Il peint des bandes sur son chien pour qu’il ressemble à un tigre et fasse peur aux singes



Je comprends que le cultivateur voulait protéger sa plantation des singes, cependant teindre un chien avec des produits pour les humains, c’est une très mauvaise idée, surtout que c’est nocif pour les animaux
Nuage


Il peint des bandes sur son chien pour qu’il ressemble à un tigre et fasse peur aux singes


chien tigre

Un choix qui n’est évidemment pas au goût de tout le monde.

Afin de sauver ses plantations et de les protéger des singes sauves, un agriculteur situé dans le Karnataka,  en Inde, a eu une idée pour le moins originale.

Un chien qui a du tigre !

Lassé de voir ses plantations ravagées, Srikanta Gowda a tout d’abord fabriqué un épouvantail en forme de tigre à l’aide d’une peluche. Une fois l’épouvantail placé dans les champs, l’agriculteur a eu des résultats immédiats. Il a donc veillé régulièrement à déplacer l’épouvantail, mais cela devenait compliqué.

C’est alors que Srikanta Gowda a eu une toute autre idée. Une idée nettement plus « originale » puisqu’il a décidé de peindre des rayures de tigre sur son chien. L’idée étant de faire croire aux singes que le chien était en fait un tigre et donc de leur faire peur.

Pour teindre le toutou, l’homme utilise de la teinture pour cheveux et affirme que cela tient jusqu’à un mois. Evidemment, Srikanta Gowda a été beaucoup critiqué pour ce choix, d’autant que les teintures peuvent être nocives pour les animaux

.

https://wamiz.com/

Grièvement blessé, ce chien a subi une teinture violette pour une raison totalement absurde


Il y a des gens ont des idées vraiment stupides. Peindre une teinture pour humain et teindre les poils d’un chien est  un geste vraiment insensés. Le chien aurait pu mourir si le vétérinaire ne s’est pas attardé a soignés ses brûlures. Il restera marqué, mais au moins, il a changé de famille.
Nuage

 

Grièvement blessé, ce chien a subi une teinture violette pour une raison totalement absurde

 

chien violet

Elle aurait pu y laisser sa vie…

Il y a quelques jours de cela, la SPA du Comté de Pinellas (en Floride) a partagé une photo qui fait froid dans le dos. Celle d’une petite chienne de quelques kilos avec les poils colorés en violet. D’autres photos partagées le même jour montrent combien la chienne a été brulée par cette coloration qui lui a fait risquer sa vie.

Une histoire de nom

Tout a commencé lorsque les propriétaires de la petite Violet ont eu une idée très spéciale : teindre les poils de Violet en violet afin que son nom colle avec sa couleur. Mais pour cela, les maîtres de Violet ont utilisé de la teinture pour humains. Et évidemment cela est très dangereux pour nos animaux et il ne faut le faire en aucune circonstance.

« Les produits chimiques dans les colorants capillaires sont TOXIQUES et causent un large éventail de blessures externes à votre animal de compagnie : brûlures, cécité et parce que le premier instinct d’un animal est de lécher, empoisonnement ou des brûlures internes… »

Après avoir été brûlée, Violet était totalement apathique, ses yeux étaient enflés et elle se battait pour rester en vie. Pour sauver la vie de Violet, les vétérinaires ont rasé tous les poils qui avaient reçu de la coloration et c’est là qu’ils ont compris que l’état de la chienne était pire qu’ils le pensaient. Sous sa fourrure, la peau se décollait.

Une nouvelle vie pour Violet

Durant trois mois, la petite Violet a reçu de nombreux soins afin d’être remise sur pattes. Aujourd’hui, elle va déjà nettement mieux, même s’il reste encore des traces de ses brûlures. Son poil restera à vie marqué par cet événement traumatisant, mais Violet a d’ores et déjà trouvé une nouvelle famille formidable dans laquelle elle sera très heureuse durant le reste de sa vie.

