Un hippocampe de la taille d’un grain de riz découvert au Japon


Un nouveau venu chez les hippocampes, plus précisément chez les hippocampes pygmées. C’est au Japon que ces petites bêtes pas plus grosses qu’un grain de riz vivent. Leur petitesse permet de se protéger des prédateurs et des humains qui cherchent des hippocampe pour la médecine chinoise ou encore pour mettre dans les aquariums.
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Un hippocampe de la taille d’un grain de riz découvert au Japon

 

 

Vidéo de deux Hippocampus japapigu près de rochers. © Akira Bingoeral 2007/Youtube/ Zookeys2018

Marie-Céline Ray
Journaliste

    Ce minuscule hippocampe coloré a été nommé Hippocampus japapigu pour sa ressemblance avec un bébé cochon (Japan pig). Il appartient à la famille des hippocampes pygmées qui compte désormais sept espèces.

    Ce minuscule « cochon du Japon » est une nouvelle espèce d’hippocampe pygmée décrite dans un article paru dans la revue ZooKeys. De la taille d’un grain de riz (15 millimètres), cet animal coloré vit dans des eaux peu profondes au large des côtes japonaises.

    Le petit hippocampe avait déjà été observé, il y a plusieurs années, lors d’études de la faune vivant au large de l’île Hachijo-jima, à 287 kilomètres au sud de Tokyo. Des animaux comparables ont été vus par des plongeurs locaux au sud-est du Japon. Toutes ces images ont attiré l’attention des scientifiques qui se sont penchés sur son cas pour se rendre compte qu’il était vraiment unique dans la famille des hippocampes pygmées.

    Le saviez-vous ?

    Les hippocampes pygmées mesurent entre 13,6 et 26 millimètres. Comme leur nom l’indique, ils sont plus petits que les autres hippocampes qui font entre 24 et 350 millimètres de long. La première espèce d’hippocampe pygmée, H. bargibanti, a été décrite en 1970 et toutes les autres après 2000.

    Dans leur article, les chercheurs décrivent la nouvelle espèce grâce à trois spécimens qui mesuraient entre 13,9 et 16,3 millimètres. Les scientifiques l’ont appelé Hippocampus japapigu, une forme latinisée de Japan pig.

    Graham Short, ichtyologiste de l’Académie des sciences de Californie a expliqué au National Geographic que l’animal méritait cette appellation parce que pour les personnes qui l’ont observé sur place, «  il ressemble à un petit cochon ».

    Le nouvel hippocampe pygmée vit près de coraux et de rochers couverts d’algues à des profondeurs de 5 à 22 mètres. D’autres hippocampes pygmées vivent dans des eaux plus profondes.

    La septième espèce d’hippocampe pygmée

    Les chercheurs ont confirmé qu’il s’agissait bien d’une nouvelle espèce, la septième décrite chez les hippocampes pygmées, dont cinq sont présentes au Japon. Le petit cochon japonais diffère des autres, par exemple à cause d’une arête spéciale sur le haut de son dos et composée de triangles osseux.

     Comme les autres hippocampes pygmées, le Japan pig possède sur son dos une structure ressemblant à des ailes, mais contrairement aux autres qui en ont deux paires, Japan pig n’en possède qu’une. Le nouvel animal décrit partage avec les autres hippocampes pygmées une caractéristique curieuse : la présence d’une fente en haut du dos pour sa respiration branchiale, alors que les autres hippocampes ont deux ouvertures, de chaque côté de la tête : 

    « C’est comme si vous aviez un nez derrière votre cou », explique Graham Short.

    Les petits « cochons du Japon » ne semblent pas particulièrement rares, même si leur habitat est un peu inhabituel pour un hippocampe : l’eau est plutôt froide dans ces régions en hiver et chaude en été, alors que souvent les hippocampes ne tolèrent pas les changements importants de température. Les hippocampes pygmées mangent du plancton, comme des copépodes et d’autres petits crustacés.

