D’immenses perruques de papier garnies


On sait qu’à l’époque contemporaine les femmes avaient des coiffures extravagantes, qui ne sont pas adapter aujourd’hui avec le style de vie que nous avons. Une artiste a représenté ses coiffures en papier. Elle a beaucoup de talent et sûrement que ses oeuvres doivent être porté avec délicatesse
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D’immenses perruques de papier garnies

 

Les perruques de style baroque ou rococo étaient monumentales et présentaient des garnitures inspirées des objets les plus en vogue à leur époque (17è et 18ème siècles).

Anna Kozina a voulu recréer cette idée pour notre époque contemporaine avec ces perruques immenses de papier qui sont garnies des éléments de luxe et de richesse que nous connaissons.

Sa série Skyscraper on the head continue son travail commencé en 2015 avec sa série en cours baroque paper wigs.

Vous pouvez également découvrir ses costumes de papier miniatures et à taille réelle sur instagram et sur behance.

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Le Saviez-Vous ► 8 tendances beauté très douloureuses qui ont marqué l’histoire


Les critères de beauté à travers les siècles ont suivi certaines modes, mais non sans risques. Les femmes ont souffert, et même sont mortes pour parvenir à suivre les standards de l’époque. Aujourd’hui, cela a changer, mais malheureusement, les risques peuvent être tout aussi grands, nous avons juste a penser aux régimes miracles, au corset qui réapparaît, etc.
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8 tendances beauté très douloureuses qui ont marqué l’histoire

Longtemps, les femmes ont altéré leur apparence pour entrer dans les canons de beauté de l’époque. Des pieds bandés aux corsets en passant par le réducteur de menton, zoom sur 10 tendances beauté complètement sadiques qui ont marqué l’histoire au féminin.

1/Les pieds bandés

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Née au début du Xe siècle en Chine, la coutume des pieds bandés est restée pendant plus d’un millénaire le symbole ultime de la féminité pour bon nombre de Chinoises. Mais pour atteindre cet idéal, il fallait passer par une douleur physique très intense. Le bandage des pieds commençait à l’âge de cinq ou six ans et nécessitait environ deux années de calvaire pour que leur taille atteigne environ 7,5 centimètres. D’abord trempés dans de l’eau chaude et des herbes médicinales, les orteils des petites filles – à l’exception du gros – étaient ensuite pliés contre la plante du pied et tenus 24/24 par des bandages et des chaussures pointus. Ainsi, la forme que prenait le pied était-elle censée représenter un bouton de lotus. Interdite par le gouvernement en 1912, la pratique des pieds bandés a pourtant continué pendant quelques années encore. Outre les orteils nécrosés et les lésions articulaires, on estime à 10% le taux de mortalité chez les jeunes Chinoises des suites d’une septicémie.

2/Le corset

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Une silhouette en forme de sablier, une taille ultra fine et une poitrine soutenue, voilà ce que promettait le corset. Apparu pour la première fois à la cour d’Espagne au XVIe siècle (Renaissance), cet accessoire ultra rigide a modelé le corps de la femme jusqu’au début du XXe siècle. Durant plusieurs décennies, dames et demoiselles ont donc enduré les pires souffrances pour la finesse de leur taille : organes comprimés, capacités pulmonaires diminuées, côtes déplacées, muscles atrophiés, constipation ou encore malaises dû au manque d’air.

Remisé au placard aux alentours des années 1910, le corset a malheureusement fait un retour remarqué ces dernières années. Jessica Alba, Kate Middleton et surtout Kim Kardashian n’ont ainsi pas hésité à vanter les mérites du « régime corset ». Décrié par les spécialistes, ce « court-circuit gastrique » fait pourtant de plus en plus d’adeptes parmi les jeunes femmes qui rêvent des courbes surnaturelles de la célèbre Kim K.

3/Les gouttes de Belladone

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On le sait aujourd’hui, la Belladone est une plante très toxique, ses baies noires contenant de l’atropine. Mais celle que l’on surnomme la cerise du diable a pourtant longtemps été étroitement liée à la femme.

Au Moyen-Âge, on racontait ainsi que les sorcières mélangeaient la Belladone à d’autres plantes toxiques pour créer une pommade. Une fois appliqué sur la peau, ce baume leur donnait alors l’impression de pouvoir voler ou de parler à Satan lui-même.