Par Elise Petter

Crédits photo :Facebook

 

https://wamiz.com/

Des bactéries pour des «blue jeans» plus verts


Le jean est un des vêtements le plus vendu au monde, mais pour le produire, il faut des composé chimiques toxiques autant pour les travailleurs que pour l’environnement, Faire un blue-jean identique tout en étant écolo, il est possible avec un composé dont l’ingrédient principal serait une bactérie, et non la moindre : la bactérie E. Coli. Pour le moment, il n’est pas encore possible de reproduire l’indigo avec la bactérie à grande échelle
Nuage

 

Des bactéries pour des «blue jeans» plus verts

 

L'indigo est utilisé comme colorant sous sa forme... (HOANG DINH NAM, ARCHIVES AFP)

Agrandir

L’indigo est utilisé comme colorant sous sa forme naturelle depuis au moins 6000 ans; on voit les feuilles de la plante, à droite.

HOANG DINH NAM, ARCHIVES AFP

Agence France-Presse
Paris

 

Le traditionnel « blue jean » en voit aujourd’hui de toutes les couleurs, mais il pourrait surtout être plus vert, selon une étude publiée lundi qui présente une méthode de teinture plus écologique pour le célèbre denim bleu indigo.

L’indigo, à l’origine extrait de plantes, mais aujourd’hui synthétisé, est le seul colorant capable de donner au « blue jean » sa couleur traditionnelle. « Mais le processus de teinture nécessite des étapes chimiques préjudiciables pour l’environnement », notent les auteurs de l’étude publiée dans la revue Nature Chemical Biology.

Ces scientifiques ont ainsi développé une méthode pour produire le pigment en utilisant une bactérie conçue en laboratoire. Méthode qui nécessitera des « améliorations » pour être utilisée à une échelle industrielle, mais qui permet un aménagement « nécessaire » d’un processus de teinture « non viable », estiment-ils.

L’indigo est utilisé comme colorant sous sa forme naturelle depuis au moins 6000 ans.

Naturels ou de synthèse, les cristaux d’indigo adhèrent à la surface du tissu, qualité qui en a fait un incontournable de la teinture des jeans : le bleu intense est particulièrement résistant au lavage, mais l’intérieur des fibres de coton reste blanc, l’abrasion permettant ainsi l’effet « usé » du denim.

95 % des quelque 45 000 tonnes d’indigo synthétique produites chaque année sont utilisés pour la teinture des 4 milliards de vêtements en jean fabriqués annuellement, selon les chiffres cités par l’étude.

Cette forte demande d’indigo pose « un problème grave de durabilité », note l’étude.

Synthétiser le colorant nécessite l’utilisation de produits chimiques comme le formol et le cyanure d’hydrogène. L’indigo étant insoluble dans l’eau, pour obtenir une forme soluble nécessaire à la teinture, l’industrie utilise le plus souvent du dithionite de sodium, qui se décompose en sulfate et sulfite, produits corrosifs.

« De nombreuses usines de teinture évitent le coût supplémentaire du traitement des eaux usées en rejetant les matériaux de teinture dans les rivières, où ils ont un impact écologique négatif », indiquent les chercheurs.

Leur méthode alternative « imite » le processus naturel d’une plante à indigo japonaise (la persicaria tinctoria).

Ils ont conçu une bactérie E.coli qui, comme cette plante, fabrique de l’indoxyl qui combiné à une molécule de glucose se transforme en indican, composé stable qui peut être stocké. Au moment de la teinture, ajouter une enzyme à l’indican directement sur le tissu le transforme en indigo.

« Le produit final est identique », assure l’un des auteurs, John Dueber, de l’université de Californie, qui reconnaît que la méthode n’est pas prête pour une utilisation industrielle.

 Pour produire les cinq grammes d’indigo nécessaires pour teindre un seul jean, il faudrait « à ce stade plusieurs litres de bactéries », explique-t-il à l’AFP, soulignant que son laboratoire travaille à l’amélioration du processus.

http://www.lapresse.ca

Japon: une ado forcée à teindre ses cheveux attaque son école en justice


Il y a partout des règlements stupides, des lois qui ne sont plus applicable, mais obliger une élève se tendre les cheveux en noirs alors que sa couleur naturelle est brun. Il semble même si un étranger a les cheveux blonds, il est obligé de se teindre en noir et comme on sait que les repousses viennent assez vite, ces teintures par-dessus teinture. C’est vraiment autre chose que d’exiger une tenue vestimentaire. Surtout, que les teintures peuvent faire du tort aux cheveux et au cuir chevelu et comme si ce n”était pas assez, elle a été renvoyée de son école
Nuage

 

Japon: une ado forcée à teindre ses cheveux attaque son école en justice

 

GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO

Elle devait teindre en noir ses cheveux, alors qu’ils sont naturellement bruns.

