Le Saviez-Vous ► Comment Est-ce Que le Monde de la Publicité Fait Pour Lire Dans Ton Esprit ?


Je croyais que les recherches sur les moteurs de recherche étaient la principale cause des publicités ciblées. Et bien non, la connexion wifi, le GPS de nos téléphones sont aussi des moyens pour savoir qu’est ce qui pourrait potentiellement nous intéresser. Ce n’est pas tout, les applications, les réseaux sociaux qu’on accepte sans trop lire les conditions ont souvent accès au micro … et donc ils peuvent entendre et envoyer l’information à des publicitaires.
Nuage


Comment Est-ce Que le Monde de la Publicité Fait Pour Lire Dans Ton Esprit ?

Des camions autonomes viennent de traverser l’Europe pour la première fois


Un autre métier qui va disparaitre avec ces camions intelligents. Admettons que ces camions puissent avoir beaucoup de points positifs pour la sécurité routière, il n’en demeure pas moins qu’ils sont piratable, doit-on laisser ces camions sans conducteurs et faire confiance aveuglement à la technologie ?
Nuage

 

Des camions autonomes viennent de traverser l’Europe pour la première fois

 

Plus d’une douzaine de camions autonomes conçus par six grands fabricants européens sont arrivés au port de Rotterdam mercredi 6 avril dans le cadre d’une expérimentation censée révolutionner le transport sur les autoroutes européennes encombrées.

Les six convois comprenant plus de 12 camions sont arrivés vers midi, a indiqué Eric Jonnaert, le président de l’organisme de coordination du projet qui représente les constructeurs DAF, Daimler, IVECO, MAN, Scania et Volvo. L’un de ces convois a parcouru plus de 2000 kilomètres en traversant quatre frontières, précise Quartz.

Le « convoi routier » comporte deux ou trois camions semi-automatisés et connectés par WiFi. Le premier camion détermine le parcours et la vitesse des autres.

L’arrivée à bon port du convoi mercredi est l’aboutissement de la première expérience transfrontalière européenne de circulation de camions intelligents qui sont partis des usines en Suède et dans le sud de l’Allemagne, a précisé à l’AFP Eric Jonnaert.

« Un transport plus propre et plus efficace »

Le « convoi routier assurera un transport plus propre et plus efficace. Les véhicules sans chauffeur contribueront également à la sécurité routière, car la plupart des accidents sont causés par la déficience humaine », a estimé la ministre néerlandaise des Infrastructures et de l’Environnement Melanie Schultz van Haegen.

À titre d’exemple, parce qu’ils sont reliés par WiFi, les camions freinent en même temps pour maintenir le même écart entre eux, a ajouté la ministre. Comme le rappelle Quartz, ce type de convoi pourrait également réduire les bouchons, mais aussi la consommation d’essence des camions de 15%.

Les camions utilisés au cours du test de mercredi sont cependant simplement semi-automatiques. En dépit des ordinateurs leur permettant de se passer de chauffeur, les conducteurs humains sont toujours nécessaires à leur bord pour reprendre la main en cas de problème, la législation ne permettant pas qu’un véhicule sans conducteur prenne la route.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Découvrez ces choses insolites à absolument


Est-ce nécessaire de savoir ces choses ? Non pas vraiment, cependant cela permet de d’élargir un peu notre savoir
Nuage

 

Découvrez ces choses insolites à absolument

 

1. Comment fonctionne une serrure ?

@malloxcast


2. Le nom du premier satellite français est Astérix

@exponaute

Il a été envoyé dans l’espace en novembre 1965. La classe. A l’origine il avait été baptisé Zébulon ( pour le manège enchanté), mais c’est Astérix qui l’a emporté.

 
3. Les vers de terre ont-ils un coeur ?

@ceiba.canalblog

Ils en ont même 4.

4. Le Ketchup a été vendu dans les années 1830 en tant que médicament

@reborbit

Il servait, entre autre, à traiter la diarrhée. C’est tout ce qu’on a retenu. 

5. Comment sont-faits les sandwichs glacés ?

@disqus

La réponse en images. 

