Il gardait des animaux exotiques illégalement


Comment faire comprendre que les animaux sont mieux en liberté et en plus ce monsieur avait des animaux qui sûrement devaient s’habituer a l’environnement de l’Abitibi.Témiscamingue qui leur était étranger … Et le comble .. ce fut l’amende, une risée, une sentence bonbon .. alors que des animaux ont été euthanasiés a cause des risques de contamination de maladies.
Nuage

 

Il gardait des animaux exotiques illégalement

 

Il gardait des animaux exotiques illégalement

Les sept cavy, les deux coatis, le wallaby (photo) et le kinkajou ont été envoyés au Zoo de Granby. | © Shutterstock

Peter Job, de Fugèreville, en Abitibi-Témiscamingue, a été arrêté pour avoir gardé trois macaques japonais, deux lémurs, deux coatis, un lynx du Canada, un kinkajou, un wallaby et sept cavy de Patagonie sur sa ferme, et ce, sans permis.

Grâce à des informations du public, le ministère des Ressources naturelles et de la Faune a pu procéder à l’arrestation de cet homme, qui gardait des animaux indigènes ou exotiques en captivité sans être titulaire d’un permis, ce qui contrevient à l’article 42 de la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune.

En août 2009, des agents de protection de la faune ont entrepris une enquête à la suite d’une information du public concernant des animaux indigènes ou exotiques gardés en captivité sans permis dans une ferme de Fugèreville.

Perquisition

Les agents de la faune ont procédé, le 7 avril 2010, à une perquisition leur ayant permis de mettre la main sur trois macaques japonais, deux lémurs, deux coatis, un lynx du Canada, un kinkajou, un wallaby et sept cavy de Patagonie.

«La plupart des animaux ont été envoyés dans des institutions avec des permis, a indiqué Denis Nadeau, agent de conservation de la faune au ministère des Ressources naturelles et de la Faune, division Ville-Marie. Le lynx du Canada a été envoyé au Refuge Pageau, les sept cavy, les deux coatis, le wallaby et le kinkajou au Zoo de Granby et l’un des lémurs au Parc Safari.»

Le second lémur ainsi que les macaques n’ont pas eu la même chance.

«Ces animaux sont porteurs de maladie qui peuvent même être transmises à l’homme, nous n’avons donc pas pu les envoyer dans des zoos et ils ont été euthanasiés», a fait savoir M. Nadeau.

Plus facile en Ontario

Faire l’acquisition de ce genre d’animaux n’est pas simple, mais il semble que ce soit un peu plus facile en Ontario.

«La réglementation n’est pas la même en Ontario qu’au Québec, a précisé l’agent de la faune. Ici, nous empêchons la possession de tels animaux pour des questions de santé animale, d’hygiène et de sécurité. Si tu as un macaque dans ton appartement et qu’il saute au visage de ton ami, tu es responsable.»

Non moins de 14 chefs d’accusation ont été portés contre l’individu, soit sept chefs pour garde en captivité sans permis et sept pour possession illégale. Le 15 février 2012, le défendeur a plaidé coupable à 7 des 14 chefs, récoltant une amende de 1750$.

http://fr.canoe.ca/

Montréal ► Les rats sortent des égouts


Dire qu’a New York a des rats, tout le monde le sait .. A Montréal, on s’en doute étant donné que c’est une grande ville. Mais que cette population augmente car ils profitent des accès des égouts a découverts lors des démolitions ou encore de la construction ..
Nuage

 

Montréal ► Les rats sortent des égouts

 

Les rats sortent des égouts

La multiplication des chantiers de construction à Montréal ainsi que la vétusté du réseau d’égouts de la métropole contribuent à la prolifération de rats.

Ayant révélé en 2008 qu’on retrouve quelque quatre millions de rats dans la ville, soit deux pour chaque habitant, l’équipe de J.E. a constaté que l’épidémie de rats continue de s’aggraver.

Selon l’exterminateur Harold Leavy, on note annuellement une hausse de 5 à 10 % du nombre de plaintes enregistrées par des citoyens et la situation continuerait de s’aggraver, un phénomène qui ne serait pas étranger aux travaux effectués dans certains quartiers de Montréal.

Oeuvrant dans ce domaine depuis 30 ans, M. Leavy explique que la présence de rats survient règle générale aux endroits où la Ville effectue une réparation dans le système d’égouts et à proximité des chantiers.

«Quand il y a de la construction, ça veut souvent dire qu’il y a des égouts à ciel ouvert partout», assure l’exterminateur.