Une élève japonaise est en procès contre les autorités de sa région parce que ses professeurs la forçaient à teindre en noir ses cheveux, qui sont naturellement bruns, au nom du règlement intérieur de l’établissement, a appris l’AFP vendredi.

Une première audience a eu lieu vendredi dans le cadre de cette affaire, a déclaré à l’AFP un responsable de la préfecture d’Osaka, précisant que la plaignante, une adolescente de 18 ans, réclamait 2,2 millions de yens (près de 25 000 dollars canadiens) de dommages-intérêts.

L’adolescente de 18 ans a teint en noir ses cheveux à plusieurs reprises pour respecter le règlement de son établissement, bannissant tous les cheveux de couleur. Mais cela n’a pas suffi et elle a fini par être renvoyée, selon le quotidien Asahi Shimbun.

Elle n’a plus fréquenté son école depuis septembre 2016 et affirme que son cuir chevelu a été par ailleurs abîmé par les teintes à répétition, selon des médias locaux.

Son école lui aurait soutenu que même un étudiant étranger aux cheveux blonds serait obligé de se teindre les cheveux en noir pour participer aux cours, selon ces médias.

Beaucoup d’établissements scolaires au Japon, dans le public comme dans le privé, imposent des normes très strictes en termes d’apparence vestimentaire, de maquillage et de couleur de cheveux.

http://quebec.huffingtonpost.ca

La mode canine s’empare des rues de Shanghai


C’est épouvantable de traiter les animaux de la sorte. De les habiller comme s’ils sont des poupées et encore certains sont trainer en poussette comme des bébés. Ce n’est pas normal qu’un chien porte des vêtements de la sorte. Surtout que des chiens peuvent présenter des problèmes de peau à cause de ses vêtements
Nuage

 

La mode canine s’empare des rues de Shanghai

 

Un caniche en robe rose, un autre aux oreilles teintes en bleu, un pékinois en chemisier, un loulou de Poméranie en imper et baskets: les rues de Shanghai se transforment parfois en défilé de mode canine, signe du développement rapide de la classe moyenne en Chine.

Les maîtres chinois n'hésitent pas à dépenser des fortunes pour dorloter leur animal. © Johannes EISELE AFP

Les maîtres chinois n’hésitent pas à dépenser des fortunes pour dorloter leur animal. © Johannes EISELE AFP

Jadis interdite par le régime communiste en tant que dérive bourgeoise, la possession d’animaux de compagnie fait fureur en Chine, pays qui compterait pas moins de 100 millions de quadrupèdes domestiques officiellement déclarés aux autorités — des chiens dans leur énorme majorité. Et leurs maîtres n’hésitent pas à dépenser des fortunes pour les dorloter.

« Les propriétaires aiment habiller leur animal avec élégance, exactement comme ils le feraient avec leurs enfants », commente Mme Huang, une dame occupée à pousser deux caniches bruns dans une poussette pour bébé en plein centre de la capitale économique chinoise.

L’un porte un noeud papillon rose, l’autre un bleu.

La récente passion des Chinois pour les bêtes se traduit en espèces sonnantes et trébuchantes: le secteur génère un chiffre d'affaires de plus de 15 milliards d'euros, avec une croissance attendue de 20% par an, selon un cabinet d'études. © Johannes EISELE AFP

La récente passion des Chinois pour les bêtes se traduit en espèces sonnantes et trébuchantes: le secteur génère un chiffre d’affaires de plus de 15 milliards d’euros, avec une croissance attendue de 20% par an, selon un cabinet d’études. © Johannes EISELE AFP

La récente passion des Chinois pour les bêtes se traduit en espèces sonnantes et trébuchantes: le secteur génère un chiffre d’affaires de plus de 15 milliards d’euros, avec une croissance attendue de 20 % par an, selon le cabinet Yourpet Market Research Institute.

Au moins 40 % des points de vente vendent des vêtements pour animaux, selon une étude du cabinet publiée l’an dernier.

« La génération des trentenaires est à la pointe du mouvement du fait de son pouvoir d’achat qui augmente », observaient les auteurs de l’étude.

