Meurtre et démembrement: on n’a pas le droit de montrer ça


En mettant à jour les statistiques de Word Press  j’ai regarder les recherches qui ont été fait pour arriver sur les deux billets mit hier soir sur  Luka Rocco  Magnotta. Entre les autres recherches en rapport a ce crime, il y a eu en moins de 24 heures plus de 60 demandes pour voir la vidéo. Je n’ai pas vue la vidéo et je ne veux pas la voir, juste les descriptions sont suffisant pour comprendre l’horreur … J’ai bien aimé l’intervention de Monsieur Yves Boivert du journal La Presse qu’il y a des limites a montré certaines choses sur vidéo sur le web ne fut que pour le respect de la victime … qui est un ressortissant chinois .. un adulte de 32 ans … sa famille doit être anéanti
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Meurtre et démembrement: on n’a pas le droit de montrer ça

 

Yves Boisvert
La Presse

C’est autre chose qu’un meurtre filmé. C’est un meurtre commis pour être filmé. C’est en cela que ce crime va au-delà de l’horreur d’une manière tout à fait contemporaine. Sans diffusion, il n’a aucun objet. L’assassin a tué et démembré un homme pour le montrer au plus grand nombre.

Un imbécile qui gère un site internet sinistre de «vrais crimes» a accueilli cette vidéo sans broncher la semaine dernière. Et l’a diffusée.

«Je n’avais pas de preuve que la vidéo était véridique et il y avait de nombreuses spéculations selon lesquelles c’était une blague faite par quelqu’un qui a accès à des cadavres, comme un employé de morgue», dit Mark Marek.

Ah, seulement «accès à des cadavres»… Comme s’il était permis de mutiler des cadavres! C’est un crime, jusqu’à nouvel ordre. Alors, si c’est «une blague», c’est quand même un cas de 9-1-1!

Mais maintenant, ce Marek en question, qui habite Edmonton, sait que ce n’est pas «une blague». Il sait que c’est le meurtre d’un être humain «pour de vrai». Va-t-il retirer la vidéo de son site? Pas du tout.

«Si on enlevait la vidéo, ce serait comme de jouer à l’autruche à propos d’un événement réel qui s’est passé dans notre environnement», a-t-il dit à ma collègue Gabrielle Duchaine.

«Est-ce que cela serait une solution à quoi que ce soit? Est-ce que le fait de prétendre que la vidéo n’existe pas rendrait le monde meilleur? Est-ce que le fait de prétendre que Luka n’est pas capable de faire quelque chose d’aussi horrible en ne montrant pas sa vraie nature le rendrait moins dangereux?»

Non, ça rendrait le monde non pas meilleur, juste un peu moins laid.

Plein de choses sont «des événements réels» et on ne les montre pas. La pornographie juvénile est très réelle. La diffuser est un crime, pourtant.

Oui, mais dans le cas de la pornographie juvénile, le crime est la création, la possession ou la diffusion de l’image. Tandis qu’ici, il s’agit de la diffusion d’images d’un meurtre. Le crime, c’est le meurtre, pas l’image.

Distinction oiseuse en 2012. D’abord, ce crime a été commis pour être diffusé. C’est un acte de narcissisme morbide. Le diffuser, c’est non seulement en multiplier l’effet, c’est lui donner son sens. Accomplir l’oeuvre du meurtrier.

C’est très différent d’une photo de police prise après le crime. La vidéo n’est pas le témoignage du meurtre, c’en est la raison d’être.

Faut-il être dépourvu de toute humanité pour laisser voir le démembrement d’un être humain commis par un sadique, sous prétexte que «ça existe» ? Laisser sa famille vivre avec l’idée que ce crime est contemplé partout dans le monde, par des voyeurs morbides, mais sans doute aussi quelques maniaques?

Y a-t-il des moyens juridiques d’empêcher cela? Oui.

Le professeur Pierre Trudel, de l’Université de Montréal, est spécialiste du droit de l’information. La loi américaine dégage les sites du genre de celui de Marek de toute responsabilité – aux États-Unis. Ces sites, qui ne font que mettre en ligne les vidéos envoyées par les usagers, ne sont pas responsables de la diffamation ou des autres illégalités qu’ils contiennent.

Au Québec, par contre, une loi adoptée en 2001 dit que ces sites n’ont pas l’obligation de surveiller, mais que s’ils sont mis au courant d’une dérogation, ils doivent agir et retirer le contenu.

Mais plus directement, le Code criminel interdit la diffusion de matériel obscène. On pense généralement à de la pornographie, mais le matériel touchant à l’horreur, la cruauté et la violence est aussi visé.