Plus tard, à la Renaissance, la Belladone est devenue l’atout beauté des Italiennes. Ces dernières préparaient des gouttes à base des baies noires de la plante qu’elles pressaient ensuite dans leurs yeux. Les gouttes dilataient leurs pupilles et leur prodiguaient de profonds yeux noirs censés donner une illusion de pureté et d’innocence. C’est d’ailleurs de cette pratique que vient le nom de la fleur, « Belladonna » voulant dire « belle femme » en italien.

Si cette tendance beauté véhicule une certaine aura de mystère, elle n’en reste pas moins douloureuse. Les gouttes de Belladone pouvaient provoquer le strabisme, l’incapacité à se concentrer sur des objets, des palpitations cardiaques, et une possible et irrévocable perte de la vue.

4/Le fard au plomb

Élisabeth 1re d'Angleterre

Élisabeth 1re d’Angleterre

Au XVIe et XVIIe siècle, les femmes veulent plus que tout ressembler à la reine Élisabeth 1re d’Angleterre. Comme la souveraine, elles s’appliquent ainsi sur le visage un fard blanc épais à base de céruse – ou carbonate de plomb – et de vinaigre. Résultat ? Un teint très pâle mais aussi la possibilité de camoufler les traces laissées par la petite variole. Au XVIIIe siècle, les marques de cosmétiques vont même jusqu’à commercialiser des fards au plomb comme le « Bloom of Ninon de l’Enclos » (inspiré de la courtisane du même nom) Mais la beauté a un prix et les femmes qui utilisaient ces fards s’empoisonnaient en fait à petit feu tout en souffrant d’effets secondaires peu ragoutants (peau asséchée, constipation, apparition de cheveux gris, douleurs abdominales, paralysie, défaillance des organes). Tout un programme.

5/Le régime à l’arsenic

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L’arsenic est probablement l’un des poisons les plus célèbres. Mais si sa toxicité a été prouvée il y a bien longtemps, cela n’a pas empêché les femmes de l’utiliser comme arme de beauté massive. A la Renaissance (décidément, quelle belle époque), alors que la mode est au front bien dégagé, les dames de la cour décident de s’épiler le visage avec de l’orpiment – ou arsenic jaune.

Puis au XIXe siècle, l’utilité de l’arsenic change. Comme le rapporte Mental Floss , le poison se consomme alors en pilule et est censé « donner un teint frais, des yeux brillants et apporter un embonpoint sexy » à celle qui se plie au traitement. Malheureusement, ce qu’on ne disait pas à ces demoiselles, c’est que l’arsenic en gélule les empoisonnait peu à peu et apportait avec lui diarrhée, vomissements, sang dans l’urine, crampes musculaires, douleurs à l’estomac, perte de cheveux et convulsions.

6/Les perruques au saindoux

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Le XVIIIe siècle est marqué par la mort de Louis XIV et l’apparition des Lumières. Et si on visualise assez bien le look de la femme de l’époque – corset, jupons, visage poudré de blanc, postiche XXL – on sait moins que ces dernières allaient jusqu’à badigeonner leurs perruques de saindoux (substance blanche à base de graisse de porc) pour que leurs coiffes en forme de pièce montée tiennent en place.

Résultat ? Le saindoux attirait les poux qui attiraient ensuite les rats. A la nuit tombée, les courtisanes et autres femmes de la cour se voyaient donc obligées d’enfermer leurs postiches en cage pour éviter que les rongeurs ne viennent dévorer le tout. Pas forcément douloureux mais pas très hygiénique non plus.

7/Le détecteur de défauts

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Dans le genre objet de torture, je demande le « Beauty Micrometer » de Maksymilian Faktorowicz. En 1909, l’homme lance sa marque de cosmétiques sous le nom de Max Factor, ses produits deviennent vite les meilleurs alliés des stars de cinéma hollywoodiennes et il réussit même à populariser le mot  » make-up « . Mais Max Factor n’est pas seulement un entrepreneur richissime, c’est également un innovateur.

