Cri d’alarme de l’Unicef face à la recrudescence de la rougeole dans le monde


Partout dans le monde, la rougeole qui avait presque disparu, il y a quelques années, revient en force. La cause est multiple, cependant une des causes sont les campagnes anti-vaccins. Le pire, c’est que cette maladie est très contagieuse et potentiellement mortelle. Malheureusement, il y a beaucoup de mauvaises informations sur les vaccins et les conséquences risquent d’empirer.
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Cri d’alarme de l’Unicef face à la recrudescence de la rougeole dans le monde

 

Cri d’alarme de l’Unicef face à la recrudescence de la rougeole dans le monde

Photo: Getty ImagesL’Unicef a lancé vendredi un cri d’alarme devant la recrudescence de la rougeole dans le monde en soulignant que dix pays, dont le Brésil, l’Ukraine et la France, étaient responsables de trois-quarts environ de l’augmentation totale des cas en 2018. © South_agency / Istock.com

L’Unicef a lancé vendredi un cri d’alarme devant la recrudescence de la rougeole dans le monde en soulignant que dix pays, dont le Brésil, l’Ukraine et la France, étaient responsables de trois-quarts environ de l’augmentation totale des cas en 2018.

A l’échelle mondiale, 98 pays ont signalé un plus grand nombre de cas de rougeole en 2018 par rapport à 2017, ce qui entrave les progrès accomplis dans la lutte contre cette maladie hautement évitable, mais potentiellement mortelle, note l’agence des Nations Unies pour l’enfance (ONU) dans un communiqué.

« C’est un appel au réveil. Nous disposons d’un vaccin sûr, efficace et peu coûteux contre une maladie très contagieuse – un vaccin qui a sauvé près d’un million de vies chaque année au cours des deux dernières décennies », a déclaré Henrietta Fore, directrice générale de l’Unicef.

L’Ukraine, les Philippines et le Brésil ont connu la plus forte augmentation annuelle de cas.

En 2018, 35.120 cas ont été recensés rien qu’en Ukraine, soit environ 30.000 de plus qu’en 2017. Et selon le gouvernement 24.042 personnes supplémentaires ont été contaminées au cours des deux premiers mois de 2019.

Au Brésil, 10.262 cas ont été signalés alors qu’aucun cas n’avait été rapporté l’année précédente.

En France, l’augmentation entre 2017 et 2018 a été de 2.269 cas, selon l’Unicef.

La médiocrité des infrastructures de santé, les troubles civils, la faible sensibilisation de la communauté, la complaisance et l’hésitation face à la vaccination ont parfois conduit à ces épidémies dans les pays développés et en développement, selon l’agence.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déjà alerté sur une flambée de rougeole dans le monde, en relevant un bond d’environ 50% des cas signalés l’an dernier par rapport à 2017, faisant 136.000 morts.

La recrudescence de cette maladie, plus contagieuse que la grippe ou la tuberculose, est liée dans certains pays à des allégations sans fondement médical reliant le vaccin contre la rougeole (vaccin combiné ROR) à l’autisme, en partie diffusées sur les médias sociaux par des membres du mouvement dit « anti-vax ».

Le mois dernier, l’OMS a classé « l’hésitation à l’égard du vaccin » parmi les 10 principales menaces pour la santé mondiale les plus pressantes en 2019.

 L’OMS rappelait toutefois récemment que « la principale raison » de l’échec dans la vaccination des enfants est que ceux « qui en ont le plus besoin (…) n’ont pas accès au vaccin ».

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Offrir une chèvre via un distributeur? Une nouvelle forme de charité


Je trouve cela étrange, mais il semble que les gens sont beaucoup plus intéressé à faire des dons grâce à une distributrice. On s’entend qu’il n’y a pas de chèvres, ni autres choses dans les boites, mais c’est une façon symbolique d’aider des personnes dans le besoin chez les mormons. Pour ma part, cela me dérange un peu, car un don est un acte que l’on donne sans recevoir au retour. Alors, que les boites vides, c’est comme pour flatter son égo
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Offrir une chèvre via un distributeur? Une nouvelle forme de charité

Offrir une chèvre via un distributeur? Une nouvelle forme de charité - RelaxNews - raddanovic / IStock.com

Offrir une chèvre via un distributeur? Une nouvelle forme de charité RelaxNews  /  raddanovic / IStock.com

Faire don d’une chèvre à une famille démunie, en l’achetant dans un distributeur ? C’est possible à New York, Londres ou Manille, grâce à une action organisée pour les fêtes par les Mormons et des organisations caritatives comme l’Unicef.

