La chaleur d’un câlin


Il est de plus en plus pressant, à mon avis, de prendre conscience de notre entourage, alors que la technologie est s’infiltre dans nos vies.
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La chaleur d’un câlin



Aucune technologie ne pourra remplacer la chaleur d’un câlin, la douceur d’une caresse et l’intensité d’un regard.


Inconnu

Forcer votre enfant à faire des bisous : bonne ou mauvaise idée ?


C’est fini le temps où on obligeait les enfants a donner des bisous ou des câlins à la visite. On laisse leur laisse le choix. La spontanéité donne des meilleurs bisous. Puis on apprend à l’enfant a respecter son corps.
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Forcer votre enfant à faire des bisous : bonne ou mauvaise idée ?


kravik93/shutterstock.com

Faire un bisou à papy ou à une copine de maman, est-ce une obligation ? Les tout-petits émettent parfois un refus catégorique. Si la politesse est impérative, pourquoi imposer, contre leur gré, un contact physique aux enfants dès le plus jeune âge ?

« Allez, fais un bisou ! » Lorsqu’un enfant de moins 5 ans refuse d’embrasser un proche, pour le saluer ou lui dire au revoir, les parents se sentent souvent obligés de l’y forcer. Pour ne pas vexer, froisser l’adulte ou parce qu’ils estiment que cela fait partie de la politesse.

 Or ce comportement est pour le moins « contreproductif », estime Vincent Joly, psychologue à Paris.

« Si votre enfant ne veut pas faire bisou, il ne le fait pas pour vous irriter. Il a certainement une vraie raison », souligne-t-il. « Peut-être est-il mal à l’aise, ou a-t-il peur ou est-il angoissé. »

Dans tous les cas, le forcer ne lui donnera pas davantage envie d’embrasser vos proches. Et cela augmentera peut-être encore son malaise.

« Laissez-lui donc le temps de décider par lui-même s’il fera ou non des bisous », poursuit-il.

Son corps, son droit de refuser

Demander la permission à un enfant avant de lui faire un câlin ou un bisou permet en outre de lui apprendre qu’il a le droit de refuser le contact physique. Vous respectez ainsi ses limites. De plus, il développe ainsi son sens de l’autonomie et apprend la notion de respect de son corps.

Un discours pas toujours cohérent…

Si l’enfant accepte d’embrasser certains proches et pas d’autres, peut-être y-a-t-il une raison.

« Il arrive que les parents demandent à l’enfant d’embrasser le cousin ou l’oncle qu’ils n’ont eux-mêmes pas très envie de voir », explique Vincent Joly. « Or les enfants ont parfois entendu ce que pensaient les parents et ressentent le manque de sincérité. »

Pour que l’enfant adhère avec la pratique du bisou pour saluer, Il faut que le message soit clair. 

« La famille oui, les amis non par exemple », poursuit-il. « Et il vaut mieux éviter trop d’hypocrisie sociale car les enfants ne parviennent pas à faire semblant », conclut-il.

Source : interview de Vincent Joly, psychologue à Paris, 25 avril 2019 – Naître et Grandir, consulté le 2

Ecrit par : Dominique Salomon – Edité par : Vincent Roche

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Le Saviez-Vous ► 5 idées reçues sur ce qui rend nos chats heureux


Il n’y a pas un chat de pareil. Pour en avoir eu plusieurs au cours des années, ils ont tous un tempérament différent. Le plus remarquable a été Virgule, un chat roux, qui était plutôt collant, et quand il voulait des câlins, c’était du harcèlement, alors que ma Fripouille, c’est tout le contraire. C’est seulement quand elle le veut et juste sur la tête et dans le cou. Ne pas voir les signes d’agacements, gare à nos doigts
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5 idées reçues sur ce qui rend nos chats heureux

 

chat heureux

Ce qui nous fait plaisir à nous ne fait pas toujours le bonheur de notre chat… La preuve : voici 5 idées reçues sur ce qui rend heureux les félins.

