Cette nouvelle espèce de veuves noires pond des œufs violets


Une araignée que personne n’avait jamais vue, ni les habitants de l’endroit. Après 2 ans d’observation de cette veuve noire et on fini par conclure que c’est une nouvelle espèce qui en plus fait des œufs violets …
Nuage


Cette nouvelle espèce de veuves noires pond des œufs violets


Crédits : Wild Tomor­row Fund

par  Malaurie Chokoualé Datou

Craintes pour leurs morsures poten­tiel­le­ment mortelles, il exis­tait déjà plus de 30 espèces d’arai­gnées Latro­dec­tus, dont Latro­dec­tus mactans est la veuve noire la plus connue. Mais le Daily Mail rapporte qu’une nouvelle espèce de veuves noires a été décou­verte en Afrique du Sud.

Dans un article publié dans la revue Zootaxa, les scien­ti­fiques décrivent ainsi Latro­dec­tus umbuk­wane et ses étranges œufs violets.

Présen­tant une étrange tache rouge en forme de point d’ex­cla­ma­tion sur son dos noir luisant, cette arai­gnée a été décou­verte pour la premier fois en 2014 par l’en­to­mo­lo­giste au Wild Tomor­row Fund Barbara Wright et son équipe. Iels étaient resté·e·s scot­ché·e·s face à la « taille » de l’arai­gnée « et ses couleurs ».

Pendant deux ans, iels ont observé Latro­dec­tus avec atten­tion, et ont enfin conclu qu’il s’agis­sait d’une nouvelle espèce, endé­mique de la province du KwaZulu-Natal.

« Nous n’avons encore rencon­tré personne qui l’ait vue avant de décou­vrir le premier spéci­men, et cela inclut les commu­nau­tés locales », a fière­ment déclaré Wright. « Ce sont des arai­gnées extrê­me­ment secrètes et timides, qui se cachent dans les creux des arbres dans un type de végé­ta­tion rare auquel peu de gens ont accès. »

Ils ont égale­ment noté l’étrange couleur violette de son sac d’œufs, ce qui n’avait encore jamais été observé chez Latro­dec­tus. Les scien­ti­fiques ignorent pour l’heure le but et l’ori­gine de cette éton­nante couleur vive.

https://www.ulyces.co/

La veuve noire du nord s’installe au Québec


Ceux qui ont peur des araignées au Québec, vont frémir en sachant que la veuve noire est dans le sud du Québec. Pas de panique, elle mord rarement et son venin est minime, elle préfère fuir si elle se croit en danger. En tout cas, j’aimerais bien en voir une, elle est toute belle.
Nuage

 

La veuve noire du nord s’installe au Québec

 

La veuve noire du nord s'installe au Québec

Agence QMI

 

La veuve noire du nord a élu domicile dans le sud du Québec, démontre une étude scientifique publiée mercredi.

Selon les chercheurs de l’Insectarium, de l’Université McGill et de l’Université du Québec à Rimouski, l’araignée a été découverte à l’état sauvage à trois endroits différents dans le sud du Québec et à Ottawa. Ces découvertes ont confirmé les prédictions établies par les scientifiques à partir de techniques de modélisation.

Selon les chercheurs, on pourrait retrouver cette espèce de veuve noire dans tout le sud du Québec, jusqu’au lac Saint-Pierre.

L’arachnide ne pose toutefois pas de réel danger pour l’homme. D’après les chercheurs, elle mord très rarement et la quantité de venin qu’elle injecte est minime. De plus, elle tend à fuir les humains, qui représentent un danger pour elle.

Comme son nom l’indique, la veuve noire du nord est de couleur noire et affiche un motif de sablier entrecoupé au milieu sous son abdomen. Elle porte également une série de points rouges, et parfois des lignes pâles sur la portion dorsale de son abdomen. La toile qu’elle tisse est irrégulière.

La veuve noire du nord se cache dans des endroits reclus et sombres, notamment sous de vieilles souches, dans des cavités et des recoins d’édifices.