En 1932, il lance donc le « Beauty Micrometer », un instrument en acier censé repérer les défauts physiques d’une femme, défauts ensuite camouflés à l’aide d’une bonne dose de maquillage. Si vous avez vu Hellraiser et Saw , vous comprenez pourquoi on parle d’objet de torture.

8/L’opération des « pieds obèses »

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On appelle ça la « stiletto surgery » ou « chirurgie de l’escarpin ». Pour être à l’aise sur leurs talons de 12, les Américaines n’hésitent plus à passer sur le billard pour se faire injecter du gras dans le talon ou se faire raccourcir ou retirer entièrement des orteils. Cette tendance beauté complètement barbare a fleuri aux États-Unis avec l’arrivée de chausseurs stars comme Christian Louboutin, Manolo Blahnik ou encore Nicholas Kirkwood.

Contre nature et extrêmement douloureuse, cette opération censée affiner des « pieds obèses » n’est pas sans danger. Infections et nouvelles opérations imprévues sont ainsi le lot de celles qui n’arrivent pas à trouver chaussure à leurs pieds…

http://www.terrafemina.com/

Le Saviez-Vous ► Histoire de la beauté : 8 faits surprenants


À chaque époque, en Occident, la beauté chez la femme, avait sa propre définition. Mais, la femme est rester esclave d’une certaine façon à ces modes qui pouvaient être parfois dangereux pour sa santé ou carrément dégoutant selon notre vision d’aujourd’hui
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Histoire de la beauté : 8 faits surprenants

 

Double menton et genoux mous ont déjà été aussi affriolants que le sont aujourd’hui la mâchoire découpée et les jambes fines. Tout plein de faits divertissants sur l’histoire de la beauté en Occident.

La mine triste

Afficher une mine de dépressif au seuil du précipice faisait très « distingué » au 19e siècle. Pour se défaire les traits et creuser leurs cernes, les femmes buvaient du vinaigre, se privaient de sommeil pendant des jours ou ingéraient des drogues à base de belladone. En plus de cultiver le teint cadavérique, ces précurseurs du mouvement gothique se noircissaient les cheveux à l’aide de racines et d’écorces d’arbres bouillies dans le vin.

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Photo : Geoffrey Clements / Corbis (Millicent, Duchess of Sutherland, John Singer Sargent)

Les remèdes miracle

Le caca d’humains et d’animaux a été fort populaire dans les recettes de cosmétiques à travers les siècles. On s’en enduisait les cheveux pour les fortifier ou activer leur repousse, la peau du visage pour lutter contre les rides, le corps pour le raffermir. On osait aussi la sangsue macérée 60 jours, l’eau de pigeon bouilli, le hachis de limaçons rouges, la cervelle de tortue, le sperme, la bave… Peu ragoûtant, certes, mais moins nocif que le sulfure d’arsenic utilisé à l’époque pour s’épiler. Ou encore le plomb, le vitriol et le mercure dans les fonds de teint blanchissants. Ces plâtres étaient si toxiques qu’ils brûlaient et trouaient la peau du visage, en plus de donner mauvaise haleine et de noircir les dents. Mais tout cela n’était rien, apparemment, à côté de l’humiliation du bronzage. Tellement paysan.

Les joyeuses courbes

À part le menuet et l’équitation, le sport n’avait pas du tout la cote chez les filles avant la fin de la Première Guerre mondiale. Le bourrelet s’assumait alors joyeusement. Une des premières à renverser cette mode fut cependant l’impératrice Sissi (Élisabeth de Wittelsbach, 1837–1898). Extrêmement soucieuse de garder sa taille de guêpe sculptée par les corsets, elle avait fait installer des salles de culture physique dans toutes ses résidences, où elle s’exerçait plusieurs heures par jour aux anneaux, aux haltères, aux barres parallèles et au cheval d’arçons.