1. Le chat aime le lait

C’est vrai, le chat aime le lait. Mais ce n’est pas toujours bon pour lui, bien au contraire. Si certains le digèrent bien à petite dose, d’autres, au contraire, ne l’assimilent plus du tout une fois devenus adultes. Allergique ou intolérant aux protéines du lait, le chat peut développer des rougeurs, démangeaisons, otites, troubles digestifs, etc.  Pour faire plaisir à son chat, mieux vaut donc lui donner un lait spécial pour chats, mais toujours avec modération.

2. Le chat aime les câlins

Certains chats sont plus câlins que d’autres. Il y en a qui détestent les câlins. Le contact physique peut même leur causer un très grand stress. Il ne faut donc jamais forcer un chat au contact. Et même si votre chat semble apprécier ces moments de tendresse, il faut savoir respecter ses humeurs et ne pas insister s’il vous fait comprendre que ce n’est pas le moment de le papouiller.

3. Le chat aime avoir une alimentation variée

On pense parfois que comme nous, les chats aiment qu’on varie leur alimentation. Mais cela n’est pas vrai : pour leur santé, il vaut mieux que leur nourriture soit toujours la même afin de leur éviter des troubles digestifs. Une alimentation adaptée à leurs besoins, mise à disposition toute la journée plutôt que fractionnée en deux repas, est recommandée.

4. Le chat aime tout ce qui est sucré

Le chat ne connaît pas la saveur sucrée donc il ne l’aime pas spécialement. En effet, dans la nature, le chat n’a pas vocation à chasser ou à manger un aliment sucré. Ses papilles gustatives sont bien différentes des nôtres. Lécher le fond d’un yaourt n’a certainement pas le même goût pour lui que pour nous, et cela ne lui procure pas le même plaisir. Mieux vaut donc ne pas lui donner de sucreries, cela sera d’autant mieux pour sa santé.

5. Le chat aime partir à l’aventure

Les chats ayant un accès à l’extérieur aiment pouvoir partir à la quête de leur environnement. Ils peuvent parcourir jusqu’à plusieurs dizaines de kilomètres chaque jour. Au cours de leurs périples, ils font des rencontres, chassent, mangent, dorment… Et tout cela contribue à leur équilibre. Cependant, ce n’est pas parce qu’un chat est baroudeur qu’il aime être transporté. Ne pensez pas forcément lui faire plaisir si vous décidez de l’emmener avec vous en voyage : la plupart des chats n’aiment pas qu’on change leurs habitudes. En bref, si le chat aime partir pour ses aventures, ne lui imposez pas les vôtres.

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Le Saviez-Vous ► Pourquoi le chat se dirige-t-il toujours vers la personne qui n’aime pas les chats ?


Les chats sont des animaux autonomes et n’aiment pas nécessairement avoir des contacts rapprochés avec l’humain. Les câlins peuvent devenir une source de stress pour eux. Ils préfèrent choisir le moment pour les câlins et un autre pour la tranquillité.
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Pourquoi le chat se dirige-t-il toujours vers la personne qui n’aime pas les chats ?

 

chat stress calins

A l’occasion de la sortie de son livre « Comprendre votre chat » aux éditions de l’Opportun, Sonia Paeleman, comportementaliste pour chats, vous propose de résoudre ce grand mystère au sujet des chats.

On a tous un jour vécu cette situation. Plusieurs personnes sont réunies au même endroit et le chat va systématiquement et le plus naturellement du monde se diriger vers la personne de l’assemblée qui aime le moins les chats, voire ne les aime pas du tout. Mais pourquoi ? Pourquoi ne pas aller tout simplement vers les personnes qui ne demandent que ça ?

Que se passe-t-il dans la tête des chats ?

Au premier abord, il est tentant de penser que le chat n’est tout simplement pas très futé et surtout pas très fin psychologue et qu’il n’a tout simplement pas la moindre idée des personnes qui réclament sa présence ou non.

