Un éléphant d’Asie surpris en train de fumer !


Un éléphant qui fume essai-il d’imiter une mauvaise habitude des humains ? Il semble que non, heureusement. Les animaux savent que la nature peut devenir une pharmacie. Il probable que l’éléphant est pris du chardon de bois pour ce désintoxiqué, comme on le fait pour certaines personnes sous prescription
Nuage

 

Un éléphant d’Asie surpris en train de fumer !

 

Elephant d'Asie

Cet éléphant expire une épaisse fumée blanche.

© YOUTUBE / WILDLIFE CONSERVATION SOCIETY

Par Anne-Sophie Tassart

Une caméra placée dans un parc national indien a permis de capturer une scène bien étrange : un éléphant indien expirant un épais nuage de fumée.

En la regardant, « les scientifiques et les autres se grattent la tête » assure la Wildlife Conservation Society (WCS) à propos d’une vidéo qu’elle a partagé sur Youtube le 21 mars 2018.

Alors qu’ils avaient déposé des caméras dans le parc national de Nagarhole (sud-ouest de l’Inde) pour étudier les tigres et leurs proies, Vinay Kumar, un membre de la branche indienne de l’ONG américaine, et son équipe ont capturé les faits et gestes d’une éléphante d’Asie (Elephas maximus) au coeur d’une zone boisée. Jusque là, rien de bien surprenant sauf que l’animal en question…fume. En effet, un épais nuage blanc se dégage de sa bouche juste après qu’elle y ait porté quelque chose à l’aide de sa trompe.

Les vertus médicinales du charbon apparemment connues des éléphants

Le pachyderme serait-il adepte de la cigarette ou de sa version électronique ? Le Docteur Varun Goswami, chercheur affilié à la WCS et spécialiste des éléphants, a une explication plus rationnelle.

« Je pense que cet éléphant a tenté d’ingérer du charbon de bois, indique le spécialiste dans un communiqué. Elle semble ramasser des morceaux provenant du sol de la forêt, expirer les cendres qui viennent avec et consommer le reste ».

Il se peut que l’éléphante avale du charbon pour ses propriétés médicinales. En effet, l’ingestion de ce combustible peut permettre de lutter contre une intoxication.

Selon le Centre Antipoisons belge, l’administration par voie orale du charbon de bois médicinal, « permet d’absorber de nombreuses substances toxiques présentes dans l’estomac et les intestins. Ces substances se lient au charbon et sont éliminées par les selles sans exercer leur effet toxique ».

Ce produit peut être administré (sur avis médical) à des humains mais également à des chiens ou des chats, indique le centre qui a le statut de Fondation Royale d’Utilité Publique. WCS rappelle également que le charbon de bois à des propriétés laxatives.

© Youtube / Wildlife Conservation Society

« Les animaux en consomment après des feux de forêt, dans des lieux où la foudre a frappé ou après des feux contrôlés« , explique l’ONG. Finalement, apercevoir un éléphant qui fume est une situation qui peut avoir des explications tout-à-fait rationnelles.

https://www.sciencesetavenir.fr

Et votre placenta, vous le voulez comment? Cru ou en gélules?


Je sais que les animaux mangent leur placenta, mais semble-t-il, que cela évite qu’un prédateur sente qu’il y a des petits sans défense dans les parages, alors que dire, les êtres humains mangent le placenta qu’on dit qu’il a des vertus médicinales. Pour ma part, je trouve cela dégoutant, et même une forme de cannibalisme
Nuage

 

Et votre placenta, vous le voulez comment? Cru ou en gélules?

 

Le placenta d'une femme va être déshydraté par la sage-femme Claudia Booker, qui fabrique des gélules à partir de cet ingrédient, le 9 février 2015 à Washington

Le placenta d’une femme va être déshydraté par la sage-femme Claudia Booker, qui fabrique des gélules à partir de cet ingrédient, le 9 février 2015 à Washington © AFP – Raphaelle Picard

A première vue, le plat semble peu appétissant. Mais loin d’être rebutées, un nombre croissant de mères américaines – quoique très limité – mangent leur placenta après l’accouchement pour, espèrent-elles, augmenter leur production de lait ou encore réduire le baby blues.

