Le Saviez-Vous ► Les 8 maladies les plus dangereuses que cache votre visage


J’ai l’impression qu’aujourd’hui les médecins nous regardent à peine dans les yeux. Enfin, comme me dit souvent ma fille, c’est peut-être juste une autre fausse perception. Le visage peut effet donner des signes d’une maladie quelque part dans le corps. Elle peut-être anodine, et parfois plus grave
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Les 8 maladies les plus dangereuses que cache votre visage

 

Quand les médecins discutent les yeux dans les yeux avec leurs patients, ce n’est pas seulement pour établir une relation : certains signes sur notre visage peuvent indiquer de graves maladies et problèmes de santé. Nous avons demandé à des médecins de nous dire ce qu’ils voient quand ils examinent le visage d’un patient.

PAR LES MÉDECINS DE L’ÉMISSION THE DOCTORS

Attention aux excroissances jaunes et molles sur vos paupières

Ces lésions remplies de cholestérol, appelées xanthélasmas, pourraient indiquer un risque de maladie cardiaque plus élevé. Une étude danoise de 2011 portant sur 13000 patients a établi que les patients porteurs de ces excroissances (4 % de la population environ) étaient 70 % plus à risque de développer un durcissement des artères et 50 % plus à risque de faire une crise cardiaque dans les décennies à venir.

Asymétrie faciale: parmi les premiers signes d’une attaque cérébrale

Ce pourrait être l’un des premiers signes d’une attaque cérébrale, dit Leana Wen, médecin urgentologue de l’université George Washington.

« Les patients me disent souvent : “Je me suis regardé dans le miroir et mon visage avait l’air différent.”»

Vous remarquerez peut-être aussi qu’un côté de votre visage est insensible ou que vous avez l’impression d’être incapable de sourire complètement. Vous pourriez également avoir des problèmes d’élocution. Si vous soupçonnez un de vos proches d’avoir fait une attaque cérébrale, appelez tout de suite le 911.

Quelle maladie grave peut se cacher sous une peau ou des lèvres sèches?

Si une peau sèche peut être un signe tout à fait courant et banal de déshydratation, elle peut aussi indiquer un problème plus sérieux affectant le fonctionnement des glandes sudoripares, comme l’hypothyroïdisme (caractérisé par des niveaux insuffisants d’hormones thyroïdiennes) ou encore le diabète, explique le Dr Roshini Raj, professeur adjoint de médecine de l’école de médecine de l’université de New York. D’autres symptômes de l’hypothyroïdisme : sensation d’avoir toujours froid, gain et poids et fatigue. Et pour le diabète : soif extrême, mictions fréquentes et vision brouillée.

Une pilosité du visage trop abondante peut être liée à un déséquilibre hormonal

Les poils non désirés, particulièrement le long des mâchoires, du menton et des lèvres supérieures pourraient trahir un syndrome des ovaires polykystiques, un déséquilibre hormonal créé par une surabondance d’hormones mâles. Cette maladie affecterait des centaines de milliers de Canadiennes en âge de procréer.

Présence de poches sous les yeux et bouffissures et allergies chroniques

Si vos yeux ont l’air fatigués, vous souffrez peut-être d’allergies chroniques – elles occasionnent une dilatation et un écoulement des vaisseaux sanguins. Comme la peau du dessous des yeux est très sensible, cela crée des bouffissures et une coloration bleu sombre, dit le Dr Raj.

Un teint décoloré peut être un symptôme d’anémie, de maladies du coeur ou des poumons

Même un léger changement peut indiquer que quelque chose ne va pas. La pâleur peut être un signe d’anémie. Un teint jaune pourrait indiquer une maladie de foie. Des lèvres ou des ongles bleuâtres pourraient trahir une maladie du cœur ou des poumons, observe Mallika Marshall, pédiatre à l’hôpital général du Massachusetts.

Les maladies liées aux éruptions et aux taches sur votre visage

Certains problèmes digestifs peuvent se manifester sur la peau, explique le Dr Raj. Des plaques de boutons rouges qui démangent pourraient indiquer une maladie cœliaque, un désordre auto-immun par lequel le corps réagit au gluten. Une éruption en forme de papillon le long des pommettes et de l’arrête du nez peut être un signe de lupus, autre maladie auto-immune. Les allergies, l’eczéma, la rosacée et certaines infections peuvent aussi déclencher des éruptions faciales.

