Le Saviez-Vous ► Pourquoi fait-on le “V” de la victoire ?


V pour Victoire a commencé dans une radio de Londres à la demande de l’animateur pendant la Résistance de la Deuxième guerre mondiale.
Nuage

 

Pourquoi fait-on le “V” de la victoire ?

 

Vous allez me dire que la réponse est dans la question. Le V de la victoire vient précisément de la Victoire, qui commence par la lettre V. Et vous aurez raison.

Mais de quelle victoire s’agit-il ? Et pourquoi l’expression a-t-elle été accompagnée du geste ? Voici plus d’explication.

Selon l’historienne Aurélie Luneau dans son livre “Radio Londres 1940-1944 Les voix de la liberté”, tout commence à la BBC à l’époque de la Résistance, pendant la seconde guerre mondiale.

Le 14 janvier 1941, sur les ondes de la section belge de cettte radio, l’animateur Victor de Laveye s’adresse à ses compatriotes et les incite à tracer des V partout dans le pays, en Belgique donc. Il prononça exactement les mots suivants:

“Il faut que tous les patriotes de Belgique aient un signe de ralliement, qu’ils multiplient ce signe autour d’eux, qu’en le voyant inscrit partout, ils sachent qu’ils sont une multitude. Et que l’occupant, lui aussi, en voyant ce signe, toujours le même, se répéter indéfiniment, comprenne qu’il est entouré, par une foule immense de citoyens belges qui attendent impatiemment son premier fléchissement, guettent sa première défaillance”.

Quel signe de ralliement ? Victor de Laveye le précise:

“Je vous propose comme signe de ralliement, la lettre V. Pourquoi ? Parce que V, c’est la première lettre de Victoire en français et Vrijheid (Liberté) en flamand”.

Ce mot d’ordre fut un immense succès. Dans les jours, semaines et mois qui suivent, les V fleurissent partout en Europe. En Belgique d’abord puis aux Pays-Bas et en France. Graffitis sur les murs, les voitures etc… il se décline également en morse, par la succession de trois signaux courts, suivis d’une note finale plus longue.

Mais celui qui fit passer à la postérité ce signe est Winston Churchill , Premier ministre britannique. Il fait le geste du V avec ces doigts, index et majeur écartés, et un photographe l’immortalise ainsi le 5 juin 1943.

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L’échec


Notre vision de l’échec est souvent faussée par notre négativiste, pourtant, comment savourer une victoire si nous n’avons pas eu à essuyer des échecs ?
Nuage

 

L’échec

 

 

« L’échec n’existe pas vraiment. Car tu gagnes autant de tes défaites que de tes victoires. Tes défaites sont là pour te réveiller ! Donc ne te laisses pas décourager par ça. Ta vie est bien plus grande que ce simple mauvais moment. »

Oprah Winfrey

La satisfaction


Toute notre vie, nous avons courrons après un but que ce soit a l’école, sur le marché du travail, sur nos projets, il faut réussir sinon, c’est l’échec. Pourtant, ce qui importe, c’est la satisfaction de notre effort, c’est de donner notre maximum et ce peu importe le résultat.
Nuage

 

La satisfaction

 

« C’est dans l’effort que l’on trouve la satisfaction et non dans la réussite. Un plein effort est une pleine victoire. »

Gandhi

Nos démons intérieurs


Nos démons intérieurs sont nos pires ennemis, que ce soit un défaut, une mauvaise habitude, une addiction, se rattacher trop au passé, des secrets trop lourds à porter, et encore beaucoup d’autres. Nous avons le choix de les nourrir ou de travailler à les éliminer un à un
Nuage

 

Nos démons intérieurs

 

On peut vaincre des milliers d’obstacles et d’adversaires, mais celui qui vainc ses démons intérieurs détient la victoire la plus noble.

