Les dangers insoupçonnés des tasses en cuivre


Pour faire simple, mieux vaut éviter de boire ou de manger un aliment servi dans un plat ou une tasse en cuivre. Car, même si on demande quel est le pH d’une boisson ou un aliment pour savoir si cela pouvait devenir toxique, et même dangereux pour la santé
Nuage

 

Les dangers insoupçonnés des tasses en cuivre

 

© thinkstock.

Il ne faut pas boire n’importe quel cocktail dans ce genre de tasse.

À l’heure où nous postons la quasi-totalité de notre vie sur les réseaux sociaux, il n’est pas rare d’y voir de nombreuses photos de cocktails servis dans de très jolies tasses en cuivre. Malheureusement, si leur aspect esthétique est irrésistiblement photogénique, leur matériau pourrait être, quant à lui, extrêmement mauvais pour notre santé.En effet, d’après le Food and Drug Administration’s Model Food Code, il est fortement déconseillé de mettre tout alcool – ou autres aliments – dont le pH est inférieur à 6.0 dans un récipient en cuivre. En effet, lorsqu’un aliment ou une boisson dont le pH est inférieur à 6.0 entre en contact avec du cuivre, celui-ci se détériore, et se répand donc dans l’aliment et/ou la boisson.

Consommer ensuite ces aliments serait donc particulièrement mauvais pour notre santé:

« Trop de cuivre peut entraîner des nausées, des vomissements, des diarrhées, des douleurs à l’estomac et des sensations de brûlure dans la bouche », a ainsi expliqué Toby Amidor, auteur de « The Healthy Meal Prep Cookbook » à Women’s Health Magazine.

« Si vous développez une toxicité du cuivre – ce qui n’est pas très commun -, vous pourriez développer des problèmes cardiaques ou la jaunisse, vous pourriez tomber dans le coma et même mourir », a-t-il ajouté.

Alors n’oubliez pas de bien vous renseigner sur le type d’aliments ou de boissons que vous placez dans ces récipients en cuivre, ou optez pour des tasses dont l’intérieur serait fait d’une autre matière

.http://www.7sur7.be/

Ces 7 signes clairs indiquent que votre foie est malade!


Le foie est un organe important et quand il est malade, le corps se dérègle
Nuage

 

Ces 7 signes clairs indiquent que votre foie est malade!

 

Le foie est un des organes les plus importants du corps humain. Ce dernier nettoie votre sang, aide votre corps à synthétiser les glucides et les lipides provenant de votre alimentation, en plus de stocker les vitamines (A, D, K et E) essentielles au bon fonctionnement de votre corps. Cela étant dit, le foie est également un des organes les plus fragiles.

Plusieurs substances peuvent nuire à son bon fonctionnement, notamment l’alcool, les médicaments et le sel. Cela étant dit, que vous ayez abusé de ces substances dangereuses ou non, comment savoir si votre foie est malade? C’est simple! Vous n’avez qu’à vous fier à ces 7 symptômes.

1 – Des nausées

Il s’agit normalement du premier signe indiquant que votre foie est en difficulté. Si vos nausées surviennent après avoir mangé, il y a de très bonnes chances qu’elles soient liées à un problème de foie.

2 – Des selles très pâles

Quelques problèmes hépatiques sont liés à l’incapacité du foie à produire des quantités normales de bile. Certes, si votre corps produit des quantités insuffisantes de ce liquide biologique favorisant la digestion des lipides (et donnant la couleur brunâtre à vos excréments), il y a de bonnes chances que vos « crottes » soient extrêmement pâles, voire blanches.

3 – Des douleurs dans la partie supérieure de l’abdomen

Les problèmes de foie occasionnent fréquemment des pincements ou des sensations de brûlure dans la partie supérieure de l’abdomen,soit juste en dessous des côtes. Notez que c’est à cet endroit que se trouve votre foie.