Menton fuyant et apnée du sommeil

Tout comme le cou épais et les petites mâchoires, cela pourrait indiquer une apnée du sommeil, un trouble du sommeil qui provoque des arrêts respiratoires de dix secondes ou plus pendant que vous dormez, conclut le Dr Raj. Si vous ronflez lourdement et que vous vous réveillez avec des maux de tête, ou que vous éprouvez une fatigue excessive durant la journée, demandez à passer des tests.

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Le Saviez-Vous ► Histoire de la beauté : 8 faits surprenants


À chaque époque, en Occident, la beauté chez la femme, avait sa propre définition. Mais, la femme est rester esclave d’une certaine façon à ces modes qui pouvaient être parfois dangereux pour sa santé ou carrément dégoutant selon notre vision d’aujourd’hui
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Histoire de la beauté : 8 faits surprenants

 

Double menton et genoux mous ont déjà été aussi affriolants que le sont aujourd’hui la mâchoire découpée et les jambes fines. Tout plein de faits divertissants sur l’histoire de la beauté en Occident.

La mine triste

Afficher une mine de dépressif au seuil du précipice faisait très « distingué » au 19e siècle. Pour se défaire les traits et creuser leurs cernes, les femmes buvaient du vinaigre, se privaient de sommeil pendant des jours ou ingéraient des drogues à base de belladone. En plus de cultiver le teint cadavérique, ces précurseurs du mouvement gothique se noircissaient les cheveux à l’aide de racines et d’écorces d’arbres bouillies dans le vin.

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Photo : Geoffrey Clements / Corbis (Millicent, Duchess of Sutherland, John Singer Sargent)

Les remèdes miracle

Le caca d’humains et d’animaux a été fort populaire dans les recettes de cosmétiques à travers les siècles. On s’en enduisait les cheveux pour les fortifier ou activer leur repousse, la peau du visage pour lutter contre les rides, le corps pour le raffermir. On osait aussi la sangsue macérée 60 jours, l’eau de pigeon bouilli, le hachis de limaçons rouges, la cervelle de tortue, le sperme, la bave… Peu ragoûtant, certes, mais moins nocif que le sulfure d’arsenic utilisé à l’époque pour s’épiler. Ou encore le plomb, le vitriol et le mercure dans les fonds de teint blanchissants. Ces plâtres étaient si toxiques qu’ils brûlaient et trouaient la peau du visage, en plus de donner mauvaise haleine et de noircir les dents. Mais tout cela n’était rien, apparemment, à côté de l’humiliation du bronzage. Tellement paysan.

Les joyeuses courbes

À part le menuet et l’équitation, le sport n’avait pas du tout la cote chez les filles avant la fin de la Première Guerre mondiale. Le bourrelet s’assumait alors joyeusement. Une des premières à renverser cette mode fut cependant l’impératrice Sissi (Élisabeth de Wittelsbach, 1837–1898). Extrêmement soucieuse de garder sa taille de guêpe sculptée par les corsets, elle avait fait installer des salles de culture physique dans toutes ses résidences, où elle s’exerçait plusieurs heures par jour aux anneaux, aux haltères, aux barres parallèles et au cheval d’arçons.

Crédit photo : Alinari via Getty Images (Portrait d’Elizabeth of Wittelsbach, Imprératrice d’Autriche et Reine d’Hongrie)

Crédit photo : Alinari via Getty Images (Portrait d’Elizabeth of Wittelsbach, Imprératrice d’Autriche et Reine de Hongrie)

Les odeurs intimes

Une femme dont le sexe dégageait une mauvaise odeur aux 15e et 16e siècles était considérée comme « honnête », puisque seules les prostituées pratiquaient l’hygiène intime, enseignée par les mères maquerelles (certaines poussaient la coquetterie jusqu’à enjoliver leurs poils pubiens de rubans) Mais, pour les bonnes catholiques, pas question de s’approcher de « là », même avec une perche de 10 pieds. Les hommes non plus n’étaient pas très tentés. Au 19e siècle, les médecins ont fini par exhorter les jeunes filles à être « propres » si elles voulaient « trouver et garder un mari ».