Rémy Couture, spécialiste des effets spéciaux, est d’ailleurs présentement accusé d’obscénité pour avoir produit un film d’horreur – ce qui est très contestable dans un contexte artistique.

Mais ici, ce n’est pas de la fiction: c’est pour de vrai.

Quand le crime a été créé, on visait la fiction qui dépasse «le seuil de tolérance de la société canadienne», comme ont dit les tribunaux.

Personne n’imaginait qu’on fabriquerait un jour un meurtre en tant que matériel obscène.

On ne pensait pas qu’un jour quelqu’un serait assez malade pour faire ça. Mais songez que d’autres sont assez malades pour tenter de justifier cette diffusion.

De toute manière, c’est une diffusion criminelle. Mais à la lumière des événements, il est temps de créer un crime spécifique pour la diffusion de crimes par vidéo. Comme on l’a fait avec la pornographie juvénile, crime relativement récent.

Il ne suffit pas de dire aux enfants – et aux autres: ne regarde pas ça. Il faut que ce soit clairement illégal.

On n’a pas le droit de montrer ça.

http://www.lapresse.ca

La dépression dans votre assiette?


Y’a pas a dire .. aujourd’hui l’alimentation est a la une … mais la en principe ,… c’est juste de la malbouffe !!! L’alimentation aurait un rôle sur nos états d’âme, ce qui expliquerais je pense le pourquoi que certaines personnes mangent leur émotions et choisiraient surtout des aliments qui serait peut-être perçu comme une récompense par le cerveau ..
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La dépression dans votre assiette?

 

Un hot-dog  © iStockphoto

« Je mange parce que je suis déprimé et je suis déprimé parce que je mange. » Voilà une phrase qui résume bien les travaux menés par des chercheurs de l’Université de Montréal.

La Pre Stéphanie Fulton et ses collègues ont montré qu’un régime riche en gras et en sucre provoque immédiatement la sécrétion de dopamine, ce qui envoie au cerveau un signal de récompense. Cette sensation d’euphorie disparaît toutefois rapidement, ce qui encourage l’apparition de comportements dépressifs.

« En plus de causer l’obésité, les aliments riches peuvent vraiment entraîner des réactions chimiques au cerveau, d’une manière qui s’apparente à celle des drogues illicites. Cela conduit ultimement à la dépression, à mesure que les effets s’atténuent. » — Pre Stéphanie Fulton

Les expériences menées sur des souris de laboratoire par l’équipe montréalaise ont permis de noter que celles qui avaient eu un régime riche en gras saturés sont devenues non seulement obèses, mais déprimées, tout en manifestant des signes de stress.

Encore à ce jour, les chercheurs comprennent mal les mécanismes neuronaux et les modèles de récompense cérébraux qui relient l’obésité et la dépression.

Les auteurs de ces travaux publiés dans l’International Journal of Obesity expliquent que leurs résultats établissent pour la première fois que la consommation chronique d’aliments appétissants à teneur élevée en gras a des effets favorisant la dépression.

http://www.radio-canada.ca

La bonne façon d’initier les enfants aux légumes


Je suis toujours sidéré d’apprendre que certains amis a mes enfants ne mangent pas de légumes et pratiquement pas de fruit.  Je suis aussi d’avis que notre attitude face aux aliments dont les légumes influences le goût des enfants .. Chez nous, quand on se faisait un après-midi de film, on se préparait un pique-nique salon de légumes avec trempettes .. et c’est toujours un succès

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La bonne façon d’initier les enfants aux légumes

 

Avant qu’il ne soit adopté par l’enfant, un légume doit lui être présenté une quinzaine de fois. Varier les achats et les recettes permettra aussi d’ouvrir l’horizon culinaire de l’enfant.

PHOTOS.COM

Agence Science Presse

À bout de patience, de nombreux parents québécois finissent par monnayer les bouchées de légumes:

«Tu auras du dessert si tu manges ton brocoli», «termine ton assiette sinon, tu restes à la table».

Or, l’utilisation de récompenses modifierait les préférences alimentaires de l’enfant en le détournant des légumes au profit des aliments sucrés et peu santé, précise Geneviève Dulude, qui a étudié, dans le cadre de sa thèse à l’Université de Montréal, les attitudes et les comportements de la mère québécoise, l’alimentation et le poids de l’enfant préscolaire.

Le rôle du parent s’avère par conséquent important lors de l’acquisition des bonnes habitudes alimentaires. L’enfant aura d’ailleurs tendance à manger ses légumes ou non suivant le style alimentaire du parent -autoritaire, démocratique, négligent ou indulgent.

