Aucune autre sonde ne s’était autant rapprochée de notre étoile


C’est tout un exploit de réussir d’approcher le soleil sans brûler ses « ailes ». C’est ce que la sonde américaine a pu dépasser l’ancien record et continu sa route vers l’astre enflammée.
Nuage

 

Aucune autre sonde ne s’était autant rapprochée de notre étoile

 

Parker Solar Probe

 

Crédits : NASA

par Brice Louvet

Le 29 octobre 2018 à 7 h 04 (heure française), la sonde américaine Solar Parker Probe s’est approchée à moins de 42,73 millions de kilomètres de notre étoile. C’est plus proche que tout autre instrument jamais fabriqué par l’Homme.

Le précédent record était jusqu’il y a quelques jours détenu par le satellite germano-américain Helios 2, qui fit son approche du Soleil en avril 1976. La sonde solaire Parker a depuis parcouru encore plus de chemin, évidemment. Elle devrait au terme de son voyage, en 2024, se rapprocher à un peu plus de 6 millions de km de la surface du Soleil. La sonde devrait alors atteindre une vitesse maximale d’environ 430 000 km/h (un autre record).

« Cela fait seulement 78 jours que Parker Solar Probe a été lancé, et nous sommes désormais plus proches de notre étoile que de tout autre vaisseau spatial de l’histoire, s’est enthousiasmé Andy Driesman, du laboratoire de physique appliquée Johns Hopkins de Laurel, dans le Maryland. C’est un moment de fierté pour l’équipe, même si nous restons concentrés sur notre première rencontre solaire, qui commence le 31 octobre ».

Parker solar probe NASA soleil

Illustration de la sonde Parker Soler Probe se rapprochant du Soleil. Crédits : Johns Hopkins University Applied Physics Laboratory

Une fois rapprochée de notre étoile, la sonde tentera de révolutionner notre compréhension du Soleil. Elle aura notamment pour objectif de comprendre le réchauffement de la couronne solaire et d’explorer ce qui accélère le vent solaire.

Pour ne pas brûler, l’écran thermique qui protège les quatre instruments à bord de la sonde (qui sera exposé à des températures de 1 370 °C) est composé de deux panneaux composites en carbone, avec au milieu un noyau de mousse de carbone de 11,5 centimètres d’épaisseur. Le côté faisant face au Soleil est également peint en blanc avec de la peinture céramique, le but étant de dévier un maximum la lumière du Soleil. La sonde sera par ailleurs également refroidie par de l’eau dé-ionisée sous pression.

Source

https://sciencepost.fr//

Le Saviez-Vous ► Le champ magnétique terrestre, cette force invisible qui nous protège


Le champ magnétique de la Terre est une protection contre les vents solaires. Quand elle est affaiblie, cela peut causer des dommages à notre technologie comme ce qu’à connu le Québec en 1989, une panne de courant qui a duré plusieurs heures en mars.
Nuage

 

Le champ magnétique terrestre, cette force invisible qui nous protège

 

Mathieu Rancourt

Grâce à l’énergie qu’il nous transmet, le Soleil rend possible l’émergence de la vie sur Terre. Paradoxalement, son rayonnement a aussi le pouvoir d’éradiquer la vie qu’il a fait naître. Par chance, une force invisible nous protège.

Notre étoile jaune nous bombarde sans cesse d’un vent solaire. Ce vent s’échappe en permanence de la haute atmosphère du Soleil et se propage très rapidement dans tout le système solaire. Sans une protection, ce vent mortel nous traverserait le corps et briserait notre ADN causant des maladies mortelles. L’univers étant un milieu hostile à la vie, il nous faut un bouclier.

Le champ magnétique terrestre

Le champ magnétique terrestre nous protège du vent solaire et des rayons cosmiques. Il forme un écran protecteur contre les particules en provenance du cosmos. Ce champ fait partit d’un vaste ensemble qui entoure la Terre et que l’on appelle la magnétosphère.

