Quand la météo rend malade


Je pense qu’il n’est pas difficile a concevoir que la météo influence notre santé .. Bon nous savons que  elle joue un rôle sur nos humeurs  mais saviez vous qu’a chaque saison apporte avec lui des problèmes pouvant provoquer certains symptômes plus qu’à d’autres temps .. Une medecine qui pourrait entrevoir cette possibilité de l’influence de la météo pourrait agir en guise de prévention ..
En tout cas, pour ma part a certains moments je me suis rendues compte que je réagissait physiquement au dépend de la température …
 Nuage
 
Quand la météo rend malade
 
Par Jacqueline Simoneau – Article extrait du magazine Madame
 
Quand la météo rend malade
 
Le printemps est là! Enfin! Mais les variations de température et de pression atmosphérique qui l’accompagnent peuvent avoir un effet sur notre santé
 
Les arthritiques souffrent particulièrement lorsque le temps est à la pluie ou à la neige. Les asthmatiques notent une augmentation des crises quand la pression barométrique, combinée à une masse d’air froid, est fortement à la baisse. Simples coïncidences? Mythes? Pas du tout. Il se peut que la météo nous rende malade.
 
Il y a longtemps déjà, des médecins avaient remarqué que certains patients se plaignaient de symptômes similaires les mêmes jours, sans raison apparente. Curieux de savoir si le temps pouvait être le lien commun, des chercheurs se sont intéressés au phénomène, particulièrement en Europe. Cela a donné naissance à la biométéorologie, la science qui étudie l’effet de la météo sur les êtres vivants. Depuis, de nombreuses études ont permis d’établir des liens significatifs entre des conditions météo précises et une foule de maux, du diabète à l’arthrite en passant par l’infarctus et la dépression. En fait, le temps ne rend pas malade, mais il peut accentuer certains symptômes chez les personnes malades, âgées ou prédisposées à certains malaises.
 
Étonnamment, il semble que les deux tiers de la population réagissent à divers degrés au temps qu’il fait. Mais la majorité ne sont pas conscients que leurs malaises sont liés à la météo.
 
Maladies, symptômes et météo

Le climat québécois, avec ses brusques variations de température été comme hiver , serait l’un de ceux dont les effets sur la santé sont les plus importants. Plusieurs composantes en sont responsables.
 
Le froid, la chaleur et l’humidité intenses.

Le lien entre ces conditions météorologiques et la santé est de mieux en mieux connu.

On sait par exemple que, dans les pays aux variations de température marquées comme le nôtre, le taux de mortalité s’élève en hiver en raison de la recrudescence des maladies circulatoires, respiratoires et infectieuses.
 
Les douleurs arthritiques empirent lors d’un refroidissement intense ou d’une hausse importante du taux d’humidité.
 
Des études montrent que les problèmes cardiovasculaires, notamment l’angine, sont plus fréquents après un front froid.
 
L’hémoglobine du sang s’accroît à la suite de journées froides et la pression sanguine diastolique est plus élevée pendant les mois d’hiver.
 
Le froid aggrave aussi l’asthme.
 
On ne doit pas oublier non plus les nombreux effets indirects liés au temps hivernal. Il suffit de se rappeler la crise du verglas.
 
«Durant la crise, on a observé une augmentation des chutes et, par le fait même, des fractures, fait remarquer le Dr Louis Drouin, médecin responsable du secteur environnement urbain et santé à la Direction de la santé publique de Montréal-Centre. On a aussi répertorié 22 décès par intoxication au monoxyde de carbone. Et on a noté une augmentation de la violence conjugale, la promiscuité faisant grimper la tension et le stress au maximum.»
 
En hiver, on remarque également une exacerbation des maladies respiratoires et cardiaques chez les personnes dont l’habitat est chauffé inadéquatement, soit en deçà de 21°C.
 
Il y a les microbes aussi qui sont sensibles aux caprices de la météo: les virus se réveillent souvent dans les périodes de dégel!
 
Mais il n’y a pas que le froid qui déclenche des malaises. La chaleur torride des canicules affecte également les gens. Qu’on pense seulement à l’été 2003 en France, alors qu’une canicule de 14 jours a fait 15 000 morts, surtout des personnes âgées et des gens souffrant de maladies respiratoires et cardiaques.
 