4 – La jaunisse

Si votre peau se décolore et commence à tirer vers le jaune, c’est probablement à cause d’un problème de foie. Certes, quand cet organe produit trop de bilirubine, cette substance peut se retrouver en trop grande concentration dans le sang et dans l’organisme. Ce surplus donne un teint particulier à la peau.

5 – Des démangeaisons

Si de la bile s’accumule sous votre peau, de sévères épisodes de démangeaisons peuvent en découler.

6 – De la fatigue

Généralement, les gens souffrant de problèmes hépatiques se sentent faibles, manquent d’appétit et sont excessivement fatigués.

7 – Des saignements et des bleus

Lorsque le foie ne fonctionne pas correctement, le corps a de la difficulté à assimiler certains nutriments et certaines protéines. Cela rend la coagulation sanguine nettement plus difficile. Conséquemment, des saignements de nez et l’apparition d’hématomes peuvent survenir.

http://www.unepommeparjour.com/

Le Saviez-Vous ► L’hépatite: 3000 ans d’histoire ou l’ABC d’une maladie


La jaunisse est une maladie connue depuis bien avant notre ère. Mais l’ABC de l’hépatite, il a fallu que des volontaires (plutôt victimes) de la Deuxième Guerre Mondiale, puis des enfants et autres personnes plus faibles pour mieux comprendre cette maladie
Nuage

 

L’hépatite: 3000 ans d’histoire ou l’ABC d’une maladie

Jacques Beaulieu

Chroniqueur et communicateur scientifique

«La jaunisse: si son corps est jaune, son visage jaune, ses yeux jaunes, si ses chairs deviennent flasques: c’est la jaunisse.»

Voici la description de la jaunisse telle que formulée près de sept cents ans avant Jésus-Christ sur des tablettes cunéiformes datant de l’apogée de l’empire Assyrien.

Une découverte surprenante

Issu d’une longue lignée d’érudits et d’aristocrates, Sir Austin Henry Lajard a connu, pour le moins, une vie bien remplie. Né à Paris en 1817, il fut connu comme un grand voyageur, un politicien engagé et un diplomate. On dit aussi de lui qu’il fut un collectionneur, un archéologue, un écrivain, un historien de l’art et un dessinateur. Passionné par les recherches archéologiques, il fut le premier à identifier Kuyunjik comme étant le site de l’ancienne ville de Ninive. Avec son protégé et élève Ormuzel Rassam, il découvrit dans les ruines d’un palais construit sous le règne d’Assurbanipal (668-626 ans avant J.C.), le dernier grand roi de l’Assyrie, une véritable bibliothèque constituée de 20 000 tablettes cunéiformes dont plus de 600 traitaient de la médecine.

De 1852 à 1880, Sir Lajard connaitra une carrière politique houleuse grâce à son caractère particulièrement enflammé. Il prit par la suite sa retraite à Venise où il consacra les dernières années de sa vie comme collectionneur et comme écrivain de l’histoire de l’art vénitien.

La première description d’une épidémie de jaunisse où l’on conseilla d’isoler les malades eut lieu à Mayence en Allemagne en 751 de notre ère.

La période antique

C’est dans le traité d’Hippocrate que l’on retrouve pour la première fois le mot ictère pour décrire cette maladie du foie. Il viendrait de la fouine (en grec: iktos), ce petit mammifère dont les conjonctives sont jaunes. Hippocrate préconisait un traitement qui, comme il l’écrivait : «réussissait dans la plupart des cas». Il s’agissait de ramollir la surface du corps par des bains chauds et lubrifier les intestins et la vessie, car selon l’illustre médecin, l’ictère est causé par une bile extrêmement agitée qui se fixe immédiatement au-dessous de la peau. Il était aussi d’usage d’appliquer des sangsues à l’anus. On pouvait aussi comprimer le ventre avec des bandelettes de tissu et faire respirer des odeurs fétides. D’autres auteurs de l’époque citèrent la jaunisse, dont Rufus d’Éphèse et Arétée de Cappadoce qui décrivait ainsi les symptômes de la maladie:

«La peau prend une teinte verdâtre ou d’un jaune qui tire sur le blanc, si les malades ont une jaunisse plus marquée; le sommeil est assez calme, peu troublé par des rêves. » (Arétée (de Cappadoce), Traité des signes, des causes et de la cure des maladies aiguës et chroniques, traduit du grec par M. L. Renaud, médecin, Paris, 1834, p.119)

Le Moyen-Âge et la Renaissance

La première description d’une épidémie de jaunisse où l’on conseilla d’isoler les malades eut lieu à Mayence en Allemagne en 751 de notre ère. L’évêque de l’époque écrivit au pape Zacharie pour l’informer qu’une épidémie d’ictère faisait rage dans sa ville. Le Saint-Père lui conseilla d’isoler les malades pour éviter une contamination encore plus importante. Il faudra attendre près de 15 siècles plus tard pour que cette idée de maladie contagieuse refasse surface. Elle est due à un médecin italien dont nous avons souvent parlé dans cette chronique : le docteur Girolamo Fracastoro.

Dans son ouvrage paru en 1546 et intitulé De Contagione et Contagiosis Morbis, il soutient la thèse que les épidémies ne sont pas l’œuvre de la vengeance de Dieu, mais bien d’organismes vivants si petits qu’ils sont invisibles à l’œil nu, organismes qu’il nomme seminaria contigionis.

L’origine du sapin de Noël

Quant à l’évêque qui avisa le pape Zacharie de l’épidémie de jaunisse, il n’était nul autre que Saint Boniface. Une charmante légende lui est d’ailleurs attribuée. Voulant convaincre les druides des environs de Geismar que le chêne n’était pas un arbre sacré, il fit abattre le chêne de Thor, vénéré et adoré pour sa robustesse. En tombant, l’illustre arbre écrasa tout ce qui se trouvait sous lui sauf un jeune sapin. Comme au même moment, Boniface prêchait sur la Nativité, il aurait déclaré :

«Désormais, nous appellerons cet arbre, l’arbre de l’Enfant Jésus».

Décidément, Boniface avait l’esprit aussi religieux que scientifique…

Une jaunisse contagieuse

Il faut dire qu’on avait remarqué depuis longtemps que la jaunisse suivait les armées lors des opérations militaires. On parlait même de jaunisse des camps. Mais malgré toutes ces présomptions sur l’origine infectieuse de certaines hépatites, un grand pathologiste allemand et politicien allait camper des positions niant littéralement l’existence d’agents infectieux. Pour Rudolph Virchow, toute maladie trouvait son explication par l’anatomie et la pathologie. Il élabora alors la théorie de l’ictère catarrhale qui serait reliée à des poisons putrides formés dans l’intestin ou encore provoquée par un choc nerveux occasionné par le passage de la vie civile à la vie militaire. C’est de ces observations que nous viendrait l’expression populaire qui veut qu’une grande émotion puisse déclencher une jaunisse (… en faire une jaunisse).

Pourtant plusieurs illustres médecins de ces époques militaient en faveur d’autres causes. Ainsi pour J.-P. Herliz en 1761, les jaunisses pouvaient être dues aux temps humides, au manque de nourriture ainsi qu’à la peine, la tristesse et certains troubles psychiques. Georges Dieulafoy parlait en 1898 d’ictère vernal ou automnal (Jean-Louis Payen, L’histoire de la jaunisse : Des Sumériens à nos jours, CHU Toulouse, Journée d’hépatologie de l’Hôpital Henri Mondor, 2001)

On injectait différents produits humains (sang, urine, jus duodénal, selles, mucosités nasales, etc.) provenant de personnes présentant des jaunisses à des individus sains.