Shakyamuni

L’échec


Ce n’est pas facile de se relever après un échec et pourtant, c’est un nouveau tremplin pour mieux réussir en prenant l’expérience de façon positive
Nuage

 

L’échec

 

Apprenez à aimer vos échecs, car ce sont eux qui vous bâtiront. Ce sont vos échecs qui donneront toute leur saveur à vos victoires.

Joël Dicker

La peur, ce goût amer


Il y a des jours qu’on sent le monde en ébullition comme pour percer un abcès mais en vain, ..Nous avons un idéal quand nous étions enfant mais en grandissant les choses ont changer .. certains ont réussit d’autres pas .. mais on sent cette pression qu’on nous impose par des ceux qui gouvernent. Quand cette pression s’étend a un groupe, foule, il y a risque d’éclatement
Nuage

 

La peur, ce goût amer

 

 

Avons-nous si peur du progrès
Que nous laissons grandir l’abcès
Des sentiments issus du feu
Espérant ne perdre l’enjeu

Où est cette graine qui jadis
Fût semé dans un oasis
Au cœur même de notre enfance
Qui, grandissant devient souffrance

L’envie de forger une victoire
Être l’empreinte dans l’histoire
Ce rêve de changer les choses
Mais la peur, le temps l’ankylose

L’être sur l’autel du sacrifice
Hypnotisé par les artifices
S’ancre tel l’agonie vers la mort
Balai de sorcière sur nos sorts

Comme si mes nerfs se déracinent
Forcé de vivre ce qui lancine
Je ne veux plus voir la télé
Vivre le coeur moins affolé

La peur me donne ce goût amer
Et m’envenime tel un cancer
Puis, s’infiltre jusqu’à mon cerveau
Déguise tout ce que j’ai de beau

J’ai les yeux grands ouvert, il fait noir
Malgré les deux astres de l’espoir
Le ciel du destin s’est assombri
Au cœur néant de l’homme meurtri

Est-il mieux d’être aveugle et sourd
Ce sentiment devient plus lourd
Devant les erreurs des nations
Sans magie, sans incantations

Tous ces rêves se sont échappés
Bannissant les printemps escarpés
Laissant les hivers prendre le trône
Confisquer la moindre aumône

Il ne me reste que les miettes
De mes passions encore secrètes
Que les souvenirs qui s’estompent
Par la faute de ces chefs qui trompent

Il faut suivre à la lettre, les ordres
Montrer souplesse facile à tordre
Se soumettre que pour exister
Ainsi la paix peut-elle persister ?

Rachel Hubert (Nuage) Saïd
12 Avril 2004

Écoute la terre


Je ne sais pas si vous en souvenez mais en 2003 ce fut la guerre en Irak lancé par Bush. Voyant les nouvelles, les bêtises humaines, les erreurs des soi-disant alliés et toutes ces innocentes victimes …
Nuage

 

Écoute la terre

 

Écoute la terre, d’où sort les murmures
De poètes déchus, fréquentant les nuits
Dépeindre sous leurs pierres, de leurs tombes impures
Quelques vies fichues, d’un destin enfuient
Les proses de l’histoire, inscrite à jamais
De soupirs confiés, à l’oreille distraite
D’amour illusoire, d’un semblant de paix
De rêves mystifiés, mit à la retraite

Écoute la terre qui quelquefois tremble
Engouffre dans les abîmes, les peuples insoumis
Victoire de cette guerre, d’où la vie s’affole
Voulant taire les crimes de l’homme ennemi
Entasse ses ossements, réduit en poussière
Mais l’âme en sursis, attend le procès
De son châtiment, dans le cimetière
Sans le paradis, viens les pires regrets

Écoute la terre, d’où coulent les ruisseaux
Le murmure du vent, le bruissement des feuilles
Au calme du désert, au chant des oiseaux
Du son sanglotant, d’un nuage en deuil
Tous les secrets que dévoile ce monde
Unissant ses forces à cette création
Oubli le rejet, de cette fausse Joconde
Ce n’est que l’écorce, d’une simple illusion

Rachel Hubert (Nuage)
23 juin 2003