Un logiciel «prédisant» les crimes des jeunes délinquants est utilisé en Floride

Je trouve que ça va loin .. même trop loin, c’est d’étiqueter des gens pour des événements qui ne se sont pas produit ..mais qu’un logiciel qui ne tiens nullement compte du facteur humain va émettre des pronostiques sur la criminalité d’un sujet .. Le facteur humain peut changer bien des choses même sur une personne qui selon tous les pronostiques disent le contraire. Nuage    Un logiciel «prédisant» les crimes des jeunes délinquants est utilisé en Floride     Qui aurait cru que le film Rapport Minoritaire devienne un jour une réalité? Le département de la justice pour la jeunesse de l’État de la Floride se servira d’un logiciel d’analyse d’IBM, qui serait en mesure de prédire les crimes que commettront les jeunes délinquants.   De cette façon, les présumés contrevenants sont soumis à des programmes de prévention et d’éducation que les autorités jugent adéquats. Les responsables de la Floride se basent sur différentes variables pour déterminer le risque que représente un jeune de commettre un crime à nouveau, explique Gizmodo .   En fonction de cette probabilité de récidive, les autorités placeront les jeunes au sein de programmes de rééducation.   Le vice-président des analyses de prédictions chez IBM, Deepack Advani, explique que «le système est fiable et que les gouvernements seront en mesure de prendre des mesures appropriées et en temps réel, pour prévenir d’éventuelles activités criminelles».   L’État de la Floride ne serait pas le premier à avoir recours à ce logiciel. IBM a précisé que le ministre de la Justice du Royaume-Uni utilise déjà le logiciel dans le but de prévenir des activités criminelles. IBM semble avoir beaucoup d’ambition en ce qui concerne le secteur de l’analyse: l’entreprise ayant investi plus de 12 milliards de dollars dans sa division d’analyse.   Voici de quelle façon IBM fait la promotion de son logiciel d’analyse : «Predictive analytics gives government organizations worldwide a highly-sophisticated and intelligent source to create safer communities by identifying, predicting, responding to and preventing criminal activities. It gives the criminal justice system the ability to draw upon the wealth of data available to detect patterns, make reliable projections and then take the appropriate action in real time to combat crime and protect citizens».   http://techno.ca.msn.com

Terres australes : trésor de la biodiversité

En photo, je vous amène en voyage vers d’autres terres, d’autres lieux .. sommes nous les derniers témoins de cette nature qui essaient tant bien que mal a survivre à travers tous ces changements ? Espérons que non, nos enfants et petits enfants doivent voir eux aussi la beauté de ce monde Nuage   Terres australes : trésor de la biodiversité   Au milieu des siens       Le coup d’envoi de l’Année internationale de la biodiversité a été donné le 22 janvier. Un sujet extrêmement sérieux au vu de l’extinction massive de nouvelles espèces chaque année. Les terres australes françaises semblent encore épargnées par ce phénomène. Regardez ! Ce manchot royal est à l’aise au milieu de ses milliers de congénères. © Cédric MARTEAU/Taaf   Pause tendresse d’albatros à sourcil noir     L’albatros à sourcil noir élit domicile aux îles Kerguelen (au sud de l’océan Indien). Ses 2,5 mètres d’envergure ne passent pas inaperçus pour cette espèce d’albatros la plus observée. Il est reconnaissable à son petit masque occulaire qui lui a valu son nom d’albatros à sourcil noir © Cédric MARTEAU/Taaf   Seul au monde ? Ce petit bout de terre français du canal du Mozambique (dans l’océan Indien) est un haut lieu de recherches scientifiques. Quatre fois par an, les chercheurs viennent étudier les écosystèmes et faire l’inventaire des espèces mises au jour. Cette zone est particulièrement protégée des pollutions. © Taaf Des manchots qui ne tiennent pas en place     Les amateurs de films d’animation reconnaîtront cette espèce présente dans "Happy Feet". Le gorfou sauteur doit son nom à sa manière de se déplacer par bonds successifs à cause de ses pattes jointes. Ses aigrettes jaunes -des petites plumes au coin des yeux- le distinguent des autres espèces de gorfous © Cédric MARTEAU/Taaf   Majestueux albatros à bec jaune     Cette espèce d’albatros reconnaissable à son bec jaune vit sur l’île d’Amsterdam. Depuis les années 70, les effectifs des colonies de l’île sont en décroissance. Les scientifiques expliquent cette baisse par une mortalité en mer due aux interactions avec la pêcherie et une mortalité à terre causée par la prédation des oeufs et des poussins par les rats et d’autres agents viraux. © Cédric MARTEAU/Taaf   Spectaculaires chutes d’eau     Ces incroyables cascades d’eau douce se jettent directement dans les eaux froides australes. Les îles de Crozet sont composées de cinq îles volcaniques où la pluviométrie est importante, près de 2500 mm par an (300 jours de pluie par an). © Laurent BESNARD/Taaf   Règlement de compte entre éléphants de mer     Ces deux "mastodontes" n’hésitent pas à régler leurs comptes sur cette plage des îles Kerguelen (Sud de l’océan Indien). Les éléphants de mer sont les plus imposants des phoques. Ils sont capables d’effectuer de très longs voyages et de rester en plongée très longtemps. © Amandine GEORGE/Taaf   Le paradis sur terre     Les îles Glorieuses se trouvent à la pointe Nord de Madagascar (océan Indien). Ces deux îles volcaniques sont entourées par une barrière de corail. En certains endroits, elle émerge sous forme de rochers. © Taaf   Une otarie d’Amsterdam monte la garde     L’otarie d’Amsterdam est plus connue sous le nom d’otarie à fourrure subantarctique. Les colonies de cet organisme marin vivent sur des îles proches de la convergence antarctique. On estime leur nombre à près de 400 000. © Cédric MARTEAU/Taaf   http://www.linternaute.com