    Les populations d’hippocampes plus grands sont en déclin dans beaucoup de régions du monde, car ils sont pêchés pour la médecine chinoise et pour l’aquariophilie, explique Graham Short, mais selon lui « cela ne sera jamais un problème pour les hippocampes pygmées, car ils sont trop difficiles à trouver ».

    En étant plus petits, ils échappent à des prédateurs mais aussi à l’attention des hommes…

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Une nouvelle espèce d’hippocampe pygmée, la septième, a été découverte au Japon.

  • Elle mesure entre un et deux centimètres de long.

  • Ces petits hippocampes ont été nommés Hippocampus japapigu, à cause d’une certaine ressemblance avec des bébés cochons (Japan pig).

https://www.futura-sciences.com/

 

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Chirurgie esthétique pour poisson porte-bonheur à Singapour ! Par Astrid Saint Auguste


Jusqu’ou peut aller l’imbécilité humaine ? La chirurgie esthétique pour des poissons qui sont en voie de disparition en état sauvage. Ce poisson asiatique est un porte-bonheur pour les riches qui définissent leur statut social. Quel égoïsme pour faire autant de cruauté animal
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Chirurgie esthétique pour poisson porte-bonheur à Singapour !

 

Poisson-dragon

Le scléropage est devenu un symbole de statut social pour les Asiatiques. Celui-ci a coûté 20 000 dollars à l’achat pour son propriétaire, l’ex-Président indonésien Susilo Bambang Yudhoyono.

© ADEK BERRY / AFP

 

Non, ce n’est un phénomène de mode qui va bouleverser le monde de l’aquariophilie. Juste une bizarrerie un peu cruelle pointée par le quotidien américain The New York Times.

Le propriétaire d’une animalerie de Singapour “lifte” les yeux de ses poissons ou redessine leur mâchoire inférieure pour les rendre encore plus attractifs pour sa clientèle.

Pas n’importe lesquels de ses poissons. Les pauvres victimes, les poissons les plus coûteux de son commerce, sont des scléropages d’Asie appelés aussi Arowanas asiatiques (Scleropages formosus), des poissons d’eau douce en voie d’extinction à l’état sauvage.

 Dans la culture chinoise, leur aspect rappelle le mythique dragon. L’animal est devenu un porte-bonheur et un symbole de statut social pour les Chinois fortunés depuis les années 1970. En quelques décennies, ce qui était un plat du pauvre est devenu le comble du snobisme pour les riches Asiatiques qui les collectionnent dans de gigantesques aquariums.

https://www.sciencesetavenir.fr/

L’écrevisse marbrée, une nouvelle espèce terriblement invasive, se reproduit sans mâle


La nature n’a pas besoin de laboratoire pour se cloner. Lors d’un accouplement d’écrevisse marbrée, il y a eu un évènement étrange. La naissance d’une écrevisse pouvant se reproduire sans mâle, et tous ses petits sont des femelles identiques à la mère. Quand c’est dans un aquarium, il y a surpopulation, les gens les relâches dans la nature et l’invasion commence dans divers pays
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L’écrevisse marbrée, une nouvelle espèce terriblement invasive, se reproduit sans mâle

 

Marie-Céline Ray
Journaliste

 

Sans doute apparue il y a une trentaine d’années dans un aquarium en Allemagne, cette nouvelle espèce d’écrevisse se répand en Europe, mais aussi à Madagascar et au Japon. Étonnamment, tous les individus sont des femelles et proviennent de la même écrevisse, qui a par hasard hérité de caractères génétiques très particuliers. Se reproduisant sans mâles, ces crustacés forment désormais un immense peuple de clones à travers le monde. Leur cas, unique, pourrait même inspirer des traitements contre le cancer. Curieux, vraiment.

L’écrevisse marbrée Procambarus virginalis a commencé à intéresser les amateurs d’aquariophilie dans les années 1990. Dans son aquarium, elle pond chaque année des centaines d’œufs sans s’accoupler, donnant naissance à une descendance femelle qui fait de même. Seule la parthénogenèse, une forme de reproduction qui ne nécessite pas de mâles, peut expliquer ce phénomène.

