N’embrassez-pas les grenouilles!


J’ose espérer que ce n’est pas une pratique courante d’embrassé les grenouilles.. les princes charmants ne sont que dans les contes … même si on les manipules … il est important de se laver les mains. Mais de toute facon .. avec la neige .. pas de danger de rencontrer le prince grenouille
Nuage
 
N’embrassez-pas les grenouilles!
 
N'embrassez-pas les grenouilles!
 
Les batraciens sont réputés être porteurs de salmonelles.
 
Photo: AFP
RelaxNews
 
L’Association des vétérinaires américains a exhorté vendredi le public américain à «ne pas embrasser les grenouilles», alors que sort sur les écrans la dernière production de Disney La princesse et la grenouille et que les batraciens sont réputés être porteurs de salmonelles.
 
«Les grenouilles comme tous les amphibiens et les reptiles peuvent être une source d’infection aux salmonelles chez les humains», avertit l’American Veterinary Medical Association (AVMA) dans un communiqué.
 
«Nous rappelons au public qu’une manipulation inappropriée d’un amphibien, notamment un baiser, peut donner une grave maladie, plutôt qu’un prince», ajoute l’association.
 
Les Centres de contrôle des maladies (CDC) ont récemment rapporté que les grenouilles avaient été en 2009 la source de 48 cas d’infections aux salmonelles dans 25 Etats américains.
 

Les salmonelles sont des bactéries provoquant des infections intestinales graves chez l’homme, appelées salmonelloses, et sont en général transmises par la consommation d’aliments contaminés par des matières fécales d’animaux
 

Le générique de MacGyver adapté à un chat


 
Personnellement je ne connais pas la série Mac Gyver, mais ce petit
 montage est très bien fait et décroche quelques sourires
Nuage
 
Le générique de MacGyver adapté à un chat
 
Tout le monde se souvient de la bande-son de la série Mac Gyver,
ce héros capable de tout faire avec son couteau suisse. Et ce programme
a marqué tellement de monde qu’un internaute s’en est inspiré pour nous
faire découvrir les aventures de son chat.
 
Découvrez MacGyver le chat, mis en scène par son maître à travers
ce petit clip vidéo. Poursuite, chasse, course…
Tout y est pour faire de l’animal un véritable héros.
 
 
 
 

Poobah, le lapin géant qui se prend pour un chien


C’est étrange que certains animaux vont opter pour des comportements qui ne leur appartiennent pas .. est-ce un problème d’identité ?
Nuage
 
Poobah, le lapin géant qui se prend pour un chien
 
Lapin géant (illustration)
 
Perranporth, Grande-Bretagne – Poobah est un lapin géant domestique. Il y a huit mois, sa famille a fait l’acquisition d’un cocker anglais et depuis, l’animal imite le comportement de son nouveau compagnon.
 
Poobah, le lapin de la famille âgé de 3 ans, a commencé à adopter un étrange comportement après l’arrivée de Scout, le cocker anglais. En effet, l’animal se comporte de la même manière que le chien de la famille : il mange ses croquettes, dort dans son panier, il se dresse même sur ses pattes arrières afin de quémander de la nourriture.
 
Le lapin refusant son alimentation habituelle, il est devenu énorme, bien plus gros que le chiot de huit mois qui lui tient compagnie.
 
"Poobah essaie même d’attraper les jouets du chien, mais il se fatigue beaucoup plus vite que Scout" raconte un membre de la famille.
 
Poobah le lapin mange des croquettes pour chien
 
Poobah le lapin mange des croquettes pour chien
 
Poobah et Scout dans le panier du chien
 
Poobah et Scout dans le panier du chien
 

Dépister des maladies en analysant l’haleine


Un outil très intéressant qui risquent d’être indispensable dans les années a venir pour détecter des maladies aussi différentes les unes aux autres … Étonnant ce que peut cacher notre haleine .. et ce domaine mérite d’être exploité ..
Nuage
 
Dépister des maladies en analysant l’haleine
 
Dépister des maladies en analysant l'haleine
 
«J’avais peine à croire que l’INO avait l’expertise qu’il nous fallait, mais c’était bien le cas» – John Cormier, fondateur de Picomole Instruments
 