 «À Montréal, on a connu cinq grands épisodes de chaleur accablante – en 1987, 1994, 1998, 2002 et 2005 –, où la température dépassait 35°C le jour et 20°C la nuit, indique le Dr Drouin. Le taux de mortalité a alors augmenté de plus de 50%. La détérioration des conditions médicales préexistantes – insuffisance cardiaque, maladie coronarienne (angine, infarctus, etc.), maladie rénale, diabète, etc. – a mené aux décès. Il faut dire aussi que les canicules ont un effet particulièrement dévastateur dans des îlots de chaleur urbaine. Quand il fait 30°C à Dorval, il fait probablement 35°C rue Saint-Denis et 42°C au troisième étage d’une maison avec un toit de bardeaux noirs. Malheureusement, selon les prévisions, il y aura ces prochaines années une augmentation de la fréquence, de l’intensité et de la longueur de ces vagues de chaleur.»
 
Les changements climatiques actuels ont également une incidence sur les allergies respiratoires et les gastroentérites.
 
«Nos étés plus chauds contribuent à la croissance de l’herbe à poux, d’où une plus grande quantité de pollen dans l’air, précise Louis Drouin. Et les premières gelées surviennent plus tard qu’autrefois. Depuis les années 90, la période de pollinisation de l’herbe à poux est passée de 42 à 70 jours, de sorte que les gens allergiques sont malades plus longtemps. D’autre part, les longues périodes de chaleur entraînent le réchauffement des eaux des lacs, des rivières, du fleuve et des piscines, ce qui contribue à la multiplication des virus propices à l’apparition de la gastroentérite. Elles ont aussi une incidence sur le niveau des eaux, hélas de plus en plus bas. Les usines de filtration risquent donc de pomper dans des eaux plus concentrées en matières en suspension (petites particules de polluants), d’où un risque accru de contamination. On verra sans doute davantage de gastroentérites l’été. Le réchauffement climatique fait aussi en sorte que de nouvelles maladies ont d’ores et déjà fait leur apparition, notamment le virus du Nil occidental, disséminé par certains moustiques qui survivent désormais au nord.»
 
Fait étonnant: le taux de mortalité est plus important lors des vagues de chaleur du début de l’été plutôt que de la fin, parce que l’organisme n’a pas encore eu le temps de s’acclimater. Aussi, l’air chaud et humide tue plus que l’air chaud et sec parce qu’on se déshydrate plus vite quand l’humidité est élevée. Enfin, le nombre de migraines tend à augmenter quand le temps devient très chaud ou humide, les changements brusques dans les masses d’air augmentent l’incidence des crises cardiaques, la dépression est plus répandue dans le secteur d’un front chaud et l’hémoglobine du sang décroît après des journées chaudes.
La pression barométrique.

La pression barométrique est le poids de l’air. En général, quand la pression est basse, il y a davantage d’humidité, de nuages et de précipitations. Quand la pression est haute, l’air est plus sec et il fait habituellement beau. Selon le météorologue Denis Bourque, spécialiste en biométéorologie,
certaines personnes sont affectées par la haute pression barométrique, d’autres par la basse pression et d’autres encore par le changement brusque de pression.
 
Ainsi, la fréquence des crises d’asthme augmente rapidement lors d’une baisse marquée de la pression barométrique combinée à une masse d’air froid.
 
Les douleurs arthritiques et rhumatismales empirent sous l’influence d’une baisse de pression.
 
Les maux de tête et les migraines peuvent être déclenchés par un changement soudain du temps ou une pression barométrique élevée.
 
Les crises cardiaques sont également liées au changement rapide du temps.
 
Les risques de suicide sont plus élevés quand la pression barométrique est fortement à la baisse.
 
Les crises d’angine et les troubles du sommeil sont plus fréquents à l’approche du mauvais temps.
 
 Les émotifs et les nerveux sont plus sensibles aux variations du temps.
 
D’après l’Association professionnelle des météorologistes du Québec, les jeunes à l’école n’échappent pas non plus à l’influence de la météo. En effet, selon des études américaines, les élèves sont particulièrement agités et difficiles à maîtriser quand la pression atmosphérique est fortement à la baisse. Et ils sont généralement plus tranquilles les jours où le ciel est dégagé et plus fatigués les jours nuageux. Voilà qui confirme ce dont les professeurs et les parents se doutent depuis longtemps.
 
Enfin, le temps influe aussi sur l’humeur des adultes et, par conséquent, sur la performance au travail. Ainsi, on sait pertinemment que les jours ensoleillés les gens sont plus positifs, plus énergiques et plus productifs que lorsque le temps est pluvieux, sombre et maussade.
 