L’idée est simple: ces distributeurs de dons ressemblent à tous les distributeurs, mais la sélection consiste en une série de boîtes aux couleurs vives, facturées de 2 à 200 dollars, illustrant les besoins des familles démunies, que ce soit à New York ou à travers le monde.

On peut ainsi acheter des alevins pour pêcher (2 dollars), des poules voire une vache pour aider à nourrir une famille (150 dollars), ou encore un vaccin anti-polio, une machine à coudre ou, pour une utilisation locale, une carte de métro new-yorkais.

Les dons ont été sélectionnés par des organisations d’envergure mondiale, comme l’Unicef ou Care, ou d’autres plus locales, travaillant uniquement dans les villes concernées.

On sélectionne la boîte que l’on veut, on paie avec sa carte bancaire, et le « cadeau » tombe au bas du distributeur. Sauf que l’opération est purement symbolique: les boîtes sont vides et seront remises dans le distributeur, elles servent juste à visualiser le don.

Mais cette visualisation et cette simplicité suffisent souvent à pousser les passants à sortir leur portefeuille.

« Le concept est excellent », s’est réjouie Julie Brannan, agent immobilier à Manhattan, après avoir choisi une boîte de serviettes hygiéniques réutilisables.

« Je vais à un rendez-vous et je suis simplement passée devant (…). Il y a des endroits où les filles ratent l’école quand elles ont leurs règles, j’en avais entendu parler et j’ai pensé que c’était une chouette chose à donner », explique cette femme qui dit donner « plusieurs milliers de dollars » à des oeuvres caritatives chaque année, particulièrement pendant la saison des fêtes. Et se promet déjà de revenir au distributeur, pour acheter autre chose.

– « Très cool » –

Même enthousiasme pour Steven Sookhoo, 40 ans, qui travaille deux jours par semaine pour une société financière de Wall Street.

Il a entendu parler du distributeur via les réseaux sociaux et a fait le détour pour acheter quelque chose.

« J’avais pensé prendre les poules mais j’ai choisi la chèvre – mes enfants seront ravis », dit-il en riant.

« C’est vraiment un concept très cool. J’espère que ça aidera quelqu’un dans un pays en difficulté », ajoute-t-il.

C’est la force de ces distributeurs, affirme Ryan John Koch, porte-parole new-yorkais de l’Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers jours, plus connue comme l’église des Mormons.

« Ils éveillent en vous l’envie de donner », dit-il. Et, avec des prix à partir de 2 dollars, « tout le monde peut donner ».

Certains pourraient reprocher au concept – introduit en période de fêtes, à un moment où les oeuvres caritatives comptent le plus sur la générosité du public – une approche consumériste ou « gadget » de la charité, mais le fait est qu’il attire les donateurs.

Le premier distributeur « pilote », installé l’an dernier dans le centre de Salt Lake City, dans l’Utah, siège des Mormons, avait ainsi récolté pendant la saison des fêtes 550.000 dollars, avec un don moyen de 25 dollars par personne, selon M. Koch.

Du coup, le projet a été étendu cette année à cinq villes, et des distributeurs ont été ou vont être installés d’ici ce vendredi dans trois mégapoles: outre New York, ils seront aussi à Londres, près de Hyde Park, et à Manille.

Les machines resteront en place jusqu’au 30 décembre, après quoi tout l’argent récolté sera reversé aux organisations partenaires, selon M. Koch.

