Heureux sont ceux …


Comme ma fille me dit souvent : vivre au moment présent ! Non pas que je sois nostalgique, mais j’ai tendance à faire plusieurs choses en même temps et sois je tombe, je m’étouffe ou autre ..
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Heureux sont ceux …

 

 

Heureux sont ceux qui prennent la vie jour après jour, se plaignent peu et ont de la gratitude pour les petites choses de la vie

Marck Bernat

Pour être heureux


Être heureux est un état d’âme que même si on possède beaucoup de biens, ce n’est pas assuré qu’on soit plus heureux. Comme c’est un état d’âme, ce sont nos valeurs, notre attitude face à la vie qui fait la différence
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Pour être heureux

 

 

Pour être heureux, possède ce qui ne s’achète pas : l’amour, la gratitude, le pardon, la sérénité et la conscience

Inconnu

Ne forcez pas vos petites filles à faire des câlins ou bisous à leurs proches


On parle beaucoup ces temps-ci de ne pas forcer de donner des bisous ou des câlins. En fait, cela fait partie de l’éducation au consentement et doivent être respecté. Donner bisous pour avoir une récompense, est une méthode malheureuse qu’on apprend ..
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Ne forcez pas vos petites filles à faire des câlins ou bisous à leurs proches

 

https://www.flickr.com/photos/dahstra/2994029408/in/photolist-5yzbCG-8ATvTd-5bygee-Due2z-bDRjWe-Cxn3Ds-eVkfXv-8ATvK7-NPnWgg-8AQrrM-8AQpxi-8ATtEQ-dUUEyD-4h9AD4-8ATxWu-f5h1VT-2JQreR-chg59W-2JQqUP-Wma2wY-8EGA5n-p6Kbtp-d9MD1s-4zde3-8AQrVc-96PF9R-pJ4oT-6P2QJL-bmPFvv-bWvjXU-e2GxL1-e2GxLu-bmPD9F-2WecN3-7hLbci-e2GxHU-a93ns7-e2AUhZ-92sdMw-9UjGpd-7iqdm3-e2GxQY-bmPCdr-bmQjjP-f5hrMF-bmPEV2-TVpYt5-2osrTk-e2AUjR-WrLa6F

Father | DAHstra via Flickr CC License by

Repéré par Léa Marie

Repéré sur New York Times

La notion de consentement s’apprend dès le plus jeune âge.

«Fais un bisou à Papa, il t’a acheté un beau cadeau!», «Dis au revoir à Mamie, fais-lui un gros câlin».

Rares sont les parents qui n’ont jamais insisté pour que leur petite fille ou leur petit garçon se montre affectueux avec un proche.

Alors que les fêtes de Noël –et leurs fameuses réunions de famille– approchent à grands pas, il est temps de prendre une bonne résolution: arrêtez de forcer vos bout de choux à embrasser ou câliner leur papa, tata, papi, ou qui que ce soit d’autre.

«Elle ne doit de câlin à personne»

«Dire à votre enfant qu’elle doit un câlin à quelqu’un juste parce qu’elle n’a pas vu cette personne depuis longtemps ou parce que cette personne lui a offert un cadeau peut lui faire intégrer l’idée qu’elle devra de l’affection physique, plus tard dans sa vie, à quiconque l’invitera à dîner ou fera quelque chose de supposément gentil.»

Avec ces mots, l’association Girl Scouts USA a déchaîné les passions outre-Atlantique. L’article en question, intitulé «Reminder: She Doesn’t Owe Anyone a Hug. Not Even at the Holidays» («Rappel: Elle ne doit de câlin à personne. Pas même pendant les fêtes») et qui s’intéresse au cas des petites filles, a été partagé près de 7.500 fois sur Facebook depuis sa publication le 3 novembre dernier, et a engendré des centaines de commentaires tantôt outrés, tantôt approbateurs.

«J’étais soulagée que mes parents ne me forcent pas à m’engager dans un geste affectueux non-désiré. Je me souviens que ma mère me défendait face à ceux qui institaient pour un câlin/bisou: “Elle préfère serrer la main ou faire coucou. Ce n’est pas un problème, elle a le droit de choisir”», confie une internaute.