Le Soleil, Martin Martel
 Jean-François Cliche
Le Soleil
 
 
(Québec) A priori, l’expression «souffler dans la balloune» peut avoir deux sens, et seulement ceux-là : «passer un alcootest» ou encore, à la rigueur, «gonfler un ballon». Mais grâce à des travaux qui ont lieu ici même, à Québec, l’expression consacrée pourrait acquérir d’étonnantes nouvelles acceptions dans un avenir plus ou moins rapproché, comme «passer un test de cancer» ou un «test de diabète», ou «d’asthme», ou «de schizophrénie»… Ou tous ces tests à la fois.
 
Dans ses tout nouveaux locaux de Sainte-Foy, où il vient de déménager sa compagnie Picomole Instruments, John Cormier et son équipe travaillent avec l’Institut national de l’optique (INO) sur une bien intrigante machine. Conçue par M. Cormier, docteur en physique de l’Université de Toronto, à une époque où il étudiait l’atmosphère et les changements climatiques, elle devait à l’origine l’aider à étudier des propriétés de la vapeur d’eau dans l’infrarouge.

Et c’est ce qu’elle a fait docilement dans un premier temps, jusqu’à ce que son inventeur réalise qu’elle pouvait faire infiniment plus : détecter la présence de nombreuses maladies grâce à un simple test d’haleine.
 
À vue de nez, c’est là une idée qui ne tombe pas sous le sens, mais ses assises scientifiques sont nettement plus solides qu’il n’y paraît.
 
«Il y a eu beaucoup de recherche en laboratoire sur les liens entre les maladies et les composantes de l’haleine, et ça a mené à la publication d’au moins 2000 articles scientifiques depuis 1970», dit-il.
 
«[…] La schizophrénie est un exemple intéressant, parce qu’on sait depuis longtemps que les patients schizophrènes ont une odeur particulière. Et il est bien établi que cela n’a rien à voir avec l’hygiène, mais plutôt avec des facteurs physiologiques.»
 
Ces facteurs, essentiellement, changent la composition du sang, ce qui influe ensuite sur l’haleine à cause des échanges gazeux qui ont lieu quand le sang arrive dans les poumons.
C’est d’ailleurs grâce à ce principe, justement, que les alcootests peuvent établir une corrélation entre l’haleine et le taux d’alcool dans le sang. Et en suivant ce même raisonnement, on comprend comment des maladies qui n’ont rien à voir avec le sang ou la bouche, comme la schizophrénie, peuvent ajouter des substances anormales à l’haleine, ou alors changer la concentration de celles qui s’y trouvent déjà.
«En ce moment, enchaîne M. Cormier, des recherches se font sur plusieurs types de cancer [pour déterminer s’ils sont détectables grâce à un test d’haleine]. Le cancer du poumon est un candidat évident, mais on parle aussi de détecter le cancer du sein de cette façon, le cancer du pancréas, du côlon, de la prostate, et même beaucoup d’autres maladies comme l’asthme, le diabète et les maladies du rein.»
 
Un large marché
 
Façon polie de dire que le marché potentiel pour un tel appareil est littéralement astronomique…
Mais pour accéder à ce marché, il faudra un instrument qui soit non seulement doté d’une sensibilité inouïe, mais qui puisse aussi reconnaître de nombreux composés différents en même temps. Pour ce faire, le prototype de M. Cormier, baptisé LifeSens, se sert du principe de la spectroscopie, soit l’étude des interactions entre le rayonnement et la matière.
Essentiellement, quand un corps est frappé par une lumière comme celle du soleil, composée d’ondes électromagnétiques de diverses longueurs d’onde, ladite matière va absorber certaines longueurs d’onde et en réfléchir d’autres. Et comme chaque substance a des propriétés physiques qui lui sont propres, chacune réfléchit la lumière à des longueurs d’onde bien précises, toujours les mêmes.
 