Pour en savoir plus, des chercheurs du centre de recherche sur le cancer d’Heidelberg en Allemagne ont voulu séquencer l’animal, une tâche qui s’est révélée assez ardue. Aucun génome d’écrevisse n’avait encore été séquencé. Curieusement, chez les crustacés qui sont pourtant des animaux d’intérêt économique, les deux seuls génomes séquencés sont ceux de la daphnie (Daphnia pulex) et de l’amphipode Parhyale hawaiensis, ressemblant à un gammare.

Les scientifiques ont assemblé des portions de génome pour le cartographier. Ils ont aussi séquencé des ADN d’individus venant de la nature. D’après leurs résultats parus dans Nature ecology and evolution, le génome compte 3,5 x 109 paires de bases et plus de 21.000 gènes. Grosse surprise : la totalité de la descendance de l’écrevisse marbrée est génétiquement identique et forme un clone. Seules des mutations ponctuelles ont été détectées çà et là dans le génome.

Frank Lyko, un des auteurs de ces travaux, a expliqué dans un communiqué : « nous n’avons pu détecter que quelques centaines de variants dans un génome plus grand que le génome humain. C’est un nombre incroyablement petit ».

Toutes les écrevisses marbrées descendraient de la même femelle qui serait issue d’un accouplement d’écrevisses de l’espèce Procambarus fallax, venant de Floride. Au cours de ce croisement, un des deux parents aurait fourni un gamète (ovule ou spermatozoïde) avec un nombre anormal de chromosomes : ce gamète diploïde (AA’), avec deux jeux de chromosomes au lieu d’un seul, a fusionné avec un gamète normal, haploïde (B), avec un seul lot de chromosomes. La cellule-œuf obtenue était triploïde et avait trois copies de chaque chromosome (AA’B), au lieu de deux.

Ne relâchez pas vos écrevisses d’aquarium dans la nature ! © Roman Pyshchyk, Fotolia

Ne relâchez pas vos écrevisses d’aquarium dans la nature ! © Roman Pyshchyk, Fotolia

Des écrevisses triploïdes qui forment un clone

Ce nouvel individu triploïde n’a pas eu de problème pour se développer. Il avait la chance d’avoir un haut niveau d’hétérozygotie, car ses deux parents devaient être assez éloignés. L’hétérozygotie et la triploïdie ont pu lui donner un avantage évolutif, en limitant le risque de mutations délétères et en augmentant sa capacité d’adaptation. L’écrevisse a pu se reproduire par parthénogenèse, utilisant ses cellules pour former de nouveaux embryons. Parfois, les écrevisses marbrées s’accouplent avec des mâles mais elles ne donnent jamais de descendants issus d’une reproduction sexuée.

L’écrevisse marbrée s’est répandue dans le monde par le commerce d’animaux d’aquariophilie et par des lâchers sauvages dans la nature. Non seulement les écrevisses provenant d’aquarium peuvent s’installer dans la nature, mais en plus elles semblent se propager rapidement. L’écrevisse est arrivée à Madagascar en 2007 et menace aujourd’hui les populations autochtones d’écrevisses.

Dans une autre partie de l’étude, un scientifique de Madagascar a étudié l’expansion de l’écrevisse. La population de Madagascar était homogène et similaire à celles des écrevisses allemandes. En plus de Madagascar, les écrevisses marbrées se trouvent aujourd’hui en Allemagne, au Japon et en Suède. Elle semble s’adapter facilement au milieu malgré l’absence de reproduction sexuée et de diversité génétique. Les chercheurs font l’hypothèse que ceci est possible grâce à des modifications épigénétiques.