Il est sans cesse déformé par la force du vent solaire. Ainsi, face au soleil, il se trouve aplati sur une altitude d’environ 65 000 km. Du côté opposé au Soleil, il s’étend sur plusieurs millions de kilomètres de la Terre en formant une queue.

Pour comprendre comment le champ magnétique est généré, il faut descendre dans les entrailles de notre planète.

Le noyau terrestre

Le centre de la Terre est constitué d’un noyau interne et d’un noyau externe. Le noyau interne est l’endroit le plus profond de notre planète. D’un rayon de 1 200 km, le coeur interne est solide et est constitué d’alliage de fer.

Le noyau externe est une couche liquide qui entoure le noyau solide. Avec un rayon de 2 300 km, il est principalement constitué de fer, de nickel et de quelques autres éléments.

Le noyau solide tourne à l’intérieur du noyau liquide. On pense qu’il tourne un peu plus rapidement que la rotation de la Terre.

On croit aussi que la Terre se refroidit et que le noyau interne s’accroit aux dépens du noyau externe. En se refroidissant, le noyau interne grandit d’environ 1 mm par année. Ainsi, la paroi profonde du noyau liquide, celle qui touche au noyau solide, se solidifie.

C’est dans le noyau externe liquide que le champ magnétique est généré par des mouvements de convection. Le noyau externe étant en perpétuel mouvement, le brassage du métal liquide génère d’abord un courant électrique, et ensuite, un champ magnétique.

Le pôle Nord magnétique

C’est grâce au champ magnétique que les aiguilles de nos boussoles s’alignent en direction nord-sud. À noter que le pôle Nord magnétique ne coïncide pas exactement avec le pôle Nord géographique. C’est pour cette raison que les cartographes calculent un angle de déclinaison magnétique. La déclinaison magnétique est l’angle qui sépare le Nord magnétique du Nord géographique.

Le pôle Nord magnétique se trouve présentement à l’extrême Nord du Canada et il se déplace non plus vers la Sibérie, mais plutôt vers l’Angleterre. Aussi surprenant que cela puisse paraitre, une étude de la NASA suggère que le pôle Nord magnétique change de cap en raison des changements climatiques. En effet, la fonte de la glace polaire modifie la masse de la Terre et cela aurait un impact sur la direction du pôle Nord magnétique. On constate également qu’il se déplace de plus en plus rapidement.

Les aurores boréales

Avez-vous déjà aperçu une aurore boréale ? L’aurore boréale est un spectacle nocturne qui illumine le ciel des régions nordiques. Elle survient lorsqu’un intense vent solaire interagit avec les particules de la haute atmosphère terrestre. Plus les tempêtes solaires sont violentes, plus les aurores sont importantes. Quand ce moment survient, nous assistons alors au combat du Soleil et de la Terre dans le ciel nordique. Dans l’hémisphère sud, ce même phénomène existe et est appelé les aurores australes.

L’affaiblissement du champ magnétique

Notre précieux bouclier s’affaiblit et cela pourrait engendrer un accroissement de la quantité de rayonnement en provenance de l’espace. Étant donné qu’il n’est pas appelé à disparaitre complètement, on n’envisage pas de conséquences graves sur la santé humaine. Ce sont nos infrastructures technologiques qui risquent d’en souffrir le plus. En effet, nos satellites et nos technologies terrestres pourraient en être grandement affectés.

L’éruption solaire de 1989

Par exemple, le 10 mars 1989, un puissant vent solaire quitte le Soleil en direction de la Terre. Le 13 mars suivant, le Québec subit une panne générale d’électricité en raison de cette tempête solaire. La province manque de courant pendant plus de neuf heures.

Le Québec est vulnérable à ce genre de situation, car il repose sur un bouclier rocheux qui empêche le courant de circuler à l’intérieur du sol. Résultat, le courant grimpe dans les nombreuses lignes électriques du territoire et cause plusieurs dommages. Cet incident est peut-être un avant-gout de ce qui pourrait survenir dans les prochaines années si le champ magnétique terrestre continue de diminuer.

