Le Saviez-Vous ► Quels sont les 10 aliments industriels à éviter ?


Il y a tellement d’aliments qui sont vendu qui cachent des additif, sucre, gras etc … Et ce n’est pas ce que nous devons privilégier. Il est important de faire de bons choix pour une meilleure alimentation et pour notre santé
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Quels sont les 10 aliments industriels à éviter ?

 

Crédits : Pixabay

par Yohan Demeure

Il y a quelques semaines, le magazine 60 millions de consommateurs publiait un hors-série consacré aux « aliments qui nous empoisonnent » omniprésents dans les produits industriels. Entre sucres, gras, additifs ou encore pesticides, il est possible de répertorier une dizaine de produits à éviter.

Le ketchup contiendrait plus d’une vingtaine de grammes de sucre pour 100 grammes de sauce. Il s’agit tout de même de l’équivalent de trois morceaux de sucre ! Les nouilles déshydratées en sachet sont quant à elles truffées d’additifs tels que des arômes, du glutamate et autres exhausteurs de goût. Les mélanges contiendraient seulement 1 % de végétaux !

La charcuterie serait également à bannir, car contenant des nitrates, souvent de synthèse. Également, il s’agit d’aliments très gras (45 g de graisse pour 100 g au total). Aussi, les yaourts aux fruits sont élaborés avec de nombreux additifs tels que des colorants, des épaississants, des correcteurs d’acidité, etc.

Les bouillons cubes sont des concentrés de sel et additifs dont des exhausteurs de goût tels que le glutamate monosodique ou encore le guanylate disodique. À peine la moitié d’un cube couvrirait déjà 20 % de l’apport maximal en sel recommandé par l’OMS. Ceux-ci contiennent également énormément de sucre, tout comme le cacao en poudre (parfois jusqu’à 90 %), lui aussi déconseillé.

Les aliments végétariens transformés seraient également à éviter, car ceux-ci seraient bourrés d’additifs, de matières grasses et de sucre – entre autres. Les sodas ainsi que les aliments sans sucre (ou sans gluten) sont déconseillés pour les mêmes raisons, un constat similaire pour les céréales du petit- déjeuner

http://sciencepost.fr/

Le Saviez-Vous ►11 aliments moins sains qu’il n’y paraît


Tout le monde sait que l’alimentation est importante, mais les denrées commerciales, même diététiques sont trop souvent trop sucrées, trop salées, trop gras. Les modes alimentaires aussi peuvent nous induire en erreur. Bref, mieux vaut se mettre à cuisiner nous-même.
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11 aliments moins sains qu’il n’y paraît

 

Le sucre n’est pas toujours là où on l’attend.

 

  • Julie R. Thomson The Huffington Post

ALIMENTATION – Dans les grandes lignes, manger sain n’est pas très compliqué: favoriser les céréales complètes, les fruits et les légumes, et éviter les bonbons. Mais aujourd’hui, avec les aliments préparés, y parvenir n’est pas une mince affaire. Beaucoup des solutions que nous privilégions sont moins saines qu’il n’y paraît. Et vous, savez-vous éviter les pièges?

Il y a sûrement, dans votre alimentation, quelques produits qui compromettent vos efforts en matière de diététique. Identifiez-les à l’aide de la liste ci-dessous, et bannissez-les de vos assiettes!

DEBBISMIRNOFF VIA GETTY IMAGES

Ce grand bol de muesli fait bien plus qu’une seule portion.

1. Le muesli. Une portion normale est bien plus petite qu’on ne le croit. Un bol plein avec du lait contient probablement beaucoup plus de sucre que vous ne le pensez. Le muesli se mange plutôt en garniture sur un yaourt, et non en remplacement des céréales. Si vous aimez trop ça pour y renoncer, essayez de le préparer vous-même. Le muesli maison est meilleur que celui qu’on trouve dans le commerce, car vous en choisissez tous les ingrédients.

2. L’agave. Si les bienfaits nutritionnels de l’agave font débat, elle représente indéniablement un apport supplémentaire de sucre. Or il vaut mieux éviter de consommer trop de sucre, sous quelle forme que ce soit.