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Toutes les dix minutes, un enfant meurt au Yémen


Si seulement ceux qui veulent faire la guerre, la face entre eux et non en tuant des civils, des enfants qui n’ont rien à voir dans leur conflit. Au Yémen, un enfant meurs à toutes les 10 minutes. C’est quoi leur crime ? La faim qui n’est pas comblée, des maladies causé par leur condition précaire qu’ont ils fait de si horrible pour subir ces supplices ?
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Toutes les dix minutes, un enfant meurt au Yémen

Une petit garçon souffrant de malnutrition dans un hôpital à Hajjah, au nord-ouest du pays. © ap.

Le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) a exhorté les parties en conflit au Yémen à arrêter les hostilités, jugeant que le pays était devenu un « enfer sur terre » pour les enfants, frappés par la famine.

Le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres avait aussi appelé vendredi à la fin des « violences » pour éviter que le pays ne tombe dans un « précipice ».

« Le Yémen est aujourd’hui un enfer sur terre, non pas pour 50 à 60% des enfants, c’est un enfer sur terre pour chaque garçon et fille au Yémen », a déclaré le directeur de l’Unicef pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, Geert Cappelaere, lors d’une conférence de presse à Amman. « Les chiffres, en fait, ne disent pas grand chose mais sont importants car ils nous appellent tous à réaliser à quel point la situation est devenue désastreuse », a-t-il encore dit.

La guerre au Yémen oppose les forces pro-gouvernementales et une coalition menée par l’Arabie saoudite aux rebelles Houthis, soutenus par l’Iran et qui se sont emparés en 2014 et 2015 de vastes régions du pays, dont la capitale Sanaa. Le conflit a fait près de 10.000 morts, en majorité des civils, et provoqué la pire crise humanitaire au monde.

Maladies

Au-delà des cas de famine, la population souffre de maladies comme le choléra.

« Toutes les 10 minutes, un enfant meurt en raison de maladies pouvant être évitées », a également indiqué M. Cappelaere.

Ce responsable avait déclaré jeudi à l’AFP que 1,8 million d’enfants âgés de moins de cinq ans étaient en situation de « malnutrition aigüe ». Le conflit exacerbe « une situation déjà mauvaise en raison d’années de sous-développement », dans ce pays le plus pauvre de la région, avait-il dit.

« Nous appelons toutes les parties à se réunir plus tard ce mois-ci sous les auspices de l’émissaire spécial de l’ONU pour se mettre d’accord sur un cessez-le-feu » au Yémen, a déclaré dimanche ce responsable de l’Unicef.

Il a souligné la situation particulièrement préoccupante à Hodeida, une ville portuaire de l’ouest du pays tenue par les rebelles et que les forces progouvernementales cherchent à reprendre.

Hodeida, point vital pour le ravitaillement

« Le port de Hodeida est un point vital pour 70 à 80% de la population yéménite (…) parce que c’est seulement via Hodeida que sont acheminées les livraisons commerciales et humanitaires qui nous permettent de fournir l’aide au nord du pays », a-t-il expliqué.

« Avec l’assaut sur Hodeida, on ne craint pas seulement pour les vies de centaines de milliers d’enfants (dans la région) mais aussi nous craignons l’impact que cela aura sur les enfants dans le nord du pays », a-t-il ajouté.

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L’Unicef soigne les enfants grâce à la musicothérapie


Des enfants qui ont besoin de soins, de sécurité, qui sont malades, venant de différent mieux et pris en charge par l’Unicef et ses partenaires opte pour la musicothérapie pour faire sortir les émotions, la nervosité, et tout ce qui est négatif pour apprendre a dialoguer avec ceux qui les aident
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L’Unicef soigne les enfants grâce à la musicothérapie

 

© ap.

Par Morgane Goffin

Dans les camps gérés par l’Unicef, les enfants sont nombreux à avoir besoin d’un accompagnement spécifique. Pris dans des conflits armés ou victimes d’ostracisme dû à une maladie encore incomprise, ils vivent des traumatismes qui nécessitent un soutien psycho social sur le long terme afin d’accéder à une certaine stabilité. Dans certains cas, les facilitateurs de l’Unicef utilisent l’art thérapie et la musicothérapie pour instaurer le dialogue et la confiance avec les enfants.