«Je suis choquée de voir tous ces commentaires exprimant leur désaccord avec l’article. Si un adulte s’indigne sérieusement du fait qu’un ENFANT ne soit pas à l’aise avec l’idée de faire un câlin, c’est eux qui doivent mûrir. Bien sûr, nous souhaiterions tous que notre enfant soit aimant et doux. Mais pas qu’il fasse quelque chose qui le dérange juste parce qu’un adulte le lui demande», assure une autre. 

Un enjeu dès l’enfance

À l’ère de #BalanceTonPorc et de #MeToo –où les dénonciations d’agressions sexuelles sont chaque jour plus nombreuses–, il est nécessaire de préciser les contours de la notion de consentement, qui reste assez floue dans l’imaginaire collectif.

Cette dernière est considérée, à tort, comme une problématique d’adultes. Ou du moins de personnes en âge de mener une vie sexuelle. En réalité, l’idée du consentement germe dans les têtes des petites filles de manière inconsciente dès leur plus jeune âge.

L’enfance est une période cruciale de développement intellectuel: les schémas qui y sont intégrés auront un impact indéniable sur les comportements de l’adulte en construction. Il convient ainsi de veiller à ce que votre fille ne se forge pas une idée erronée du consentement et de l’affection physique en général.

La psychologue américaine Andrea Bastiani Archibald explique:

«La façon dont on apprend –ou non– aux petites filles à instaurer des barrières physiques et à voir leur volonté respectée –ou non– restera gravée en elle toute sa vie et peut influencer la façon dont elle percevra son corps à l’âge adulte. Lui apprendre la notion de consentement tôt l’aidera à connaître ses droits, savoir quand certaines limites sont franchies, et quand tirer la sonnette d’alarme.» 

Très fréquemment, des enfants en bas-âge se voient prier de «faire un bisou» en l’échange d’une récompense: 

«Tu veux un chocolat? Fais bisou à Papa.» 

Quel message envoie-t-on, indirectement, lorsque l’on explique à une petite fille qu’elle doit avoir recours à une démonstration d’affection physique pour obtenir une gratification? Inversement, que lui apprend-on lorsqu’on lui explique qu’elle se doit de remercier physiquement quelqu’un qui lui a fait un cadeau ou rendu un service? 

Bien sûr, l’idée n’est pas de diaboliser les parents qui demandent à leurs enfants de faire des bisous à leur grand-mère. Ou à eux-mêmes, chose que font probablement toutes les parents. Bien souvent, la requête se veut pédagogique et entend apprendre aux petits à exprimer leur gratitude ou à se montrer tendres. Mais toutes les femmes ont le souvenir désagréable d’avoir été contraintes d’embrasser un vieil oncle ou une vielle tante à contre-cœur, sans oser braver cette injonction. Elles l’ont alors fait, par obéissance ou par peur de peiner la personne à qui elles refuseraient ce geste.

Spontanéité et affection verbale

Les enfants sont, dans l’ensemble, bien plus démonstratifs que leurs aînés. Il est donc fort probable qu’ils initient eux-mêmes spontanément les démonstrations d’affection et aient recours à de la communication physique. Si ce n’est pas le cas, c’est qu’ils ne le veulent pas. Que cela relève de leur timidité, du fait qu’ils n’aiment pas le proche concerné ou qu’ils ne soient pas fans des câlins, l’idée est la même: il ne vaut mieux pas insister s’ils se montrent réticents.

Par ailleurs, l’affection passe aussi par la communication verbale, qui permet elle aussi de consolider les liens familiaux.

«C’est […] le fait que le bisou forcé est totalement entré dans nos habitudes familiales qui représente un problème», résume parfaitement Nadia Daam dans un article intitulé «Les enfants ne sont pas des distributeurs de bisous»:

«L’idée selon laquelle le bisou [ou le câlin] est la seule marque d’affection valable et que l’enfant doit donc s’y plier est tellement entré dans les mœurs que personne, ou presque, n’avait jusqu’ici songé à remettre cette pratique en question.»

http://www.slate.fr

Le petit mot qui pourrait changer votre vie


La gratitude semble vraiment être un atout sur la perception que peuvent avoir sur nous et ce même si nous ne sommes pas particulièrement sociaux
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Le petit mot qui pourrait changer votre vie

 

© thinkstock.

Alizé B.

Et vous permettre de tisser des relations durables.

À l’heure où tout passe par notre smartphone, les cartes de remerciement se font particulièrement rares. Et c’est bien dommage, en particulier si vous ressentez des difficultés à tisser des liens, ou à vous intégrer socialement.