La banane sucrée risque de disparaître des supermarchés

La banane, un fruit par excellence commence a s’essouffler du aux maladies .. ceux qu’on connaît sont des fruits stériles qui ne se reproduisent pas ..Il se peut que ce fruit fragile ne puisse plus être en abondance sur les tablettes d’épicerie et l’exportation quasi impossible ..  Nuage   La banane sucrée risque de disparaître des supermarchés   La Presse Canadienne     La principale banane d’exportation – celle qui est la plus consommée à l’échelle de la planète – risque de disparaître des étalages des supermarchés. La banane Cavendish semble éprouver les mêmes problèmes que la variété Gros Michel, que l’on ne retrouve plus dans les comptoirs d’alimentation depuis la fin des années 1950. Cette variété était alors atteinte de la maladie de Panama attribuée à un champignon contenu dans le sol. Au fil des ans, la banane de remplacement a développé la même sensibilité.   C’est en 1940, environ, que la maladie a commencé à décimer les plantations de Gros Michel, 20 ans plus tard, elle était pratiquement disparue. Cette infection, la fusariose, est considérée comme l’une des plus destructrices pour le bananier comme le précise Gilles Vincent, directeur du Jardin botanique de Montréal.   «Il n’y a pas vraiment moyen de combattre ce champignon. Cette disparition annoncée découle en grande partie d’avoir choisi la monoculture et la seule solution consiste à rechercher une plus grande diversité», a-t-il affirmé La disparition de la banane Cavendish aura un impact sur plusieurs communautés locales qui vivent du commerce de la banane. Selon Equiterre, il s’agit de la cinquième denrée alimentaire la plus commercialisée dans le monde, après les céréales, le sucre, le café et le cacao.   L’organisme évalue que chaque personne mange en moyenne 14 kilogrammes de bananes par année, ce qui représente 12 pour cent de la consommation annuelle de fruits.   La banane de type Cavendish, tout comme la Gros Michel, est caractérisée par sa forme charnue, son goût sucré et sa capacité à voyager facilement sur de longues distances. Cueillie encore verte, elle mûrit au cours du transport. Ces particularités ont assuré sa large place sur le marché de l’exportation.   «On a fait des sélections et des croisements pour des raisons que l’on trouvent bonnes: la grosseur ou la productivité par exemple. Ces décisions ont par contre fait en sorte que l’on se trouve dans une situation fragile pour d’autres cultures et non seulement pour les bananes. Il y a aussi plusieurs variétés de riz, mais on n’en cultive véritablement qu’une seule», a analysé Gilles Vincent.   Dans les plantations, les producteurs optent ainsi pour des cultivars retenus pour leur sorte productivité. M. Vincent soutient qu’actuellement, à peine 17 plantes nourrissent 90 pour cent de la population mondiale.   «Des choix ont été effectués au détriment de la résistance aux maladies. Dans le cas des bananiers, les fruits sont stériles. Les petits points noirs que l’on voit au centre du fruit lorsqu’on le tranche sont des graines avortées. La reproduction est donc végétative et consiste à attendre une nouvelle tige qui repart de la base. On se retrouve donc dans un cul-de-sac génétique», a avancé Gilles Vincent.   La question de l’appauvrissement continu de la diversité biologique préoccupe également la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement qui a proclamé 2010 l’année de la biodiversité.   L’objectif visé est de sensibiliser les populations et à nourrir les efforts pour ralentir les disparitions des espèces. Au coeur des enjeux, l’ONU s’est dite sensible aux incidences sociales, économiques, écologiques et culturelles.   Au Québec, le plus récent importateur de bananes a été Equicosta, un groupe qui cultive et distribue des bananes équitables issues d’une culture biologique.   Ces premières bananes favorisant la biodiversité ont commencé à être présentes parmi nos fruits et légumes en 2008. L’arrivage était alors de 108 000 bananes par semaine au port de Montréal, une quantité qui représente environ 1 pour cent des bananes consommées par année au Québec.   Cela dit, les bananes sucrées ne disparaîtront pas complètement de la surface de la terre. D’autres continueront à être développées, mais celles-ci ne réagissent pas de la même manière au transport et à la manipulation. Elles seront disponibles, mais uniquement dans les pays où les fruits sont cultivés.   http://www.cyberpresse.ca