Mais en réalité, le chat sait parfaitement ce qu’il fait et il se dirige dans son propre intérêt vers la personne la plus fréquentable pour lui. Et cette personne n’est pas celle qui est disponible tout de suite pour le solliciter, le gratouiller ou lui faire un gros câlin… Tout simplement car le matou n’a pas envie de ce gros câlin ou que la situation ne s’y prête pas.

Forcément, la personne qui n’aime pas les chats va rester dans son coin, garder les mains dans ses poches et représente donc la cible la plus logique pour le chat qui veut rester tranquille. C’est à ce moment précis la personne la plus rassurante pour le chat qui aura envie de venir l’explorer.

Les câlins, une source de stress pour votre chat

Outre le fait que cette situation soit un peu cocasse et récurrente, ce que tout cela souligne c’est que le chat est sensible à la manière dont il est approché et dont il est touché par les humains. Bien souvent, lorsque les humains ont envie d’entrer en interaction avec un chat, il se détermine par rapport à leur propre besoin et à leur propre envie sans se demander si cette envie est partagée ou non par le chat.

Au quotidien, le chat se retrouve très souvent dans la situation de devoir tolérer ou recevoir un contact qu’il n’avait pas forcément souhaité. Ceci peut avoir des conséquences non négligeables sur votre relation avec votre chat, mais il se trouve que c’est aussi un des facteurs de stress important pour nos animaux au quotidien.

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13 câlins entre des animaux d’espèces différentes qui montrent que l’amour est universel.


Des animaux élevé ensemble que ce soit dans la nature ou domestiqués, qui sont souvent des ennemies apprennent a vivre ensemble. N’est-ce pas une leçon que nous pouvons en tirer ?
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13 câlins entre des animaux d’espèces différentes qui montrent que l’amour est universel.

 

N° 1 —Viens ici, toi !!

N° 2 —La vie n’est pas juste, n’est-ce pas mon vieux ?

N° 3 —Laisse-moi essayer cela… non. Que penses-tu de ça ? Toujours pas. Voilà, comme ça, ça marche !

N° 4 —Tu as un nid vraiment très douillet !

N° 5 —Profitons-en et câlinons-nous à l’envi, les humains seront bientôt là.

N° 6 —Coucou !

N° 7 —La vie est bien plus belle avec des câlins !

N° 8 —Peu importe ce qu’ils disent… amis pour la vie !

N° 9 —Câlinons-nous.

N° 10 —La vue est magnifique ici !

N° 11 —Attends, j’ai raté un endroit…

N° 12 —En matière de câlins, nous faisons une équipe du tonnerre !

N° 13 —Rien de mieux pour finir une journée…

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Ne forcez pas vos petites filles à faire des câlins ou bisous à leurs proches


On parle beaucoup ces temps-ci de ne pas forcer de donner des bisous ou des câlins. En fait, cela fait partie de l’éducation au consentement et doivent être respecté. Donner bisous pour avoir une récompense, est une méthode malheureuse qu’on apprend ..
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Ne forcez pas vos petites filles à faire des câlins ou bisous à leurs proches

 

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Father | DAHstra via Flickr CC License by

Repéré par Léa Marie

Repéré sur New York Times

La notion de consentement s’apprend dès le plus jeune âge.

«Fais un bisou à Papa, il t’a acheté un beau cadeau!», «Dis au revoir à Mamie, fais-lui un gros câlin».

Rares sont les parents qui n’ont jamais insisté pour que leur petite fille ou leur petit garçon se montre affectueux avec un proche.

Alors que les fêtes de Noël –et leurs fameuses réunions de famille– approchent à grands pas, il est temps de prendre une bonne résolution: arrêtez de forcer vos bout de choux à embrasser ou câliner leur papa, tata, papi, ou qui que ce soit d’autre.

«Elle ne doit de câlin à personne»

«Dire à votre enfant qu’elle doit un câlin à quelqu’un juste parce qu’elle n’a pas vu cette personne depuis longtemps ou parce que cette personne lui a offert un cadeau peut lui faire intégrer l’idée qu’elle devra de l’affection physique, plus tard dans sa vie, à quiconque l’invitera à dîner ou fera quelque chose de supposément gentil.»

