C’est yeux, qui ne sont pas simplement des organes de la vision, mais aussi ils peuvent donner des indications sur certaines maladies mentales .. Peut-être dans un jour prochain, un diagnostiques plus élaborer pourra prévenir certains troubles de comportement grace a un examan de la vue
Nuage
La rétine, fenêtre du cerveau
Jean Hamann
Les yeux sont le miroir de l’âme… et la rétine est la fenêtre du cerveau, serait-on tenté d’ajouter à la lumière des travaux menés par l’équipe de Marc Hébert de la Faculté de médecine.
En effet, une réponse anormale de la rétine pourrait être un signe avant-coureur de schizophrénie ou de maladie bipolaire, démontrent le professeur Hébert et ses collègues Anne-Marie Gagné, Marie-Ève Paradis, Valérie Jomphe, Marc-André Roy, Chantal Mérette et Michel Maziade, du Centre de recherche Université Laval Robert-Giffard, dans un article publié en ligne par la revue Biological Psychiatry. Le professeur Hébert a profité de la 3e édition de la Journée de la recherche du regroupement Neurosciences et santé mentale de l’Université Laval, qui se déroulait le 26 novembre, pour présenter les grandes lignes de cette étude.
Les chercheurs savaient déjà que les personnes qui souffrent de certains problèmes de santé mentale — la schizophrénie et la maladie bipolaire, entre autres — ont une réponse rétinienne perturbée. Lorsqu’on expose ces personnes à des stimuli lumineux de différentes intensités, leur rétine ne réagit pas de la même façon que celle de sujets bien portants. Les chercheurs ignoraient toutefois si cette différence était attribuable à un effet secondaire de la maladie ou encore à la prise de médicaments.
Pour en avoir le cœur net, ils ont recruté 29 adolescents et jeunes adultes provenant de familles qui, en raison de facteurs génétiques, étaient particulièrement éprouvées par la schizophrénie ou la maladie bipolaire. Ces maladies ne s’étaient pas encore déclarées chez ces sujets de sorte qu’ils n’étaient pas sous médication. Les tests ont tout de même révélé que leur réponse rétinienne était déjà anormale.
Des travaux antérieurs de Marc Hébert et de son équipe avaient révélé que les gens qui souffrent de dépression saisonnière ont aussi une réponse rétinienne perturbée. Dans leur cas, le problème est toutefois transitoire et réversible.
En effet, le retour du printemps ou quatre semaines de luminothérapie suffisent généralement à ramener la réponse rétinienne à un niveau normal et à chasser les nuages noirs qui accompagnent la réduction de la photopériode. Ici encore, la rétine serait un site névralgique pour détecter les perturbations de neuromodulateurs du cerveau.
Environ 21 % des Canadiens souffrent de dépression saisonnière, dont 3 % de façon sévère. On sait depuis une vingtaine d’années que la luminothérapie constitue un traitement efficace contre ce mal — plus efficace que les antidépresseurs —, mais son mécanisme d’action est encore indéterminé.
Source: Au fil des événements, Université Laval
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Archives Mensuelles: janvier 2010
Des éléphants sauvages sèment la panique dans un village indonésien
Un moment donné, il ne faut pas se surprendre que les animaux veulent reprendre ce qui leur territoire, a force de tout détruire les animaux n’ont pas d’autre choix de se liguer contre l’être humain, malheureusement, c’est quand même les éléphants qui vont payer la note au prix fort
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Des éléphants sauvages sèment la panique dans un village indonésien
Archives AFP
Agence France-Presse Jakarta Des dizaines d’éléphants sauvages ont provoqué la panique dans un village de l’île de Sumatra, détruisant des maisons et faisant fuir une partie des habitants, ont indiqué vendredi les autorités.
Ce village a été récemment établi par des fermiers qui, en développant la culture du palmier à huile, ont pénétré dans une zone d’habitat des éléphants.
La déforestation rapide sur l’île de Sumatra provoque une augmentation des conflits entre humains et animaux sauvages, essentiellement les éléphants et les tigres, dont le nombre ne cesse de diminuer. Ces animaux sont en effet pourchassés par des humains excédés de voir leurs cultures et leurs habitations endommagées.
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Il est mordu par un piranha
Quand on pense que des poissons exotiques s’échappent dans la nature … c’est la revanche du poisson … Reste a espérer que le nouveau propriétaire de ce poisson sera le tenir dans un aquarium
On devrait rester avec des animaux domestiques comme ca personne ne perdra un bout de doigt
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Il est mordu par un piranha
Canada, Cornwall – Dave Brown, 44 ans, possède une animalerie. En voulant vendre un piranha, il s’est fait mordre par le poisson. Après quelques points de suture, il se porte bien.