«Codes-barres»
 
Pour les physiciens, ces séries de longueurs d’onde sont comme des «codes-barres» permettant de déterminer de quoi un corps est composé. L’astronomie en fait d’ailleurs un usage intensif.
Dans le détecteur LifeSens, les gaz de l’haleine sont bombardés par une batterie de lasers infrarouges de diverses longueurs d’onde – «plus d’une centaine», dit M. Cormier, sans vouloir préciser combien.
 
Ces infrarouges se trouvent alors à «exciter» les composés de l’haleine, ce qui amplifie leur signal et permet la détection de substances présentes en traces infinitésimales.
En elle-même, cette opération n’a rien d’exceptionnel, puisque la spectroscopie est connue et utilisée depuis des décennies.
 
Mais les instruments actuels, dit le fondateur de Picomole, «sont très coûteux, difficiles d’utilisation, prennent beaucoup de place et ne peuvent pas être employés par les travailleurs de la santé qui sont en première ligne. [… Et encore, ils] ne détectent qu’un seul composé à la fois, ou un très faible nombre», ce qui réduit énormément leur utilité.
L’analyseur de Picomole «peut potentiellement en détecter des centaines», dit M. Cormier, et bien que le prototype dans ses bureaux soit encore assez gros, «il a atteint un degré d’avancement suffisant pour que l’on commence à songer au développement d’un produit [soit le passage d’une machine de labo à un produit vendable]».
 
À l’INO, d’ailleurs, entre 10 et 15 personnes travaillent sur ce projet en moyenne, selon la gestionnaire du programme de biophotonique de l’Institut, la chimiste-physique Ozzy Mermut.
 
Outil de prévention
 
À terme, M. Cormier croit que des analyseurs comme le sien feront partie des outils standards des cliniques médicales. Non seulement aident-ils au diagnostic, plaide-t-il, mais un «test d’haleine» routinier pris lors de la visite annuelle chez le médecin permettrait de détecter de nombreuses maladies beaucoup plus précocement qu’à l’heure actuelle, ce qui améliorerait grandement les chances de rémission.
 
Mais, il va sans dire, on est encore loin d’un monde où toutes les cliniques possèdent ce genre d’équipement.
 
«On a une bonne côte à monter parce que c’est un produit qui chamboulerait les habitudes, reconnaît M. Cormier, mais quand on regarde la part des budgets alloués à la santé, on voit qu’il faudra nécessairement finir par regarder du côté de la prévention et de la détection hâtive [parce que cela diminue les coûts de traitement, N.D.L.R.].»
 

Fatigue en hiver: et si c’était un manque de fer?


Il est clair que l’hiver affecte nos humeurs et notre corps … d’ou l’importance de prendre la lumière du jour quand elle est présente et de bien se nourrir pour affronter ces longs mois blanc et froid
Nuage
 
Fatigue en hiver: et si c’était un manque de fer?
 
 
L’hiver est souvent la saison où nous sommes le plus fatigués. Mais cette fatigue a parfois une cause précise: le manque de fer. 23% des femmes seraient concernées. 4% d’entre elles souffrent d’ailleurs d’une véritable anémie.
 
Fatigue de l’hiver ou anémie?
 
Dans nos sociétés, et particulièrement en hiver, la fatigue est une des plaintes les plus fréquentes. Manque de sommeil, mode de vie effréné, moral en berne… Les causes en sont multiples et diverses. Néanmoins, lorsque la sensation de fatigue s’accompagne d’une pâleur (notamment du visage et des muqueuses, comme les gencives), d’une susceptibilité aux infections, d’un manque de résistance à l’effort ou de difficultés de concentration, il est légitime de soupçonner une carence en fer. Celle-ci ne pourra cependant être confirmée que par des analyses sanguines. En dessous de certaines valeurs, on parlera d’ailleurs d’anémie, une forme de carence en fer avancée, qui nécessite parfois une supplémentation.
 

Des cellules asphyxiées par le manque de fer
 
Le fer est un des composants essentiels de l’hémoglobine, une protéine qui permet aux globules rouges d’assurer la "livraison" de l’oxygène aux différentes cellules de l’organisme. Lorsque le fer est présent en trop faible quantité, l’hémoglobine et le nombre de globules rouges diminuent. Conséquence: l’oxygène n’est plus délivré correctement dans les cellules de notre corps, d’où la kyrielle de symptômes énumérés ci-dessus.
 