 «Le parent qui démontre de l’enthousiasme quant au plaisir de manger certains aliments augmentera leur acceptation auprès de l’enfant», affirme la diététiste.

La résistance de l’enfant serait d’abord liée à la méconnaissance des aliments, ce qu’on appelle la néophobie ou peur des nouveaux aliments. Avant qu’il ne soit adopté par l’enfant, un légume doit lui être présenté une quinzaine de fois. Varier les achats et les recettes permettra aussi d’ouvrir l’horizon culinaire de l’enfant. En goûtant à une multitude d’aliments, il apprendra ainsi à les aimer.

Les parents devraient plutôt lâcher du lest à leurs enfants lors du repas, soutient la chercheuse. En initiant les enfants au plaisir de manger de tout plutôt que de les récompenser, les parents parviendront à faire passer le message «mange tes légumes!» plus efficacement.

La compilation des questionnaires remplis par 122 mères québécoises d’enfants âgées de 3 à 5 ans démontre que près d’un tiers d’entre elles considèrent l’heure des repas comme un moment difficile à faire passer.

http://www.cyberpresse.ca

Lieux publics → Ça grouille de bactéries partout


Svp, lavez-vous les mains et prenez le temps de bien les laver ! C’est dégoutant de savoir que bactérie qui viens des matières fécales peuvent se retrouver un peu partout dans les lieux publics .. Sans être hypocondriate, un peu plus d’attention sur la propreté ne ferait pas de tord étant donné le nombre de personnes qui peuvent se côtoyer dans une seule jour,que ce soit dans les transports en commun, les épiceries, les banques etc …
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Lieux publics → Ça grouille de bactéries partout

 

Ça grouille de bactéries partout

Crédit photo : Le Journal de Montréal

Par Sarah Bélisle | Agence QMI

Des bactéries responsables d’infections nosocomiales, des staphylocoques à l’origine d’intoxications alimentaires et des coliformes fécaux comme la troublante E. coli.

Voilà ce qu’on trouve en quantité sur les poignées, rampes d’escalier, barres d’appui ou écrans tactiles dans les lieux publics, révèle une enquête menée par un microbiologiste à la demande du journal 24H.

Muni de cotons-tiges et d’éprouvettes pour recueillir des échantillons, le chercheur Jason Tetro – surnommé Monsieur Microbes – a arpenté le métro de Montréal, l’aéroport Montréal-Trudeau, l’École polytechnique et l’Université de Montréal.

Que des endroits si achalandés grouillent de germes, va de soi, mais cette petite étude s’est soldée par des résultats un brin répugnants, de quoi convaincre quiconque de se laver les mains pas mal plus souvent.

Les analyses effectuées par notre expert dans son laboratoire de l’Université d’Ottawa ont montré que certaines surfaces sont de vraies colonies de vacances pour bactéries.

Bactéries fécales sur le micro-ondes

«C’est tout simplement dégoûtant. Je ne m’attendais pas à cette quantité de bactéries. Il y en a beaucoup !», lance le microbiologiste.

Lui qui d’ordinaire juge «fascinants» ces micro-organismes, avoue être soufflé par les conclusions de sa quête montréalaise.

Jason Tetro s’est aussi dit éberlué par la nature des bactéries récoltées sur l’écran tactile d’un kiosque d’enregistrement à l’aéroport et sur un four micro-ondes à l’UdeM. Il y a décelé des bactéries fécales, dont l’E. coli, un des germes plus fréquemment responsables d’infection chez l’humain.

(Tableau: Journal de Montréal)

Serez-vous vraiment étonné d’apprendre qu’il en a aussi trouvé sur la poignée de porte d’une salle de toilettes pour hommes du pavillon Jean-Brillant ? Même une étudiante gréviste qui a accepté de jouer le jeu tout en bloquant l’accès à une salle de classe avait des bactéries fécales sur les doigts.

«Les gens ne lavent pas leurs mains correctement», déplore le chercheur, qui s’est empressé de se laver les mains avec un désinfectant dès ses échantillons récoltés.

(Tableau: Journal de Montréal)

Moins dans le métro

Assez curieusement, le métro a fait bande à part dans cette expérimentation. Malgré la chaleur et l’humidité caractéristiques du réseau souterrain, donc un milieu propice à la survie des bactéries, on y en a trouvé en moins grand nombre qu’ailleurs.

Cependant, souligne Jason Tetro, celles qu’il a identifiées à cet endroit étaient plus susceptibles de causer des infections.