L’étude portait également sur une espèce menacée de mygale, Sphodros niger. Cette araignée a été observée jusqu’à Belleville, entre Kingston et Toronto. Si elle n’a pas encore été observée au Québec, les chercheurs croient que les conditions de son habitat pourraient y être présentes.

http://fr.canoe.ca/

Le Saviez-Vous ► Volontaire pour tester le venin de la veuve noire


Dans le monde de la science, certains chercheurs ont le courage d’être volontaire pour des piqûres d’insecte. Souvent pour tester les effets du venin et les moyens pour faire disparaître les effets secondaires de la piqûre, car certains sont dangereux pour l’être humain
Nuage

 

Volontaire pour tester le venin de la veuve noire

Pierre Barthélémy

Dans la surprenante histoire de la science improbable, une place à part est réservée à ces chercheurs qui n’hésitent pas à risquer leur vie pour assouvir leur curiosité.

Dans la surprenante histoire de la science improbable, une place à part est réservée à ces chercheurs qui n’hésitent pas à risquer leur vie pour assouvir leur curiosité. En  mars 1923, The Journal of Parasitology publiait ainsi une étude dans laquelle un certain William J. Baerg, zoologiste à l’université de l’Arkansas, racontait comment il s’était fait, l’année précédente, volontairement mordre par une veuve noire, une des araignées les plus dangereuses du continent nord-américain.

William J. Baerg avait ses raisons. De bonnes raisons si l’on se place, comme lui, sur un plan purement scientifique. Il expliquait que, même si les récits de malheureux mordus par des araignées venimeuses abondaient, certains se révélaient douteux (les victimes, négligentes, oubliant souvent d’apporter leur agresseur avec elles à l’hôpital) et aucun de ces témoignages ne pouvait prétendre au rang de preuve scientifique. William J. Baerg décida donc qu’il allait faire de son corps un terrain d’expérience. Il n’était d’ailleurs pas novice en la matière, ayant déjà l’expérience d’une morsure de mygale à son actif.

Après avoir constaté que des rats mordus par une veuve noire se rétablissaient en l’espace de huit heures, le zoologiste américain, assisté d’un étudiant, présenta, le 10 juillet 1922, le majeur de sa main gauche à une des trois araignées qu’il avait utilisées lors de ses tests avec les rongeurs. Il était 8 heures 25, la journée de travail pouvait commencer. La bestiole ne se fit pas prier et, pour s’assurer qu’une bonne dose de venin lui avait été inoculée, le chercheur compta jusqu’à cinq avant de retirer les crochets de son doigt. Faible au départ, la douleur augmenta vite.

Sept minutes seulement après la morsure, le majeur, très rouge, commença à enfler. Au bout d’une heure, la douleur se manifesta dans tout le bras gauche puis gagna du terrain : l’épaule, la poitrine, les hanches puis, enfin, les jambes. Quatre heures après le début de l’expérience, Baerg éprouva des difficultés à respirer et à parler. Il ne pouvait plus tenir debout. Son doigt le brûlait tant qu’on lui fit des compresses avec du permanganate de potassium. En vain. Dans l’après-midi, l’état du mordu volontaire s’aggrava tant qu’il fut jugé plus sage de l’expédier à l’hôpital. Alors que ses rongeurs avaient mis huit heures à se remettre, Baerg s’aperçut que, au bout du même délai, il se trouvait dans un état de souffrance inouï, ce qui lui fit sans doute mieux prendre conscience qu’il n’était pas un rat.

A l’hôpital, il trempa dans un bain, ce qui le soulagea. Puis quelqu’un eut l’idée étrange de mettre sa main dans un four électrique branché, mais la chaleur lui fit encore plus mal, au point que Baerg finit par se rebeller contre le corps médical. Il ne put dormir de la nuit, incapable de tenir plus de trente secondes immobile. Au bout de vingt-quatre heures, la douleur commença à refluer et, le 13 juillet, le chercheur put sortir de l’hôpital, non sans avoir eu quelques hallucinations durant lesquelles il se voyait travaillant frénétiquement – mais sans but aucun – avec… des araignées.