6. Le premier véhicule automobile était un Fardier de Cugnot

@largus

Inventé par Nicolas-Joseph Cugnot, il s’agit d’un fardier d’artillerie mû par une machine à vapeur.

7. Les traces de pas de Neil Armstrong sur la Lune vont-elles s’effacer ?

@rezonanceblog

Eh non, elles sont encore là pour une bonne centaine d’années. 

8. Comment sont fabriquées les pâtes ? 

@lemondedusurgele

Farine, oeufs, huile, sel, eau, et le tour est dans la poche. De la véritable magie, les pâtes…

9. Comment fonctionne les marionnettes des Guignols de l’info ? 

@sudouest

Ils sont deux par marionnettes ! 

10. Comment sont faits les oeufs Cadbury ? 

@newscentral

11. La Wifi fonctionne-t-elle mieux si vous la mettez au coeur de votre maison ?

@jasoncolejohnadams

La réponse est donc oui, le réseau correspond aux petits traits blancs, quasiment bien répartis. 

12. Pourquoi les glaçons collent-ils à vos doigts ?

@amelioretasante

Figurez-vous que la sueur contenue sur nos doigts fait adhérer les glaçons à notre peau, à cause de la grosse différence de température.

13. Comment dessiner une rose facilement ?

@trusper

.

http://www.demotivateur.fr/

Deux hackers ont réussi à prendre le contrôle d’un fusil «connecté»


En plus qu’il y a trop d’armes à feu en circulation, il faut que des armes soient encore plus précises avec l’informatique. Et comme toutes choses connectées est susceptibles d’être piraté, ce n’est vraiment pas une technologie intelligente
Nuage

 

Deux hackers ont réussi à prendre le contrôle d’un fusil «connecté»

 

 

Runa Sandvik et Michael Auger, spécialistes de sécurité informatique qui ont réussi à prendre le contrôle à distance d’une arme à feu | <a href="http://www.wired.com/2015/07/hackers-can-disable-sniper-rifleor-change-target/" target="_blank">Wired</a>

Runa Sandvik et Michael Auger, spécialistes de sécurité informatique qui ont réussi à prendre le contrôle à distance d’une arme à feu | Wired

Un couple de spécialistes de sécurité informatique a réussi à prendre le contrôle à distance d’une arme à feu munie d’un «système de précision guidée».

Des voitures au frigo en passant par la brosse à dents, tous les objets veulent aujourd’hui être «connectés» ou «smart». L’armement n’est pas resté en marge de cette tendance, et un fabricant américain propose par exemple des fusils de chasse à assistance informatique pour la visée. L’entreprise Tracking Point commercialise des modèles munis d’un système de «précision guidée»: la ligne de mire se fixe sur la cible et le point d’impact le plus précis souhaité. Le logiciel prend en compte des aléas comme le vent, la température et le poids des munitions pour ajuster le tir. Environ un millier de ces fusils, vendus 13.000 dollars, sont en circulation.

Or Runa Sandvik et Michael Auger, un couple de spécialistes de sécurité informatique, ont réussi à prendre le contrôle à distance de cette arme à feu, et montrent leurs exploits dans une vidéo réalisée par le site Wired.

Car comme tous les objets connectés, l’arme a un point faible: permettre un point d’entrée au réseau, en l’occurrence une connexion wifi. Cette connexion permet notamment à l’heureux détenteur d’un modèle semi-automatique de devenir «la star de sa propre chasse» en diffusant en direct sur n’importe quel écran connecté ce qu’il voit dans l’œilleton, idéalement auprès des membres de sa famille tranquillement installés dans leur salon…

http://www.slate.fr/

Google : un brevet pour un effrayant ours en peluche connecté


Je n’aime pas trop l’idée d’un jouet pour enfant ayant des caméras, micros et tout le tra la la et qui en plus se connecte à un serveur. Maintenant, il y a tellement de façon d’aller chercher des informations sur les gens qu’en plus, ils vont trouver une autre porte d’entrée dans les maisons grâce à ses jouets
Nuage

 

Google : un brevet pour un effrayant ours en peluche connecté

 

Le brevet décrit des peluches équipées de micros, caméras et haut-parleurs.Photo : Capture d’écran

VIE PRIVÉE — Google a déposé un brevet décrivant les peluches bardées de micros et caméras. Elles seraient capables d’interagir avec son interlocuteur, mais effraient surtout quant aux questions de vie privée au sein du foyer.