Le smog.

Chaque année, le smog, aussi appelé pollution atmosphérique, entraîne des milliers de décès prématurés à l’échelle du pays, ainsi que de nombreuses hospitalisations et un grand nombre de journées perdues au travail.
Plusieurs problèmes de santé comme l’asthme, les allergies, les infections des voies respiratoires et les maladies cardiovasculaires y sont reliés, à différents degrés.
 
«Le smog est un mélange de polluants atmosphériques qui forme une brume jaunâtre et qui restreint la visibilité dans l’atmosphère, mentionne la Dre Jocelyne Sauvé, directrice à la santé publique de la Montérégie. Le smog peut se former en toute saison. L’été, il est en grande partie constitué d’ozone, alors que l’hiver, il est surtout composé de particules fines. En raison des changements climatiques, les jours où la qualité de l’air est mauvaise seront hélas de plus en plus nombreux.»
 
«L’ozone résulte d’une réaction chimique qui se produit lorsque certains polluants se combinent à la lumière du soleil, explique le Dr Drouin. Ces polluants proviennent principalement de la combustion des véhicules et des procédés industriels. L’ozone se forme pendant l’été, durant les jours très chauds et ensoleillés. Le smog estival aggrave particulièrement les problèmes respiratoires. Les particules fines, pour leur part, affectent surtout les gens ayant des problèmes cardiovasculaires. Ainsi, elles augmentent le potentiel de coagulation du sang, d’où une hausse marquée d’infarctus pendant les épisodes de smog hivernal. Les insuffisants cardiaques sont également touchés, puisque le phénomène peut provoquer des arythmies cardiaques. Il y a autre chose. Produites en majorité par le chauffage résidentiel au bois et par les véhicules, les particules fines pénètrent très profondément dans les poumons, et certaines études laissent supposer qu’une exposition à long terme peut accroître le risque de cancer du poumon. Enfin, on retiendra que, pendant les épisodes de smog, les personnes les plus vulnérables doivent éviter les exercices extérieurs intenses qui font respirer plus vite, et, donc, inspirer davantage de polluants.»
Traiter en fonction de la météo

Au Québec, le milieu médical s’intéresse peu à l’influence du temps sur le corps humain. Les spécialistes en biométéorologie demeurent toutefois convaincus que les médecins devraient prendre en considération les conditions météorologiques afin de traiter plus efficacement leurs patients.
 
«Parce qu’on ne peut agir sur le temps qu’il fait, plusieurs jugent inutile de s’en préoccuper, constate le météorologue Denis Bourque. Pourtant, la biométéorologie permet au médecin de faire un lien entre certains problèmes de santé et la météo. Il peut dès lors intervenir auprès de ses patients à risque pour prévenir et diminuer leurs malaises. Il peut aussi prévoir des incidences plus élevées de maladies telles que les crises cardiaques et l’asthme. Bref, la météo pourrait contribuer à la médecine préventive.»
 
À cet effet, la communauté médicale européenne a déjà une bonne longueur d’avance sur nous. Dans certaines régions d’Angleterre, le Health Weather Forecasts prévient les services ambulanciers et les hôpitaux de l’augmentation possible de crises cardiaques, de maladies respiratoires et de maladies infectieuses à cause d’un prochain changement de température. Le service météorologique allemand a mis au point un indice météo-santé qui prédit le degré de risque lié à diverses maladies dans le pays. Depuis 1994, il fournit des prévisions sur les maladies susceptibles d’être aggravées ou atténuées selon les conditions atmosphériques, prévisions qu’il diffuse en même temps que ses prévisions météorologiques. Et médecins et hôpitaux peuvent obtenir chaque jour des indications sur les effets psychophysiologiques de la météo. Au Royaume-Uni, durant l’hiver 2000-2001, le service météorologique et le ministère de la Santé ont réalisé un projet pilote visant à prédire la charge de travail des hôpitaux en fonction de la probabilité d’augmentation des crises cardiaques, des troubles respiratoires, des chutes et des fractures en raison du climat. Pendant une période de deux semaines pour laquelle on avait prédit une charge de travail plus légère que la normale, un hôpital a pu réaliser 150 opérations chirurgicales non urgentes supplémentaires et économiser ainsi 1,2 million de dollars. Intéressant!
 