Shanghai, qui aime à se voir comme la ville la plus moderne de Chine, compte à elle seule un million d'animaux domestiques, pour une population de 24 millions d'habitants. © Johannes EISELE AFP

Shanghai, qui aime à se voir comme la ville la plus moderne de Chine, compte à elle seule un million d’animaux domestiques, pour une population de 24 millions d’habitants. © Johannes EISELE AFP

Shanghai, qui aime à se voir comme la ville la plus moderne de Chine, compte à elle seule un million d’animaux domestiques, pour une population de 24 millions d’habitants, selon une enquête publiée en 2015 par le quotidien China Daily.

Au point que les autorités ont imposé en 2011 une « politique du chien unique » afin de lutter contre les aboiements, les crottes et les morsures.

http://www.lepoint.fr

Avant les Egyptiens, les secrets du bleu indigo ont été percés au Pérou


On croit peut-être que les colorants pour les vêtements ou autre ont toujours été présents dans le passé. Certaines couleurs sont apparus plus tard, d’autres plutôt. La couleur indigo a une origine originale car elle semble magique
Nuage

 

Avant les Egyptiens, les secrets du bleu indigo ont été percés au Pérou

Traces de teintures bleu indigo découvertes sur des fragments textiles provenant du sanctuaire de Huaca Prieta, au nord de Trujillo, au Pérou. CREDIT: Jeffrey C. Splitstoser

Traces de teintures bleu indigo découvertes sur des fragments textiles provenant du sanctuaire de Huaca Prieta, au nord de Trujillo, au Pérou. CREDIT: Jeffrey C. Splitstoser

Par Bernadette Arnaud

Longtemps avant les Egyptiens, l’usage de la teinture bleu indigo était déjà répandue au Pérou il y a plus de 6000 ans.

BLEU. Les anciens Péruviens ont-ils été les premiers à voir le monde en bleu ? Des archéologues viennent en effet de découvrir les preuves de l’utilisation de la plus ancienne teinture indigo dans les soubassements d’un vaste sanctuaire datés de 6200 ans… Soit 1600 ans plus tôt que les Egyptiens des temps pharaoniques à qui on prêtait jusque-là son plus antique usage.

Ces premières traces ont été trouvées à Huaca Prieta, un monument cérémoniel de la côte nord du Pérou. Selon une récente étude publiée dans Science Advance : des fragments d’étoffes aux fibres encore imprégnées de ce bleu étaient enfouis dans les épaisses couches de sédiments d’une rampe d’accès conduisant au site. L’analyse de huit petites pièces de coton andin (Gossypium barbadense) a révélé des traces d’indigo bleu sur les rayures aujourd’hui délavées de cinq d’entre eux. Elles ont été mises en évidence grâce à la technique dite de chromatographie en phase liquide à haute performance (CLHP) qui permet de séparer des molécules présentes dans un mélange. Une surprise pour Jeffrey Splitstoser, professeur d’anthropologie à l’université George-Washington (Etats-Unis), auteur de cette étude sur la découverte d’utilisation de composés organiques provenant de l’Indigofera spp.*, une plante tinctoriale d’Amérique du sud.

« L’indigo est demeuré jusqu’à la fin du XIXe siècle la reine des teintures et il a fallu attendre 1883 pour que le chimiste allemand Adolf von Baeyer réussisse à déterminer la structure chimique de l’indigotine, son principal colorant », écrit Dominique Cardon, directrice de recherche émérite au CNRS, l’une des plus éminentes spécialistes de ces questions.

Une couleur à l’origine d’un succès planétaire. Celui rencontré par les toiles de Nîmes (denim) et de Gênes (jean)…

La magie de l’indigo

Dans son livre « Le monde des teintures naturelles« *, Dominique Cardon revient sur les mystères de l’indigo:

« L’indigo, matière colorante bleu foncée, diffère de toutes les autres teintures. D’abord parce qu’il n’existe pas en tant que tel dans les nombreuses plantes dites « à indigo », mais se forme à partir du suc de ces plantes broyées ou mises à macérer dans l’eau, et par l’action de l’oxygène de l’air. Ensuite parce qu’insoluble sous sa forme bleue, il ne peut imprégner les fibres textiles et s’y fixer. Pour teindre à l’indigo, il faut le transformer en une substance différente, soluble mais presque incolore, dont s’imbibent les fibres. Ce n’est qu’une fois sortis du liquide et exposés à l’air, que les textiles bleuissent à vue d’œil… comme par magie ».