Dave Brown tentait pour la troisième fois de mettre un piranha dans un sac plastique plein d’eau afin de permettre à un client de le transporter, lorsque le poisson s’est voracement accroché à son pouce.
Aux urgences, il raconte qu’on n’a pas vraiment voulu le croire lorsqu’il a expliqué que le morceau de chair qui lui manquait avait été retiré par un piranha, poisson peu commun en Cornouailles… M. Brown a tout de même dû avoir trois points de suture afin de soigner sa blessure.
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Ce que nous faisons
Tout acte a des répercussion a court, moyen ou long terme, sauf qu’on ne s’en rendra pas compte nécessairement ..
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Ce que nous faisons
Ce que nous faisons aujourd’hui, en ce moment,
aura un effet cumulatif sur tous nos demain.
Alexandra Stoddard
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Nos besoins changent
Avec ce que nous vivons, nos expériences personnelles, il est normal que nos besoins, nos idéaux, nos objectifs a atteindre changent .. sinon que serait la vie si nous étions toujours au même niveau d’attente .. C’est pour cela que certains a un moment donné sentent le besoin d’aller plus loin, de retourner aux études, de changer de travail, de faire autre chose. Même nos idées peuvent évoluer face a ce qui se passe autour de nous .. Ce qui importe c’est d’oser changer, d’oser évoluer et d’aller ou notre petite voix nous appelle
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Nos besoins changent
Ce qui était bon pour notre développement il y a quelque temps peut très bien ne plus faire l’affaire maintenant. Nos besoins évoluent, et la réponse que nous trouvons pour y répondre peut changer. Nous avons le droit de changer d’idée et d’adopter un comportement qui nous semble approprié tout en sachant qu’il ne sera que temporaire.
Par exemple, il se peut que nous éprouvions le besoin de nous retrouver face à nous-même et que nous désirions par le fait même davantage de solitude.
Il se peut aussi que nous ayons envie de délaisser certaines activités pour en pratiquer d’autres.
Lorsque nous répondons ainsi à nos besoins d’évolution, il arrive que cela choque notre entourage, qui est habitué de nous voir agir d’une façon définie.
Il nous est parfois difficile d’assumer notre nature profonde parce que nous ne voulons pas déplaire ou blesser ceux que nous aimons.
Pourtant, il est important que nous soyons fidèles à nous-mêmes.
Nous pouvons prendre le temps d’expliquer le changement que nous percevons en nous.
Cela montre que nous respectons ceux qui partagent notre existence.
Ensuite, il importe que nous écoutions notre voix intérieure.
Notre choix fera aussi grandir ceux qui en sont affectés
Auteur inconnu
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Sensationnelles sangsues
Peut-être qu’on est pas chaud a l’idée de se faire soigner a l’aide de sangsue .. mais ne dit-on pas que souvent les recettes de grand-mères sont les meilleurs … De plus, quand les sangsues sont a l’oeuvre, elle sont sur haute surveillance ..De toute facon, j’aime mieux voir des sangsue soignante que des vers charognards ..
Nuage
Sensationnelles sangsues
Antonina Protsenko, une des seules naturopathes au pays à pratiquer l’hirudothérapie – ou utilisation médicinale des sangsues. Ce traitement ne se prête pas aux séances éclair. Si des recherches scientifiques récentes ont démontré son efficacité pour soulager la douleur de l’arthrite du genou, en chirurgie réparatrice et dans le traitement de certains hématomes, d’infections auriculaires et de lupus systémique, rien n’a encore été prouvé dans les autres cas.
Photo: Alain Roberge, La Presse
Sophie Allard La Presse Autrefois considérées comme un remède de grand-mère, les sangsues sont de plus en plus utilisées dans les hôpitaux, où elles font des merveilles en chirurgie réparatrice. À Montréal notamment. Ces petits vampires gagnent aussi en popularité en médecine naturelle. On vend même des shampoings et crèmes hydratantes à base de sangsues! Miraculeuses, les petites bêtes gluantes?