«On souhaite qu’éventuellement les Québécois soient eux aussi en mesure d’utiliser des renseignements détaillés, fournis dans les prévisions météorologiques, pour mieux gérer leurs malaises et planifier leur quotidien, confie Denis Bourque. Déjà, par exemple, lorsque les prévisions sont défavorables, les asthmatiques peuvent réduire leurs activités extérieures. On pourrait pousser plus loin la prévention en tenant compte de certaines conditions météorologiques.»
 
Un souhait partagé, assurément.
 

 

Une étude s’appuie sur le savoir des Inuits


La science ne devrait jamais exclure le savoir des premières nations qui vivent selon les humeurs de la nature .. C’est un grand pas, je trouve que les scientifiques ont donné une importance aux observations des inuits qui n’ont peut-être pas la technologie mais ils ont le grand savoir d’écouter et d’observer les signes de la nature grâce a leurs sens aiguës .. chose qu’un ordinateur n’as pas
Nuage
 
Changements climatiques
Une étude s’appuie sur le savoir des Inuits
 
Un chasseur inuit au Nunavut, en mars 2009
 
Photo: La Presse Canadienne /Nathan Denette
 
Un chasseur inuit au Nunavut, en mars 2009
 
 
Des aînés et des chasseurs inuits ont permis à des scientifiques américains de découvrir une nouvelle réalité sur les changements climatiques dans l’Arctique : la température ne fait pas qu’augmenter, le climat est aussi de moins en moins prévisible.
 
C’est que conclut une étude, publiée ce mois-ci dans le journal Global Environmental Change.
 
Les chercheurs de l’Université du Colorado ont travaillé en collaboration avec des Inuits du Nunavut.
 
Ils ont ainsi pu confirmer ce que ces communautés du Nord constatent depuis le début des années 1990, c’est-à-dire une variabilité croissante du climat, explique Betsy Weatherhead, directrice de la recherche et spécialiste du climat à l’Université du Colorado.
 
Ce qui est intéressant, c’est que les observations des Inuits contredisaient celles des scientifiques. Sur les dernières années, les experts remarquaient en effet une plus grande constance du climat, explique la chercheuse. Selon ces experts, les périodes de froid et de chaleur s’étiraient davantage dans les zones tempérées.
 
[Les Inuits] remarquaient ces changements dans le climat. Ils remarquaient combien c’était important, bien avant que les scientifiques réalisent ce qui se passait. — Betsy Weatherhead
 
Or, une analyse réalisée dans deux communautés du Nunavut, Baker Lake et Clyde River, a permis de démontrer que dans les années 1960, la persistance du climat en juin était de 80 %, alors qu’au début des années 2000, elle était tombée à 20 %.
 
Impact désastreux
 
Selon Mme Weatherhead, de telles variations du climat ont un impact important sur les Inuits qui vivent à l’extérieur et, souvent, dans des conditions difficiles, puisqu’elles brouillent leurs repères. Or, ils en ont besoin pour prévoir le climat sur plusieurs jours et accomplir certaines activités traditionnelles, comme la chasse à la baleine.
 
« S’ils ne peuvent compter sur un climat constant, ils ont des ennuis », constate Betsy Weatherhead.
 
Les chercheurs ne peuvent pas encore dire clairement ce qui cause cette plus grande imprévisibilité du climat en Articque. Mais parmi les théories avancées, figure celle du réchauffement climatique.
 
 « Mais ce n’est pas clair encore si c’est causé par les gaz à effet de serre », dit Mme Weatherhead.
 
Radio-Canada.ca avec
Presse canadienne et Edmonton Journal
 

À treize ans sur le toit du monde


Je trouve cela sublime qu’un jeune a des buts a atteindre et que la vie peut lui permettre de les réalisé .. car ce n’est pas à la porter de tous que des parents puissent aider de cette façon a atteindre un but .. C’est un bon exercice a la vie qui se présente devant lui .. peut-être il cela ne pourra se faire du premier coup, mais il est prêt a recommencer tant qu’il n’a pas atteint ce but .. il sait que la patience, l’effort, la persévérance sera le prix a payer de sa propre personne …
Nuage
 
À treize ans sur le toit du monde
 
À treize ans sur le toit du monde
 
Romero a déjà gravi les plus hauts pics des six autres continents -dont le Kilimanjaro à dix ans. Sur la photo, il pose sur le sommet de la pyramide Carstensz, le point culminant de l’Océanie.
 
Photo: Archives AP
Associated Press
Katmandou
 
 
Jordan Romero, tout juste âgé de treize ans, va tenter de gravir le mont Everest, devenant ainsi la plus jeune personne à atteindre le toit du monde.
 