http://www.sciencesetavenir.fr/

Pourquoi les femmes devraient assumer leurs cheveux gris


La mode de l’apparence montre aux femmes que vieillir, c’est mal. Une femme doit retarder le plus possible l’inévitable, les rides et les cheveux blancs sans compter qu’on doit être mince a tout prix. Et le message qu’on envoie aux enfants, que les femmes doivent cacher qu’elles vieillissent tout comme les hommes
Nuage

 

Pourquoi les femmes devraient assumer leurs cheveux gris

 

Non, une chevelure poivre et sel ne sied pas qu’aux hommes | rochelle hartman via Flickr CC License by

Non, une chevelure poivre et sel ne sied pas qu’aux hommes | rochelle hartman via Flickr CC License by

Repéré par Daphnée Leportois

Adieu les teintures pour masquer les cheveux blancs; bonjour la confiance en soi.

«Ça abîmait mes cheveux, me coûtait du temps et de l’argent –et je ne faisais plus croire à personne que j’avais encore 23 ans.»

À 43 ans, Camilla Palmer a donc décidé d’en finir avec les colorations et de porter avec fierté ses cheveux grisonnants. Elle explique dans le Guardian pourquoi ce choix est aussi politique.

D’abord, parce qu’une chevelure poivre et sel ne sied pas qu’aux hommes. Jayne Mayled, fondatrice de la marque White Hot Hair de produits de soin pour cheveux blancs et gris, souligne qu’il est temps de changer cette mentalité:

«Les hommes qui assument leurs cheveux gris sont traités comme s’ils avaient découvert un traitement du cancer. Ils deviennent splendides. Les femmes qui font de même ne suscitent pas les mêmes réactions. Nous sommes vues soit comme courageuses, soit comme folles.»

Industrie cosmétique

Porter les cheveux gris lorsque l’on est de sexe féminin n’est en rien un signe de laisser-aller. C’est ce qu’explique dans ce même article la journaliste Anne Kreamer, auteure deGoing Gray: How to Embrace Your Authentic Self With Grace And Style (que l’on pourrait traduire par Grisonner: comment embrasser votre moi authentique avec grâce et style), qui dénonce les mythes entourant les cheveux gris. Qui dit cheveux blancs apparents ne dit pas forcément air vieillot, invisibilité, fin des cheveux longs et de votre carrière.

Ce discours, c’est celui de l’industrie cosmétique et, plus généralement, de la société.

 «Nous sommes toutes sous la coupe de l’industrie de la beauté, qui nous dit depuis des années que le blanc c’est mal», poursuit-elle.

Une analyse que partage Caryn Franklin, chroniqueuse mode:

«Nous avons été formées par les médias, les publicitaires et par nous-mêmes à croire que notre genre devait, en ce qui concerne l’apparence, en faire plus, consommer davantage. Nous avons été éduquées à avoir peur de devenir vieilles.»

Raison de plus pour Camilla Palmer, l’auteure de cet article, d’assumer la couleur blanche de ses cheveux pas seulement au niveau des racines :

«Je veux que mes enfants voient ce à quoi ressemble une vraie femme d’une quarantaine d’années.»

http://www.slate.fr/

Le Saviez-Vous ► Histoire de la beauté : 8 faits surprenants


À chaque époque, en Occident, la beauté chez la femme, avait sa propre définition. Mais, la femme est rester esclave d’une certaine façon à ces modes qui pouvaient être parfois dangereux pour sa santé ou carrément dégoutant selon notre vision d’aujourd’hui
Nuage

 

Histoire de la beauté : 8 faits surprenants

 

Double menton et genoux mous ont déjà été aussi affriolants que le sont aujourd’hui la mâchoire découpée et les jambes fines. Tout plein de faits divertissants sur l’histoire de la beauté en Occident.