L’anomalie de l’Atlantique Sud

Au large du Brésil, les chercheurs ont détecté une zone où le champ magnétique est très faible. Dans cette région du monde, la force du champ magnétique ne cesse de baisser d’année en année. La cause de cette anomalie reste à ce jour mal comprise. Cela n’affecte pas moins la station spatiale internationale ainsi que les satellites qui passent à cet endroit du globe. Ils reçoivent alors davantage de particules en provenance de l’espace.

L’inversion des pôles

On pense que le champ magnétique s’affaiblit, car il est proche d’une inversion magnétique. Le champ magnétique de la Terre s’inverse en moyenne tous les 250 000 ans. Lorsque ce phénomène survient, le pôle Nord magnétique bascule au Sud et vice-versa. Des inversions se sont déjà produites à plusieurs reprises dans le passé. Depuis 50 millions d’années, on calcule que le champ magnétique terrestre s’est inversé plus de 100 fois. La dernière inversion remonte à environ 780 000 ans. Cela laisse croire que nous pourrions être sur le point de vivre une nouvelle inversion.

Inutile toutefois de nous alarmer sur le sujet. Cet évènement n’est pas encore parfaitement compris par les géophysiciens. De plus, aucune inversion des pôles n’a causé d’extinction massive par le passé.

À notre échelle de temps, une inversion des pôles se produit lentement et cela nous donne l’occasion de nous y préparer adéquatement. Une inversion prend probablement quelques milliers d’années à se réaliser.

Enfin, il est tout de même important de poursuivre les recherches en la matière et de rester vigilant en raison de notre infrastructure technologique vulnérable au vent solaire. Il serait bien difficile pour nous de devoir revenir à l’âge de la pierre.

http://www.sciencepresse.qc.ca/

Le Saviez-Vous ► Les aurores boréales


Les aurores boréales sont un conflit entre la terre et le soleil, mais laissent un spectacle inouï. Bien des mythes ont été dites sur ce phénomène, moi, je disais petite que c’était les rideaux du paradis qui dansaient au vent
Nuage

 

Les aurores boréales

Description:

De féériques rideaux de lumières aux couleurs vibrantes dansent dans le ciel. Ces feux d’artifices naturels sont en fait des aurores boréales. Si le phénomène d’une grande beauté semble bien paisible, il est pourtant issu d’un combat entre la Terre et le Soleil…

L’explication scientifique:

Leur origine réside à 150 000 millions de km à la surface du Soleil. Lorsque l’activité solaire est intense, elle projette dans l’espace une grande quantité de particules chargées, ou vent solaire. Les particules provenant du Soleil peuvent parcourir jusqu’à trois millions de kilomètres à l’heure et atteindre la Terre en cinquante heures. Le champ magnétique de la Terre fait toutefois, bien heureusement, dévier ce vent solaire. Quand les particules du Soleil entrent en collision avec les particules dans notre atmosphère, elles dégagent de l’énergie, dont une partie se traduit en lumière.

Plus les éruptions sont violentes à la surface du Soleil et plus grande sera l’intensité de l’aurore. Lorsqu’elles se manifestent dans l’hémisphère Sud, on parle alors d’aurores australes. Celles-ci offrent un spectacle tout aussi grandiose. La couleur des aurores dépend des atomes et de l’altitude à laquelle ils se rencontrent. Elles affichent une variété de couleurs, avec une prédominance de vert, accompagnée le plus souvent de jaune et de violet.

Saviez-vous que :

Les aurores boréales se tiennent loin de la pollution lumineuse et donc des grandes villes. Elles sont plus visibles à proximité des pôles, mais peuvent aussi apparaître dans les régions plus centrales. Les régions du monde les plus concernées par ce phénomène restent le Groenland, la Laponie, le nord du Canada, l’Alaska, l’Antarctique et l’Islande.