Avec ces mots, l’association Girl Scouts USA a déchaîné les passions outre-Atlantique. L’article en question, intitulé «Reminder: She Doesn’t Owe Anyone a Hug. Not Even at the Holidays» («Rappel: Elle ne doit de câlin à personne. Pas même pendant les fêtes») et qui s’intéresse au cas des petites filles, a été partagé près de 7.500 fois sur Facebook depuis sa publication le 3 novembre dernier, et a engendré des centaines de commentaires tantôt outrés, tantôt approbateurs.

«J’étais soulagée que mes parents ne me forcent pas à m’engager dans un geste affectueux non-désiré. Je me souviens que ma mère me défendait face à ceux qui institaient pour un câlin/bisou: “Elle préfère serrer la main ou faire coucou. Ce n’est pas un problème, elle a le droit de choisir”», confie une internaute.

«Je suis choquée de voir tous ces commentaires exprimant leur désaccord avec l’article. Si un adulte s’indigne sérieusement du fait qu’un ENFANT ne soit pas à l’aise avec l’idée de faire un câlin, c’est eux qui doivent mûrir. Bien sûr, nous souhaiterions tous que notre enfant soit aimant et doux. Mais pas qu’il fasse quelque chose qui le dérange juste parce qu’un adulte le lui demande», assure une autre. 

Un enjeu dès l’enfance

À l’ère de #BalanceTonPorc et de #MeToo –où les dénonciations d’agressions sexuelles sont chaque jour plus nombreuses–, il est nécessaire de préciser les contours de la notion de consentement, qui reste assez floue dans l’imaginaire collectif.

Cette dernière est considérée, à tort, comme une problématique d’adultes. Ou du moins de personnes en âge de mener une vie sexuelle. En réalité, l’idée du consentement germe dans les têtes des petites filles de manière inconsciente dès leur plus jeune âge.

L’enfance est une période cruciale de développement intellectuel: les schémas qui y sont intégrés auront un impact indéniable sur les comportements de l’adulte en construction. Il convient ainsi de veiller à ce que votre fille ne se forge pas une idée erronée du consentement et de l’affection physique en général.

La psychologue américaine Andrea Bastiani Archibald explique:

«La façon dont on apprend –ou non– aux petites filles à instaurer des barrières physiques et à voir leur volonté respectée –ou non– restera gravée en elle toute sa vie et peut influencer la façon dont elle percevra son corps à l’âge adulte. Lui apprendre la notion de consentement tôt l’aidera à connaître ses droits, savoir quand certaines limites sont franchies, et quand tirer la sonnette d’alarme.» 

Très fréquemment, des enfants en bas-âge se voient prier de «faire un bisou» en l’échange d’une récompense: 

«Tu veux un chocolat? Fais bisou à Papa.» 

Quel message envoie-t-on, indirectement, lorsque l’on explique à une petite fille qu’elle doit avoir recours à une démonstration d’affection physique pour obtenir une gratification? Inversement, que lui apprend-on lorsqu’on lui explique qu’elle se doit de remercier physiquement quelqu’un qui lui a fait un cadeau ou rendu un service? 

Bien sûr, l’idée n’est pas de diaboliser les parents qui demandent à leurs enfants de faire des bisous à leur grand-mère. Ou à eux-mêmes, chose que font probablement toutes les parents. Bien souvent, la requête se veut pédagogique et entend apprendre aux petits à exprimer leur gratitude ou à se montrer tendres. Mais toutes les femmes ont le souvenir désagréable d’avoir été contraintes d’embrasser un vieil oncle ou une vielle tante à contre-cœur, sans oser braver cette injonction. Elles l’ont alors fait, par obéissance ou par peur de peiner la personne à qui elles refuseraient ce geste.

Spontanéité et affection verbale

Les enfants sont, dans l’ensemble, bien plus démonstratifs que leurs aînés. Il est donc fort probable qu’ils initient eux-mêmes spontanément les démonstrations d’affection et aient recours à de la communication physique. Si ce n’est pas le cas, c’est qu’ils ne le veulent pas. Que cela relève de leur timidité, du fait qu’ils n’aiment pas le proche concerné ou qu’ils ne soient pas fans des câlins, l’idée est la même: il ne vaut mieux pas insister s’ils se montrent réticents.