Vous aviez déjà peur de Chucky, l’effrayante poupée star de la série de films d’horreur ? C’était sans compter le brevet déposé par Google le 21 mai dernier concernant des jouets connectés, à qui certains le comparent déjà. En l’analysant en détail, on s’aperçoit ainsi que la société californienne voudrait équiper des jouets de caméras (dans les yeux), de micros (dans les oreilles), de haut-parleurs (dans la bouche) et d’un moteur dans le cou.

Un dessin d’illustration du brevet montre ainsi un ours et un lapin en peluche équipés de ces technologies. Le jouet décrit pourrait donc écouter son interlocuteur, tourner la tête quand il l’appelle, mais aussi lui répondre en fonction de sa demande.

Un espion dans la maison ?

Également équipés de WiFi et de Bluetooth, ces jouets pourraient se connecter à d’autres équipements de la maison pour lancer de la musique ou un film. Ils joueraient ainsi le rôle d’une télécommande intelligente au sein du foyer. Le système décrit pourrait aussi prendre une forme anthropomorphique et s’imposer comme un robot domestique, tel un majordome connecté.

Brevet jouet connecté Google

L’utilisation de ce type d’équipement dans la maison pose cependant des problèmes éthiques. Le jouet serait capable de déterminer qui lui parle grâce à la reconnaissance faciale et proposer des préférences personnalisées en fonction de son interlocuteur. Mais ses caméras et ses micros pourraient également devenir des points d’entrée privilégiés dans l’un des derniers bastions de la vie privée : le domicile.

Le modèle économique de Google, basé sur la publicité ciblée en fonction des comportements des utilisateurs, pourrait de la sorte s’enrichir de nouvelles données importantes, comme les heures de présence au domicile et les habitudes de ses occupants. La société cible aussi de plus en plus les enfants. En février, elle mettait ainsi en ligne l’application YouTube Kids, qui leur spécifiquement destinée. Des jouets finalement pas si inoffensifs que ça.

http://www.metronews.fr/

A peu près tous les objets connectés ont déjà été piratés


Presque tout peut être connecté sur Internet, et peut donc être piraté. Est-ce que cela vaut vraiment la peine d’avoir un grille-pain, un thermostat et bien d’autre chose connecté au réseau ? Même si on ne voit pas l’utilité de certains objets à être piratés, certains aiment prouver qu’ils sont capables de le faire, que cela est possible ou que même les fabricants y voient un certain avantage de tout savoir sur vos habitudes
Nuage

 

A peu près tous les objets connectés ont déjà été piratés

 

L’Internet des objets par Wilgengebroed | FlickR licence cc by

Lily Hay Newman et Andréa Fradin

A ce moment de l’année en 2013, de nombreuses études désignaient 2014 comme l’année de l’Internet des objets. La prédiction était partout. Bien sûr, il y avait quelques sceptiques, mais le buzz entourant les maisons intelligentes, le quantified-self (le fait de suivre et mesurer le moindre de ses faits et gestes), et l’interconnexion générale était bien partout.

Cette vision a sérieusement déraillé. L’année 2014 s’est avérée être en réalité l’année du piratage. Mais ce n’est pas une coincidence qu’on ait voulu une année de l’Internet des objets et qu’on ait eu à la place une année de l’Internet piraté. Plus il y a d’appareils et de points d’entrée sur le réseau, plus il y a d’opportunités pour un intrus de trouver un moyen de s’y faufiler. Cela ne rend pas ces piratages moins intelligents… ou problématiques.

Voic une liste de chaque appareil, chaque gadget personnel, chaque objet domestique qui a déjà été l’objet d’une intrusion informatique.