La mine triste

Afficher une mine de dépressif au seuil du précipice faisait très « distingué » au 19e siècle. Pour se défaire les traits et creuser leurs cernes, les femmes buvaient du vinaigre, se privaient de sommeil pendant des jours ou ingéraient des drogues à base de belladone. En plus de cultiver le teint cadavérique, ces précurseurs du mouvement gothique se noircissaient les cheveux à l’aide de racines et d’écorces d’arbres bouillies dans le vin.

histoire-de-la-beaute-cernes

Photo : Geoffrey Clements / Corbis (Millicent, Duchess of Sutherland, John Singer Sargent)

Les remèdes miracle

Le caca d’humains et d’animaux a été fort populaire dans les recettes de cosmétiques à travers les siècles. On s’en enduisait les cheveux pour les fortifier ou activer leur repousse, la peau du visage pour lutter contre les rides, le corps pour le raffermir. On osait aussi la sangsue macérée 60 jours, l’eau de pigeon bouilli, le hachis de limaçons rouges, la cervelle de tortue, le sperme, la bave… Peu ragoûtant, certes, mais moins nocif que le sulfure d’arsenic utilisé à l’époque pour s’épiler. Ou encore le plomb, le vitriol et le mercure dans les fonds de teint blanchissants. Ces plâtres étaient si toxiques qu’ils brûlaient et trouaient la peau du visage, en plus de donner mauvaise haleine et de noircir les dents. Mais tout cela n’était rien, apparemment, à côté de l’humiliation du bronzage. Tellement paysan.

Les joyeuses courbes

À part le menuet et l’équitation, le sport n’avait pas du tout la cote chez les filles avant la fin de la Première Guerre mondiale. Le bourrelet s’assumait alors joyeusement. Une des premières à renverser cette mode fut cependant l’impératrice Sissi (Élisabeth de Wittelsbach, 1837–1898). Extrêmement soucieuse de garder sa taille de guêpe sculptée par les corsets, elle avait fait installer des salles de culture physique dans toutes ses résidences, où elle s’exerçait plusieurs heures par jour aux anneaux, aux haltères, aux barres parallèles et au cheval d’arçons.

Crédit photo : Alinari via Getty Images (Portrait d’Elizabeth of Wittelsbach, Imprératrice d’Autriche et Reine d’Hongrie)

Crédit photo : Alinari via Getty Images (Portrait d’Elizabeth of Wittelsbach, Imprératrice d’Autriche et Reine de Hongrie)

Les odeurs intimes

Une femme dont le sexe dégageait une mauvaise odeur aux 15e et 16e siècles était considérée comme « honnête », puisque seules les prostituées pratiquaient l’hygiène intime, enseignée par les mères maquerelles (certaines poussaient la coquetterie jusqu’à enjoliver leurs poils pubiens de rubans) Mais, pour les bonnes catholiques, pas question de s’approcher de « là », même avec une perche de 10 pieds. Les hommes non plus n’étaient pas très tentés. Au 19e siècle, les médecins ont fini par exhorter les jeunes filles à être « propres » si elles voulaient « trouver et garder un mari ».

Les perruques vertigineuses

Au temps de Louis XIV, en France, certaines perruques s’élevaient si haut dans les airs que la bouche semblait être au milieu du corps. On les décorait de bateaux miniatures, de moulins à vent, de fleurs, de miroirs, de figurines d’animaux, le tout abondamment recouvert de poudre d’amidon. Outil indispensable : une baguette munie de petites mains en ivoire pour se gratter le fond de la tête. Car ces échafaudages complexes étaient très prisés par la vermine…

iStock by Getty Images

iStock by Getty Images (Comic Sketches from English History for Children of Various Ages. With Descriptive Rhymes.”, Lieutenant-Colonel T.S. Seccombe, London, in 1884)

Les atouts enchanteurs

À partir de 1770, il est devenu illégal pour les Anglaises d’user d’eaux de senteurs, de « peintures », de dents artificielles, de faux cheveux et de talons hauts pour « abuser » des hommes ou les « conduire au mariage ».

Le pétard suprême

Pour être qualifiée de méchant pétard il y a 400 ans, une femme devait avoir un « menton court et fourchu, si grasset et charnu par-dessous que descendant à la gueule, il semble faire comme un second menton » ; des « bras assez charnus et massifs » ; une « petite bouche aplatie » ; des pieds « rondelets » ; des cheveux blonds « crépus »  (Trois livres de l’embellissement et ornement du corps humain, Jean Liébault, 1582). Quant au bas du corps, on s’en fichait : les jambes, recouvertes de tissus jusqu’au sol, ne servaient que de « socle » pour le haut.