Crédit photo : Alinari via Getty Images (Portrait d’Elizabeth of Wittelsbach, Imprératrice d’Autriche et Reine d’Hongrie)

Crédit photo : Alinari via Getty Images (Portrait d’Elizabeth of Wittelsbach, Imprératrice d’Autriche et Reine de Hongrie)

Les odeurs intimes

Une femme dont le sexe dégageait une mauvaise odeur aux 15e et 16e siècles était considérée comme « honnête », puisque seules les prostituées pratiquaient l’hygiène intime, enseignée par les mères maquerelles (certaines poussaient la coquetterie jusqu’à enjoliver leurs poils pubiens de rubans) Mais, pour les bonnes catholiques, pas question de s’approcher de « là », même avec une perche de 10 pieds. Les hommes non plus n’étaient pas très tentés. Au 19e siècle, les médecins ont fini par exhorter les jeunes filles à être « propres » si elles voulaient « trouver et garder un mari ».

Les perruques vertigineuses

Au temps de Louis XIV, en France, certaines perruques s’élevaient si haut dans les airs que la bouche semblait être au milieu du corps. On les décorait de bateaux miniatures, de moulins à vent, de fleurs, de miroirs, de figurines d’animaux, le tout abondamment recouvert de poudre d’amidon. Outil indispensable : une baguette munie de petites mains en ivoire pour se gratter le fond de la tête. Car ces échafaudages complexes étaient très prisés par la vermine…

iStock by Getty Images

iStock by Getty Images (Comic Sketches from English History for Children of Various Ages. With Descriptive Rhymes.”, Lieutenant-Colonel T.S. Seccombe, London, in 1884)

Les atouts enchanteurs

À partir de 1770, il est devenu illégal pour les Anglaises d’user d’eaux de senteurs, de « peintures », de dents artificielles, de faux cheveux et de talons hauts pour « abuser » des hommes ou les « conduire au mariage ».

Le pétard suprême

Pour être qualifiée de méchant pétard il y a 400 ans, une femme devait avoir un « menton court et fourchu, si grasset et charnu par-dessous que descendant à la gueule, il semble faire comme un second menton » ; des « bras assez charnus et massifs » ; une « petite bouche aplatie » ; des pieds « rondelets » ; des cheveux blonds « crépus »  (Trois livres de l’embellissement et ornement du corps humain, Jean Liébault, 1582). Quant au bas du corps, on s’en fichait : les jambes, recouvertes de tissus jusqu’au sol, ne servaient que de « socle » pour le haut.

Crédit photo : Francis G. Mayer / Corbis

Crédit photo : Francis G. Mayer / Corbis

Les charmantes aisselles

Une Française s’épilant les aisselles était totalement éteignoir au 19e siècle. Les hommes étaient fous de ces touffes de poil « diverse[s] comme la couleur des cheveux, ondoyante[s] comme les boucles qui la recèlent », mais plus encore des émanations qui s’en dégageaient. Les variations de ces « fumets » ont d’ailleurs été décrites avec subtilité par l’écrivain Joris-Karl Huysmans :

« Nul arôme n’a plus de nuances ; c’est une gamme parcourant tout le clavier de l’odorat, touchant aux entêtantes senteurs du seringat et du sureau, rappelant parfois le doux parfum des doigts qu’on frotte après y avoir tenu et fumé une cigarette. Audacieux et parfois lassant chez la brune et chez la noire, aigu et féroce chez la rousse, le gousset est flottant et capiteux ainsi que certains vins sucrés chez la blonde (…) ».

Sources :
L’éternel féminin – Une histoire du corps intime, par Béatrice Fontanel (Seuil) ;
Histoire de la beauté – Le corps et l’art d’embellir de la Renaissance à nos jours, par Georges Vigarello (Seuil).

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Chauve et perdu? La perruque de Sony vous guidera


Nous avons le téléphone, la montre, les lunettes et tout un paquet d’appareils intelligents, c’est maintenant le tour aux perruques. Non n’allez pas vous raser la tête, car pour le moment, ce n’est pas sur le marché
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Chauve et perdu? La perruque de Sony vous guidera

 

Chauve

La Smartwig, ou la «perruque intelligente» développée au Japon par Sony. Photo Fotolia

Vous êtes chauve et perdu? La «Smartwig», autrement dit la «perruque intelligente» développée au Japon par Sony est faite pour vous.

Cela peut paraître loufoque mais c’est très sérieux: cette perruque intelligente est en fait reliée sans fil à un ordinateur qui lui donne des instruction pour guider son «sujet» à distance en connaissant sa localisation par rapport à une destination donnée grâce au récepteur GPS intégré. Des vibreurs positionnés en différents points de la tête (devant, derrière, à droite, à gauche) s’actionnent à tour de rôle en fonction de la direction à prendre.