Un conducteur met son chien sur le toit de sa voiture

Peu importe qui conduisait la voiture .. (le propriétaire ou un ami) il y a des gens qui manquent complètement d’intelligence de faire subir à un animal pareil épreuve C’est cruel et inutile Nuage     Un conducteur met son chien sur le toit de sa voiture     Chine – Un conducteur a été condamné publiquement pour avoir permis à son chien de se tenir sur le toit de son véhicule lors d’un embouteillage.   Une photographie de ces événements a circulé sur Internet. Un spectateur, M. Lian of Wuhan, a en effet pris un cliché dans le tunnel sous la rivière Changjiang.   "Peu de temps après que je suis rentré dans le tunnel, j’ai entendu de forts aboiements", explique le Chinois, "Regardant dehors, j’ai aperçu un chiot sur le toit d’une voiture en mouvement. Ses pattes tremblaient lorsque le propriétaire de l’animal a attaché la laisse à la portière".   Le véhicule roulait alors à environ 40 km/h et le conducteur ne semblait pas inquiet, bien au contraire. Les journalistes d’un journal local ont retrouvé le propriétaire du van. Il affirme que la personne qui conduisait le véhicule était un ami et non lui-même.   http://www.zigonet.com

Un village pour les « naufragés de la technologie »

Pourquoi pas … l’idée m’apparaît bonne, si à quelques endroits a travers le monde des villages offriraient un lieu ou les effets des ondes est de beaucoup diminuer, car certains n’aiment pas être entourer d’autant de puissance des ondes pour x raisons .. et avoir un lieu ou ils en sont protéger serait a mon avis justifié Nuage   Un village pour les "naufragés de la technologie"     Jura suisse – Le maire de Soubey voudrait démonter l’antenne de téléphonie mobile présente dans sa commune et faire du village le "paradis des électrosensibles".   Samuel Oberti, maire de Soubey, aurait dans l’idée de supprimer l’antenne de téléphonie mobile placée sur le toit de l’ancienne école, afin "d’attirer une nouvelle population". Le concept est de faire de son village une "zone blanche" et d’attirer des "naufragés de la technologie" qui souffrent des conséquences des ondes.   L’idée lui est venue d’un de ses conseillers, Nicolas Barth. Celui-ci a hébergé pendant six mois une dame sensible aux ondes qui fuyait les antennes françaises, "dix fois plus puissantes que les [suisses]", comme l’indique Christian Neuhaus, porte-parole de Swisscom, au journal Le Matin.   Le maire se fie aussi à des sondages :   "Selon les statistiques, 4% de la population est électrosensible".   La commune rurale compte à présent 158 habitants et possède de nombreux terrains à bâtir. Soucieux de connaître l’avis des familles, et notamment de celles ayant des enfants, éventuellement "accros au téléphone", une assemblée communale va être mise en place pour décider du sort de l’antenne.   http://www.zigonet.com

