Le Saviez-Vous ►Top 10 des inventions que l’on doit au génie chinois


Les chinois ont inventé bien des choses comme le cerf-volant, le papier, le sismographe  qui sont encore utile aujourd’hui
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Top 10 des inventions que l’on doit au génie chinois

 

top 10 des inventions chinoises

PAR DJINNZZ

La Chine a eu longtemps une longueur d’avance sur le reste du Monde. La preuve dans ce Top 10!

  • Le cerf-volant

Inventé au IVè siècle avant Jésus-Christ, le cerf-volant ne sert pas uniquement à faire plaisir aux petits enfants (ou aux grands). Non, il est plutôt mis au point à des fins militaires pour envoyer des messages secrets par dessus les lignes ennemies. Marco Polo nous raconte même dans ses écrits que certains cerf-volants sont capables de transporter un homme! Une technologie bien pratique pour prendre le dessus sur ses ennemis…

  • Le gouvernail

Qu’on se le dise, les Chinois ont plus d’un millénaire d’avance sur nous sur ce coup. 1300 ans pour être exact! Car ils équipent leurs navires d’un gouvernail depuis un siècle avant Jésus-Christ… quand les Occidentaux ne découvrent ce dispositif bien pratique qu’au XIIè siècle!

  • La boussole

400 ans avant Jésus-Christ. Les Chinois réalisent qu’une pierre aimantée, la magnétite, s’oriente toujours du même côté. Il faudra encore plusieurs siècles pour qu’ils pensent à s’en servir comme outil d’aide à la navigation. Mais saluons tout de même la performance! Un outil qui aurait été bien pratique à un certain Ulysse en tout cas

Boussole antique de la dynastie Han

Boussole antique de la dynastie Han

  • Le papier

Si vous pensiez que le papier avait été inventé par les Égyptiens et leur papyrus, c’est râté! Les plus vieux spécimens de papier grossier ont été retrouvés en Chine environ 200 à 300 ans avant notre ère. La technique de fabrication est relativement simple: on réduit en bouillie des fibres de chanvre; la pâte ainsi obtenue est pressée à travers un tissu et donne une sorte d’eau. Reste plus qu’à étaler ce liquide le plus finement possible et à attendre que cela sèche. Les Chinois ont ensuite eu l’idée de tendre ces feuilles de papier sur un support vertical et d’inventer la calligraphie au pinceau. Ils sont quand même balèzes, ces chinois.

  • La roue à aubes

Il suffisait d’y penser, mais les Chinois l’ont fait avant tout le monde… Dès le premier siècle de notre ère, on voit fleurir un peu partout ces immenses roues actionnées grâce à l’énergie hydraulique. Une énergie simple, efficace et pas chère servant tout autant à moudre le grain qu’à actionner les soufflets des forges!

  • Le harnais à collier

Une invention qui n’a l’air de rien mais qui a permis d’optimiser grandement les rendements de l’agriculture. Plutôt que de placer un collier autour du cou du cheval ou du boeuf qui l’étrangle et l’empêche de forcer, on place un joug rembourré autour de son poitrail.

La poudre

Pendant que les descendants de Clovis se battent à coups d’épée pour tenter de faire émerger ce qui ressemble de loin au Royaume de France, les Chinois, eux, en sont déjà à la poudre à canon. La classe.

C’est un certain Sun Simiao (581 – 682) qui, au cours de ses recherches d’alchimiste, mélange fortuitement du sulfure, du charbon de bois et du salpêtre. Quand il approche cette poudre d’une source de chaleur, ça fait boum!

Peinture du XIXe siècle représentant Sun Simiao

Peinture du XIXè siècle représentant Sun Simiao assis sur un dragon

  • La brouette

Encore une fois, c’est l’art militaire qui a grandement fait avancer la technologie. Les premiers modèles de brouettes apparaissent sur les champs de bataille chinois à partir du IIè siècle avant Jésus-Christ. Mises au point par un certain Zhuge Liang, elles étaient utilisées pour transporter les blessés ou le ravitaillement.

  • Le forage

Plus de 2000 ans avant les Shadoks, les Chinois pompaient déjà! Certains textes anciens décrivent en effet les techniques de pompage de la nappe phréatique.

  • Le sismographe

Non seulement l’invention est ingénieuse, mais en plus, elle est magnifique! En 132, l’astronome royal Zhanf Heng invente un récipient de bronze à l’intérieur duquel il suspend un poids. Ce poids est relié par un habile mécanisme à 8 têtes de dragons disposées tout autour du récipient. À la moindre secousse sismique, le poids balance, actionne le mécanisme et ouvre la gueule des dragons. La petit bille disposée dans leur bouche tombe alors dans la gueule d’un crapaud placé juste en dessous. Le bruit produit est le signal d’alerte: tous aux abris!