    Les preuves de l’origine infectieuse s’accumulent

    Ce n’est que vers la fin du 19e siècle que la première observation scientifique permit de relier une infection à une jaunisse et ce fut le fruit du hasard et du sens d’observation d’un médecin allemand, le Dr A. Lürman. En effet, celui-ci, officier de santé publique, vaccina 1 289 ouvriers des chantiers navals de Brème contre la variole. Lürman suivit ces ouvriers et remarqua que 191 d’entre eux eurent une jaunisse suite à ces vaccinations. Qui plus est, seuls ceux vaccinés avec un certain lot développèrent la maladie. Il publia ses observations dans une revue allemande, mais sa découverte passa quasiment inaperçue (Lürman A., Eine icterusepîdemie, Berliner Klinish Wochenschrift, 1885; 22 : 20-27).

    Il n’existait pas de modèle animal où il aurait été possible de transmettre la maladie, ce qui limitait de beaucoup les expérimentations permettant d’isoler le ou les agents infectieux. La Seconde Guerre mondiale allait apporter l’occasion de contrer ce problème en utilisant des «volontaires» humains pour étudier la maladie. Durant ces expérimentations, on injectait différents produits humains (sang, urine, jus duodénal, selles, mucosités nasales, etc.) provenant de personnes présentant des jaunisses à des individus sains. À part ces prisonniers de guerre plus ou moins volontaires (ce devait être plutôt difficile de refuser lorsqu’on vous offre le choix entre mourir sur le champ ou participer à une expérience), plus tard des enfants handicapés mentaux furent aussi recrutés pour prendre part à des expériences similaires. Suite à ces multiples résultats, il fut possible dès 1947 de dégager deux types d’hépatites: l’hépatite A, pour celle transmise par voie oro-fécale et l’hépatite B, pour celle transmissible par le sang et ses dérivés.

    La découverte des agents viraux pour les hépatites A et B se fit durant les années 1960-1970. Le concept de virus Non A Non B fut élaboré vers 1975 par Stephen Feinstone, un grand spécialiste américain qui publia ses résultats dans le New England Journal of Medicine. Ce virus prendra le nom d’hépatite C en 1989 grâce aux recherches de Q. Choo, G. Weiner et de leurs collaborateurs. Tel fut donc l’ABC de cette maladie.

      http://quebec.huffingtonpost.ca/

      Ce que votre teint peut révéler sur votre état de santé


      Avoir bon teint est signe de santé mais quand le teint prend des couleurs qui ne sont pas synonyme de bonne santé, il pourrait indiquer divers maladie que seul un médecin pourra donner un diagnostique
      Nuage

       

      Ce que votre teint peut révéler sur votre état de santé

       

      PAR LUCIE TURGEON  | PHOTO: SHUTTERSTOCK

      Excellent indicateur de notre état intérieur, notre teint peut parfois signaler un problème de santé. Que dit le vôtre?

      Un teint pâle

      La pâleur de la peau indique souvent un problème d’anémie. Cette condition se manifeste lorsque le sang ne contient pas suffisamment d’hémoglobine, une protéine contenue dans nos globules rouges qui sert à transporter l’oxygène des poumons vers le reste du corps. Dans ce cas, la pâleur s’accompagne généralement de symptômes comme une sensation de faiblesse, de la fatigue, des vertiges, des maux de tête, un essoufflement et des palpitations.

      Cela dit, l’anémie n’est pas une maladie en soi, mais plutôt le signe d’un problème de santé. Elle peut être causée par des carences alimentaires (en fer, en vitamine B12 ou en acide folique), des troubles héréditaires, des pertes de sang importantes (d’origines diverses telles des menstruations abondantes, des hémorragies gastriques, etc.) ou des affections chroniques comme la polyarthrite rhumatoïde, l’insuffisance rénale ou le VIH (virus d’immunodéficience humaine), d’où l’intérêt de consulter un médecin afin d’obtenir un diagnostic précis et un traitement adéquat.