Le record du plus jeune alpiniste à fouler l’Everest (8848 m) est tenu par le Népalais Temba Tsheri, qui était parvenu au sommet de l’Himalaya à l’âge de 16 ans.
 
Le jeune Californien était occupé samedi à finir son sac à dos avec son père et sa belle-mère et à régler les derniers détails de l’expédition avec les trois sherpas qui les accompagneront.
 
Romero, qui a déjà gravi les plus hauts pics des six autres continents -dont le Kilimanjaro à dix ans- espère inscrire l’Everest à son palmarès en mai.
 

Mais ce sera sa première montagne à plus de 8000 mètres d’altitude.
 
«Ca va être drôlement coriace! Ce sera peut-être la première de plusieurs tentatives. Cela pourra prendre plusieurs années, mais je suis déterminé à y parvenir. Si je n’atteins pas le sommet cette fois-ci, je tenterai une prochaine fois» a assuré le jeune homme.
 
L’expédition prévoit de s’acclimater à l’altitude lors des camps de base et de s’attaquer en mai au sommet. Jordan a toutefois pris soin de prendre ses cahiers de mathématique, a promis de tenir un journal de bord et a prévu d’écrire des fiches de lecture lors des périodes d’acclimatation à l’altitude.
 
Vous pourrez suivre l’ascension de l’Everest par ce prodige de l’alpinisme sur www.jordanromero.com
 

Parole d’enfant: SPA


Voilà la logique d’un enfant dans toute sa splendeur … Il a bien compris ce qu’est l’SPA
Nuage
 
SPA
 
 
Après avoir demandé à son père ce qu’est la SPA, Mikaël ajoute:
 
«Ah! c’est comme la DPJ mais pour animaux ?!»
 
 
Julie Dugré de Trois-Rivières Rivières

Je ne désespère pas


Le monde a changé certes. Nous sommes peut-être inquiet de voir comment nos adolescents évoluent dans ce monde Que reste t’il de la bonne moralité quand on voit cette violence dans nos quartiers … dans les écoles enfin un peu partout.. Pourtant il y a du positif, car parmi ses jeunes beaucoup sont compatissant envers les autres … ils sont juste un peu -plus silencieux mais leur gestes peuvent quand même redonner le sourire, l’espoir qu’il y a du bon dans ce monde

 Nuage

 
Je ne désespère pas
 
 
 Parfois, lorsque je prends l’avion entre deux conférences, je me retrouve assis à côté d’une personne plus volubile que les autres.  C’est souvent très agréable pour moi parce que je suis un éternel observateur des gens qui m’entourent. J’ai entendu des histoires sur la tristesse, d’autres sur la joie, sur la peur et sur le ravissement, d’autres encore qui n’ont rien à envier à celles que l’on présente aux émissions-débats télévisées.
 
Il m’arrive malheureusement d’être assis à côté d’une personne qui souhaite uniquement décharger son auditoire captif pendant 800 kilomètres.  C’était  une de ces journées.  Je m’installai avec résignation, alors que mon voisin de siège se lançait dans sa dissertation sur le terrible état du monde, en commençant  par le vieux cliché: 
 
"Vous savez, les enfants d’aujourd’hui sont …" 
 
Il poursuivit de plus belle, me faisant part de notions vagues sur les adolescents et les jeunes adultes d’aujourd’hui.  Lorsque je descendis enfin de l’avion et me rendis à mon hôtel, j’allai m’installer pour dîner et plaçai le journal local que je venais d’acheter à côté de moi.  Là, sur une des pages se trouvait un article qui aurait dû figurer à la une.
 
Dans une petite ville de l’Indiana, un jeune garçon de 15 ans souffrant d’une tumeur au cerveau recevait de la radiothérapie et de la chimiothérapie.  Les traitements lui avaient perdre tous ses cheveux.
 
Je ne sais pas ce qu’il en est de vous, mais je sais ce que j’aurais ressenti à cet âge — j’aurais été mortifié!
 
Les copains de classe du jeune homme étaient venus à la rescousses: tous avaient demandé à leur mère s’ils pouvaient se raser la tête pour que Brian ne soit pas le seul garçon chauve de l’école.  On pouvait vois, sur cette page, la photo de la mère en train de raser la tête de son fils, sous les yeux approbateurs du reste de la famille avec, en arrière-plan, un groupe de jeunes hommes également chauves.
 