Aimer

Il est vrai que deux personne qui s’aime c’est.pour se sentir bien avec l’autre.. On aime vraiment recevoir cet amour .. Alors quand il n’est que d’un côté c’est un tour de force d’aimer sans recevoir en retour .. Nuage   Aimer     Aimer quelqu’un qui vous aime aussi, c’est du narcissisme. Aimer quelqu’un qui ne vous aime pas, ça, c’est de l’amour.   Frédéric Beigbeder

C’est quoi ton adresse de courrier electronique ?

Ça me fait penser aux cellulaire .. dire qu’on en a pas, c’est presque ce faire passer pour un extraterrestre ..enfin c’est ce qu’une dame m’a fait sentir une fois .. bref .. Internet est utile mais le travail c’est nous qu’il faisons .. ce fier juste a la technologie risque de nous faire reculer d’ailleurs on voit déjà les effets sur certains jeunes sur le savoir et le travail en général … Nuage   C’est quoi ton adresse de courrier electronique ?     Un chômeur postule pour un poste d’homme de ménage dans une grande société informatique. Le DRH (directeur des ressources humaines) lui fait passer un entretien, puis un test (balayer le sol), et lui dit : – Tu es engagé. Donne-moi ton adresse de courrier électronique et je t’enverrai le formulaire à remplir, ainsi que la date et l’heure auxquelles tu devras te présenter pour commencer ton travail.   L’homme, désespéré, répond qu’il ne possède pas d’ordinateur, et encore moins d’adresse de courrier électronique. Le DRH lui dit alors qu’il est désolé, mais que s’il n’a pas d’adresse de courrier électronique, cela signifie que virtuellement il n’existe pas et, comme il n’existe pas, il ne peut avoir le job. L’homme sort, désespéré, sans savoir que faire, avec seulement 10 $ en poche.   Il décide alors d’aller au supermarché et d’acheter une caisse de 10 kilos de tomates. Il fait donc du porte à porte pour vendre ses tomates au kilo et, en moins de deux heures, il réussit à doubler son capital. Il répète l’opération encore trois fois et revient chez lui avec 60 $. Alors, il réalise qu’il pourrait survivre de cette manière, il part de chez lui tous les jours plus tôt et revient chez lui plus tard et, ainsi, triple ou quadruple son argent chaque jour. Peu de temps après, il achète une charrette, puis l’échange contre un camion et se retrouve ensuite avec une petite flotte de véhicules de livraison.   Passés 5 ans, l’homme est devenu propriétaire d’un des plus grands distributeurs alimentaires des États-Unis. Il pense alors au futur de sa famille et décide de prendre une assurance vie. Il appelle un assureur, choisit un plan d’assurance et quand la conversation se termine, l’assureur lui demande son adresse de courrier électronique pour lui envoyer la proposition. L’homme dit alors qu’il n’en a pas. – Curieux, lui dit l’assureur, vous n’avez pas d’adresse de courrier électronique et vous êtes arrivé à construire cet empire… Imaginez ce que vous seriez devenu si vous en aviez eu une !   L’homme réfléchit et répond : – Je serais homme de ménage dans une grande société informatique !   Première morale de l’histoire : Internet ne solutionne pas ta vie. Deuxième morale de l’histoire : Si tu travailles beaucoup, tu peux devenir millionnaire.     Auteur inconnu