiste venait de mettre au jour ce qu’il cherchait depuis longtemps : la preuve vivante que certaines grenouilles pouvaient directement donner naissance à des larves, sans passer par le stade de l’œuf. La découverte est rendue publique mercredi 31 décembre, dans le journal PLoS One.

Baptisé Limnonectes larvaepartus, l’animal avait déjà été observé par le scientifique indonésien Djoko Iskandar. Il appartient au petit groupe des grenouilles à crocs, ainsi nommé en raison des deux dents qui pointent sur leur mâchoire inférieure. Quatre d’entre elles, vivant dans les Célèbes, ont déjà été précisément décrites : des bestioles pesant 2 à… 900 grammes. Les chercheurs sont cependant convaincus que la forêt profonde indonésienne cache encore une vingtaine d’autres espèces de ce type.

Mais la grande nouvelle tient dans la façon dont le batracien se reproduit. Chez l’écrasante majorité des grenouilles, le mâle fertilise les œufs tout juste pondus par la femelle et souvent disposés en blocs ou en chapelets . Au bout de quelques jours, les membranes se brisent et font place à des larves – les têtards. Encore quelques semaines, ou quelques mois suivant les espèces, et des grenouilles en bonne et due forme sautent sur le sol ou nagent dans les rivières.

6 000 espèces répertoriées

Parmi les quelque 6 000 espèces répertoriées à travers la planète, « il en existe dix ou douze pour lesquelles la fécondation est dite interne », souligne Jim McGuire.

Tout près de Berkeley, dans les trois États de l’ouest américain, la grenouille à queue côtière a même développé une sorte de pénis qui lui permet d’introduire le sperme dans sa congénère. Mais soit ces amphibiens pondent des œufs, soit, dans le cas de deux espèces africaines notamment, ils sautent allègrement la case têtard et donnent directement naissance à des petites grenouilles.

Limnonectes larveapartus, elle, a choisi le milieu du gué. Les larves, sans les œufs. Du jamais vu. Les têtards sont « déposés » par les femelles dans des mares, souvent éloignées des cours d’eau où vivent d’éventuels prédateurs. D’après les premières observations, les mâles se chargeraient de protéger leur progéniture.

Eclosion par la bouche

Dans la famille grenouille, le nouvel arrivant va pouvoir enrichir un paysage reproductif « déjà bien varié », comme dit McGuire.

Certains amphibiens portent ainsi leurs œufs dans des poches dorsales, d’autres couvent les têtards dans leur bouche ou dans leur sac vocal, quand ils ne les transportent pas dans les plis de leur dos. Deux espèces particulièrement insolites de grenouilles n’ont rien trouvé de plus sûr que d’avaler leurs œufs, une fois ceux-ci fécondés. Couvés à l’intérieur de l’estomac, les œufs y éclosent et viennent donc au monde par la bouche. Audacieux ? Toutes deux ont en tout cas disparu, pour le plus grand malheur de Jim McGuire.

Car le biologiste a toujours aimé les animaux singuliers. Il porte ainsi une affection toute particulière au lézard volant, une « spécialité » des Célèbes. L’île semble d’ailleurs abriter un nombre particulièrement élevé d’espèces étranges et McGuire s’est donné pour but d’en comprendre les raisons. Sont-elles apparues lorsque les Célèbes se composaient d’un ensemble de petites îles, il y a 8 à 10 millions d’années ? Sont-elles au contraire nées après la fusion des îlots ? Le biologiste va désormais pouvoir pleinement poursuivre sa recherche, un temps troublé par la découverte de cette curieuse grenouille.

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Limoilou Un serpent qui dérange


C’est un python de 7 pieds que l’on croyait perdu, mais il était tout simplement caché. Sauf que, l’entourage n’était pas rassuré à l’idée qu’un tel serpent était présent dans le voisinage Même, si le python n’est pas venimeux, il tue ses proies en s’enroulant autour d’elles et en les serrant jusqu’à ce qu’elles meurent et les avale ensuite. Il peut aussi mordre s’il se sent en danger. Et donc, pour les enfants, c’est un danger potentiel, Malgré tout cela, je considère qu’un serpent venimeux ou pas, n’a pas sa place dans un appartement, mais bien dans son environnement.
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Limoilou

Un serpent qui dérange

 

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MARC VALLIÈRES/AGENCE QMI

Le python de Jasson Lord a été retrouvé en matinée hier. Le reptile était bien caché dans son sac à dos, dans son appartement.

QUÉBEC  –  La hantise de voir apparaître un serpent dans leur lit a eu pour effet de gâcher la nuit de plusieurs résidents de l’avenue Bergemont, à Limoilou, surtout que l’immeuble à logements où un python a été porté disparu a très mauvaise réputation dans le quartier.