Frigo, pacemakers, TV, clés USB, imprimantes…

 

Une bouilloire et des fers à repasser: même ces objets semblant parfaitement inoffensifs peuvent avoir des puces espionnes en eux, comme l’explique cet article de CBS.

Des imprimantes: il y en a au moins une dans chaque bureau voire foyer, et toutes peuvent être piratées pour faire des choses rigolotes comme jouer à un bon vieux jeu vidéo… mais aussi pour des trucs moins marrants. Rappelez-vous par exemple de cette enquête de journalistes norvégiens, qui a prouvé que bon nombre d’imprimantes connectées à Internet sans être protégées par un mot de passe pouvaient être pilotées à distance. Pour imprimer des messages flippants ou voler des documents envoyés sur l’appareil…

Une réalité également valable en France, comme l’a démontré cette enquête de Rue89, qui s’inspire de l’expérience norvégienne.

Des appareils médicaux: si la série Homeland nous a bien appris quelque chose, c’est que les pacemakers peuvent être piratés. Et ils peuvent vraiment l’être, ainsi que les défibrillateurs, les pompes à insuline, entre autre équipement hospitalier. Chouette.

Des lumières connectées: Philips Hues et d’autres ampoules intelligentes ont été compromises, en partie parce qu’elles sont organisées dans des réseaux dits mesh ad hoc, où les émetteurs et les récepteurs de chaque ampoule sont mal sécurisés, et utilisent le réseau-Wi-Fi pour partager des données. Et c’est le problème de bien des appareils de l’Internet des objets.

Des télévisions «intelligentes»: on peut en faire des choses avec ces écrans là. Les pirates peuvent voler les identifiants d’un compte, et prendre le contrôle des micro et caméras incorporés au téléviseur pour garder un oeil (et une oreille) sur votre vie.

Tout ce qui filme (caméra pour surveiller bébé, caméra de sécurité…): beaucoup de ces appareils sont protégés par un mot de passe facile à trouver, voire inexistant, ce qui permet aux intrus de suivre en direct ce qu’il se passe dans votre maison. Ou votre bureau.

Là encore, se référer à l’enquête norvégienne sur l’Internet des objets pour avoir des exemples concrets… et saisissants.

Et donc, les webcams aussi: elles sont la cible de hackers malveillants depuis des années. Pour faire court, on peut considérer que toutes les caméras, ainsi que tous les micro incorporés, représentent un risque. Particulièrement parce qu’ils capturent des données qui ont potentiellement une certaine valeur.

Le problème, c’est qu’il est difficile de dire si ces appareils ont été ou non compromis. Comme l’a dit Andrew Paterson, du Britain’s Information Commissioner’s Office (ICO) (qui s’occupe de thématiques telles que les données personnelles ou la vie privée en Grande-Bretagne), à CNN:

«Si vous pouvez accéder à distance à quelque chose, cela signifie que d’autres peuvent aussi y accéder et que vous devez donc le verrouiller. Sinon, vous vous exposez à un risque.»

La prise de contrôle d’un ordinateur à distance, parfois pratique, n’a rien de nouveau: dans les années 1998, le bien nommé «Back Orifice» permettait par exemple de s’y livrer. Sans surprise, des utilisations malveillantes de ce programme (et de dérivés équivalents) en ont été faites, notamment via les webcams des internautes.

Les thermostats: un hacker malveillant avec un accès physique à un réseau de Nest, boîte de domotique récemment rachetée par Google, a prouvé pouvoir compromettre un thermostat en 15 secondes. Et nos journalistes norvégiens, toujours eux, ont aussi fait joujou avec le chauffage central d’un immeuble non protégé par un mot de passe.

Les objets pour le sport: FitBits a été victime d’une intrusion, mais de manière plus générale, la plupart des bracelets connectés et objets pour le fitness sont vulnérables, à en croire une étude datant du mois de juillet de la société de sécurité Symantec.

Des grille-pain: de nombreux équipements de cuisine ont été piratés

Des réfrigérateurs: … et les frigos ne font pas exception. Selon certains observateurs, ils serviraient à relayer des attaques DDoS, mais d’autres se montrent plus sceptiques.