«Le crâne est une partie du corps extrêmement sensible. On y ressent et localise très bien les vibreurs», expliquent dans un article technique les chercheurs à l’origine de l’objet, Hiroaki Tobita et Takuya Kuzi.

Une autre variante de ce prototype de perruque comporte des capteurs de signaux électriques émis par le cerveau et peut potentiellement les transformer en commandes.

Outre qu’elle conserve sa fonction première de cache-misère, cette perruque a d’autres talents insoupçonnés: grâce à ses capteurs elle peut mesurer la température corporelle, la pression artérielle, et elle peut même, selon ses concepteurs, enregistrer des sons et des images que l’homme au «toupet numérique» pourra revoir sur un écran par la suite.

Et ça ne s’arrête pas là: lors d’une présentation de transparents informatiques, le porteur de ce complément capillaire pourra se servir de ses favoris pour aller à la diapositive suivante en tirant sur celui de droite, avec celui de gauche.

«Il existe déjà un grand nombre d’objets à porter incorporant des composants informatiques: des lunettes, des vêtements, des chaussures, etc. mais la plupart ne sont pas devenus des succès commerciaux populaires», expliquaient l’an dernier les inventeurs de la «Smartwig».

Pour eux, leur perruque, qui peut être confectionnée avec des cheveux naturels, a un avantage majeur: «elle allie le naturel au pratique».

Une porte-parole de Sony a indiqué jeudi que des demandes de brevets avaient été déposées dans l’Union européenne et aux États-Unis même si pour l’instant le géant japonais de l’électronique ne compte pas encore y commercialiser sa dernière invention.

Depuis le révolutionnaire Walkman en 1979, Sony n’a pas vraiment imaginé ces dernières années de produit qui change à ce point la façon de se distraire et rencontre un succès mondial comparable à celui de son mythique baladeur.

Le mois dernier, le PDG de Sony, Kazuo Hirai, a d’ailleurs annoncé que le groupe allait augmenter les fonds consacrés au développement de technologies mobiles, comme par exemple une nouvelle génération de montres intelligentes, un terrain sur lequel il affronte déjà le sud-Coréen Samsung tandis que l’américain Apple développe aussi actuellement une «iWatch».

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La guerre est déclarée aux voleurs de cheveux


On peut vendre des cheveux a bon prix, mais malheureusement cet appât du gain semble inciter certains groupes a attaquer des femmes a la longue chevelure
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La guerre est déclarée aux voleurs de cheveux

 

Ces dernières semaines, des jeunes femmes ont été... (PHOTOTHÈQUE LA PRESSE)

Ces dernières semaines, des jeunes femmes ont été victimes d’attaques d’une bande composée d’hommes et de femmes qui, en pleine rue, les ont entravées le temps de leur couper leurs longs cheveux avant de prendre la fuite.

PHOTOTHÈQUE LA PRESSE

Agence France-Presse

Le président vénézuélien Nicolas Maduro a lancé une déclaration de guerre aux «pirañas», des gangs qui sèment la panique parmi les femmes de l’État de Zulia (ouest) en se livrant à des vols de cheveux.

Dans une déclaration prononcée mercredi soir dans le quartier populaire de Petare, dans l’est de Caracas, M. Maduro a annoncé avoir demandé à la police criminelle d’enquêter sur «les mafias qui coupent les cheveux des femmes» apparus depuis quelques semaines.

«Nous allons capturer ces gens (…). Qu’est-ce que sont ces agressions contre les femmes ? Les femmes sont sacrées. Sachez, tous ceux qui sont impliqués ou qui font partie de ces groupuscules, que nous allons vous punir avec force», a assuré le président Maduro.

Ces dernières semaines, de nombreuses jeunes femmes de cet État, notamment à Maracaibo, la capitale de Zulia, ont été victimes d’attaques d’une bande composée d’hommes et de femmes qui, en pleine rue, les ont entravées le temps de leur couper leurs longs cheveux avant de prendre la fuite.

Les habitants de la région ont surnommé ces bandes les «pirañas», poissons carnivores réputés pour dévorer rapidement leurs proies.