Claudine Paquette est habituée de voir débarquer les policiers au 1896, avenue Bergemont. Il y a souvent du vacarme dans cet immeuble de chambre. Toutefois, il n’y avait pas de bruit mardi lorsque les voitures de police sont apparues.

«Ensuite, ç’a été une nuit mouvementée. Lorsque les policiers ont quitté la première fois, ils n’avaient toujours pas retrouvé son serpent. Alors, ç’a été assez difficile de s’endormir, principalement avec des enfants. La petite de sept ans ne voulait pas dormir seule dans son lit», a expliqué la dame qui apprenait ainsi qu’un locataire de l’immeuble voisin gardait un serpent en captivité.

Par chance, le python de Jasson Lord n’est finalement jamais sorti de l’appartement. Il était dans son sac à dos.

«Il aurait pu se ramasser n’importe où. Il y a deux garderies dans le coin. Il aurait pu traverser ici. Juste savoir qu’il habite devant chez moi… je me dis que ça pourrait arriver de nouveau», a affirmé Mme Paquette. «L’histoire du python m’énerve beaucoup avec les enfants.»

Endroit bruyant

Murs défoncés, portes trouées, odeur de boucane et délabrement: Le Journal s’est aventuré à l’intérieur de l’immeuble où le serpent a été perdu, puis retrouvé, dans la nuit de mardi à hier.

«C’est une maison de chambres. Il y a vraiment des problèmes. Ça fait du bruit et il y a souvent la police», admet la mère de famille.

Après vérification, les policiers ont considéré qu’il n’y avait aucune infraction de la part du locataire, en ce qui a trait à la possession d’un serpent.

Sans danger

Selon l’herpétologue et propriétaire du Repti-Zone à Montréal, Émilie Gaudry, les pythons comme celui perdu à Limoilou ne sont pas dangereux.

«Avec n’importe quel animal, il peut y avoir des risques. Tout dépend du maître. Mais il y a des réglementations au Québec et tout ce qui est venimeux est interdit. Ce qui se vend sur le marché, il n’y a rien d’agressif», a-t-elle indiqué.

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Découverte du plus petit vertébré de la planète


Quelle belle découverte, tout en étant extraordinaire étant donné la petitesse de la grenouille. Une belle petite grenouille qui doit avoir je pense, beaucoup de prédateurs qui peuvent s’en servir comme encas
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Découverte du plus petit vertébré de la planète

Un Paedophryne amauensis.

Agence France-Presse
Washington

Le plus petit vertébré connu à ce jour sur la planète est une grenouille mesurant en moyenne 7,7 millimètres qui vient d’être découverte en Nouvelle-Guinée, ont annoncé mercredi des biologistes américains.

Cette minuscule grenouille, appelée Paedophryne amauensis, qui appartient à une espèce jusqu’alors inconnue, détrône le poisson d’Indonésie, Paedocypris progenetica, qui était jusqu’alors considéré comme le plus petit vertébré du monde avec une taille moyenne d’un peu plus de huit millimètres.

Chris Austin, conservateur du département d’herpétologie (étude des reptiles et des batraciens) du musée d’histoire naturelle de Louisiane et professeur de biologie, a fait cette découverte avec d’autres chercheurs lors d’une expédition de trois mois en Nouvelle-Guinée, la plus étendue et la plus élevée des îles tropicales.

«Cela n’a pas été facile de repérer cette grenouille étant donné sa taille réduite et aussi le fait que le mâle a un cri d’insecte durant la période des amours», explique Chris Austin, principal auteur de l’étude publiée dans la revue américaine PLoS ONE datée du 11 janvier.

«Mais cette découverte est formidable», ajoute-t-il, soulignant que «la Nouvelle-Guinée est un haut lieu de la biodiversité et tout ce que nous y découvrons fait avancer notre compréhension générale de la manière dont est générée et maintenue la biodiversité».

Avec une taille moyenne de 25 mètres, la baleine bleue est le plus grand animal parmi les 60 000 espèces de vertébrés connues.

Certains biologistes pensaient que les extrêmes dans les tailles chez les vertébrés devaient être l’apanage des espèces aquatiques, l’eau paraissant propice au développement de mensurations très petites ou très grandes.

Cette hypothèse a été remise en question avec la découverte de ces grenouilles minuscules qui vivent sur la terre ferme.

«Nous pensons que ces créatures se sont pas une bizarrerie biologique mais qu’elle appartiennent à une famille écologique jusqu’alors inconnue car elles occupent un créneau d’habitat que nul autre vertébré n’habite», explique Chris Austin.

Cette recherche a été financée par la National Science Foundation américaine.

http://www.cyberpresse.ca