Enfin, les caractéristiques génétiques de l’écrevisse marbrée intéressent particulièrement les chercheurs qui travaillent sur les mécanismes à l’origine du cancer. Comme les écrevisses forment un clone, elles peuvent, tout comme une tumeur, être utilisées comme modèle d’étude. Les tumeurs s’adaptent parfois à leur environnement, par exemple en développant une résistance à un médicament anticancer. Des mécanismes épigénétiques seraient là aussi en jeu et influenceraient le développement de la maladie.

CE QU’IL FAUT RETENIR

  • L’écrevisse marbrée est une espèce formée de femelles génétiquement identiques.
  • Elles se reproduisent sans mâles par parthénogenèse.
  • L’espèce née probablement dans un aquarium gagne dangereusement du terrain dans la nature, en Europe et à Madagascar.

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Le Saviez-Vous ► Toutes les raisons pour ne pas mettre un poisson rouge dans un bocal


Tous ceux qui ont eu des poissons, ont sûrement commencé par un petit poisson rouge et un bocal. Avec ce billet, vous allez voir ces petits poissons d’un autre oeil et plus jamais j’espère que vous mettrez un poisson rouge dans un bocal
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Toutes les raisons pour ne pas mettre un poisson rouge dans un bocal

Le traitement que vous infligez à votre poisson

Quand on commence l’aquariophilie on a toujours tendance à acheter le fameux bocal de cinq litres pour y mettre un petit poisson rouge…

Vous allez au magasin pour acheter tout ce qu’il faut, et le vendeur vous dit qu’un poisson rouge dans un bocal est très bien pour débuter ! Mais tout seul il risque de s’ennuyer alors prendre un deuxième poisson serait beaucoup mieux.

Comme vous n’y connaissez rien en matière d’espace, vous suivez les conseils du vendeur et vous rentrez chez vous avec les deux petits poissons.

Vous remplissez donc la boule et vous mettez directement les poissons sans attendre car vous êtes très pressé de pouvoir les contempler

Quatre jours après on ne distingue quasiment plus les poissons car l’eau est trop trouble… Alors vous les sortez pour les mettre ailleurs et vous changez intégralement l’eau avec de l’eau de conduite puis vous remettez les poissons…

Par la suite vous nettoyez la boule comme ça toutes les semaines, jusqu’au beau jour où vous remarquez que vos bien jolis petits poissons flottent a la surface de l’eau…

Et vous vous dites

« mais pourquoi sont-ils morts ? je m’en occupais bien pourtant, je changeais l’eau souvent leur donnais correctement a manger…(même peut-être trop…) Je ne comprends pas…»

Les poissons rouges ne sont pas faits pour être mis dans un bocal car ce sont des animaux, oui robustes mais surtout qu’adultes, ils peuvent meusurer jusqu’a une cinquantaine de centimetres !! Donc vous comprenez bien qu’un poisson de cette taille là ne peut pas vivre dans des bonnes conditions dans un espace aussi réduit que cela…

Vous allez me dire alors,

« Mais oui, mais on m’a bien dit que le poisson adaptait sa taille au volume du bac »

Oui, effectivement, si le poisson est dans un bocal, alors sa croissance s’arrêtera naturellement, mais ceci dans de grandes souffrances ! Entrainant des déformations, par exemple sa vessie natoire (permettant au poisson de flotter entre deux eaux) qui se déplacera et qui fera flotter le poisson, qui aura du mal à s’alimenter, qui sera énormément fatigué car il ne pourra pas aller où il veut parce qu’il sera constamment attiré à la surface. Ceci le conduira à la mort (fatigue et faim). C’est un des cas les plus courant de mort du poisson rouge dans un bocal, sans compter les maladies qu’il peut attraper.

La longévité du poisson rouge, naturellement et de trente ans, sa durée de vie moyenne est de 3 mois dans un bocal… Le record de longévité est de quarante-trois ans, et ce n’est pas en bocal que cela pourrait arriver.

Un poisson rouge qui meurt au bout d’un an, c’est un « adolescent » qui a réussi a survivre dans des conditions médiocres jusque là !