Par exemple, Neisseria sicca, une bactérie liée aux voies respiratoires qui peut se propager par la toux et les éternuements. Cela fait dire à Monsieur Microbes que des virus de la grippe et du rhume sont sans doute omniprésents dans le réseau qui est le théâtre de 900 000 déplacements chaque jour.

http://tvanouvelles.ca

Protéger sa vie privée dans Internet et les réseaux sociaux


Je crois que tout le monde le sais, qu’être sur des réseaux sociaux, des blogs, des forums peut nous entrainer dans des histoires bien malheureuses. Pour que nos activités sur Internet demeurent agréable, il est important de prendre certaines précautions
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Protéger sa vie privée dans Internet et les réseaux sociaux

Mark Zuckerberg, créateur de Facebook, a beau affirmer sans rire que la vie priv

Photo: iStock

Mark Zuckerberg, créateur de Facebook, a beau affirmer sans rire que la vie privée est un concept dépassé, vous vous inquiétez quand même des traces que vous laissez dans Internet ?

Voici quelques conseils pour vous aider à garder la main haute sur votre vie privée, sans avoir à renoncer à toute activité sur le Web.

Seulement Facebook ?

On ne peut plus parler de vie privée dans Internet sans évoquer constamment Facebook. Ce n’est évidemment pas le seul site à surveiller, mais c’est celui où les internautes s’épanchent le plus, où ils font part de leur vie privée le plus naïvement. Les conseils suivant reflètent cette situation, mais ils peuvent être appliqués à toutes les sphères de votre vie numérique.

1- Il n’y a pas de renseignements banals

Le nom de votre mère, votre date d’anniversaire, votre lieu de naissance… Ces renseignements que vous publiez ou que vous ajoutez à votre profil d’utilisateur semblent bien innocentes, mais en les croisant, on peut faire beaucoup.

Pour vous permettre de récupérer un mot de passe perdu, par exemple, plusieurs sites utilisent une question personnelle comme « Quel est le nom de votre mère ? » ou« Dans quelle ville êtes-vous né ? ». Pour quelqu’un qui s’adonne au vol d’identité, nous dit Caroline Vallet, du Centre international de criminologie comparée de l’Université de Montréal, les petits renseignements qu’on sème un peu partout sont donc une mine d’or.

2- Ne vous surestimez pas.

Lors d’une étude conduite par Caroline Vallet, tous les jeunes de moins de 18 ans interrogés ont affirmé qu’ils trouvaient les paramètres de confidentialité de Facebook faciles à utiliser.

« Savent-ils vraiment si bien les utiliser, ou sont-ils plutôt inconscients ? » se demande la chercheuse.

Après tout, ces réglages changent souvent et sont parfois difficiles à trouver et à déchiffrer. Le risque est donc grand de partager bien plus qu’on ne le croit.

3- Les amis de vos amis sont-ils vraiment vos amis ?

Selon Caroline Vallet, pour pouvoir être considéré comme « privé », un compte Facebook devrait compter moins de 200 amis. Mais il doit surtout être limité à ces seuls amis.

Car il y a trois niveaux de partage sur Facebook :

– avec ses amis
– avec ses amis et leurs amis
– publiquement

Si vos réglages rendent vos renseignements visibles à vos amis et à leurs amis, considérez que votre profil est public. À tout le moins, prenez en compte qu’il est accessible à beaucoup de gens que vous ne connaissez pas.

4- Faites des listes.

Utilisez la fonction de Facebook qui permet de mettre vos amis dans des listes. En classant chacun de vos contacts dans des listes claires, vous pourrez décider si ce que vous publiez s’adresse à tous ou à un groupe donné.

5- Ne répondez pas à toutes les questions.

Il est à l’avantage de Facebook ou de Google d’en savoir le plus possible sur vous. C’est ce qui leur permettra de personnaliser les publicités que vous verrez. Mais ce n’est pas parce qu’on vous pose une question que vous êtes obligés d’y répondre.

Votre lieu de résidence, votre numéro de téléphone, votre statut marital, votre employeur, l’établissement où vous avez étudié… autant de renseignements alléchants pour un éventuel fraudeur.

6- Évitez d’annoncer à tous que vous n’êtes pas à la maison.

Grâce aux téléphones intelligents, il est plus facile que jamais de faire savoir aux autres que nous sommes au restaurant, chez un ami ou à l’épicerie. Le site Foursquare est même totalement consacré à ce genre d’infos. Sauf que le corolaire de « je suis au restaurant »,c’est « je ne suis pas à la maison ».