Pendant le reste de sa carrière, William J. Baerg continua de se faire mordre par des bestioles (mille-pattes, insectes divers, scorpions). En 1970, à l’âge de 85 ans, il se porta volontaire pour tester le venin d’une autre araignée, mais le scientifique chargé de l’expérience déclina son offre. Place aux jeunes ?

 

http://www.lemonde.fr

Le Saviez-Vous ► Top 8 des bestioles les plus dangereuses du monde


Heureusement, ces insectes ne sont pas présents au Québec, enfin pour le moment. Elles sont dangereuses et souvent douloureuses
Nuage

 

Top 8 des bestioles les plus dangereuses du monde

Voici le top 8 des bestioles les plus dangereuses du monde :

1. Le moustique tigre

Crédit photo : Gordon Zammit – thinkstockphotos.fr

Le moustique tigre est l’animal le plus mortel pour l’homme. Vecteur de maladies meurtrières ou graves comme le paludisme, la fièvre jaune, le Chikungunya ou le virus Zika, il tue chaque année environ 725 000 personnes.

2. Le Reduviidae ou réduve

Crédit photo : Alexandre Ribeiro dos Santos – thinkstockphotos.fr

Son nom vient du latin reduviæ, qui signifie dépouille, car il aspire le sang et la chair de ses proies. En anglais, il porte le doux nom d’Assassin bug (insecte assassin). En effet, les réduves font 10 000 morts par an.

Ce n’est pas leur piqûre qui est dangereuse, mais leurs déjections. Une fois piqué, on se gratte et on favorise la pénétration du parasite, qui entraine la maladie de Chagas, une maladie mortelle si elle n’est pas traitée à temps.

3. La mouche Tsé-tsé

Crédit photo : Geoffrey Attardo – thinkstockphotos.fr

La mouche Tsé-tsé ou Glossine cause elle aussi environ 10 000 morts par an, car elle peut être porteuse d’un virus qui transmet la trypanosomiase africaine, plus connue sous le nom de maladie du sommeil. Cette maladie est endémique dans certaines régions de l’Afrique subsaharienne et est mortelle lorsqu’elle n’est pas traitée.

4. La chenille Lonomia Obliqua

Crédit photo : Centro de Informações Toxicológicas de Santa Catarina – Wikimedia Commons

Si vous avez le malheur de vous frotter contre une chenille du genre Lonomia Obliqua, une heure après avoir constaté quelques rougeurs, vous serez pris de vertiges, puis de nausées, votre vue se troublera et des lésions commenceront à apparaître sur votre peau. Ensuite, des troubles rénaux surviendront et vous serez plongé dans un coma irréversible deux jours plus tard. Enfin, seulement si vous êtes coincé en pleine forêt amazonienne sans accès aux secours, car un traitement a été mis au point.

5. La Phoneutria ou Araignée-banane

Crédit photo : ivkuzmin – thinkstockphotos.fr

On trouve les Phoneutria dans les plantations bananières. Une seule morsure de cette araignée suffit à tuer un homme. Le venin libère une puissante neurotoxine qui bloque la transmission des signaux nerveux en direction des muscles. La respiration devient difficile et les muscles se raidissent. Chez les hommes, la morsure provoque également une érection très douloureuse qui peut durer plusieurs heures. Heureusement, un sérum antivenimeux existe.

6. La veuve noire

Crédit photo : KIKA_PHOTO – thinkstockphotos.fr

Le venin de la veuve noire ou Latrodectus mactans est un neurotoxique périphérique, le plus dangereux de tout le monde animal. Il entraine la libération d’acétylcholine et de catécholamines. Cette araignée qui mesure 1 à 1,5 cm se reconnaît à la tache rouge qu’elle porte sur le dos.