Mythes et légendes :

Les aurores sont associées à de nombreux mythes. Dans toutes les langues, elles évoquent des « lumières du nord », excepté en Finlande, qui utilisent un terme signifiant « queue de renard rouge » ou « feux du renard ». Ils racontent que le renard polaire, en parcourant les étendues enneigées, soulève de la poussière avec sa queue jusqu’au ciel. Les Inuits du Groenland racontent quant à eux, que les âmes des morts jouent à la balle avec des crânes de morses.

D’autres mythologies nordiques évoquent une danse des esprits de certains animaux, tels que les saumons, les rennes et les phoques ou encore des torches allumées par les esprits des morts pour accueillir les nouveaux arrivants au paradis.

http://www.canald.com/

L’étonnante photo de la Nasa qui montre un Soleil bleu


Un soleil bleu, est-ce que le soleil se meurt ? Malgré que c’est inattendu pour nous simple profane, il semble que c’est la façon du soleil pour décompresser comme nous quand nous prenons des vacances. Cependant, il se peut que cela occasionne des troubles pour nous pauvres terriens notre système de télécommunication
Nuage

 

L’étonnante photo de la Nasa qui montre un Soleil bleu

 

Le Soleil le 10 juillet 2014 | NASA Solar Dynamics Observatory (Little SDO)

Ce qui ne signifie pas qu’il se refroidit…

La Nasa a publié le 10 juillet sur une de ses pages Facebook une photo du Soleil qui a retenu l’attention de Discover Magazine. Cette photo montre un astre dont les pôles, bleus, semblent presque froids.

Cette image est le résultat d’une colorisation de trois longueurs d’ondes lumineuses différentes, donc de trois températures différentes. Les régions en bleu correspondent à ce que les astro-physiciens appellent des trous coronaux. Pas d’inquiétude pour autant, même si le phénomène est assez exceptionnel ici, il est tout à fait normal.

Observation d’un trou coronal | Nasa Solar Dynamics Observatory (Little SDO)

Le Soleil est parcouru par deux types de champs magnétiques. Les champs fermés, qui forment des boucles, ceux que l’ont peut voir en rouge sur la photo, et les champs ouverts, qui se dirigent eux dans l’espace (en bleu sur l’image). Les régions où le champ est ouvert sont plus froides et sont donc appelées trous coronaux. La température des régions en jaune/rouge atteint presque 2 millions de degrés Celsius tandis que dans les régions de trous coronaux, la température est d’environ un million de degrés.

Cette observation sort de l’ordinaire car les trous coronaux sont très étendus. Il en résulte la production d’un fort vent solaire, c’est à dire un dégagement magnétique qui peut atteindre la Terre, produisant par exemple des aurores boréales aux pôles et peut perturber nos systèmes de télécommunications.

Ces trous se font et se défont en permanence sur la surface du Soleil et ne signifient pas qu’il est en train de mourir. Ne paniquez pas, il sera bien au rendez-vous cet été, mais lui aussi a besoin de décompresser de temps en temps

http://www.slate.fr

LA COMÈTE ISON RÉAPPARAÎT DE L’AUTRE COTÉ DU SOLEIL!


Il y a des nouvelles qu’on croit que tout a été dit, mais le lendemain voilà un rebondissement spectaculaire. C’est ce qui s’est passé avec la comète ISON. Les astronomes croyaient qu’avec la force du soleil la comète n’aurait pu survivre et pourtant, elle est toujours là …
Nuage

 

LA COMÈTE ISON RÉAPPARAÎT DE L’AUTRE COTÉ DU SOLEIL!

 

Les nouvelles images fournies par la Nasa montrent la comète Ison située de l’autre coté du Soleil. Source: ESA/Nasa/Soho/Gfscart

 

Les astronomes la croyait désintégrée par les vents solaires et la chaleur. Mais la voilà, bien là, étonnante survivante à sa rencontre avec notre étoile.

Incroyable rebondissement dans l’affaire Ison… Alors que l’ensemble de la communauté des astronomes, tout comme celle des passionnés qui suivent la comète depuis un an, faisait son deuil après la soirée du 28 novembre 2013, voilà que l’objet céleste qui a rencontré le Soleil pendant le Thanksgiving américain réapparaît.