Il y a quelques temps, trois étudiants néerlandais ont mis sur pied, assez facilement, le site Please rob me (Volez-moi, s’il vous plaît). On y recensait tous les messages envoyés de Foursquare, en rappelant que ces gens n’étaient pas chez eux.

7- Si les enjeux de vie privée ne vous interpellent pas, pensez à votre réputation.

Comment déterminer ce qu’on peut ou non dire ou écrire dans Internet ? Caroline Vallet a un truc très simple : se demander si on voudrait que notre mère le sache. Notre mère… ou notre futur employeur, pourrait-on ajouter.

8- Rappelez-vous qu’il est plus facile de mettre des photos, des vidéos ou des renseignements en ligne que de les faire disparaître.

Vous en doutez ? En 2002, avant même Facebook et Youtube, un jeune de Trois-Rivières a vu une vidéo de lui imitant combat de Star Wars faire le tour du Web. Dix ans plus tard, elle circule toujours. Au grand dam du Star Wars Kid.

9- Trop communiquer rend vulnérable

Au fil des différents messages, des photos et des commentaires diffusés dans les médias sociaux, on peut saisir l’état d’esprit de quelqu’un, fût-il heureux ou malheureux. Une personne malintentionnée pourrait tenter d’exploiter une période de détresse que vous traversez.

Pour un prédateur sexuel, les réseaux sociaux, pris d’assaut par les jeunes, sont un bon endroit pour en apprendre plus sur les goûts et les préférences d’une victime potentielle et de personnaliser son approche.

Bref, ne vous laissez pas prendre par l’anonymat relatif que vous pouvez ressentir, lorsque vous êtes au clavier.

« La distance et la virtualité de l’échange peuvent donner envie de s’exposer plus qu’on ne le ferait normalement, rappelle Caroline Vallet. Il faut faire attention. »

10- N’oubliez jamais que vous n’avez pas toujours l’entière maîtrise sur ce que vous mettez en ligne.

Les conditions d’utilisation d’un site peuvent changer n’importe quand, réservant parfois des surprises.

Mais aussi, le niveau de diffusion d’un envoi que vous commentez peut changer sans préavis. Ainsi, si vous commentez quelque chose qui n’est visible qu’à un petit groupe de personne sur Facebook ou Google+, l’auteur de ce que vous commentez peut à tout moment changer le rendre visible à tous. Vos commentaires, aussi déplacés ou personnels puissent-ils être, vont suivre la même voie.

http://www.lactualite.com

Les odeurs facilitent la localisation des sons


Nos sens sont très utile, tout en se complétant l’un aux autres. Tout le monde sait que pour repérer un son, nous avons besoin de l’oreille pour entendre .. mais sera t’il aidera trouver la provenance de ce son, si en plus nous ajoutons une odeur ?
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Les odeurs facilitent la localisation des sons

 

© Shutterstock / Agence QMI

MONTRÉAL – Des chercheurs de l’Université de Montréal ont découvert que le fait de sentir des odeurs accélère la localisation de sons, ce qui constitue une première dans la compréhension des liens entre l’odorat et l’ouïe.

Pour parvenir à ces conclusions, Valérie La Buissonière Ariza et ses collègues ont soumis 31 sujets à un test d’amorçage. En psychologie cognitive, cette expérience consiste à présenter un stimulus pour influencer le traitement d’un autre stimulus. Dans ce cas, les participants respiraient différentes odeurs (une odeur «pure», la rose, et une odeur mixte, l’eucalyptol) avant d’entendre un son. Les chercheurs mesuraient alors leur rapidité à localiser le son.

«Nous voulions aussi vérifier s’il y avait un effet de congruence, autrement dit si le fait de sentir une odeur dans la narine droite et d’entendre le son dans l’oreille du même côté accélérerait la localisation du son. Et au contraire si présenter les stimulus aux côtés opposés ralentirait la réponse», explique Valérie La Buissonnière Ariza.

Les chercheurs ont constaté que les participants repéraient plus vite les sons grâce aux odeurs.

Lorsqu’ils inspiraient uniquement des jets d’air neutres, ils localisaient le son après 394 millisecondes. Le temps de réaction diminuait de façon significative pour les odeurs pures (381 millisecondes) et mixtes (382 millisecondes).

Aucun effet de congruence n’a été constaté.

«Encore une fois, c’est vraiment l’odeur en elle-même qui améliore la performance auditive et non le fait qu’on la présente de façon congruente», explique Valérie La Buissonière Ariza.

http://sante.canoe.com