La douleur ne se fait ressentir que 10 à 15 minutes après la morsure. Elle se traduit par : une douleur au point d’injection, des contractures musculaires, des douleurs abdominales, dorso-lombaires, des céphalées et enfin par une dystonie neurovégétative, un sérum antivenimeux existe également pour les morsures de veuve noire.

7. L’Atrax

Crédit photo : By Tirin at the English language Wikipedia, CC BY-SA 3.0, via wikimedia commons

L’Atrax Robustus est certainement la plus redoutable des mygales. Cette araignée citadine au comportement agressif peut atteindre jusqu’à 7 cm de long et son venin est très toxique. Ses chélicères, très puissants, peuvent traverser une chaussure ou un jean. Sa morsure provoque une vive douleur et son venin neurotoxique perturbe le fonctionnement du système nerveux.

Dans les années 1980, après qu’elle ait fait de nombreuses victimes en Australie, un antidote a été mis au point.

8. La Paraponera

Crédit photo : Graham Wise from Brisbane, Australia (Paraponera clavata) [CC BY 2.0 (http://creativecommons.org/licenses/by/2.0)%5D, via Wikimedia Commons

La Paraponera est une fourmi qui vit dans les forêts tropicales. On l’appelle également fourmi balle de fusil en raison de sa piqûre, dont la douleur est comparable à celle provoquée par un coup de fusil. La douleur peut être ressentie jusqu’à 24 heures après la piqûre.

Certaines populations indigènes amazoniennes du Brésil et de Guyane française utilisent les fourmis du genre Paraponera dans leur rite de passage pour les garçons, au moment de la puberté. L’initié doit montrer sa capacité à résister à la douleur de la façon la plus stoïque possible

http://www.passeportsante.net/

La «veuve noire» canadienne tente de tuer son 4e mari


Une veuve noire qui malgré son âge continue a collectionné des maris dans la but de profiter pleinement de son compte en banque … et après bye bye …un voyage aller pour l’éternité
Nuage

 

La «veuve noire» canadienne tente de tuer son 4e mari

 

Un gîte au nord de Sydney, en Nouvelle-Écosse,... (Photo: PC)

 

Un gîte au nord de Sydney, en Nouvelle-Écosse, où Fred et Milie Weeks seraient allés au début du mois.

PHOTO: PC

Agence France-Presse
Montréal

Une Canadienne de 77 ans, surnommée «la veuve noire» pour avoir tué ou volé ses partenaires, est retournée en prison, accusée d’avoir tenté de tuer un homme qu’elle a épousé il y a deux semaines seulement, a-t-on appris mercredi de source policière.

Arrêtée lundi dernier par la police de Cape Breton, en Nouvelle-Écosse, Millie Weeks, connue également sous le nom de Melissa Friedrich, aurait tenté d’empoisonner son dernier mari, Fred Weeks, 75 ans, hospitalisé dimanche.

L’état de celui-ci a éveillé les soupçons des médecins, qui ont rapidement appelé la police.

Millie Weeks avait passé plusieurs années en prison pour homicide, vol et usage de faux, au Canada et aux États-Unis.

Elle avait été notamment condamnée pour avoir drogué son mari Gordon Stewart avant de lui passer dessus à deux reprises avec sa voiture, en 1991.

Condamnée à six ans de prison, elle a été libérée par anticipation, a déménagé en Floride et y a fait la connaissance de Robert Friedrich. Ils se sont mariés en 2000, puis la santé de l’homme a décliné tandis que son compte en banque a fondu. Une crise cardiaque l’a emporté en 2002.

Peu après, sa veuve a rencontré sur un site internet Alex Strategos, 73 ans. Le jour où ils ont emménagé ensemble, il a été hospitalisé pour soigner des blessures, notamment à la tête. De tels incidents se sont reproduits sept fois en deux mois.

La septuagénaire est retournée en prison en Floride après qu’une drogue peu connue eut été découverte dans l’organisme de son compagnon, dont le compte en banque avait été vidé.

Relâchée cinq ans plus tard, en 2009, elle avait alors été renvoyée au Canada.

http://www.lapresse.ca