3. Les muffins au son. Bien sûr, ils ont l’air diététiques. Après tout, on parle de son de blé, non? Malheureusement, un muffin reste un muffin… C’est-à-dire l’équivalent d’un cupcake sans glaçage. Autrement dit, un cocktail de matières grasses et de sucre ajouté. En plus, la majorité des muffins au son contiennent plus de farine de blé que de son. Il n’y a qu’une manière de vous assurer que votre muffin soit vraiment composé de céréales complètes: le préparer vous-même.

4. Les cures de jus détox. Quand on y réfléchit, tous ces programmes détox vendus dans le commerce vous font boire beaucoup de jus. Or, il vaut mieux privilégier les fruits et les légumes pour ne pas perdre l’apport en fibres. En fait, la plupart des autorités en matière de nutrition conseillent carrément d’éviter les jus. Ceux qu’on qualifie de « détox » ont une meilleure valeur nutritionnelle que les jus industriels mais, pris à la place d’un repas, ils vous apporteront bien trop de sucre et pas assez de protéines.

GETTY IMAGES/ISTOCKPHOTO Assiette de canneberges, dattes et abricots secs.

5. Les fruits secs. Certes, les fruits secs restent une option plus diététique que le cookie qui vous fait de l’œil. Mais n’oubliez pas qu’ils restent un petit plaisir sucré. Le sucre qu’on y ajoute habituellement les rapproche en fait plus du bonbon que du fruit. Mais tous les fruits secs du commerce n’en contiennent pas, alors lisez bien les étiquettes afin de faire un choix éclairé.

6. Les yaourts aromatisés. Qu’est-ce qui leur donne leur goût, en plus des arômes? Eh oui, le sucre… et pas qu’un peu. Bien entendu, les yaourts sont bons pour la santé, mais mieux vaut les manger nature (ou garnis de fruits frais).

7. Les barres énergétiques et protéinées. Elles ont l’air diététique, comme ça, mais la plupart se rapprochent franchement des simples barres chocolatées. Elles sont souvent bourrées de sucre, et bien plus riches en calories qu’on ne le croit. Là encore, pourquoi ne pas les préparer vous-même? Au moins, vous en connaîtrez tous les ingrédients.

ALBA CORRECH�/ EYEEM VIA GETTY IMAGESYaourt glacé garni de fraises et de sauce au chocolat chaud.

8. Les yaourts glacés. Autant manger une glace. D’accord, les yaourts glacés contiennent moins de graisses saturées, mais une fois agrémentés de garnitures riches en sucre et en matières grasses, ils ne valent souvent pas mieux au niveau diététique.

9. Le beurre de cacahuète (et autres beurres de noix). Consommé avec modération, c’est un ingrédient sain et riche en protéines, mais seulement les versions naturelles avec deux ingrédients maximum. Certains beurres de noix – comme les variétés allégées – contiennent du sucre ajouté sous forme de sirop de maïs, riche en fructose. Pas si malin que ça, finalement.

10. Les smoothies. À base de fruits et de légumes frais, ils ne sont pas forcément mauvais pour la santé. Mais attention aux quantités et à la provenance: les smoothies préparés à l’avance et ceux que l’on trouve dans le commerce peuvent être bourrés de sucre et de calories. Si on veut être prudent… mieux vaut les préparer soi-même!

11. Les soupes industrielles. Une soupe représente souvent un repas équilibré, mais celles que vous achetez en magasin sont trop salées. Or, l’excès de sodium entraîne ballonnements et perte d’énergie. Les soupes maison sont vraiment faciles à préparer. Vous n’avez donc aucune d’excuse!

Cet article, publié à l’origine sur le Huffington Post américain, a été traduit par Guillemette Allard-Bares pour Fast for Word.

http://www.huffingtonpost.fr/

Le coût social faramineux des boissons sucrées


Ah que je suis contente de ne plus être addict aux boissons gazeuses. Mais ce qu’il y a pire, c’est des autochtones au Canada n’ont pas accès à l’eau potable et les boissons gazeuses sont abordables. Pire encore, même si les ventes ont baissé, les cafés et thés sucrés en tous genres ont fait leur place ainsi que l’eau aromatisée et cela hypothèque la santé
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Le coût social faramineux des boissons sucrées

 

Les boissons gazeuses contiennent jusqu'à 10 cuillerées à thé de sucre.