Dans le ciel paralysé du 11 septembre 2001, un petit avion a exceptionnellement été autorisé à voler entre Toronto et Montréal. À son bord, une cargaison spéciale: des sangsues médicinales. Au bloc opératoire de l’hôpital Notre-Dame du CHUM, il était minuit moins une. On devait retirer une imposante tumeur intrathoracique à une patiente et greffer sur la plaie béante un lambeau de peau. Le besoin de sangsues était criant.
Selon l’American Journal of Nursing (avril 2009), le recours aux sangsues à des fins médicales connaît un nouvel essor en Russie et en Occident. Lors d’un sondage réalisé en 2003 auprès de 62 chirurgiens plasticiens au Royaume-Uni, 80% d’entre eux ont dit avoir eu recours aux sangsues en traitement postopératoire dans les cinq années précédentes.
Au CHUM, on utilise les sangsues en microchirurgie réparatrice depuis une quinzaine d’années, à raison d’une douzaine de fois par an.
Après une greffe, des tissus voués à l’amputation ont été préservés dans 70% à 80% des cas, selon une étude américaine.
À jeun depuis quelques mois, la sangsue déguste son dernier repas avec appétit. Elle est jetée après utilisation pour éviter la transmission de virus, tel le VIH. Avec ses trois mâchoires et ses 370 dents, elle s’agrippe solidement à sa proie jusqu’à ce qu’elle soit complètement repue. Son festin dure de 20 à 120 minutes. Elle absorbe environ 15 ml de sang, prenant jusqu’à 10 fois son poids initial. Le saignement, favorisé par l’anticoagulant, peut durer plusieurs heures.
Dans un petit local au huitième étage, une trentaine de sangsues, aussi appelées Hirudo Medicinalis, nagent et s’agrippent aux parois d’un aquarium.
Amadouer les patients
Il faut aussi amadouer les patients, rarement chauds à l’idée de voir s’agripper ces petits vers suceurs à leur oreille, à leur doigt ou à leur nez.
D’ailleurs, on administre des antibiotiques aux patients avant le traitement. La «saignée» peut s’étirer sur une dizaine de jours, à raison de plusieurs séances quotidiennes. Le procédé est contre-indiqué dans les cas de troubles cardiaques, d’hémophilie et d’immunodépression.
La principale difficulté?
Au CHUM, on commande les sangsues par paquets de 20 (10$ la sangsue) à la société Leeches USA, qui a un distributeur de sangsues dédouanées à Toronto.
Ces sangsues sont élevées en milieu contrôlé en France, par Ricarimpex, qui en vend 100 000 par année. Leeches USA dit en exporter quelque 10 000 par année au Canada. Un nombre en croissance, dit-on.
À l’hôpital Notre-Dame, les pensionnaires grouillantes semblent traitées aux petits oignons. À la fin de notre visite, l’infirmière remet la couverture sur l’aquarium. «Bon dodo», lance-t-elle aux petites bêtes gluantes. Comme si elles faisaient partie de la famille.
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Blanc comme neige
Une neige blanche, immaculée, aveuglante quand le soleil se mire de tous ses feux ..Une neige qui change un décor fleurie en une étendue désertique d’eau cristallisée .. bl;ancheur sur blancheur quelque fois découper par des arbres, des maisons .. mais garde sa froideur avec son irrésistible beauté
Nuage
Blanc comme neige
Harfang des neiges
Saint-Vallier, Canada – Février 2007 © Guy Lelièvre
Lumière d’hiver
Vercors, France – Novembre 2007 © Solène Le Guen
Renard blanc
Baie d’Hudson, Inukjuak, Nunavik – Canada – Février 2004 © David Rouault
Randonnée en raquettes
Besse-en-Oisans, Isère – Mars 2006 © Jacques Gaidry
Blancheur
Jura suisse dans les environs de Saint-Cergue, Suisse – Avril 2008 © Anne-Catherine Gaillard Barniske
Equitation d’hiver
Canada – Décembre 2008 © Dennis Neault
Saint-Jean d’Arves
Saint-Jean d’Arves, Savoie – Février 2004 © André Volpato
Lueurs hivernales
Strasbourg, Bas-Rhin – Janvier 2010 © Patrick Voekt
Jardin d’hiver
Salmchâteau, Belgique – Mars 2008 © Colette Delrez
Golf de Seilh
Toulouse, Haute-Garonne – Février 2006 © Michel Rondeau
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10 mythes et réalités sur les médicaments
Prendre des médicaments est dans le but de soigner des symptômes d’une maladie .. néanmoins il est important de savoir comment les prendre et de bien les conserver
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10 mythes et réalités sur les médicaments
Par Protégez-Vous
Voici dix mythes et réalités fort répandus concernant la prise de médicaments. Saurez-vous déterminer lesquels sont vrais ou faux?