      Un teint jaunâtre

      Une coloration jaune de la peau témoigne le plus souvent d’une jaunisse, particulièrement si le blanc des yeux a également viré au jaune. Cette condition survient lorsque le sang contient trop de bilirubine, un pigment de la bile qui résulte de la dégradation des globules rouges. Généralement, ce pigment est traité par le foie et éliminé dans les urines et les selles. La jaunisse peut s’accompagner de divers symptômes: fièvre, frissons, nausées, vomissements, perte d’appétit, amaigrissement, douleur inhabituelle au foie, selles pâles et urines foncées (pouvant avoir la couleur du thé).

      Lorsqu’une personne a la jaunisse, c’est qu’elle produit trop de bilirubine ou que son foie ne s’en débarrasse pas assez rapidement. Le plus souvent, une maladie du foie (hépatite virale, cirrhose, tumeur) ou de la vésicule biliaire (calculs biliaires, tumeur) est à l’origine d’une jaunisse. Les affections qui entraînent une destruction excessive des globules rouges, comme le paludisme et l’anémie hémolytique, peuvent aussi causer une jaunisse, car elles provoquent une libération importante de bilirubine. Bref, comme les causes sont multiples, mieux vaut consulter un médecin dès que l’on constate l’apparition d’une jaunisse.

      Un teint rouge

      Un visage qui prend une coloration rouge peut révéler une rosacée, une affection cutanée évolutive pouvant s’avérer très dommageable. Chez la plupart des gens, la rosacée commence par l’apparition de rougeurs intermittentes aux joues, au nez, au menton ou au front. À ce stade précoce, les symptômes de la maladie sont souvent considérés comme de simples problèmes de teint ou de légers coups de soleil.

      Or, en l’absence de traitement, ces rougeurs deviennent de plus en plus persistantes et de petits vaisseaux sanguins peuvent se dilater à la surface de la peau, puis on constate souvent l’apparition de papules et de pustules. Si notre teint devient rouge, il faut consulter un médecin. Bien que la rosacée soit incurable, il est cependant possible d’en atténuer les symptômes et d’en freiner la progression en appliquant un traitement médical et en changeant quelques habitudes.

      Un teint bleuâtre

      Appelée cyanose, une coloration bleue de la peau témoigne d’une diminution de la teneur en oxygène dans le sang. Lorsqu’il est appauvri en oxygène, le sang circulant dans les capillaires sous l’épiderme est plus bleu que rouge, ce qui donne une teinte bleutée à la peau. La cyanose est souvent due à un problème circulatoire ou respiratoire qui mène à une oxygénation insuffisante de l’organisme, comme une malformation cardiaque ou une insuffisance respiratoire. Dans tous les cas, on doit consulter rapidement un médecin, car un tel signe n’augure rien de bon. Une cyanose peut indiquer un grave problème de santé. Elle se manifeste notamment au moment d’une crise cardiaque ou d’une embolie pulmonaire.

      Un teint brunâtre

      Une coloration brune de la peau sans exposition au soleil est souvent associée à la maladie d’Addison, une affection endocrinienne rare. Celle-ci provient généralement d’une sécrétion insuffisante d’hormones par les glandes surrénales. Elle peut aussi être attribuable à une autre maladie, comme la tuberculose ou la syphilis. La pigmentation brunâtre de la peau apparaît d’abord aux plis de flexion découverts et là où il y a des cicatrices. Puis, elle s’étend progressivement sur toute la peau. Elle s’accompagne souvent d’une fatigue profonde, de palpitations, de vertiges et de troubles digestifs. Sans traitement, cette maladie est mortelle, d’où l’importance de consulter rapidement un médecin. Seule la prise quotidienne d’hormones artificielles sous la forme de comprimés permet de maintenir l’équilibre hormonal.

      http://www.moietcie.ca