L’Histoire du vendeur de fleur


Il y a des moments ou nous pouvons changer la vie des gens que nous rencontrons sans le savoir … Si nous prenions le temps, de remercier, de trouver des mots qui donne un sentiment d’importance a l’autre .. cela pourra avoir un incidence que nous ne pouvons imaginez … L’amabilité que l’on peut transmettre a des effets positifs sur les gens …
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L’Histoire du vendeur de fleur

 

Un homme d’affaire pressé jette une pièce d’un dollar dans la soucoupe d’un vendeur de fleurs, installé au coin de la rue et s’éloigne d un pas rapide… .
 
Il s arrête soudain et revient sur ses pas .

 » Desolé » dit il a l’homme qui vend les fleurs, alors que celui ci en souriant  aimablement lui tend  une magnifique Rose orange .

 « J ‘etais si pressé que j’en ai oublié de prendre la fleur que je viens de payer, vous êtes comme moi, vous êtes un homme d’affaire a votre manière ».Dit-il en lui clignant de l’oeil.

– » Votre marchandise,est belle et votre service est réellement de bonne qualité. Je m excuse de m être comporté comme un sauvage, sans même vous adresser la parole… ».

Et l’homme d’affaire s’en fut avec sa jolie fleur orange a la mains.
Quelque semaines après, l homme d’affaire était en train de déjeuner lorsqu’un qu’un homme bien vêtu s’approcha de lui en souriant et en se présentant.I l ajouta devant son air surpris :

« – Je suis sur que vous ne me reconnaissez pas, je ne sais pas moi même comment vous vous appelez mais jamais, jamais je n’ai oublié votre visage.

Vous êtes la personne qui m’avez permis d’être ce que je suis à présent.

J’étais quasi un vagabond,un pauvre hère vendant des fleurs sans prétentions au coin de la rue jusqu’a ce que je vous rencontre et que vous me rendiez  mon auto estime et mon amour propre…

Ce jour la, vous m’avez redonné confiance en moi. J’ai décidé ce jour la d’améliorer ma condition de « vendeur de fleurs. A présent je suis un commerçant, un homme d’affaire comme vous me l’avez dit ce jour la, Merci ».

Sarah Bay

 

LES 12 REVELATIONS D’UN VENDEUR DE CHAUSSURES


Acheter des chaussures c’est tout un exploit, d’abord choisir le modèle, la pointure .. et quoi encore .. est-ce confortable, de bonnes qualité dépendant du prix ? Alors que le vendeur  ou vendeuse, quand il est présent a de bon et de mauvais moments
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LES 12 RÉVÉLATIONS D’UN VENDEUR DE CHAUSSURES

 

Et si votre vendeur de chaussures vous dévoilait les déboires du métier… en 12 vérités.

1- Ne prenez pas un 7 si vous chaussez du 9. La taille de vos pieds n’a rien à voir avec la coquetterie: je souhaite vous vendre des chaussures avec lesquelles vous pourrez marcher!

2- Personne n’a les deux pieds de la même taille.Chez les hommes, le gauche est généralement plus long, et, chez les femmes, c’est le droit! Comme je ne peux pas vous vendre des   chaussures dépareillées, je vous suggère de prendre celles qui conviennent à votre pied le plus grand.

3- Je vends des chaussures, je ne les fabrique pas. Si je n’ai pas le modèle que vous recherchez, il m’est impossible de l’assembler vite fait dans l’arrière-boutique…

4- Il n’y a pas de mystère: une paire de chaussures à 20$ n’offrira jamais le confort d’une paire à 120$. Et elle n’aura pas non plus la même durée de vie.

5- Ce n’est pas parce que je m’agenouille à vos pieds que je suis votre esclave soumis! N’abusez pas de la situation… Nous ne sommes pas là pour jouer les paillassons.

6- L’appareil qui sert à mesurer vos pieds pour déterminer votre pointure s’appelle un pédimètre. Expliquez à vos enfants qu’il doit rester bien à plat sur le sol et qu’il n’est pas destiné à être brandi dans les airs en direction de ma tête. Merci d’avance.

7- S’il vous plaît, ne me faites pas patienter 10 minutes pendant que vous terminez votre conversation téléphonique. Et si je vous infligeais le même traitement?

8- N’essayez pas les modèles exposés s’ils ne correspondent à votre pointure.Vous allez les déformer et vous risquez de vous faire mal.

9- Si vos chaussures ne vous conviennent pas, nous vous les échangerons avec plaisir, mais elles doivent être dépourvues de toute marque d’usure. Un conseil: avant tout achat, prenez le temps de faire quelques pas dans le magasin…

10- Cela fait une demi-heure que je m’occupe de vous, et vous me dites qu’il vous faut l’avis de votre conjoint… La prochaine fois, venez avec lui!

11- Vous voulez vraiment partir avec les socquettes que le magasin prête pour l’essayage? Celles que tout le monde utilise? Si elles vous plaisent tant, prenez-les!

12- Si vous portez vos chaussures tous les jours, elles donneront des signes de fatigue au bout d’un an. Ce n’est pas un défaut de fabrication.

http://selection.readersdigest.ca

Le saviez-vous ►Expression : Le marchand de sable est passé /bonhomme 7 heures


Quand les enfants c’est l’heure de dormir .. on parle souvent du marchand de sable, cette expression que le marchand de sable est connu aussi au Québec mais étrangement l’expression le bonhomme 7 heure va venir te chercher si tu ne dors pas a été beaucoup plus utilisé chez nous comme si la peur aidait a faire dormir les enfants
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Le marchand de sable /bonhomme 7 heures

 

Marchand de sable

 

        Quand les enfants ont sommeil et que leurs yeux se ferment, il n’est pas rare d’entendre quelqu’un prononcer ces mots :


                                                        « Le marchand de sable est passé »

Origine


            Voilà un mythe dont l’origine précise est pour le moins mystérieuse … il semblerait plutôt que cette expression se soit forgée au fil des siècles, partant d’une idée qui a lentement évolué vers celle que chacun connaît aujourd’hui. En voici quelques étapes, non tout à fait sûres :

– la première remonterait au Moyen-Age. Le marchand de sable aurait été un vendeur, se déplaçant de ville en ville, fournissant du sable aux aubergistes qui l’étalaient sur le sol de leur boutique pour le rendre moins glissant.