Crédit photo : Francis G. Mayer / Corbis

Crédit photo : Francis G. Mayer / Corbis

Les charmantes aisselles

Une Française s’épilant les aisselles était totalement éteignoir au 19e siècle. Les hommes étaient fous de ces touffes de poil « diverse[s] comme la couleur des cheveux, ondoyante[s] comme les boucles qui la recèlent », mais plus encore des émanations qui s’en dégageaient. Les variations de ces « fumets » ont d’ailleurs été décrites avec subtilité par l’écrivain Joris-Karl Huysmans :

« Nul arôme n’a plus de nuances ; c’est une gamme parcourant tout le clavier de l’odorat, touchant aux entêtantes senteurs du seringat et du sureau, rappelant parfois le doux parfum des doigts qu’on frotte après y avoir tenu et fumé une cigarette. Audacieux et parfois lassant chez la brune et chez la noire, aigu et féroce chez la rousse, le gousset est flottant et capiteux ainsi que certains vins sucrés chez la blonde (…) ».

Sources :
L’éternel féminin – Une histoire du corps intime, par Béatrice Fontanel (Seuil) ;
Histoire de la beauté – Le corps et l’art d’embellir de la Renaissance à nos jours, par Georges Vigarello (Seuil).

http://fr.chatelaine.com/

Le fait divers du jour : une ado se teint les sourcils, ils fondent et brûlent son visage


Normalement, on fait des tests avant une coloration ou une teinture pour savoir s’il y avait des réactions indésirables. Je ne sais pas quelles sont les lois dans les salons d’esthétiques pour les mineurs, mais, selon moi, c’est une grave incompétence de la personne qui a effectué cette teinture
Nuage

 

Le fait divers du jour : une ado se teint les sourcils, ils fondent et brûlent son visage

 

L’adolescente a fait une grave réaction allergique. Photo : (photo d’illustration) – Sipa

Megan est une adolescente traumatisée. Avant de partir en vacances avec sa famille, la jeune fille avait décidé de se faire épiler les sourcils. Mais sa virée avec une amie dans un salon esthétique de Birmingham (centre de l’Angleterre) a viré au cauchemar, comme le raconte sa mère dans le Daily Mail.

« Megan était partie pour se faire épiler les sourcils. Les esthéticiennes lui ont aussi proposé de lui teindre les sourcils et elle a accepté. Elles n’ont jamais eu le consentement d’un adulte « , déplore la maman de l’enfant de 13 ans.

Réaction allergique

Megan a en effet fait une grave réaction allergique au colorant. Ses sourcils se sont mis à fondre, brûlant dans le même temps la peau de son visage. Lorsque la fillette rentre chez elle, elle est en larmes et ses yeux ont doublé de volume. Sa famille la conduit alors en urgence à l’hôpital. Si Megan a été soignée et son visage va mieux, les cicatrices qui lui font désormais office de sourcils ne devraient pas disparaître.

« Je souhaiterais ne jamais avoir mis les pieds dans ce salon, a déclaré Megan qui depuis refuse de sortir de chez elle et d’aller à l’école. J’espère vraiment que mes sourcils repousseront normalement, mais je pourrais rester comme ça pour le restant de mes jours ».

La mère de la fillette a décidé de poursuivre l’institut de beauté incriminé.

« Je veux que la mésaventure de Megan soit un avertissement pour les autres parents ».

http://www.metronews.fr/

Colorations, vernis à ongles, cosmétiques : sont-ils néfastes pour la santé ?


Les produits de beauté sont un domaine très rentable surtout chez la femme. Mais tous ces produits, ne sont pas tous sans danger. Certains ont des produits chimiques qui peuvent aggraver l’état de santé de la personne qui les utilisent
Nuage

 

Colorations, vernis à ongles, cosmétiques : sont-ils néfastes pour la santé ?

 

L’utilisation des colorations, des vernis à ongles et des cosmétiques est généralisée : presque 90 % des Québécoises et des Françaises se maquillent chaque matin. Certains des produits utilisés sont cependant soupçonnés d’être néfastes pour la santé…

Les colorations pour cheveux : un danger ?

Les colorations pour cheveux : un danger ?

Le métier de coiffeur est considéré comme métier à risque. Les recherches de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont prouvé que l’utilisation constante de produits chimiques colorants peut être responsable de cas de cancer ou de plusieurs autres problèmes de santé comme l’asthme ou les allergies cutanées. Les résidus chimiques en suspension dans l’air des salons de coiffure peuvent être responsables de nausées, de céphalées et même de migraines. Ces effets peuvent être ressentis suite à une exposition prolongées à ces produits.