Selon l’étude « Warm thanks: Gratitude can win you new friends » dirigée par des chercheurs de l’Université de South Wales, le simple fait de dire le petit mot « merci » ou d’envoyer une carte de remerciement pourrait faire en sorte que les gens vous perçoivent davantage comme une personne chaleureuse, amicale, et attentionnée.Cette étude, menée sur 70 étudiants de l’Université de South Wales et sur leurs mentors, a effectivement démontré que les étudiants – dans ce cas-ci, la moitié des participants – qui avaient envoyé des cartes de remerciement à leurs mentors étaient plus susceptibles de rester en contact avec eux. En d’autres termes, même si vous n’êtes pas la personne la plus sociale que vous connaissez, il suffit bien souvent de simplement dire « merci » pour améliorer l’impression que les gens ont de vous, et ainsi établir des relations plus durables.

« Nos résultats représentent la première preuve connue que l’expression de gratitude facilite le début de nouvelles relations entre des personnes qui ne se connaissaient pas vraiment avant », conclut ainsi le Pr. Lisa Williams, chercheuse principale de cette étude.

http://www.7sur7.be

La gratitude


La gratitude devrait devenir innée en nous. Elle permet de venir solidaire aux autres. De changer la perception, de transformer une journée sombre en une journée lumineuse qu’elle soit porter aux autres ou à la vie en générale
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La gratitude

 

 

L’importance de la gratitude tient à sa capacité d’enrichir la vie humaine. Elle élève l’esprit, donne de l’énergie, inspire, transforme. Elle procure du sens en mettant l’existence en valeur comme un présent dans son écrin. Sans elle, la vie peut-être solitaire, déprimante, appauvrie. La gratitude est la clé du bonheur.     

               
Ben Stein

La gratitude


La gratitude devrait devenir une habitude tout en étant conscient de l’importance du mot merci
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La gratitude

 

 

La gratitude est le secret de la vie. L’essentiel est de remercier pour tout. Celui qui a appris cela sait ce que vivre signifie. Il a pénétré le profond mystère de la vie.  

                                                                  
Albert Schweitzer

La gratitude


Nous avons le choix de choisir l’attitude devant les aléas de la vie. Bien sûr, à certains moments, cela peut nous blesser, mais il n’appartient à nous de ne pas laisser ses blessures ronger nos pensées
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La gratitude

 

La gratitude comme discipline implique un choix conscient. C’est étonnant de voir le nombre d’occasions où je peux choisir la gratitude au lieu de me plaindre. Je peux choisir d’être reconnaissant quand je suis critiqué, même si mon cœur réagit avec amertume. Je peux choisir d’écouter les voix qui pardonnent et de regarder les visages souriants, alors que j’entends des paroles de vengeance et vois des grimaces de haine.       

H.  Nouwen

La Gratitude


La gratitude ne devrait jamais être secondaire. Elle devrait faire partie d’une règle de vie qu’on transmet de génération en génération
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La Gratitude

 

 

Pratiquer la gratitude détourne l’attention du moi, la dirige davantage vers les autres et ce qu’ils nous procurent.     

Robert Emmons

Et la gratitude?


La gratitude a vraiment des effets bénéfiques pour ceux qui la reçoivent que ceux qui la donnent. Un simple merci est suffisant et peu changer à un moment très particulier
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Et la gratitude?

 

 

Photo: Sophie Gagnon-Bergeron/Getty Images

Par Johanne Lauzon

Dire merci a une grande portée. Et pas seulement quand quelqu’un nous tient une porte ou nous passe le sel. Pratiquer la gratitude est même la façon la plus simple de se sentir bien.

« Qu’est-ce qu’on dit ? » C’est sans doute la phrase qu’on entend le plus souvent dans l’enfance. Une fois adulte, on la ressert à son tour aux plus jeunes. Comme une chaîne de civilité. Parce que dire merci est sans doute le plus élémentaire des liants sociaux.

Ce mot de cinq lettres est prononcé, comme un réflexe, quand quelqu’un tient la porte pour nous ou nous tend la main. (Mis à part pour les pas d’allure, on s’entend, qui n’ont pas appris les bonnes manières.) Sauf qu’au delà du conditionnement, ce signe de reconnaissance a une grande portée. Remercier les autres ou la vie change le regard que l’on porte sur tout ce qui nous entoure.