L’objectif de la musicothérapie est d’offrir un moyen thérapeutique alternatif aux patients pour prendre soin de leur santé mentale, physique mais également émotionnelle. Il ne s’agit pas uniquement d’apprendre un instrument mais surtout de laisser exprimer, à travers lui, les émotions que l’on garde cachées au plus profond de soi.

Cette pratique de soin utilise la créativité et les émotions pour engager et faciliter la (re)connection avec soi et avec les autres. Elle permet, entre autres, d’accompagner les personnes souffrant de troubles psychosociaux, comme c’est le cas pour l’Unicef. Dans la liste non exhaustive de ses bienfaits, on retrouve: la réduction de l’anxiété, le soulagement de la douleur, une amélioration de la qualité du sommeil, une contribution au développement de l’enfant,… Les activités musicales sont organisées en lien étroit avec le vécu des patients et les problématiques à traiter.

En Jordanie, dans le camp d’Azraq qui accueille des réfugiés syriens, l’Unicef a créé Musiqati, une classe de musicothérapie pour les enfants. À travers la découverte d’instruments de musique, ils apprennent à exprimer leurs émotions et à communiquer en groupe au sein d’un espace où ils se sentent en sécurité.

Selon l’Unicef, les facilitateurs et les familles ont déjà noté « un changement positif dans le comportement des enfants et un bien-être émotionnel depuis le début du programme pilote, incluant une meilleure capacité de concentration, une plus grande confiance en soi et une plus grande responsabilité prise pour leurs actions à la maison et à l’école. »

En Thaïlande, l’un des partenaires de l’Unicef, l’ONG « Nous comprenons », travaille l’art thérapie avec des enfants atteint du VIH. En plus du soutien médical et psychologique, des cours d’art et de théâtre permettent notamment de soigner la dépression, la souffrance induite par le rejet, l’isolement ou la perte des parents. Si au départ du projet, les peintures des enfants étaient sombres et exprimaient une détresse profonde, elles sont devenues aujourd’hui bien plus lumineuses.

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Pas de paix mondiale sans investissement dans l’éducation


Je ne sais pas si l’éducation à tous les enfants pourrait un jour mettre la fin à toute guerre, mais j’en doute. Cependant, l’éducation peut apporter plus d’espoir. Beaucoup trop d’enfants n’ont pas cette chance de savoir lire et écrire et avoir une culture pour connaitre autre chose que la pauvreté. Les filles doivent être éduqué autant que les garçons pour qu’elle puisse devenir indépendante. Malheureusement, en cas de conflit, l’éducation est la première chose qu’on enlève aux enfants.
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Pas de paix mondiale sans investissement dans l’éducation

 

La jeune réfugiée rohingya, Sofiat, âgée de 7 ans, prend part à une classe dans le centre d'apprentissage Kokil de l'UNICEF, dans le camps pour personnes réfugiées d'Unchiprang, à Cox's Bazar, au Bangladesh.

© UNICEF/UN0158183/SUJAN

La jeune réfugiée rohingya, Sofiat, âgée de 7 ans, prend part à une classe dans le centre d’apprentissage Kokil de l’UNICEF, dans le camps pour personnes réfugiées d’Unchiprang, à Cox’s Bazar, au Bangladesh.

C’est la meilleure façon de faire en sorte que les enfants réalisent leur plein potentiel, de briser le cycle de la pauvreté et d’offrir aux enfants des perspectives d’avenir.

Texte écrit par David Morley, président et chef de la direction, UNICEF Canada

Au Canada, les enfants entament leurs premières semaines de vacances estivales, mais pour plusieurs autres enfants dans le monde, les vacances d’été n’existent pas, pour une raison bien simple: ils ne sont jamais allés à l’école. À l’échelle mondiale, un enfant sur cinq est déscolarisé, ce qui représente plus de 263 millions d’enfants privés de leur droit à l’éducation.

À l’UNICEF, nous croyons qu’il est inacceptable qu’un seul enfant voie son droit d’apprendre être bafoué. Il est par conséquent inconcevable que 263 millions d’enfants en soient privés.

