Bonheur


Il y a des choses, des évènements, des personnes qui nous ne pouvons rien changer. On a beau tout essayer, mais nous maître que de nous-même. Il faut peut-être juste laisser le temps agir.
Nuage

 

Bonheur

 

« Il n’y a qu’un chemin pour le bonheur, c’est de cesser de nous tracasser pour des choses qui ne dépendent pas de notre volonté. »

Epictète

La route


On s’entête souvent à vouloir changer ce que nous ne pouvons contrôler que ce soit un événement, le passé ou encore une personne. C’est bien dommage, on ne vit pas le présent, on ne voit pas les bonheurs qui peuvent passer devant nous
Nuage

La route

 

Il n’y a qu’une route vers le bonheur c’est de renoncer aux choses qui ne dépendent pas de notre volonté.

Epictète

Vouloir


C’est clair quand on veut quelque chose, ce n’est pas juste la volonté qu’il faut, mais aussi l’action
Nuage

 

Vouloir

 

Vouloir une chose, mais sans essayer, c’est comme vouloir nager sans se mouiller

Wilson Kanadi

Le sixième sens


On peut perdre un ou plusieurs sens, mais le sens l’envie de vivre, s’il manque alors, il est beaucoup plus difficile de surmonter n’importe quels obstacles
Nuage

 

Le sixième sens

 

“Les 5 sens des handicapés sont touchés mais c’est un 6e qui les délivre ; bien au-delà de la volonté, plus fort que tout, sans restriction, ce 6e sens qui apparaît, c’est simplement l’envie de vivre.”

de Grand Corps Malade

Pourquoi il ne faut pas prendre de décision importante en fin de journée


Il est préférable avant une décision surtout financière, de bien choisir le moment, de laisser reposer le cerveau, par la lecture, les jeux, et autre.. Cela est un atout aussi pour la santé et la réussite
Nuage

 

Pourquoi il ne faut pas prendre de décision importante en fin de journée

 

Barack Obama lors d'une réunion à la Maison Blanche en 2009 | Pete Souza/White House photostream via Flickr CC License by

Barack Obama lors d’une réunion à la Maison Blanche en 2009 | Pete Souza/White House photostream via Flickr CC License by

Faire marcher longtemps son cerveau, c’est épuiser ses régions impliquées dans la prise de bonnes décisions et risquer les choix idiotement impulsifs.

Le jeu en vaut la chandelle. Savoir résister à la tentation des petites gratifications à court terme, pour leur préférer les grosses récompenses lointaines exigeant un effort mental soutenu relève d’une aptitude cruciale pour le déroulé optimal de notre existence. Le problème, c’est que la volonté n’a rien d’une ressource illimitée et qu’il suffit parfois de peu de choses pour nous pousser sur la voie de la facilité et des décisions regrettables.

Une étude publiée dans le numéro de juin des PNAS et menée par l’équipe de Bastien Blain, chercheur à l’INSERM spécialisé dans la neurologie de la motivation, met en lumière les régions cérébrales les plus touchées par cette satanée fatigue mentale et prouve qu’après une journée particulièrement harassante pour les neurones, mieux vaut s’abstenir de prendre toute décision importante, notamment financière.

Les participants de cette étude devaient passer six heures à plancher sur des exercices mémoriels relativement compliqués et, à intervalle régulier, les chercheurs leur demandaient de choisir entre une petite somme d’argent tout de suite, ou une plus grosse plus tard. En face, un autre groupe de cobayes était soumis à la même alternative, mais après une journée relax passée à lire ou à jouer.

Résultat, non seulement les individus soumis aux épreuves mentales difficiles étaient les plus susceptibles de tomber dans le piège de la gratification à court-terme, mais une IRMf de leur cerveau allait montrer une diminution très significative de l’activité de leur gyrus frontal moyen, une zone connue pour son implication dans les processus de prise de décision.

«Ce qui laisse entendre que cette région perd en réactivité», explique Blain, «ce qui pourrait diminuer la capacité des individus à résister à la tentation».

Une aptitude des plus essentielles, vu que des travaux antérieurs ont montré que les enfants capables d’ignorer à l’appel d’une gratification à court terme – et de lui préférer un bénéfice plus lointain mais plus élevé – réussissaient mieux dans leur vie en termes scolaires, professionnels ou même sociaux. De même, les individus à la volonté la plus résistante sont ceux qui ont le moins de risque de se retrouver en prison, d’être victimes du stress ou encore de mourir précocement.

http://www.slate.fr/

Redéfinir l’échec pour se sentir plus en confiance


Voir l’échec comme un fait négatif, nous empêche de voir que nous pouvons trouver d’autres moyens d’y parvenir ou simplement nous orienter vers d’autres buts
Nuage

 

Redéfinir l’échec pour se sentir plus en confiance

 

L’échec ne signifie pas que vous êtes un raté…
      Ça signifie que vous n’avez pas encore réussi.
L’échec ne signifie pas que vous n’avez rien accompli…
     Ça signifie que vous avez appris quelque chose.
L’échec ne signifie pas que vous avez été idiot…
     Ça signifie que vous avez eu une grande foi.
L’échec ne signifie pas que vous êtes déshonoré…
      Ça signifie que vous avez eu la volonté d’essayer.
L’échec ne signifie pas que vous ne l’avez pas…
      Ça signifie que vous devez le faire de façon différente.
L’échec ne signifie pas que vous êtes inférieur…
     Ça signifie que vous n’êtes pas parfait.
L’échec ne signifie pas que vous avez gâché votre vie…
      Ça signifie que vous avez une raison de recommencer à neuf.
L’échec ne signifie pas que vous devez abandonner…
     Ça signifie que vous devez essayer plus fort.
L’échec ne signifie pas que vous n’y arriverez jamais…
      Ça signifie que ça prendra un peu plus de temps.

(Robert H. Schuller /extrait de « Devenez la personne que vous rêvez 
d’être » – Editions Un monde différent)