Les boissons gazeuses contiennent jusqu’à 10 cuillerées à thé de sucre. Photo : iStock/iStock

Une étude menée à l’Université de Waterloo, en Ontario, signale que la trop forte consommation de boissons sucrées risque d’avoir des conséquences dévastatrices sur la santé des Canadiens.

La Presse canadienne

L’étude, financée par diverses associations canadiennes de promotion de la santé, prévoit que, d’ici 25 ans, ces boissons devraient provoquer des maladies entraînant plus de 63 000 décès et coûter plus de 50 milliards de dollars au système de santé.

« Les boissons sucrées ne présentent quasiment aucun bienfait pour la santé et elles favorisent fortement les maladies chroniques et l’obésité », explique Jan Hux, docteure et directrice des affaires scientifiques à l’Association canadienne du diabète.

La recherche estime que la consommation de boissons sucrées au Canada sera liée à plus de 3 millions de cas d’obésité, à près de 1 million de cas de diabète de type 2, à près de 300 000 cas de cardiopathie ischémique, à plus de 100 000 cas de cancer et à près de 40 000 accidents vasculaires cérébraux (AVC).

« Les boissons sucrées constituent la plus importante source de sucre dans l’alimentation du Canadien moyen. La consommation excessive de sucre est directement liée au surpoids, qui augmente le risque d’au moins 11 différents cancers », précise Robert Nuttall, directeur adjoint des politiques en matière de santé de la Société canadienne du cancer.

L’augmentation incessante du cancer ne doit pas être considérée comme une fatalité, et nous mettons tout en oeuvre pour éliminer le diabète par l’intermédiaire de la sensibilisation et de changements en matière de politiques. Jan Hux, docteure et directrice des affaires scientifiques à l’Association canadienne du diabète

En 2015, les Canadiens ont acheté en moyenne 444 millilitres de boissons sucrées chacun, par jour. Cette consommation était de 578 millilitres chez les jeunes, ce qui représente jusqu’à 16 cuillères à thé de sucre, une quantité qui dépasse largement l’apport maximal quotidien recommandé.
En plus des jeunes, les communautés autochtones sont particulièrement à risque pour ce qui est de la consommation de produits néfastes pour la santé, en raison des difficultés d’approvisionnement en produits sains et frais dans certaines régions reculées.

Dans plusieurs communautés autochtones confrontées à des problèmes d’accès à une eau potable, les boissons sucrées constituent malheureusement la seule option abordable. L’eau et le lait faible en gras devraient être les choix préconisés par les Canadiens lorsqu’il s’agit de s’hydrater, car ils sont les plus bénéfiques pour la santé, mais trop souvent, ces options ne sont pas les plus accessibles. Mary Lewis, vice-présidente à la recherche, à la défense des intérêts et à la promotion de la santé, Fondation des maladies du coeur et de l’AVC

Les chercheurs constatent que les ventes de boissons gazeuses ont diminué au cours des dernières années, mais qu’il y a eu forte augmentation des ventes de produits sucrés tels que les boissons énergisantes, les cafés et les thés sucrés, les eaux aromatisées, les yogourts à boire et les boissons pour sportifs.

Pour contrer leurs effets néfastes sur la santé des Canadiens, les organismes qui ont financé l’étude recommandent d’agir sur plusieurs fronts, notamment en garantissant l’accès gratuit à l’eau potable, en améliorant le contrôle des publicités destinées aux jeunes et aux enfants, en sensibilisant le public et en assurant un meilleur étiquetage des produits alimentaires.

http://ici.radio-canada.ca

15 aliments santé à essayer en 2016


Moi, j’aime bien essayer de nouveaux produits à la condition que ce soit abordable. Mais quoiqu’il en soit, cette liste a des atouts pour une alimentation saine.
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15 aliments santé à essayer en 2016

 

Une nouvelle année signifie une toute nouvelle panoplie de tendances alimentaires à surveiller. Certaines sont ridicules, certes, mais d’autres se révèlent beaucoup plus intrigantes. Sans surprise, les aliments santé ont toujours la cote!