♦ 1. Les produits de santé naturels ne comportent pas de risques.
FAUX. S’ils produisent un effet thérapeutique, c’est qu’ils induisent des changements dans l’organisme. De la même manière que les médicaments d’ordonnance ou en vente libre, ils peuvent avoir des effets indésirables et même être contre-indiqués pour certaines personnes. En outre, les produits de santé naturels peuvent interagir avec certains médicaments et même en annuler l’effet. Il est toujours préférable de consulter votre pharmacien avant de commencer un traitement à base de produits de santé naturels.
♦ 2. Je peux sans risques utiliser les médicaments prescrits à un proche si nous souffrons du même problème.
FAUX. Il n’est jamais recommandé de consommer un médicament qui a été prescrit à autrui. Il faut se rappeler que le médecin établit son ordonnance en fonction d’un diagnostic particulier. L’ordonnance varie selon les besoins du patient et tient compte de facteurs comme son âge, son poids, son état de santé et les autres médicaments qu’il consomme.
♦ 3. L’achat de médicaments sur Internet comporte de sérieux risques.
VRAI. L’achat de médicaments par l’entremise de sites Internet n’est pas recommandé. Ce mode d’achat ne vous permet de connaître ni l’origine de vos médicaments ni l’identité du marchand.
♦ 4. On peut traiter un enfant malade avec un médicament pour adulte.
FAUX. Un enfant de moins de 12 ans n’est pas un adulte en miniature. Les produits pour enfants sont préparés en fonction des caractéristiques des bébés ou des jeunes enfants de moins de 12 ans. De même, les contenants sont conçus pour permettre le calcul précis de doses sécuritaires. Ce que vous ne pouvez faire en coupant grossièrement un comprimé destiné aux adultes! Plusieurs médicaments sont même considérés risqués pour les nourrissons et les jeunes enfants. Il est donc plus prudent de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils précis et sécuritaires.
♦ 5. Mon médecin sait quels médicaments je prends déjà
FAUX. Dans certains cas, il se peut que votre médecin ignore une partie de votre historique pharmacologique. Il vaut donc mieux prendre les devants et en discuter avec lui, surtout si vous prenez des médicaments prescrits par un autre professionnel de la santé. Pour cette raison, il est préférable de faire affaire avec une seule pharmacie. Ainsi, le pharmacien aura en main un historique complet de tous les médicaments que vous prenez et pourra intervenir s’il constate qu’un mélange médicamenteux comporte des risques pour vous.
♦ 6. L’armoire à pharmacie de la salle de bains est l’endroit le plus sûr où ranger des médicaments
FAUX. On ne devrait jamais ranger de médicaments dans la salle bains, car ils risquent d’y souffrir de la chaleur et de l’humidité excessives. En outre, c’est un lieu tentant et facile à explorer pour un enfant. Il convient donc d’entreposer tout médicament dans un lieu sec hors de portée des enfants, à l’abri de la lumière et où la température ambiante se situe entre 18 et 25 °C, par exemple une commode ou une armoire de cuisine.
♦ 7. Il vaut mieux boire du lait avec les médicaments.
FAUX. Il est très rare qu’on recommande de prendre un médicament avec du lait. En fait, le calcium contenu dans le lait peut même diminuer l’absorption de plusieurs médicaments.
♦ 8. Il n’y a pas de mal à croquer un comprimé, peu importe le genre de médicament dont il s’agit.
FAUX. Certains comprimés sont faits pour être croqués. On pense, par exemple, aux comprimés destinés aux jeunes enfants. Mais ce n’est pas le cas de tous les comprimés. Entre autres, un médicament à action prolongée est conçu de façon à être absorbé et à exercer son action graduellement. En l’écrasant, en le mâchant ou en le croquant, on libère d’un seul coup une dose censée être diffusée pendant plusieurs heures. Il y a donc risque de prendre une dose trop élevée pouvant causer des effets indésirables ou dangereux.
♦ 9. On peut avaler ses médicaments avec n’importe quel liquide.
FAUX. Certains liquides – comme le jus de pamplemousse – peuvent atténuer ou accroître l’effet des médicaments. Le plus simple est de prendre vos médicaments avec un grand verre d’eau : celle-ci est disponible partout et le risque d’interaction avec le médicament est nul! On s’assure ainsi de bien avaler le comprimé.