Les teintures sont irritantes pour les cheveux puisqu’elles en modifient chimiquement les composantes, ce qui les rend plus faibles. Il est donc important de bien hydrater sa chevelure après l’avoir colorée. Les colorations utilisées dans les salons de coiffure sont moins dommageables que celles disponibles en pharmacie, car les produits qu’elles contiennent sont généralement de qualité supérieure. De plus, ayant reçu une formation dans le domaine, les coiffeurs professionnels sont plus aptes à choisir le produit qui convient le mieux à un type de cheveu en particulier.

Le vernis à ongles : un ennemi haut en couleur ?

Le vernis à ongles : un ennemi haut en couleur ?

Les vernis à ongles contiennent beaucoup d’agents chimiques dangereux pour la santé. Ces substances peuvent causer de l’asthme, des dermatites, et même le cancer du sein. Le dibcétylphtalae, contenu dans la majorité des vernis, est un perturbateur endocrinien (= perturbe la distribution des hormones dans le corps). Les vernis à ongles contiennent également du toluène (neurotoxique), du formaldéhyde (une substance cancérigène) et du xylène. La combinaison de ces produits peut avoir des impacts importants sur la santé des consommatrices.

Il est donc important de choisir un vernis à ongles à base d’eau, qui contient l’inscription « four free » (« sans les quatre ») sur l’étiquette. Cette appellation certifie que le produit ne contient aucune des 4 substances dangereuses mentionnées précédemment. Les vernis de la marque Dior sont connus pour être composés de ces substances. En revanche, des marques comme Suncoate, (fabrication au Canada), No miss nail polish, So bio étic ou encore, Santé Naturkosmetik produisent des vernis non toxiques.

Les cosmétiques : attention aux parabènes !

Les cosmétiques : attention aux parabènes !

Mascaras, crayons pour les yeux et pour les lèvres, ombres à paupières, fonds de teint, crèmes pour le visage ou pour le corps… Les cosmétiques proposent un large éventail de produits. Ils sont souvent sans risques majeurs pour la santé, mais il faut prêter une attention particulière à deux composantes : les parabènes et l’alcool.

Les parabènes (= esters de l’acide para-hydroxybenzoïque) ont été reconnus comme étant cancérigènes et allergènes. Une accumulation de ces substances dans le tissu mammaire peut causer le cancer du sein. Ces matières sont facilement absorbables, leur incidence est donc directe. L’alcool, quant à lui, fragilise la peau et la rend davantage vulnérable. Si on veut consommer de manière responsable, il est conseillé de bien lire les étiquettes lors de l’achat de produits de beauté.

L’alternative : opter pour des colorations semi-permanentes ou à base de produits naturels

L'alternative : opter pour des colorations semi-permanentes ou à base de produits naturels

Les colorations semi-permanentes sont une alternative aux teintures classiques car elles contiennent moins d’agents chimiques irritants. Elles ne modifient pas la structure du cheveu et ne nécessitent pas de décoloration préalable. Cependant, elles doivent être répétées plus souvent et ne masquent pas les cheveux blancs. Dans tous les cas, certaines composantes des teintures sont à éviter comme l’ammoniac, le paraphénylène diamine et le formaldéhyde.

Plusieurs produits naturels peuvent être utilisés en remplacement des teintures chimiques comme le henné. Les résultats peuvent toutefois s’avérer décevants car il est difficile d’obtenir une couleur précise comme avec les autres colorations. Une contre-indication importante est à retenir : après l’utilisation du henné, il est strictement déconseillé d’utiliser une teinture chimique, car cela risque de brûler le cheveu. Les conseils d’un coiffeur professionnel sont essentiels et importants avant d’envisager tout type de traitements. Il est également à noter que les colorations sont déconseillées aux femmes enceintes.

Si vous utilisez des teintures à la maison, un test peut être effectué afin de prévenir les réactions indésirables. Premièrement, il faut bien nettoyer une petite surface de peau à l’intérieur de l’avant-bras. Ensuite, on doit y appliquer une faible quantité du produit et le laisser sécher. Si après 24 heures aucune sensation d’irritation ou de démangeaisons n’a été ressentie et qu’aucune rougeur n’est apparue, les risques de faire une réaction allergique sont nettement bas.

http://www.passeportsante.net/