Les aliments dits «propres» seront particulièrement populaires cette année. Plus courte est la liste des ingrédients, le mieux. Il en va de même pour les aliments bios et locaux, qui continuent de gagner du terrain.

En 2016, l’engouement pour les graines se poursuivra bien au-delà du quinoa, d’autres fruits exotiques seront (re)découverts, et l’alimentation durable fera de plus en plus d’adeptes.

Dans la galerie ci-dessous, vous découvrirez 15 aliments santé que vous devriez ajouter à votre liste d’épicerie pour leur valeur nutritive, mais aussi parce qu’ils sont tout simplement délicieux!

L’amarante

«Le nouveau quinoa» est une bonne source d’acides aminés, de fibres et de lysine. Idéal pour les soupes, les salades et les craquelins.

La saumure

Ce processus de fermentation connaît un regain de popularité, en plus d’être une bonne source de probiotiques pour votre santé digestive.

Les algues

Une bonne source d’antioxydants, d’iode, de calcium et de biens d’autres nutriments. À essayer en salade, dans une soupe ou avec des craquelins.

Les insectes

Une excellente source de protéines!

Le moringa

Une bonne source de vitamine B6, de fer et de vitamine C, ajoutez du moringa à votre smoothie accentuera son apport en protéines.

Le teff

Vous pouvez le faire bouillir, le faire cuire, l’utiliser pour faire des crêpes ou des barres granola. Le teff est une excellente source de protéines, de vitamine C et de fibres, en plus d’être faible en gras et en sodium.

Les épices africaines

Les épices comme le dukkah et le berbéré éthiopien sont une excellente façon d’ajouter de la saveur à vos poissons et volailles, notamment!

L’eau de cactus

L’eau de cactus n’est pas si différente de l’eau de noix de coco, si ce n’est de sa plus faible teneur en sucre et en calories.

Les yogourts salés

Des yogourts salés à saveur de betteraves, de carottes ou de courge? Absolument!

L’Inca Inchi

Ces graines sont une bonne source de protéines, de fibres et d’acides gras.

Les poissons moins communs

Essayez autre chose que le saumon, l’aiglefin et la truite!

Le baobab

Le baobab est une excellente source de vitamine C, de potassium, de calcium, d’antioxydants, de fibres et de magnésium. À intégrer à vos gruaux, yogourts et smoothies.

La lucuma

Une bonne source de bêtacarotène, de fer, de zinc et de vitamine B3. Idéale pour les smoothies!

Les déchets alimentaires

Les parties des aliments que nous jetons habituellement, comme les os, les carcasses et les tiges, peuvent facilement s’intégrer à une salade ou rehausser le goût d’un bouillon, par exemple.

Les oeufs (autres que ceux de la poule)

Les œufs de canard, par exemple, sont plus riches en protéines, en calcium et en potassium que les œufs de poule.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Un yaourt à base de sécrétions vaginales peut-il être bon pour la santé ?


Il y en a qui ont des idées vraiment bizarres. Juste a penser des sécrétions mélanger au yogourt est vraiment dégoutant, plus dégoutant que ceux qui ont pensé a faire de la crème glacée avec du lait maternel et en plus, j’apprends en plus qu’il existe des recettes fait avec du sperme, non mais à quoi pense-t-on ?
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Un yaourt à base de sécrétions vaginales peut-il être bon pour la santé ?

 

Un yaourt à base de sécrétions vaginales peut-il être bon pour la santé ?

Photo : SIPA

Par JUSTINE KNAPP

SANTÉ – Partant du fait scientifique que le vagin contient naturellement des bactéries bénéfiques pour la santé, une docteur en médecine américaine a tenté d’ingérer de la cyprine dans le cadre de l’enquête d’une journaliste.

Cecilia Westbrook, docteur en médecine et philosophie à l’Université du Wisconsin, a réalisé un yaourt à base de ses propres sécrétions vaginales. L’expérience a été relatée par son amie journaliste, Janet Jay, pour Motherboard. Devant l’abondance de livres de recettes à base de sperme, le duo s’est interrogé sur le fait que les sécrétions féminines soient quant à elles totalement délaissées.