D’ordinaire, le placenta qui pendant 40 semaines nourrit le foetus, finit dans la poubelle de l’hôpital ou dans des laboratoires, mais la pratique de le manger, appelée la « placentophagie », attire de jeunes mères encouragées par des sages-femmes qui en louent les vertus curatives.

Le placenta, un amas de tissus spongieux et très vascularisés qui nourrit le futur bébé, via le cordon ombilical, est riche en hormones et nutriments, affirment-elles.

Catherine raconte ainsi s’être enfermée dans la salle de bain trois heures après son accouchement pour détailler son placenta en gros cubes qu’elle a broyé avec du lait d’amande, du miel et des myrtilles « pour couvrir le goût », avant de congeler le reste.

D’autres le cuisent au four et préparent des lasagnes, des tacos ou font encore des truffes au chocolat.

La sage-femme Claudia Booker fabrique des gélules à partir de placenta, le 9 février 2015 à Washington © Raphaelle Picard AFP

« Cela m’avait paru une bonne idée puisque j’ai tendance à oublier mes vitamines, ce qui n’est pas le cas avec le chocolat! », plaisante Melissa, une mère de trois enfants dans le Maryland (est).

Mais la majorité le consomme en gélules.

Pour 270 dollars, Claudia Booker, une sage-femme de 65 ans aux cheveux rasés et aux oreilles tatouées, met en capsule après l’avoir desséché, le placenta de ses patientes qui, quand elle ne peut se déplacer, le déposent sur le pas de sa porte dans une cantine réfrigérée.

– Odeur de sang chaud –

Depuis six ans, son idée est d’aider certaines femmes à traverser cette période où, quelques jours après l’accouchement, elles se sentent « comme des machines usées ».

« Les capsules stimulent la libération de prolactine responsable de la production de lait », affirme Claudia Booker, tout en préparant un placenta dans l’évier de sa cuisine à Washington.

Elle le nettoie, le presse pour en faire sortir le maximum de sang puis le dispose dans un simple panier vapeur, comme le lui a appris un acupuncteur spécialisé en médecine chinoise.

Lors de cette période où les mères peuvent ressentir une extrême fatigue, voire une dépression, ces capsules « participent à la stabilisation des niveaux sanguins et hormonaux », ajoute-t-elle alors que sa maison s’emplit d’une forte odeur de sang cuit. « C’est une des pièces du puzzle qui permet de traverser ces montagnes russes de manière plus sereine ».

Après une heure de cuisson, elle coupe le placenta en tranches qu’elle place dans un déshydrateur alimentaire pendant une nuit. Puis elle moud les bandes desséchées dans un moulin à café et avec la poudre brunâtre obtenue, emplit des dizaines de gélules.

Ces morceaux déshydratés de placenta vont être transformés en gélules © Raphaelle Picard AFP

Si la science reconnaît les bienfaits hormonaux et nutritifs du placenta in utero, il n’existe aucune étude scientifique aboutie sur les bienfaits de la placentophagie chez les humains, affirme Daniel Benyshek, un anthropologue de la santé à l’université du Nevada (ouest). De même, aucun chiffre officiel ne circule sur le nombre d’adeptes de cette pratique née dans les années 1970 aux Etats-Unis.

– Vertus antidouleur –

Des études du début du XXe siècle, une autre dans les années 1950 ont mis en avant les bénéfices de l’ingestion du placenta sur la production et la qualité du lait maternel mais leurs protocoles n’étaient pas assez rigoureux, fait-il valoir.

Il souligne également la haute teneur en fer du placenta préparé qui peut s’avérer être une arme importante contre la fatigue et la dépression post-natale.

De fait, de nombreux témoignages portent aux nues cette pratique, avance-t-il. Selon un sondage qu’il a réalisé en 2013, 98% des 189 femmes interrogées, des Américaines mariées, blanches et éduquées, ont jugé l’expérience « positive ».

Le psychologue Mark Kristal de l’université de Buffalo (nord-est), explique-t-il, en a également démontré les vertus antidouleur chez la souris, à l’instar de nombreux mammifères qui le consomment juste après la naissance de leurs petits.

Daniel Benyshek publiera cet été ce qu’il affirme être la première véritable étude scientifique, réalisée auprès de trente femmes.

Pour son troisième enfant, Laura Ransom, qui habite à Las Vegas, a tenté l’expérience. Elle affirme que les capsules lui ont permis de mener de front un déménagement, un nouveau métier pour son mari et une famille nombreuse.