Non, je ne désespère pas des jeunes d’aujourd’hui.
 
Hanoch McCarty, Ed.D.

L’Exlana : une espèce de mouton qui n’a pas besoin d’être tondue


Je ne sais pas si c’est par manipulation génétique ou par croisement mais d’un côté si la laine des moutons tombent d’elle-même, ce serait je présume moins stressant pour la bête .. sans compter qu’ils peuvent être moins malades ..
Donc un plus pour les moutons
 Nuage
 
L’Exlana : une espèce de mouton qui n’a pas besoin d’être tondue
 
S'ils adoptent l'Exlana, les bergers ne devront bientôt plus raser leurs moutons
 

Grande-Bretagne – Une nouvelle espèce de mouton, appelée Exlana, a pour particularité de perdre automatiquement son manteau de laine dès que les températures augmentent. Des fermiers du sud-ouest de l’Angleterre comptent exploiter cette spécificité afin de gagner du temps, et de l’argent.
 
Tous les ans, lorsque les températures sont en hausse suffisante, les moutons de l’espèce Exlana perdent leur laine. De quoi révolutionner les méthodes d’élevage.
 
 Désormais, les bergers n’auront plus qu’à laisser faire la nature, la mue des moutons supprimant la contrainte de la tonte, qui leur coûtait temps et argent. Il faut noter que depuis quelque temps, la laine n’a plus grande valeur et les heures passées à tondre les animaux ne sont souvent plus rentables.
 
La laine de ces moutons est plus clairsemée et plus courte que celle des espèces courantes. Elle commence à tomber au niveau des pattes et du cou de l’animal, puis du reste du corps. Un mouton ordinaire produit près de neuf kilos de laine alors que l’Exlana n’en produit que 500 grammes.
 
En plus de cela, ces moutons sont moins souvent infestés par des vers intestinaux et ont donc moins besoin de traitements chimiques. Des moutons écolos en quelque sorte.
 

Manchot, autruchon, tortue… assistez à leur éclosion


Toute naissance demande un gros effort pour s’ouvrir à la vie .. Pendant qu’ils sont bien aux chaud dans leur coquilles, ces animaux se préparent a un dure combat pour sortir de leur habitat devenu trop petit
Nuage
 
Manchot, autruchon, tortue… assistez à leur éclosion
 
La série de photos intitulée "Escape Into Life" montre de jeunes animaux lors de leur éclosion. Du manchot du Cap au poussin, en passant par la tortue charbonnière à pattes rouges, Maxisciences vous fait part de clichés permettant de suivre ces instants magiques
 
L’autruchon, la tête hors de l’oeuf lui ayant servi d’habitat pendant 50 à 60 jours
 
 
L'autruchon, la tête hors de l'oeuf lui ayant servi d'habitat pendant 50 à 60 jours
 
Avant de parvenir à sortir la tête, l’autruchon a dû s’atteler à casser la coquille de son oeuf
 
Avant de parvenir à sortir la tête, l'autruchon a dû s'atteler à casser la coquille de son oeuf
 
L’autruchon s’extirpe de son oeuf
L'autruchon s'extirpe de son oeuf
 
Ce poussin de manchot du Cap a littéralement réduit en miettes sa coquille
 
Ce poussin de manchot du Cap a littéralement réduit en miettes sa coquille
 
 
Le manchot se différencie du pingouin par ses ailes, qui sont atrophiées : elles lui servent à nager et non pas à voler, contrairement à son cousin
 
Le manchot se différencie du pingouin par ses ailes, qui sont atrophiées : elles lui servent à nager et non pas à voler, contrairement à son cousin
 
Le jeune manchot, déjà sec, pousse un cri
 
 
Le jeune manchot, déjà sec, pousse un cri
 
Un poussin casse sa coquille à coups de bec
 
Un poussin casse sa coquille à coups de bec
 
Le poussin parvient à passer une patte hors de la coquille
 
Le poussin parvient à passer une patte hors de la coquille
 
Le poussin, presque entièrement extirpé de sa coquille
 
Le poussin, presque entièrement extirpé de sa coquille
 
La tortue, une fois sortie de sa coquille, sera protégée par sa carapace
 
La tortue, une fois sortie de sa coquille, sera protégée par sa carapace
 
La durée d’incubation d’un oeuf de tortue charbonnière à pattes rouges avoisine les 150 jours
 
La durée d'incubation d'un oeuf de tortue charbonnière à pattes rouges avoisine les 150 jours