Selon la presse régionale, une belle chevelure peut être revendue pour une somme allant jusqu’à 3000 bolivars, soit près de 500 dollars au change officiel (cinq fois moins au change parallèle), pour être ensuite utilisée pour des perruques ou extensions capillaires dans les salons de coiffure.

La police locale a renforcé les patrouilles dans les lieux les plus fréquentés des villes de l’État. Mais selon la presse vénézuélienne, le phénomène se répand et d’autre cas de vols de cheveux sont survenus plus récemment dans d’autres villes comme Caracas ou Valencia (centre).

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Et maintenant des perruques pour bébés…


Ce n’est vraiment pas surprenant que ce site qui vend des perruques pour bébés n’a pas de succès et heureusement. Il faut vraiment ne pas connaitre les bébés pour faire ce truc inutile et ils osent dire que c’est la beauté de l’enfance …
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Et maintenant des perruques pour bébés…

 

Voilà une nouvelle mode sur le web plutôt étonnante voire même un peu flippante : la perruque pour bébé. Ces perruques sont uniquement destinées aux petites filles qu’on prend parfois dans leurs poussettes au premier coup d’œil pour des petits garçons…

Baby Bangs est un site de vente en ligne qui propose des perruques destinées aux bébés. Le concept est supposé séduire les mamans qui en ont ras le bol de devoir répondre à la question : c’est un garçon ou une fille ? Le site offre donc la possibilité à ces mamans de petites filles, d’éviter la sempiternelle question en coiffant leur bébé d’une perruque 100% « je ne suis pas un garçon ».

​​Pour justifier ce concept, avouons-le, carrément louche, la marque affiche comme philosophie

« la beauté de l’enfance »:

« Nos créations uniques sont empreintes de magie, inspirant un monde merveilleux et des moments magnifiques et mémorables pour vous et votre petite fille, que vous chérirez toujours ! Parce qu’elle est, et sera à jamais, votre petite princesse« .

Pour 35 €, (48 dollars cad) vous pouvez donc offrir à votre bébé une perruque « au rendu très réalistes, en un claquement de doigts » explique encore la marque sur son site.

Mais voilà, cette drôle d’innovation n’a pas vraiment le succès escompté auprès de toutes les mamans, qui notamment sur Twitter, s’indigent d’avoir à imposer le ridicule et l’inconfort d’une perruque à un bébé qui n’en a aucunement besoin. Certaines espèrent même que la marque annonce qu’il s’agit là d’un site parodique et non d’un véritable concept. Pourtant tout ceci semble tristement sérieux !

 

http://www.aufeminin.com

Chevelure contre bol de riz+


C’est désolant, ces femmes vendent leur cheveux a un prix dérisoires pour avoir de quoi manger alors que ces cheveux naturels sont  vendu pourtant a bon prix .. Des gens se font expulsé de leur village sans compensation et on profite de leur pauvreté pour permettre a d’autres femmes a être coquette. C’est franchement épouvantable
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Chevelure contre bol de riz

 

Kheng Chen a sacrifié sa chevelure en janvier pour un peu moins de 8 dollars [6,50 euros]. Elle est aujourd’hui triste d’avoir la tête tondue, car elle paraît plus que ses 48 ans. Mais dans quelques mois, quand ses cheveux auront repoussé, elle compte les vendre à nouveau.

« Toutes les femmes aiment les cheveux et veulent être belles, dit-elle. Mais, entre la beauté et la faim, que dois-je choisir ? »

Kheng Chen n’est pas la seule à être torturée par ce dilemme. Elle vit dans la province de Kandal [qui entoure la capitale Phnom Penh], dans le village de Srah Po, où ont été relogés les expulsés de Borei Keila [en janvier, 133 familles ont été chassées par des agents de sécurité aux ordres du promoteur immobilier Phan Imex]. Chen fait partie de la trentaine de femmes qui ont décidé de céder leur chevelure contre de l’argent. Un brin honteuses, la plupart d’entre elles portent un foulard pour cacher leur coupe de garçon manqué.

Le site de la société Arjuni, spécialisée dans le commerce de cheveux naturels.

Le site de la société Arjuni, spécialisée dans le commerce de cheveux naturels.