« Elles m’ont donné de l’énergie, ont modéré mes sautes d’humeur et une fois finies, j’ai eu des crises de larmes et je suis passée par une dépression ».

Il est difficile d’en mesurer les bénéfices réels, nuance Melissa: « Mais pour mon deuxième je n’ai pas eu de dépression post-partum, ce qui ne veut pas dire que j’en aurais eue si je n’en avais pas pris ».

 

http://www.lepoint.fr/

Le Saviez-Vous ► En Turquie, ce miel rend fou


On sait que le miel a des vertus, mais en Turquie, il y a un miel qui rend malade et pourrait être mortel quoique ces effets secondaires semble s’atténuer après une journée. Ce miel a même servi comme arme de guerre, pour rendre les ennemis trop faibles pour combattre
Nuage

 

En Turquie, ce miel rend fou

 

Les fleurs de rhododendrons contiennent une toxine qui donne cette particularité au miel. Photo : Damian Dovarganes / AP / SIPA

 

Par Justine Knapp

INSOLITE – Le miel de rhododendron, produit en Turquie, peut provoquer vertiges et troubles de la parole voire entraîner la mort.

Utilisé autrefois comme arme de guerre, il reste prisé des locaux « Le miel qui rend fou », c’est le surnom attribué à cette douceur vicieuse produite dans la région de la mer Noire, en Turquie. Au Printemps, les apiculteurs atteignent les champs de rhododendrons à flanc de montage où ils libèrent leurs abeilles. Les fleurs contiennent une toxine appelé grayanatoxine, à l’origine de ce miel redoutable.

« Il y a plus de 700 espèces différentes de rhododendrons dans le monde, mais à notre connaissance seulement deux ou trois comprennent de la grayanotoxine dans leurs nectars », précise au Modernfarmer Süleyman Turedi, docteur à l’université Technique de Karadeniza.

La concentration de ce poison dans le produit final est d’autant plus importante que les mono-cultures propres au rhododendron empêchent aux abeilles de polliniser d’autres plantes.

Une arme de guerre

Sa puissance se ressent dans les premiers symptômes après ingestion : salivation excessive, transpiration, vomissements, étourdissements, picotements aux extrémités du corps et autour de la bouche. En grande quantité, le miel peut provoquer une perte de la coordination, une faiblesse musculaire, de la tachycardie, voire la mort. Mais les effets s’estompent généralement avant cette fin funeste, et en moins d’une journée.

Autrefois, le miel servait carrément d’arme de guerre, destinée à défendre la région. En 67 avant J.-C., l’armée du roi Mithridate laissait des « nids d’abeilles folles » sur le chemin de l’ennemi romain, qui après avoir goûté au nectar perdait la tête et pouvait être tué sans difficulté. Une utilisation plus soft a ensuite été privilégiée au XVIIIe siècle : exporté vers l’Europe, il était ajouté à des boissons alcoolisées pour leur apporter un coup de fouet.

Améliore les performances sexuelles

En Turquie, le « miel qui rend fou » est toujours très populaire, bouilli dans un peu de lait par exemple. Les locaux lui prêtent des vertus médicinales, contre l’hypertension artérielle ou les maux d’estomac notamment. Il améliorerait même les performances sexuelles !

« Les populations locales sont capables de distinguer le miel fou des autres miels. Il provoque une sensation forte de brûlure dans la gorge. De ce fait, il est aussi appelé miel amer », a constaté Johnny Morris, un journaliste globe-trotter qui s’est penché sur la question.

Cela dit, il faut tout de même batailler pour s’en procurer. Les commerçants le vendent derrière le comptoir, se méfiant des touristes peu avertis. Et pour cause, des cas d’empoisonnement sont à déplorer chaque année.

 

http://www.metronews.fr

Le saviez-vous ► Origine de la licorne


Ayant vue chez mon amie lulla une licorne, l’idée m’est venue de chercher son origine .. Alors que beaucoup y voit un sens magique, un porte-bonheur, pour ma part ce n’est que par pure curiosité, étant plus terre a terre pour les grigris ou porte-bonheur … Nulle ne sait vraiment si cela viens de pure légende ou d’un animal qu’on aurait métamorphosé,  mais quelle fut ma surprise de voir qu’il existe plusieurs sortes de licorne .. et elles ne sont pas tous, d’après les légendes, gentilles
Nuage

 

Origine de la  licorne

 

La licorne est un animal légendaire qui a inspiré bon nombre de films, de livres et de contes.