Les perruques vertigineuses

Au temps de Louis XIV, en France, certaines perruques s’élevaient si haut dans les airs que la bouche semblait être au milieu du corps. On les décorait de bateaux miniatures, de moulins à vent, de fleurs, de miroirs, de figurines d’animaux, le tout abondamment recouvert de poudre d’amidon. Outil indispensable : une baguette munie de petites mains en ivoire pour se gratter le fond de la tête. Car ces échafaudages complexes étaient très prisés par la vermine…

iStock by Getty Images

iStock by Getty Images (Comic Sketches from English History for Children of Various Ages. With Descriptive Rhymes.”, Lieutenant-Colonel T.S. Seccombe, London, in 1884)

Les atouts enchanteurs

À partir de 1770, il est devenu illégal pour les Anglaises d’user d’eaux de senteurs, de « peintures », de dents artificielles, de faux cheveux et de talons hauts pour « abuser » des hommes ou les « conduire au mariage ».

Le pétard suprême

Pour être qualifiée de méchant pétard il y a 400 ans, une femme devait avoir un « menton court et fourchu, si grasset et charnu par-dessous que descendant à la gueule, il semble faire comme un second menton » ; des « bras assez charnus et massifs » ; une « petite bouche aplatie » ; des pieds « rondelets » ; des cheveux blonds « crépus »  (Trois livres de l’embellissement et ornement du corps humain, Jean Liébault, 1582). Quant au bas du corps, on s’en fichait : les jambes, recouvertes de tissus jusqu’au sol, ne servaient que de « socle » pour le haut.

Crédit photo : Francis G. Mayer / Corbis

Crédit photo : Francis G. Mayer / Corbis

Les charmantes aisselles

Une Française s’épilant les aisselles était totalement éteignoir au 19e siècle. Les hommes étaient fous de ces touffes de poil « diverse[s] comme la couleur des cheveux, ondoyante[s] comme les boucles qui la recèlent », mais plus encore des émanations qui s’en dégageaient. Les variations de ces « fumets » ont d’ailleurs été décrites avec subtilité par l’écrivain Joris-Karl Huysmans :

« Nul arôme n’a plus de nuances ; c’est une gamme parcourant tout le clavier de l’odorat, touchant aux entêtantes senteurs du seringat et du sureau, rappelant parfois le doux parfum des doigts qu’on frotte après y avoir tenu et fumé une cigarette. Audacieux et parfois lassant chez la brune et chez la noire, aigu et féroce chez la rousse, le gousset est flottant et capiteux ainsi que certains vins sucrés chez la blonde (…) ».

Sources :
L’éternel féminin – Une histoire du corps intime, par Béatrice Fontanel (Seuil) ;
Histoire de la beauté – Le corps et l’art d’embellir de la Renaissance à nos jours, par Georges Vigarello (Seuil).

http://fr.chatelaine.com/

Ce que votre teint peut révéler sur votre état de santé


Avoir bon teint est signe de santé mais quand le teint prend des couleurs qui ne sont pas synonyme de bonne santé, il pourrait indiquer divers maladie que seul un médecin pourra donner un diagnostique
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Ce que votre teint peut révéler sur votre état de santé

 

PAR LUCIE TURGEON  | PHOTO: SHUTTERSTOCK

Excellent indicateur de notre état intérieur, notre teint peut parfois signaler un problème de santé. Que dit le vôtre?

Un teint pâle

La pâleur de la peau indique souvent un problème d’anémie. Cette condition se manifeste lorsque le sang ne contient pas suffisamment d’hémoglobine, une protéine contenue dans nos globules rouges qui sert à transporter l’oxygène des poumons vers le reste du corps. Dans ce cas, la pâleur s’accompagne généralement de symptômes comme une sensation de faiblesse, de la fatigue, des vertiges, des maux de tête, un essoufflement et des palpitations.