La situation pose particulièrement problème dans le centre-ville, où les chantiers se multiplient. L’arrondissement Ville-Marie a toutefois refusé d’accorder une entrevue à la caméra.

La Ville de Montréal a augmenté, depuis quelques années, les sommes consacrées à la rénovation des égouts.

Harold Leavy estime néanmoins que les élus ne prennent pas le problème des rats au sérieux.

Pour appuyer ses dires, il donne l’exemple d’un terrain vague de Montréal où on retrouvait jadis deux usines ayant été démolies et dont les tuyaux d’égouts n’ont jamais été murés, fournissant du coup un passage rêvé pour les rats qui souhaitent remonter à la surface.

Un réseau fragilisé

La décrépitude du réseau d’égouts, composé de 6 000 km de tuyaux, facilite également la vie aux rongeurs.

Selon un rapport de SNC-Lavalin/Dessau-Soprin, d’ici un peu plus de 20 ans, le quart du réseau sera périmé, ce qui représente 1 500 kilomètres de tuyaux, soit la distance entre Montréal et le Manitoba.

De plus, certains travaux de construction viennent fragiliser les égouts, contribuant à l’apparition de nouvelles, qui fournissent à chaque fois une nouvelle porte de sortie aux rats.

Pendant que les bestioles continuent de courir dans les rues de Montréal, l’Alberta a complètement éliminé les rats de son territoire depuis 1950 grâce à un programme d’éradication systématique.

Imposant notamment le murage des égouts lorsqu’on démolit un bâtiment, le programme interdit également de posséder un rat domestiqué.

http://tvanouvelles.ca

Impôts ► Un batteur à oeufs de 75 000$


Je sais que les gouts ne se discutent pas mais quand même, je trouve qu’on peut faire n’importe quoi en prétextant que c’est de l’art, mais ce qui est plus frustrant c’est l’argent allouer a cette mascarade alors qu’il y a des besoins beaucoup plus criants qu’un batteur a oeuf en sculpture qui ne sert strictement a rien ..
Nuage

 

Impôts  ► Un batteur à oeufs de 75 000$

Impôts - Un batteur à oeufs de 75 000$

L’oeuvre intitulée Mélangez le tout qui est sur le point d’être complétée derrière le Centre Jean-Claude Malépart va coûter près de 75 000$ aux contribuables montréalais.

© Mélanie Colleu/Agence QMI

MONTRÉAL – La collection en art public de la Ville de Montréal ne cesse de s’agrandir. Dernière acquisition: un batteur à œufs géant d’une valeur approchant 75 000$.

L’œuvre, intitulée Mélangez le tout, est en cours d’installation derrière le Centre Jean-Claude Malépart, dans l’arrondissement de Ville-Marie. L’instrument de cuisine de près de cinq mètres de hauteur se dresse devant l’une des entrées du complexe de loisirs sportifs, culturels et communautaires.

Les deux artistes québécois, Jean-François Cooke et Pierre Sasseville, ont remporté cet automne un concours organisé par le bureau d’art public de Montréal qui cherchait un projet artistique reflétant le caractère multidisciplinaire du centre.

« Ce mélangeur nous a séduits, car il renvoie aux nombreuses activités que propose le complexe Jean-Claude Malépart, mais également à la diversité de la population qu’il attire. C’est un objet étonnant », a estimé Francyne Lord, chef de section au bureau d’art public à la Ville de Montréal.

« Il a effectivement une forme particulière, mais comme Philadelphie a son épingle à linge, Paris sa bicyclette ensevelie ou Barcelone son carton d’allumettes, Montréal a maintenant son batteur à œufs », a-t-elle ajouté.

Un budget en expansion

Le budget consacré à l’art public à Montréal est en hausse depuis quelques années, selon Mme Lord.

« L’augmentation des constructions de grands équipements sur l’île de Montréal nous donne accès à des fonds supplémentaires pour commander des œuvres », a-t-elle expliqué.

La loi oblige entre autres les constructeurs d’édifices publics à consacrer 1 % de leur budget à la création d’une œuvre d’art public permanente.

Actuellement, la Ville de Montréal est propriétaire de 307 œuvres. Le plus petit projet a coûté 24 000 $ et le plus coûteux, place Émilie Gamelin, près de 375 000 $. La majorité de ces œuvres sont exposées dans l’espace public (parc, place, rue), tandis que les autres sont intégrées dans l’architecture (verrières, murales, etc.).

Le saviez-vous?

Réévaluée en 2002, la sculpture L’Homme d’Alexandre Calder, installée au parc Jean-Drapeau, a été estimée à 52 millions $ US. C’est l’œuvre la plus chère du Canada.

http://fr.canoe.ca