Elle est appelé  »  monokéros «  par les savants grecs,  » Re’em «  en hébreux et  » unicornus «  par les auteurs latins qui la décrive comme un bœuf qui ressemble à un cerf ou comme un cheval aux pieds d’éléphant.

Elle est admirée et crainte en même temps. La couleur varie parmi les légendes mais avec une préférence pour la licorne blanche, symbole de pureté. La corne est de multiples facettes; on la compare très souvent à la corne de Narval.

 » À la fin du Moyen-âge, chez le mammifère marin des mers arctiques, le narval, les males portaient une défense torsadée pouvant atteindre jusqu’à 3 mètres de long. « 

Mais, c’est surtout pour des vertus médicinales que leurs cornes ont fait de ce splendide animal un trophée de roi auprès des chasseurs.

Sa corne représente aussi le symbole de la sainteté, du courage et de la chasteté. C’est pour ces raisons que bon nombre de chevaliers et seigneurs du Moyen-âge avaient le symbole de la licorne comme armoiries.

Ses sabots étaient d’une extrême dureté, ce qui lui permettait de parcourir de longs trajets et même de franchir des obstacles apparemment insurmontables.

Personne ne sait dire avec certitude si ce noble animal n’a jamais existé car après tout, n’est-il pas vrai que dans toutes légendes il se trouve une part de vérité?                 

 

Les licornes sont réputées très craintives toutefois, d’après les légendes, elles se laissaient approcher par Merlin (Grand prophète, magicien du Moyen-âge qui fit don de la Table Ronde et du Saint Graal).

Elles avaient aussi une fascination pour les jeunes vierges qu’elles parvenaient à sentir on ne sait comment.  Les chasseurs profitèrent de cette attirance particulière de la licorne. Ils conduisaient une jeune vierge à proximité de la demeure de la licorne et la laissait assise sur un siège, seule dans le bois.  Aussitôt que la licorne voyait la jeune fille, elle venait s’endormir sur ses genoux et les chasseurs pouvaient alors lui décocher une flèche en pleine poitrine, quitte à blesser ou tuer la jeune fille, l’attrait financier de la corne et des sabots étant plus important qu’une vie humaine.

Il est important de savoir aussi qu’à l’origine, la licorne ne ressemblait pas à un cheval mais plutôt à une espèce de gros chevreau avec des sabots fendus, une grosse corne et une longue barbe pareille à celle du bouc.

Ce sont au fil du temps que les licornes ont mutés en grand cheval majestueux d’une blancheur incroyable.

SYMBOLIQUE DES LICORNES :

La licorne est un symbole de puissance, de pureté et de chasteté. On retrouve sa trace dans la Chine médiévale, elle était comme le dragon, un animal vénéré et approprié à la royauté asiatique.

Sa présence est signe de bon augure. Il est dit aussi qu’avec son incroyable perception du vice qu’elle détectait chez les humains, qu’elle se devait de châtier d’un coup de sabot mortel les hommes coupables de crime envers autrui.

En Occident, au début de l’Ère chrétienne, la corne de la licorne symbolise aussi l’épée de Dieu.

Les alchimistes eux, voyaient en la licorne une image de l’hermaphrodisme  » la coexistence des deux sexes chez le même individu ou le même animal « , puisque la licorne était de nature femelle, comment concevoir que celle-ci puisse féconder sans acte physique.

Reconnue mammifère au même titre que le cheval.

On retrouve aussi le passage de la licorne dans certains manuscrits de l’Empire musulman, le symbole ici représente l’attachement de toute unité réunie avec le Lotus symbole de la pureté, tout deux réunis dans la plus parfaite association permet l’entrée au Nirvana.

  » Nirvana qui vient du mot sanskrit qui signifie extinction, détachement universel « 

Dans l’antiquité Scandinave, il est dit dans certains écrits que le roi des dieux, Odin chevauchait un cheval blanc ailé muni d’une corne frontale, ceci symbolise la grandeur et l’intégrité des Dieux.