Des clés USB: là encore, rien de nouveau sous le soleil, mais il est bon de savoir que ces appareils de stockage ont une vulnérabilité intrinsèque. Comme d’ailleurs potentiellement tout autre dispositif mobile (oui, même les disquettes!). C’est une règle de base en sécurité informatique: dès que quelqu’un peut prendre, pour le trifouiller, un appareil susceptible d’être branché sur votre ordinateur qui contient lui-même des informations sensibles, faites attention.

Cigarettes électronique: il ne s’agit pas d’une intrusion visant à subtiliser des données, mais il est possible de trafiquer des e-cigs pour les rendre, disons, plus efficaces.

Des systèmes d’alarme domestique: la vie a un certain sens de l’ironie, non? Plus sérieusement, ce n’est pas très encourageant.

Les toilettes: d’abord, oui, il existe des toilettes connectées. Ensuite, oui, elles peuvent aussi être piratées.

Au-delà du piratage: l’usage de nos données

 

La plupart de ces piratages et autres vulnérabilités informatiques ont été découverts par des chercheurs en cybersécurité, et, concernant ces dernières, nombreuses sont celles qui ont été réparées et patchées. Mais elles soulignent le potentiel de l’Internet des objets, et en général, de toute chose branchée à un réseau, à être piraté. Ainsi, plus «intelligentes» sont les voitures, plus vulnérables elles deviennent. Même les Teslas. Oh, et aussi les avions. Et les bornes de retrait.

Et au-delà même: sans parler de piratage, tous ces objets drainent des données sans cesse plus finement analysées par les entreprises qui les fabriquent.

Parfois, contre votre gré même, comme l’a montré cette expérience d’un informaticien anglais sur son téléviseur LG. Parfois pour obtenir des choses intéressantes, voire ludiques, comme l’a montré cette carte de l’heure à laquelles les gens vont se coucher le soir du 31 décembre, obtenue à partir d’un bracelet connecté. Mais à chaque fois pour obtenir un profil toujours plus détaillé et massif de l’humanité.

http://www.slate.fr

Des chercheurs québécois inventent des textiles intelligents


 

Nous avons des téléphones intelligents, des frigos intelligents, des automobiles intelligents et pourquoi pas des textiles intelligents qui serviraient à informer une personne si elle à des problèmes de santé comme son taux de glucose ….
Nuage

 

Des chercheurs québécois inventent des textiles intelligents

 

Photo AFP

La Presse Canadienne

Des chercheurs de la Faculté des sciences et de génie et du Centre d’optique, photonique et laser de l’Université Laval ont mis au point des textiles intelligents capables de capter des informations biomédicales sur les personnes qui les portent et de les transmettre par WiFi ou cellulaire.

Cette percée technologique, dont les détails sont rapportés dans un article publié récemment dans la revue Sensors, pourrait déboucher d’ici quelques années sur une foule d’applications destinées aux personnes souffrant de maladies chroniques, aux personnes âgées vivant seules ou même aux pompiers et policiers en service.

L’équipe supervisée par le professeur Younès Messaddeq est parvenue à produire cette fibre textile en superposant plusieurs couches de cuivre, de polymères, de verre et d’argent.

Le chercheur a expliqué par voie de communiqué que cette fibre agit à la fois comme capteur et comme antenne. Elle est résistante et malléable et peut être tissée avec de la laine ou du coton. De plus, la qualité du signal qu’elle produit est comparable à celle d’antennes commerciales, a-t-il dit.

Le professeur Messaddeq a révélé que la surface de cette fibre peut être modifiée afin de capter différents types d’informations, notamment sur le taux de glucose, le rythme cardiaque, l’activité cérébrale, les mouvements et les coordonnées spatiales.

Une demande de brevet a déjà été déposée pour cette technologie, dont quelques éléments doivent encore être améliorés avant d’en envisager la commercialisation. Il faudra ainsi la relier à un réseau sans fil et régler la question de l’alimentation électrique.

Les chercheurs veulent aussi s’assurer que le textile est lavable et qu’il résiste aux produits contenus dans les détergent.

http://www.lapresse.ca