D’autant que le vagin possède des propriétés probiotiques, c’est-à-dire qu’il contient de bonnes bactéries à ingérer.

Selon la définition de l’OMS, les probiotiques sont des « micro-organismes vivants qui, lorsqu’ils sont ingérés en quantité suffisante (ajoutés comme complément à des produits alimentaires), exercent des effets positifs sur la santé, au-delà des effets nutritionnels traditionnels. »

Un goût affreux

Ainsi, des yaourts probiotiques en vente dans le commerce (pour faciliter le transit intestinal ou soigner la mycose vaginale par exemple) permettent de rester en bonne santé. Mais serait-ce bénéfique de produire un yaourt à base de ses propres bactéries ? Parmi elles, les lactobacilles, utilisées pour la production de fromage, vin, choucroute ou yaourt.

La jeune femme a souhaité vérifier par elle-même en collectant ses sécrétions personnelles avant de les ajouter à un yaourt qu’elle a fait reposer pendant la nuit. Le lendemain, le goût affreux lui a laissé penser que l’idée n’était pas si bonne que ça.

Des bactéries dangereuses aussi

Selon Larry Forney, microbiologiste à l’Université d’Idaho, interrogé par la journaliste, « quand vous collectez des sécrétions vaginales, vous ne prenez pas seulement les lactobacilles, mais l’intégralité des bactéries. » Or certaines peuvent être pathogènes.

En revanche, toujours d’après le scientifique, bien que la méthode maison soit infructueuse, si une entreprise développait des probiotiques personnalisés en fonction de chaque organisme, ils seraient bien plus efficaces que ceux vendus actuellement. 
 

Pas de la « nourriture »

Pour autant, cette innovation n’est pas encore d’actualité.

 La FDA, l’agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux, a déclaré via l’attaché de presse d’un de ses centres, que les « sécrétions vaginales n’étaient pas considérées comme de la ‘nourriture’ et qu’elles risquaient de transmettre des maladies ».

Pour la chimiste improvisée, cela permet simplement « de se familiariser avec son propre corps », tout en étant consciente du message « un peu hippie » véhiculé. Mais la connexion corporelle est encore à peaufiner. Le deuxième lot réalisé par ses soins avait un goût encore plus âpre que le premier.

http://www.metronews.fr/

Pas touche à mon yaourt, ou le chat qui n’est vraiment pas partageur


Les chats, ne sont pas vraiment tentés de partager quand la bouffe, ou une douceur est dans un seul plat. Mais bon, ce chat, sait comment reprendre son dû sans pour autant faire une confrontation en règle
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Pas touche à mon yaourt, ou le chat qui n’est vraiment pas partageur

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : Youtube – impossiblefrontflip

Si certains animaux font preuve d’une incroyable solidarité, d’autres manquent très sérieusement de sens du partage ! C’est le cas de ce matou, répondant au petit nom de Dice !

Son humain a eu envie de lui offrir un petit plaisir en lui donnant le fond d’un pot de yaourt, à lui, mais pas seulement, à son colocataire Bob aussi, le deuxième chat de la maison. Mais le festin en tête-à-tête ne se passe pas vraiment comme l’aurait souhaité le propriétaire des deux félins.

Tandis que Bob essaie de déguster sa part, Dice n’arrête pas de faire glisser le pot de yaourt avec sa patte pour le garder pour lui tout seul. Tout penaud, le pauvre Bob ose à peine revenir à la charge pour prendre son dû…

 

http://wamiz.com

La saveur des couverts


Manger un aliment avec des ustensiles de plastiques, couleurs ou en un quelconque métal. Le goût est une perception avant même que les papilles gustatives se mettent en action
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La saveur des couverts

 

La manière dont nous ressentons la nourriture est une expérience multisensorielle qui fait appel au goût, à la sensation de la nourriture en bouche, aux arômes et à ce que nous avons devant les yeux.

Une nouvelle étude publiée dans le journal Flavour par les chercheurs de l’Université d’Oxford suggère que la couleur, le poids et le type d’argenterie avec laquelle nous mangeons peut affecter notre perception du goût.