Par ailleurs, l’affection passe aussi par la communication verbale, qui permet elle aussi de consolider les liens familiaux.

«C’est […] le fait que le bisou forcé est totalement entré dans nos habitudes familiales qui représente un problème», résume parfaitement Nadia Daam dans un article intitulé «Les enfants ne sont pas des distributeurs de bisous»:

«L’idée selon laquelle le bisou [ou le câlin] est la seule marque d’affection valable et que l’enfant doit donc s’y plier est tellement entré dans les mœurs que personne, ou presque, n’avait jusqu’ici songé à remettre cette pratique en question.»

http://www.slate.fr

Le Saviez-Vous ► 3 choses fausses que vous pensez savoir sur eux


La croyance populaire sur les chiens est souvent augmentée par les vidéos qu’on voit un peu partout sur le Web et du fait que nous avons tendance à leur donner des émotions humaines Les chiens ont un langage par leur comportement qu’on l’on peut mal interpréter.
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3 choses fausses que vous pensez savoir sur eux

 

Chien

3 idées reçues sur les chiens totalement fausses.

© CATERS/SIPA

Par Anne-Sophie Tassart

Bien que les chiens soient nos compagnons depuis des milliers d’années, nous conservons certaines idées fausses à leur sujet. Voici 3 croyances  qui ont été contredites par les chercheurs.

Fidèle compagnon de l’Homme depuis des milliers d’années, le chien (Canis lupus familiaris) est un animal encore mal compris : certaines idées reçues ont la vie dure. L’anthropomorphisme, ou la tendance à attribuer à un animal (ou à autres choses) des sentiments humains, n’y est pas pour rien dans ces erreurs. Certaines vidéos virales qui tournent en boucle sur les réseaux sociaux contribuent à propager ces interprétations inexactes du comportement canin.

Non, les chiens n’aiment pas forcément les câlins

Si entre humains, une étreinte peut avoir un effet apaisant, ce n’est pas forcément le cas pour nos compagnons à quatre pattes. En effet, dans un papier paru sur le site Psychology Today, Stanley Coren, un neuropsychologue américain et spécialiste canin affirme que 4 chiens sur 5 montrent des signes de stress lorsqu’ils sont câlinés par une personne, familière ou inconnue. C’est en observant plus de 250 photos de chiens enlacés que le chercheur a constaté que 81,6 % de ces animaux s’en trouvent stressés, contre seulement 7,6% appréciant l’étreinte amicale dont ils sont l’objet. Suivant son caractère, l’animal peut ressentir de l’anxiété et de l’inconfort, détournant le regard, abaissant ses oreilles et se léchant de manière compulsive, pendant l’étreinte. D’autres peuvent vivre cet acte comme une agression. Enfin, certains chiens peuvent apprécier les étreintes : ouf.

Non, les chiens ne voient pas en noir et blanc

La croyance commune veut que les chiens ne soient capables de percevoir le monde qu’en noir et blanc : erreur ! Ces animaux ont une vision bien plus complexe que cela. Même si leur spectre de vision est plus étroit que le nôtre, ils sont néanmoins sensibles au marron, au bleu et au jaune tout comme les chats. Cependant, les chiens ont une meilleure perception du mouvement que nous. Conséquence : lorsque nous voyons une image continue sur notre télévision, ces animaux voient une série d’images qui clignotent très rapidement à cause du rafraichissement de l’écran qui se produit 60 fois par seconde. Mais ce phénomène ne les empêchent pas d’avoir un réel intérêt pour le petit écran et plus particulièrement pour les sons qu’il diffuse surtout s’il s’agit de jappements et d’aboiements.