Le premier sismographe, musée du Henan

Le premier sismographe, musée du Henan, Zhengzhou (@Gilbert Rock, Le monde en images, CCDMD)

On aurait aussi pu parler de la bière, des ombrelles, des allumettes,… Mais on va s’arrêter là pour aujourd’hui!

http://www.etaletaculture.fr/

Des cargos tractés par cerf-volant


Peut-être d’ici 4 ans, nous verrons sur la mer d’immense cerfs-volants hisser du haut des paquebots, cargos. Pourquoi ? Pour économiser du carburant et diminuer l’impact du CO2
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Des cargos tractés par cerf-volant

 

En ajoutant un cerf-volant de 320 m2 à un... (ILLUSTRATION AFP/BEYOND THE SEA)

En ajoutant un cerf-volant de 320 m2 à un navire de 200 m de long, l’économie en carburant est d’environ 25 % sur une traversée de l’Atlantique avec des vents favorables, soit 134 tonnes de CO2, explique à l’AFP Yves Parlier.

ILLUSTRATION AFP/BEYOND THE SEA

SANDRA FERRER

Un porte-conteneurs géant tracté par… un cerf-volant : c’est le pari un peu fou du navigateur français Yves Parlier qui espère d’ici quatre ans équiper les navires de grande plaisance et de pêche, mais aussi les cargos, d’ailes inspirées du kitesurf pour une planète plus verte.

Ce navigateur détient l’un des plus beaux palmarès de la voile française. Son idée baptisée Beyond The Sea s’inscrit dans le cadre de projets innovants développés depuis dix ans en France au service de l’économie bleue.

En ajoutant un cerf-volant de 320 m2 à un navire de 200 m de long, l’économie en carburant est d’environ 25 % sur une traversée de l’Atlantique avec des vents favorables, soit 134 tonnes de CO2, explique à l’AFP Yves Parlier.

Des experts de l’ONU estiment quant à eux à 20 % la réduction possible de la consommation des navires grâce à une traction complémentaire par cerf-volant. Et quand on sait que 90 % du transport de marchandises mondial se fait par voie maritime, le calcul est vite fait en termes de réduction d’émissions de CO2.

«Le transport maritime, c’est 50 % de la consommation d’hydrocarbures au monde et 13 % des émissions de gaz à effet de serre», note Yves Parlier, selon qui «utiliser un appoint avec le vent aurait un impact assez considérable».

Une aile de 200 m2

Pour son projet, qui s’inscrit dans un programme visant à créer des navires propres, sûrs et plus économes, le navigateur a bénéficié d’une aide de 4,4 millions d’euros (plus de 6 millions de dollars) pour un budget estimé à 15 millions d’euros (près de 21 millions de dollars) sur quatre ans.

Ce projet lancé en septembre 2014 et testé sur un chalutier de 90 tonnes vise à concevoir d’ici quatre ans une aile de 200 m2 pour tracter des navires de 18 à 60 mètres, essentiellement des navires de pêche ou de grande plaisance, avant la conception d’un cerf-volant de 800 m2 destiné aux cargos.

Parmi les partenaires du navigateur français figurent le centre de recherche d’une école d’ingénieurs, ENSTA Bretagne, et l’armateur CMA-CGM, numéro trois mondial du transport maritime par conteneur. Ce groupe compte mettre à disposition un cargo sur une ligne régulière pour tester le dispositif.

«Ce n’est pas un projet gagné d’avance, il y a des difficultés à lever, c’est pour ça qu’on a lancé des programmes de recherche», analyse Kostia Roncin, enseignant-chercheur à l’ENSTA Bretagne.

Mais «en termes de stabilité des navires, il y a un gain considérable par rapport aux autres systèmes de propulsion aérodynamiques», souligne ce spécialiste en hydrodynamique navale.

Parmi les autres systèmes de propulsion éoliens étudiés dans le monde, on compte celui consistant à équiper des cargos d’ailes rigides rétractables, ainsi que la technique dite des «rotors Flettner» (de hauts cylindres animés d’un mouvement de rotation), connue depuis près d’un siècle, mais qui n’a jamais abouti à grande échelle.

Avantages du cerf-volant : son faible encombrement, son adaptabilité à n’importe quel type de bateau et le fait que le lancement, le pilotage et la récupération devraient être entièrement automatisés.

Des avantages mis en avant également par la société allemande SkySails, qui a déjà équipé quatre cargos de ce type d’ailes, les premiers et seuls à l’avoir été jusqu’à présent dans le monde, selon elle.

«Dans de bonnes conditions de vent, le système permet d’économiser jusqu’à 10 tonnes de fioul par jour», explique à l’AFP Stephan Wrage, directeur de cette entreprise. «Soit plus de 5000 $ et plus de 30 tonnes d’émissions de CO2».

http://www.lapresse.ca/

Un enfant et un cerf-volant magique


C’est impressionnant de voir comment le gars peut contrôler son cerf-volant pour taquiner l’enfant.
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Un enfant et un cerf-volant magique

 

 

Sur la plage de Huntington Beach en Californie, un pilote de cerf-volant s’amuse avec un enfant.

L’homme qui contrôle le cerf-volant est tellement doué qu’il réussit à faire des manœuvres très précises et impressionnantes!

http://www.insoliteqc.com/

Politique


Malgré que j’aime beaucoup les cerf-volant, disons que la métaphore représente bien cette citation
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Politique

 

Un homme politique malhonnête est comme le cerf-volant : il est gonflé de vent, il se pare de belles couleurs pour séduire, et lorsqu’il vole il est en général manipulé par quelqu’un qui tire les ficelles !

Daniel Confland