Dans une série d’expériences, les scientifiques ont fait appel à des ustensiles de différentes couleurs, formes et poids pour évaluer l’impact du goût perçu pour un même aliment, parmi des douzaines de volontaires ayant une vision normale.

Entre autres choses, ils ont découvert que le yogourt semble plus dense et plus dispendieux lorsqu’il est mangé avec une cuillère de plastique. Le yogourt blanc a été perçu comme étant plus sucré, plus apprécié et plus coûteux qu’un yogourt de couleur rose lorsque ceux-ci ont été consommés avec une cuillère blanche. Ces effets ont été inversés quand ces deux yogourts ont été mangés avec une cuillère noire. C’est à n’y rien comprendre, non ?

Les chercheurs ont aussi évalué la réponse des testeurs à deux sortes de fromages, et ont découvert que celui-ci était perçu comme étant plus salé quand il est mangé à l’aide d’un couteau plutôt qu’avec une cuillère, une fourchette ou un cure-dent.

Avant même de porter un aliment à notre bouche, nous avons déjà tiré un jugement sur son apparence et sa texture, explique l’étude – une découverte qui pourrait potentiellement avoir une utilité pour les initiatives de perte de poids et d’alimentation santé.

Les chercheurs n’ont pas encore fait de recommandations officielles à ce sujet, mais nous sommes bien curieux de voir la direction que prendra cette recherche dans le futur.

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http://www.soscuisine.com

Les boissons énergisantes changent enfin de statut


Me semble que si la loi obligeait toutes compagnie d’alimentation a inscrire les ingrédients, la valeur nutritive, et autre substances que contient un aliment on sauverait du temps et probablement de l’argent.
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Les boissons énergisantes

 

changent enfin de statut

 

Photo: Shutterstock

Par Lise Bergeron

Santé Canada va faire le ménage qui s’imposait: boissons énergisantes, eau vitaminée et jus de fruits enrichis seront désormais considérés des aliments, et non plus des produits de santé naturels.

 

Un millier de produits de santé naturels passeront dans la catégorie des aliments d’ici la fin de 2012, dont les boissons énergisantes, l’eau vitaminée, les jus de fruits enrichis, les poudres à mélanger pour boissons nutraceutiques ainsi que des yogourts et des barres énergétiques qui affichent des allégations santé. Les fabricants devront en reformuler le contenu et l’étiquetage, ou les retirer du marché.

«C’est une très bonne décision, qui était vraiment nécessaire, commente le pharmacien et expert-conseil en produits de santé naturels, Jean-Yves Dionne. Le fait d’avoir un numéro de produit naturel sur une boisson énergisante donnait une impression erronée de sécurité et d’approbation par Santé Canada.»

Vol d’identité

En faisant approuver leurs boissons ou aliments dans la catégorie des produits de santé naturels, les fabricants se soustrayaient de facto à l’obligation d’y inscrire certaines informations.

Ainsi, Pepsico aurait profité du statut de produit de santé naturel de son eau vitaminée Aquafina Plus pour faire passer en douce la présence de stévia (un édulcorant de source naturel), rapporte le site Foodnavigator-usa.com. Or, le stévia n’est pas encore autorisé comme édulcorant dans les produits alimentaires au Canada.

Les fabricants de boissons énergisantes, pour leur part, n’étaient pas tenus d’inscrire la teneur en caféine ni la présence de blé (gluten) ou de soya dans leurs mélanges.

 Or, «afficher la teneur en caféine est d’autant plus nécessaire que plusieurs entreprises cachent encore sa présence sous le nom de la plante d’origine, comme le guarana ou le maté. Difficile pour le consommateur de savoir à quoi s’en tenir», ajoute Jean-Yves Dionne.

En changeant de catégorie, tous les produits visés devront afficher la liste des ingrédients qu’ils contiennent et un tableau des valeurs nutritives. Ils devront aussi déclarer la présence d’allergènes ou de substances souvent mal tolérées, comme le gluten et les sulfites, sur leur étiquette.

Ladécision du ministère fédéral touche environ 2 % des quelque 50 000 produits encadrés par les règlements sur les produits naturels, soit à peu près un millier.

http://www.protegez-vous.ca