– la seconde, la plus grande, prend ses racines au XVIIe siècle, puisqu’un ouvrage d’Antoine Furetière (1619-1688) mentionne, en parlant des enfants, qu’un « petit homme leur a jeté du sable dans les yeux » Il semblerait que notre marchand de sable soit né !…

– est-ce une influence de ce personnage ou vient-elle d’ailleurs, toujours est-il que l’expression « avoir du sable sous les yeux » devient commune dès le XVIIIe siècle, pour signifier « avoir sommeil », « avoir les yeux qui piquent sous l’effet de la fatigue ». (1798, Acad.)

– et l’expression actuelle « le marchand de sable est passé » aurait pris sa forme à la fin du XIXe siècle !…

Il est à noter qu’au Canada, on parle d’un autre personnage, beaucoup moins sympathique, mais qui annonce lui aussi l’heure de dormir :
il s’agit du « bonhomme sept-heure » !…

Compléments

 

            C’est le 10 décembre 1962, grâce à Claude et Christine Laydu, que l’émission « Bonne nuit les petits » est diffusée pour la première
fois, sur la première chaîne de l’ORTF.
Ainsi, pendant de nombreuses soirées, le Marchand de Sable et un gros Nounours, perchés sur un
nuage, vont conter de jolies histoires à Nicolas et Primprenelle pour les aider à s’endormir.

Notez qu’à l’origine, les enfants s’appelaient Petit-Louis et Mirabelle !…

http://lesmarchandsdesable.e-monsite.com

 

Le bonhomme 7 heures

 

 

L’étymologie la plus répandue veut que ce terme vienne de l’anglais bone-setter (rebouteux). Le bone-setter venait replacer les os déplacés du père de famille. Les enfants, ayant une vision idole de leur père, seraient terrifiés en entendant le bone-setter replacer le ou les os du père (tenant compte du fait que le père criait de douleur).

On en fit alors une phobie pour les enfants en les menaçant d’avoir affaire au bone-setter en cas de bêtise.

Le mot bone-setter se serait déformé de bouche à oreille pour devenir bonhomme sept-heures. Il se peut très bien que ce soit là une erreur, car les spécialistes de la langue québécoise ont historiquement souvent eu tendance à voir des anglicismes dans les régionalismes. On peut penser à mouche à feu (luciole), par exemple, qu’on classe comme anglicisme dans le dictionnaire des anglicismes de Colpron, tandis que ce mot se trouve dans le Littré, ce qui en fait au pire un anglicisme de maintien. Ajoutons à cela que le Québec possède déjà un régionalisme pour rebouteux : ramancheur.

Selon Lionel Boisvert du Trésor de la langue française informatisé, que l’on mentionne dans l’article bonhomme sept-heures du grand dictionnaire terminologique, cette étymologie est douteuse, car on trouverait des formes voisines de ce nom en breton : bonhomme basse heure et bonhomme basse hour.

La légende

 

La légende du bonhomme sept-heures voudrait que ce personnage, à moitié humain et à moitié créature maléfique, enlève les enfants qui, s’amusant à l’extérieur, auraient trop tardé à retourner chez eux avant qu’il ne soit 19 heures (ou 7 heures du soir). Les enfants ne seraient jamais retrouvés.

Le bonhomme sept-heures serait un vieil homme, portant un chapeau, une canne, une cape et un sac. Selon les régions, ce sac contiendrait du sable qu’il lancerait aux yeux des enfants, ou encore il serait assez grand pour y placer ses victimes.

Dans certaines villes, le bonhomme sept-heures viendrait de nulle part. À d’autres endroits, sa résidence serait connue des parents.

Le nom « bonhomme sept-heures » se retrouve aussi sur la liste des noms vernaculaires des hominoïdes en Amérique du Nord. Les cas d’enlèvements et d’agressions ne sont pas étrangers aux hominoïdes.

Autres théories

Bomb setter Selon certains, l’origine de ce personnage serait liée au bomb setter. Cette personne devait allumer les bombes des lampadaires qui fonctionnaient au gaz ou à l’huile, autour des années 1890 dans les rues de Montréal. Cette personne devait le faire avant 7 heures. Le mot se serait déformé et serait devenu « bonhomme sept-heures ». Donc un personnage se promenant à la brunante, difficile à identifier et que les parents pouvaient mentionner pour faire peur aux enfants qui ne voulaient pas écouter ou entrer à la maison trop tôt.

Bone setter L’expression « bonhomme sept heures » serait en fait une déformation de l’expression anglaise « bone setter ». Un « bone setter » est en fait un « ramancheur », une personne qui replace les articulations démises ou qui fait des manipulations pour guérir les maux de dos par exemple.

Lorsque dans une famille on faisait venir le « bone setter », souvent la personne traitée gémissait, grinçait des dents ou criait de douleur ce qui faisait très peur aux enfants présents. Plus tard lorsque ceux-ci ne voulaient pas obéir, on les menaçait du « bone setter ». Au Québec francophone, le « bone setter » est devenu le « bonhomme sept heures ».

http://fr.wikipedia.org