Cela dit, l’anémie n’est pas une maladie en soi, mais plutôt le signe d’un problème de santé. Elle peut être causée par des carences alimentaires (en fer, en vitamine B12 ou en acide folique), des troubles héréditaires, des pertes de sang importantes (d’origines diverses telles des menstruations abondantes, des hémorragies gastriques, etc.) ou des affections chroniques comme la polyarthrite rhumatoïde, l’insuffisance rénale ou le VIH (virus d’immunodéficience humaine), d’où l’intérêt de consulter un médecin afin d’obtenir un diagnostic précis et un traitement adéquat.

Un teint jaunâtre

Une coloration jaune de la peau témoigne le plus souvent d’une jaunisse, particulièrement si le blanc des yeux a également viré au jaune. Cette condition survient lorsque le sang contient trop de bilirubine, un pigment de la bile qui résulte de la dégradation des globules rouges. Généralement, ce pigment est traité par le foie et éliminé dans les urines et les selles. La jaunisse peut s’accompagner de divers symptômes: fièvre, frissons, nausées, vomissements, perte d’appétit, amaigrissement, douleur inhabituelle au foie, selles pâles et urines foncées (pouvant avoir la couleur du thé).

Lorsqu’une personne a la jaunisse, c’est qu’elle produit trop de bilirubine ou que son foie ne s’en débarrasse pas assez rapidement. Le plus souvent, une maladie du foie (hépatite virale, cirrhose, tumeur) ou de la vésicule biliaire (calculs biliaires, tumeur) est à l’origine d’une jaunisse. Les affections qui entraînent une destruction excessive des globules rouges, comme le paludisme et l’anémie hémolytique, peuvent aussi causer une jaunisse, car elles provoquent une libération importante de bilirubine. Bref, comme les causes sont multiples, mieux vaut consulter un médecin dès que l’on constate l’apparition d’une jaunisse.

Un teint rouge

Un visage qui prend une coloration rouge peut révéler une rosacée, une affection cutanée évolutive pouvant s’avérer très dommageable. Chez la plupart des gens, la rosacée commence par l’apparition de rougeurs intermittentes aux joues, au nez, au menton ou au front. À ce stade précoce, les symptômes de la maladie sont souvent considérés comme de simples problèmes de teint ou de légers coups de soleil.

Or, en l’absence de traitement, ces rougeurs deviennent de plus en plus persistantes et de petits vaisseaux sanguins peuvent se dilater à la surface de la peau, puis on constate souvent l’apparition de papules et de pustules. Si notre teint devient rouge, il faut consulter un médecin. Bien que la rosacée soit incurable, il est cependant possible d’en atténuer les symptômes et d’en freiner la progression en appliquant un traitement médical et en changeant quelques habitudes.

Un teint bleuâtre

Appelée cyanose, une coloration bleue de la peau témoigne d’une diminution de la teneur en oxygène dans le sang. Lorsqu’il est appauvri en oxygène, le sang circulant dans les capillaires sous l’épiderme est plus bleu que rouge, ce qui donne une teinte bleutée à la peau. La cyanose est souvent due à un problème circulatoire ou respiratoire qui mène à une oxygénation insuffisante de l’organisme, comme une malformation cardiaque ou une insuffisance respiratoire. Dans tous les cas, on doit consulter rapidement un médecin, car un tel signe n’augure rien de bon. Une cyanose peut indiquer un grave problème de santé. Elle se manifeste notamment au moment d’une crise cardiaque ou d’une embolie pulmonaire.

Un teint brunâtre

Une coloration brune de la peau sans exposition au soleil est souvent associée à la maladie d’Addison, une affection endocrinienne rare. Celle-ci provient généralement d’une sécrétion insuffisante d’hormones par les glandes surrénales. Elle peut aussi être attribuable à une autre maladie, comme la tuberculose ou la syphilis. La pigmentation brunâtre de la peau apparaît d’abord aux plis de flexion découverts et là où il y a des cicatrices. Puis, elle s’étend progressivement sur toute la peau. Elle s’accompagne souvent d’une fatigue profonde, de palpitations, de vertiges et de troubles digestifs. Sans traitement, cette maladie est mortelle, d’où l’importance de consulter rapidement un médecin. Seule la prise quotidienne d’hormones artificielles sous la forme de comprimés permet de maintenir l’équilibre hormonal.

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