-Le poisson rouge est souvent mis seul dans ce genre d’aquarium, parfois on en met deux, mais ceci aggrave encore plus leur taux de mortalité (espace divisé en deux + pollution multipliée par deux).Le poisson rouge a besoin de vivre en groupe de quatre ou cinq individus ou plus, car s’il est seul il peut devenir depressif et finir par mourir.

-Les poissons ont besoin qu’on leur procure de la lumière (néon/HQI/HQL…etc) ainsi qu’une filtration pour que l’eau reste le plus propre possible (le poisson rouge est très pollueur), mais aussi des plantes et des cachettes, une aération, tout cela pour leur bien-être.

-Le poisson rouge a besoin d’environ entre quatre-vingt et cent litres pour pouvoir être à l’aise et ça pour toutes les espèces de poissons rouges, qu’il s’agisse de poissons rouges communs, de têtes de lions, de voiles de chines…etc. Quand je dit 100 litres, c’est pour un poisson, donc comme le poisson rouge doit vivre en groupe, le minimum requis est de 250 litres.

Tête de lion la plus grosse du monde….

-En plus de ne pas être adapté pour les poissons rouges, le bocal déforme complètement la vision, cela donne alors un coté esthétique plutôt médiocre…

-Ensuite le nettoyage… Chaque semaine vous videz entièrement la boule, donc vous stressez votre poisson car vous le sortez de l’aquarium puis vous mettez de l’eau neuve qui vient directement du robinet sans savoir qu’elle peut être dangereuse pour le poisson (question chlore, métaux lourds…etc) mais aussi pour une question de paramètres qui sont différents. Entre deux changements d’eau, une différence de température trop brutale pourrait nuire à la santé du poisson.

Les changements ne sont pas assez espacés, mais prolonger la durée après un changement rend l’eau trop trouble. Dans les grands aquariums, chaque semaine on ne fait qu’un changement partiel de l’eau qui a les mêmes paramètres, la même température, qui est traitée contre le chlore, les métaux…etc, et ceci ne stresse pas les poissons !

-Mais vous allez me dire :

« Donc le poisson rouge n’est pas aussi robuste que ça ?? »

A ne pas confondre : Aucun poisson (même les bettas qui peuvent supporter des volumes de ce genre, ne pourrait vivre là dedans car comme je le disais un peu plus haut, il n’y a pas de chauffage, de lumière…etc) ne peuvent suporter ce genre d’aquarium, ce n’est pas parce que le poisson rouge est dit robuste qu’il peut supporter ce genre de volumes.

On le caractérise comme un animal robuste parce qu’il résiste à des températures variant de 4 a 30 C° mais aussi un PH de 6.5 à 8 !! Et peu d’espèces de poissons peuvent supporter d’aussi grands écarts de température et de PH.

-En fait le poisson rouge n’est pas vraiment fait pour vivre en aquarium, il s’adaptera beaucoup mieux dans un bassin de plein air où il pourra se reproduire aisément. En revanche si vous tenez vraiment à le maintenir dans un aquarium, prévoyez grand, le minimum est de 250 litres pour quatre voire cinq poissons, vous aurez alors des chances de les voir se reproduire ! Plus l’aquarium est grand et plus il y a de facilités à maintenir un équilibre écologique pour un prix d’entretien peu élevé par rapport à un petit aquarium.

J’ajouterais également que personnellement mettre cinq poissons dans un 250 litres, c’est dommage, car on pourrait mettre une multitude de petites espèces d’eau chaude, qui feraient mieux vivre l’aquarium, et donneraient un aspect esthétique bien plus réussi. Il faut dire aussi que le poisson rouge en plus d’être un gros pollueur, est un gros « démolisseur ». Vous ne tarderez pas à voir votre décor complètement retourné dans tous les sens, par son caractère « fouisseur/démolisseur », mais aussi voir vos plantes dont il ne restera que la tige…

http://www.aquabase.org