Les femmes carencées en fer
 
Le manque de fer concerne très majoritairement les femmes (23% d’entre elles) qui, notamment en raison des menstruations, ont besoin d’environ deux fois plus de fer que les hommes. Ce besoin est encore accru chez la femme enceinte. A titre d’exemple, un homme adulte a besoin d’environ 9 mg de fer par jour, une femme adulte de 16 mg et une femme au troisième trimestre de sa grossesse de 30 mg! La vigilance est particulièrement de mise pour cette dernière puisqu’on sait qu’un manque de fer chez la maman favorise un petit poids de naissance, ainsi que le risque de maladies chez le bébé. Les enfants et les adolescents, en pleine croissance, présentent aussi des besoins en fer importants.
 
Les aliments riches en ferAliments riches en fer

Épinards anti-fatigue

Quand les régimes nous fatiguent
Le manque de fer, très fréquent dans nos sociétés, s’explique par le fait que notre alimentation est à la fois moins équilibrée et moins copieuse que par le passé. Heureusement, dans la plupart des cas, un réajustement de l’alimentation permet de pallier la carence. La viande rouge, tout comme le foie, est bien sûr une source importante de fer. Mais les légumes verts, les légumes secs
(pois chiches, lentilles, haricots blancs…) ou les céréales complètes constituent aussi de très bonnes sources de fer. Le champion toutes catégories reste dans ce domaine le boudin noir (20 mg/100g pour du boudin cuit). Pensez donc à lui faire une place sur la table de fin d’année, tout comme aux huîtres, qui se défendent aussi très bien (6mg/100g).
 
Fer et vitamine C contre l’anémie

AVC et survie: l’effet vitamine C

Vous ne savez peut-être pas tout sur la vitamine C
Vitamine C:
pourquoi l’homme n’en produit pas?

Pour éviter la carence, il ne suffit pas de manger des aliments riches en fer. Il faut aussi penser à leurs associer des aliments riches en vitamine C, qui facilite son absorption. Consommer des fruits et des légumes au cours du repas permet ainsi à votre organisme de mieux exploiter le fer présent dans votre morceau de viande. Le matin, un jus de fruit sera le meilleur allié de vos céréales. A contrario, le thé et le café diminuent l’absorption intestinale du fer: consommez-les en dehors des repas, avec modération, en les remplaçant de temps en temps par des tisanes.

 

 

 

Vivre


Nous avançons dans la vie sans savoir quand elle se terminera .. Alors au lieu de penser quand nous donnerons ce dernier souffle mieux vaut vivre aujourd’hui comme si c’était la dernière ..
Nuage
 
Vivre
 
Nous ne pouvons pas choisir la façon dont nous allons mourir, ni le moment.
Nous pouvons seulement choisir la façon dont nous allons vivre. Maintenant.
 
Joan Baez

Ainsi va la vie


La vie est une suite de journée qui se suivent .. des heures, des secondes qui s’égrènent et tant que nous respirons nous devons vivre avec ce qui nous entourent .. tout simplement
Nuage
Ainsi va la vie
 
 
Vis-la au jour le jour avec confiance.
La vie; c’est la pluie, c’est le beau temps.
 
C’est la rosée du matin et la douceur d’un coucher de soleil.
Une larme, des souvenirs, des espoirs.
Des jours noirs et des jours bleus.
 
La vie, c’est toi, c’est moi, c’est nous, c’est tout.
La vie, c’est un changement perpétuel et continuel.
 
C’est s’adapter, essayer, tomber, se relever, gagner et échouer.
C’est un jeu qui suit les caprices des vagues et du vent.
 
La vie, n’essaie pas de la prévoir et de la deviner,
de la comprendre ou de la changer.
 
La vie, vis-la au jour le jour, avec confiance,
optimiste, courage et amour.
 
Accroche un sourire à tes lèvres, regarde bien droit devant toi
et suit ton étoile.
 
Des jours merveilleux t’attendent.