On passe du « Je veux, je désire, j’exige » au « Je suis satisfaite, reconnaissante, comblée ».

C’est une façon de vivre dans la gratitude. Ésotérique ? Non, si l’on en croit les études. Il existe un lien entre les joies quotidiennes et la reconnaissance qu’on exprime.

Pratiquer la gratitude est la façon la plus simple de se sentir bien, avance Robert Emmons, auteur du livre Merci ! (Belfond) et professeur de psychologie à l’Université de Californie. On ressent moins de stress, on est davantage positif et uni à ses proches, son voisinage, sa société. Et c’est salutaire dans les périodes difficiles.

« Vivre dans la gratitude est un choix. Cette attitude perdure malgré les aléas de la vie. Dans les épreuves, elle donne de nouvelles perspectives. C’est difficile à atteindre, mais mes recherches prouvent que cela en vaut la peine », écrit-il.

Une existence pleine et riche de sens (en anglais, on parle de meaningful life) appelle la gratitude, selon Martin Seligman, père de la psychologie positive. Dans une conférence prononcée sur TED.com, il suggère à son auditoire de se prêter à un exercice : la visite de gratitude.

« J’aimerais que vous pensiez à une personne qui a fait quelque chose d’immensément important pour vous et à qui vous n’avez jamais vraiment dit merci. Votre tâche est de lui écrire un témoignage de 300 mots, de prendre rendez-vous avec elle, sans expliquer pourquoi, et de lui lire votre texte. À ce moment précis, tout le monde pleure… », relate le psychologue.

Menée auprès de 411 individus, cette expérience a donné des résultats étonnants : les participants ont été moins déprimés et plus heureux pendant des mois. Et on peut imaginer les bienfaits ressentis par celui ou celle qui reçoit pareille déclaration…

http://fr.chatelaine.com/

Le pouvoir de la gratitude


Nous avons tous nos hauts et nos bas, mais parfois nos bas semblent prendre de plus en plus de place laissant un vide en nous. Notre attitude à donner de l’importance à ce qui ne va pas, nous aveugle sur ce qui est positif. Nous ne pouvons pas changer certaines choses, mais nous pouvons par contre, changer notre attitude. Cela demande du travail sur soi, mais c’est possible
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Le pouvoir de la gratitude

 

 

 

On entend souvent dire que la gratitude est l’attitude par excellence à adopter pour attirer à soi toujours plus d’abondance. Alors aujourd’hui, je vous propose un texte écrit par Fabrice Béal qui nous invite à faire un petit test…

1) Passez une journée à maugréer, à relever tout ce qui ne va pas et à faire l’inventaire de tout ce que vous n’avez pas, puis regardez ensuite comment vous vous sentez.

2) Passez une journée à remercier pour tout ce que vous avez et tout ce qui vous arrive de bénéfique depuis que vous êtes né et regardez ensuite comment vous vous sentez.

Dans les deux cas, vous avez raison, puisqu’il ne s’agit que de deux points de vue différents. Le premier n’est pas plus vrai que le second et vice versa… Seulement, votre point de vue détermine comment vous vous sentez. C’est quand même fort non, quand on y réfléchit ?

Votre bien-être dépend donc du degré de gratitude que vous ressentez en cet instant et tous les jours de votre vie depuis que vous êtes sur cette terre.

En fait, notre bonheur ne dépend que d’un point de vue et d’une habitude à prendre : celle de remercier constamment.

Le drame, c’est de ne pas avoir conscience à quel point nous sommes bénis. Pour la grande majorité d’entre nous, c’est au moment où nous perdons ce que nous avons que nous prenons soudain conscience de sa valeur. Mais nous ne sommes pas du tout obligés d’en arriver là pour comprendre que nous avons déjà tout pour être heureux.

Lorsque vous vous sentirez d’humeur à vous plaindre, repensez à tout ce que vous avez et dites merci pour toutes les bonnes choses dont vous jouissez chaque jour. Il y a une infinité de choses pour lesquelles vous pouvez remercier, à commencer par tout ce qui va bien et ne pose pas de problème particulier dans votre vie. La liste est longue, non ?

C’est en adoptant ce réflexe que vous attirerez encore davantage de bienfaits dans votre existence !

Fabrice Béal

http://www.lapetitedouceur.org/