Il semble que son apparente disparition soit liée aux fortes variations de luminosité de la comète, une propriété que les observateurs avaient déjà notée auparavant. Par moments, la comète devient moins brillante et il semble que cela se soit produit à son approche du Soleil. D’où sa disparition des écrans du télescope spatial Soho qui orbite autour du Soleil.

A droite, la comète Ison lors de son approche su Soleil. A gauche, une trace beaucoup moins lumineuse, sur la gauche et allant vers le haut, serait celle d’Ison après son passage derrière notre étoile. Souce: ESA/Sava/Soho/Jelioviewer

Il faut dire que l’observation devenait difficile en raison de la luminosité du Soleil lui-même. Ce qui est étonnant, c’est que les astronomes ont tout de même annoncé la très probable désintégration d’Ison dans ces conditions.

Serait-ce dû à la forte déception de ne pas pouvoir la suivre jusqu’au bout? Tout s’est passé comme si le scénario établi par la Nasa, un peu à la sauce hollywoodienne, ne s’était pas déroulé comme prévu. Preuve que les phénomènes naturels sont capricieux. Difficile de les programmer comme lors d’une mise en scène en studio avec des effets spéciaux.

Désormais, les observations reprennent et nous allons pouvoir suivre le parcours d’Ison jusqu’à ce qu’elle croise l’orbite de la Terre, fin décembre 2013. Les astronomes vont tenter d’analyser sa composition pour, peut-être, expliquer ses fortes variations de luminosité.

Les matériaux que contient la comète datent de la formation du système solaire, il y a 4,5 milliards d’années. Leur analyse nous donnera donc des informations précieuses sur ce qui constituait la Terre à cette époque.

Aujourd’hui, les astronomes doivent être soulagés et heureux. Si les observations confirment qu’une quantité substantielle de la comète Ison a survécu à sa rencontre torride avec le Soleil, ils conserveront leur cadeau céleste de fin d’année.

http://www.slate.fr

Un trou dans le Soleil menace les communications en Europe de l’Ouest


D’Ici deux mois, certains auront des problèmes avec les cellulaires et les GPS .. Cependant c’est surtout en Europe de l’Ouest que ces effets négatifs que le soleil risque de provoquer
Nuage

 

Un trou dans le Soleil menace les communications en Europe de l’Ouest

 

Un trou coronal dans le Soleil

Un trou coronal dans le Soleil © Nasa / Sipa Press

Un trou dans le Soleil va produire de belles aurores boréales mais aussi perturber le fonctionnement des GPS et des téléphones portables.

 

Sur la vidéo du Solar Dynamics Observator, qui dépend de la Nasa, c’est comme s’il y avait un énorme trou au milieu du Soleil En fait, il s’agit d’un trou coronal, c’est-à-dire une zone « froide », à faible densité de matière, située dans la zone atmosphérique de cet astre, selon ce service de l’agence spatiale américaine.

Le phénomène est assez esthétique mais ses conséquences sont plutôt négatives. Les trous coronaires engendrent des vents solaires très puissants dont les courants de particules voyagent à travers le système solaire jusqu’à notre planète.

Blackout éventuels dans les deux mois

La majorité de ces orages magnétiques ne provoquent que des aurores boréales visibles surtout près du pôle nord. Cependant, parfois, elles entraînent une modification du champ magnétique qui engendrent des coupures électriques, comme en 1989 au Québec, et des perturbations dans les communications satellitaires.

Et c’est justement ce qui va se passer cette fois-ci dans les deux mois à venir. La Nasa annonce que ce gigantesque trou pourrait être à l’origine de plusieurs dysfonctionnements des GPS et des téléphones portables, ceux utilisant la 4G surtout. Et toujours selon la Nasa, c’est l’Europe de l’Ouest qui est principalement concerné

 

http://www.lepoint.fr