LE BESTIAIRE DE LA LICORNE :

 

LICORNE SYLVESTRE : Licorne au pelage blanc, muni d’une corne frontale unique, sabot aussi dur que le diamant, des yeux du bleu profond au rose clair, une longue crinière blanche. La licorne sylvestre prend soin de la nature qui l’entoure. Elle ne prend qu’un compagnon dans sa vie et lui reste fidèle jusqu’à la mort.

 

ALICORNE : Elle ressemble en tous points à la licorne sylvestre, mais sa corne est noueuse et tordue et de couleur brun pâle. Elle préfère les forêts très anciennes où la moyenne d’âge des arbres est de 500 ans.

 

PYROCORNE : Pelage rouge sombre, yeux d’un rouge scintillant, crinière ressemblant à une rangée de flammes, c’est une des trois espèces maléfiques dans le monde des licornes. Elle est capable de cracher une longue et fine flamme brûlant vos chairs jusqu’aux os,  à qui passe à sa portée. Elle vit sous terre dans des galeries ou des cavernes.

 

LICORNE NOIRE : La plus maléfique et dangereuse des licornes, elle est entièrement noire, ses sabots sont incandescents, sa gueule est garnie de deux rangées de dents effilées comme des rasoirs, elle est carnivore et nocturne, elle ne supporte pas la lumière du jour. Un coup de sa corne vous tuerait car celle-ci a la capacité en vous touchant de vous empoisonner. Elle vit dans des forêts d’arbres pétrifiés.

ROUANICORNE : Elle vit dans les déserts les plus arides, son pelage est brun pâle, la crinière et les yeux d’un brun très foncé. Elle voyage en troupeau. Elle possède la capacité de s’enfuir pendant plusieurs heures afin d’éviter les prédateurs et pour se rafraîchir un peu, elle a en outre le don de télépathie, ce qui lui permet de placer une barrière mentale pour avertir les autres troupeaux de sa présence.

 

LICORNE DE FÉÉRIE : On ne sait pratiquement rien d’elle car elle possède la faculté de se fondre dans la nature grâce à son pelage vert. Elle protège son territoire tout comme la licorne sylvestre et semble inoffensive.

 

CRYOCORNE : Dernière espèce maléfique. Elle vit dans les régions arctiques, elle est de couleur blanche voire bleu clair, sa crinière ressemble à un amas de petits glaçons et sa corne a l’apparence d’un gros glaçon cristallisé. Elle attaque quiconque passe à sa portée. Elle peut cracher de sa gueule une petite quantité d’échardes de glace afin de vous défigurer. Elle prend conjoint une fois dans sa vie mais elle n’en éprouve pas le besoin et peut rester célibataire toute sa vie.

CHROMACORNE : Pelage tacheté de différentes couleurs, elle vit dans les plaines des régions tempérées. Elle ne prend qu’un seul compagnon dans sa vie mais reste en famille. Elle ne possède pas de territoire bien défini mais partage avec d’autres familles chromacornes. Elle est capable de créer des illusions et de lancer de sa corne des lueurs paralysantes pour quiconque semble vouloir s’en prendre à la nature ou s’attaquer à leurs troupeaux. Mais à part çà, elle est inoffensive. Elle protège la nature et ses petits.

 

LICORNE DE MER : Elle a la tête, le poitrail et les membres inférieurs d’une licorne mais avec une queue de dauphin en surplus, elle a un corps écailleux. Elle vit en solitaire sur un fond marin. On prétend que celle-ci aurait prit l’apparence des hippocampes que nous connaissons actuellement.

UNISUS : La licorne ailée, elle est identique à la licorne sylvestre à l’exception des ailes qui ornent ses flancs. Elle est l’union entre une licorne sylvestre et un pégase  » cheval ailé « . Elle n’est pas mammifère car elle pond des œufs, en moyenne un par 10 ans mais tous n’éclosent pas.  Elle est herbivore.

ZÉBRACORNE : Elle vit en troupeau régi par un étalon dans les savanes équatoriales, elle ressemble au zèbre mais avec une musculature plus délicate, sa corne est identique à son pelage, deux lignes torsadées noires et blanches, elle est nomade.

Une légende raconte que les licornes, découragées par la méchanceté des hommes, ont disparu du jour au lendemain et qu’elles reviendront le jour où la paix et l’amour règneront sur terre.

 

 

http://norja.net