Le commerce de cheveux naturels [pour les perruques ou les extensions] n’est pas nouveau. Au Cambodge, pourtant, il n’en est qu’à ses débuts. La société Arjuni, implantée à Phnom Penh, se fait une place dans ce secteur traditionnellement dominé par l’Inde et la Chine, écrivait récemment The New York Times. Janice Wilson, sa directrice, affirme que le cheveu cambodgien ressemble au cheveu indien.

« L’Inde représente quelque chose comme 99 % du commerce mondial de cheveux. Jusqu’ici, personne n’avait pensé au Cambodge », observe-t-elle.

A Srah Po, ces transactions font désormais partie du quotidien. Au guidon de leur moto, les courtiers vietnamiens se présentent au milieu des huttes recouvertes de bâches bleues. Ils viennent une à deux fois par mois pour faire du démarchage.

Le prix dépend de la longueur et de la qualité du cheveu. Saom Sokunthea, 42 ans, a négocié sa chevelure pour 7 dollars [5,60 euros]. Elle n’avait d’autre choix afin d’acheter du riz pour ses trois enfants. Mais, en renonçant à ses cheveux, elle a réveillé en elle des souvenirs douloureux :

« Si mon mari avait été vivant, il ne m’aurait pas autorisée à les vendre, même si nous étions en train de mourir de faim. Il les chérissait tellement ! »

Yoeun Soeun, 32 ans, a cédé les siens il y a trois mois pour 12 dollars [9,60 euros]. Le bon prix qu’elle en a tiré s’explique, selon elle, par sa jeunesse et par le fait qu’elle se rendait souvent chez son coiffeur.

Elle retire son chapeau et passe sa main dans ses cheveux noirs. Avant de le remettre précipitamment.

« Personne ne le fait de gaîté de cœur, mais, quand il n’y a pas d’autre solution, que voulez-vous ? Dans mon village, presque toutes les femmes sont ainsi devenues du jour au lendemain des grand-mères. »

[Traditionnellement, au Cambodge, il est courant que les femmes âgées se rasent la tête.]

 

http://www.courrierinternational.com

États-Unis → Élève suspendu pour avoir laisser pousser ses cheveux


Je peux comprendre que dans les écoles il y ai des règlements, mais je pense qu’il devrait avoir des exceptions et que l’école devrait profiter de ce genre d’élan de générosité d’un jeune a faire sa part de manière éducative et cibler certains cas ou le règlements peut être écarté pour un certains moments ..
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États-Unis → Élève suspendu pour avoir laisser pousser ses cheveux

 

États-Unis - Élève suspendu pour avoir laisser pousser ses cheveux

Le jeune de 17 ans voulait venir en aide aux enfants malades.

©Shutterstock

Agence QMI

BURTON, Michigan – Un étudiant qui faisait pousser sa chevelure afin d’en faire don aux enfants qui perdent leurs cheveux à cause de maladies a été suspendu la semaine dernière de son école secondaire de Burton, au Michigan, a rapporté le journal Detroit News.

J.T. Gaskins, un jeune garçon de 17 ans qui a lui-même survécu à la leucémie, a décidé au cours des vacances des Fêtes de laisser pousser ses cheveux pour les donner ensuite à l’organisme «Locks of Love» (Les mèches de l’amour), après avoir appris que la sœur d’un ami de la famille était atteinte d’un cancer.

«Locks of Love» se décrit comme un organisme sans but lucratif qui procure des perruques aux enfants pauvres du Canada et des États-Unis qui sont atteints d’une maladie entraînant la perte de cheveux.

L’école a suspendu le jeune Gaskins, affirmant qu’il contrevenait au règlement de l’école interdisant le port de cheveux longs et colorés vivement.

«J’ai moi-même combattu le cancer toute ma vie, a déclaré au journal le jeune garçon. Je ne m’empêcherai pas de faire ma part à mon tour.»

Il a reçu l’appui de sa mère, qui a lancé sur Internet une pétition demandant à l’école de changer son règlement et de permettre les cheveux longs s’ils sont destinés à une cause charitable comme celle de «Locks of Love». La pétition avait recueilli plus de 1000 signatures vendredi dernier.

 

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