♦ 10. Il vaut mieux utiliser une cuillère, une seringue ou un gobelet gradué pour administrer un médicament sous forme liquide à un enfant.
VRAI. Le volume contenu dans les cuillères utilisées en cuisine varie énormément en fonction de leur forme. Ainsi, on ne peut pas présumer qu’une cuillère à thé de cuisine contient 5 ml et une cuillère à soupe, 15 ml. Puisque les volumes de médicament requis pour les jeunes enfants sont souvent très petits, une différence de quelques millilitres peut être significative. D’où l’importance d’utiliser les bons outils!
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Une dame obtient son diplôme trois semaines après son centenaire
Même si à l’époque elle ne pouvait plus enseigner … c’est un peu désolant de voir que cela a pris des années pour être reconnu dans son travail …Néanmoins, elle a pu savourer sa victoire malgré son âge avancée …
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Une dame obtient son diplôme trois semaines après son centenaire
New Hampshire, États-Unis – Une vingtaine de jours après son centième anniversaire, une Américaine a obtenu son "Bachelor degree of education" (diplôme d’enseignement supérieur), certifiant la qualité d’un enseignant dans les écoles primaires.
Comme le dit le dicton : "Mieux vaut tard que jamais". Madame Harriet Richardson Ames était une enseignante à la retraite. Professeur dans une école depuis 1931, elle a dû mettre fin à sa carrière suite à des troubles de la vue.
Alors titulaire du certificat nécessaire à la pratique de l’enseignement lors de sa carrière, elle a toujours été décrite comme "le genre de professeur que tout le monde aimerait avoir". Très bonne enseignante, elle a laissé un très bon souvenir à ses anciens élèves en leur transmettant le goût de la lecture.
Mais évolution de la société oblige, son diplôme est devenu obsolète avec le temps. Pour se mettre à jour, elle doit réunir des crédits pour obtenir son "Bachelor degree in education". Nous sommes en 1971 et ses troubles de la vue apparaissent, la forçant à se retirer du professorat sans savoir si elle remplit les conditions pour obtenir son nouveau diplôme.
Il lui faudra attendre près de quarante ans pour que ce diplôme lui soit attribué. Après avoir appris que Mme Ames rêvait d’obtenir ce diplôme, la "Keene State College Golden" (école où elle enseignait) ressort son dossier, et constate que l’enseignante retraitée a réuni suffisamment de crédits.
Trois semaines après avoir fêté son centième anniversaire, la vieille dame se voit remettre le diplôme tant désiré. C’est une grande joie pour cette dernière qui déclare en pleurant :
Le lendemain, elle s’éteint, heureuse d’avoir été reconnue à sa juste valeur.
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Les abeilles capables d’abstraction pour distinguer un visage humain
Même avec un mini cerveau, les abeilles savent s’en servir .. Même si les abeilles ont été conditionner a ce qu’un visage puisse avoir du nectar .. elle est capable de faire la différence entre un visage de forme humaine et un objet ..
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Les abeilles capables d’abstraction pour distinguer un visage humain
Archives AP
Agence France-Presse Paris Des abeilles sont capables de faire la distinction entre des visages humains et d’autres motifs visuels, faisant preuve d’une forme d’abstraction malgré leur petit cerveau, selon une étude publiée vendredi.
Ce qui ne signifie pas que des abeilles peuvent reconnaître l’apiculteur, même sans voilette protectrice, met en garde Martin Giurfa, directeur du Centre de recherches sur la cognition animale (CNRS/Université Paul Sabatier) à Toulouse (France).
Un trait vertical pour le nez, deux points bien placés pour les yeux, un trait horizontal pour la bouche: tout être humain reconnaît un visage. Les abeilles aussi sur ce type de dessins stylisés comme sur des photographies.
Intrigué par une précédente étude conduite par Adrian Dyer (Monash University, Australie) montrant que des abeilles semblaient reconnaître des visages humains, il a cherché à vérifier si elles n’avaient pas seulement été attirées par des taches noires ou d’autres signes.
Avec sa collègue Aurore Avargues-Weber, il a entraîné des abeilles à reconnaître le dessin stylisé d’un visage, avec une gouttelette de solution sucrée pour celles s’arrêtant devant la bonne image.
Confrontées ensuite à des photographies de visages plus ou moins détaillés, les abeilles ont su identifier les visages, selon l’étude publiée dans le Journal of Experimental Biology.
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