Non, ce chien ne se sent pas coupable

Le chien a fait une bêtise et sous les réprimandes de son maître (muni de son smartphone), il s’éloigne et semble se cacher. Ce genre de vidéos fait régulièrement le buzz sur les réseaux sociaux : un animal penaud qui semble s’excuser, ça plaît. Sauf que la réalité est tout autre : selon une étude parue en 2015 dans la revue Behavioural Processes, ces animaux ne ressentent pas de culpabilité. Et d’après une autre étude, l’attitude fuyante du chien serait en réalité une réponse au comportement négatif de son maître, qu’il ait fait une bêtise ou non. Il ne s’agit donc pas ici de culpabilité mais bien de crainte.

https://www.sciencesetavenir.fr

Le Saviez-Vous ► 3 choses fausses que vous pensez savoir sur les chiens


On a cette fâcheuse tendance à donner aux animaux domestiques des sentiments humains, alors que c’est une erreur. Comme on le voit dans diverse vidéos, cette croyance est très forte
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3 choses fausses que vous pensez savoir sur les chiens

 

Chien

3 idées reçues sur les chiens totalement fausses.

© CATERS/SIPA

Anne-Sophie Tassart Journaliste

Fidèle compagnon de l’Homme depuis des milliers d’années, le chien (Canis lupus familiaris) est un animal encore mal compris : certaines idées reçues ont la vie dure. L’anthropomorphisme, ou la tendance à attribuer à un animal (ou à autres choses) des sentiments humains, n’y est pas pour rien dans ces erreurs. Certaines vidéos virales qui tournent en boucle sur les réseaux sociaux contribuent à propager ces interprétations inexactes du comportement canin.

Non, les chiens n’aiment pas forcément les câlins

Si entre humains, une étreinte peut avoir un effet apaisant, ce n’est pas forcément le cas pour nos compagnons à quatre pattes. En effet, dans un papier paru sur le site Psychology Today, Stanley Coren, un neuropsychologue américain et spécialiste canin affirme que 4 chiens sur 5 montrent des signes de stress lorsqu’ils sont câlinés par une personne, familière ou inconnue. C’est en observant plus de 250 photos de chiens enlacés que le chercheur a constaté que 81,6 % de ces animaux s’en trouvent stressés, contre seulement 7,6% appréciant l’étreinte amicale dont ils sont l’objet. Suivant son caractère, l’animal peut ressentir de l’anxiété et de l’inconfort, détournant le regard, abaissant ses oreilles et se léchant de manière compulsive, pendant l’étreinte. D’autres peuvent vivre cet acte comme une agression. Enfin, certains chiens peuvent apprécier les étreintes : ouf.

Non, les chiens ne voient pas en noir et blanc

La croyance commune veut que les chiens ne soient capables de percevoir le monde qu’en noir et blanc : erreur ! Ces animaux ont une vision bien plus complexe que cela. Même si leur spectre de vision est plus étroit que le nôtre, ils sont néanmoins sensibles au marron, au bleu et au jaune tout comme les chats. Cependant, les chiens ont une meilleure perception du mouvement que nous. Conséquence : lorsque nous voyons une image continue sur notre télévision, ces animaux voient une série d’images qui clignotent très rapidement à cause du rafraichissement de l’écran qui se produit 60 fois par seconde. Mais ce phénomène ne les empêchent pas d’avoir un réel intérêt pour le petit écran et plus particulièrement pour les sons qu’il diffuse surtout s’il s’agit de jappements et d’aboiements.

Non, ce chien ne se sent pas coupable

Le chien a fait une bêtise et sous les réprimandes de son maître (muni de son smartphone), il s’éloigne et semble se cacher. Ce genre de vidéos fait régulièrement le buzz sur les réseaux sociaux : un animal penaud qui semble s’excuser, ça plaît. Sauf que la réalité est tout autre : selon une étude parue en 2015 dans la revue Behavioural Processes, ces animaux ne ressentent pas de culpabilité. Et d’après une autre étude, l’attitude fuyante du chien serait en réalité une réponse au comportement négatif de son maître, qu’il ait fait une bêtise ou non. Il ne s’agit donc pas ici de culpabilité mais bien de crainte

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