L’éducation est un droit fondamental et représente les espoirs, les rêves et les aspirations de millions d’enfants partout dans le monde. C’est la meilleure façon de faire en sorte que les enfants réalisent leur plein potentiel, de briser le cycle de la pauvreté et d’offrir aux enfants des perspectives d’avenir. Or, pour ce faire, nous devons nous efforcer de faire tomber les barrières qui empêchent l’accès à l’éducation, en particulier pour les filles, à améliorer la qualité de l’éducation, à impliquer tous les acteurs au sein des communautés, à former le personnel enseignant et à veiller à ce que les enfants disposent des outils nécessaires pour leurs études.

Scolarisation lors d’une situation de crise

Les derniers mois ont été marqués par la tourmente. Nous avons été témoins de la souffrance de trop d’enfants en raison des conflits qui sévissent. Que ce soit les enfants ayant fui la persécution au Myanmar, les jeunes ciblés par des bombardements au Yémen, les enfants forcés de fuir les zones de combats incessants en Syrie, ou les filles aussi jeunes que sept ans utilisées comme des bombes humaines par Boko Haram dans le nord-est du Nigéria, ces enfants sont victimes de conflits auxquels ils ne devraient pas être mêlés, et ils ont toutes et tous cruellement besoin d’aide humanitaire.

Les enfants représentent plus de la moitié des personnes réfugiées à l’échelle mondiale, et 50% de ces enfants réfugiés sont déscolarisés.

En temps de crise, l’éducation est souvent l’un des premiers services à être suspendu et l’un des derniers rétablis. L’éducation est pourtant la clé pour outiller les enfants et leur permettre d’avoir espoir en un avenir prometteur. Sans éducation, nous pourrions perdre des générations entière

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Les attaques contre les enfants ont pris des proportions alarmantes en 2017


2017 n’a pas été toujours rose Je pense important de le souligner même si à cette époque de l’année, c’est un temps de fête. Il y a des enfants qu’ailleurs aimeraient bien  simplement être en sécurité. Les enfants ont subi l’idiotie humaine un peu partout dans le monde, juste à penser a la pédophilie, aux prédateurs, pornographie et il y a aussi les enfants morts à cause des conflits, du recrutement pour des enfants soldat, ils ont aussi été des boucliers humains, victimes de bombe.
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Les attaques contre les enfants ont pris des proportions alarmantes en 2017

 

© epa.

Au cours de l’année 2017, les attaques contre les enfants ont pris des proportions alarmantes dans les zones de conflit du monde entier, dénonce jeudi le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef).

Près de 700 enfants ont été tués pendant les neuf premiers mois de l’année en Afghanistan, tandis qu’en République centrafricaine, des enfants ont été tués, violés, enlevés ou recrutés par des groupes armés, à la suite de l’aggravation spectaculaire de la violence, avertit l’Unicef. En République démocratique du Congo, dans la région du Kasaï, les violences ont chassé de chez eux 850.000 enfants, et plus de 200 centres de santé et 400 écoles ont été attaqués.

En 2017, au moins 135 enfants ont également été contraints par Boko Haram de mener des attentats suicides à la bombe, soit près de cinq fois plus qu’en 2016, pendant que des enfants servaient de boucliers humains en Irak et en Syrie.

Les enfants rohingyas, victimes ou témoins d’actes de violence effroyables, n’ont pas non plus été épargnés au Myanmar. Au Soudan du Sud, plus de 19.000 enfants ont aussi été recrutés dans des groupes armés, alors que plus de 2.300 ont été tués ou blessés depuis décembre 2013. Enfin sur les 10 premiers mois de l’année, 1.740 cas de recrutement d’enfants ont été signalés. Par ailleurs, au moins 5.000 enfants sont morts ou ont été blessés après presque 1.000 jours de combat au Yémen.

« Les enfants sont pris pour cible et exposés à des attaques et des actes de violence chez eux, à l’école et sur leurs terrains de jeu », déclare Manuel Fontaine, directeur des programmes d’urgence de l’Unicef. « À mesure que ces attaques se poursuivent, année après année, nous ne devons pas céder à l’indifférence. Il ne faut pas que cette violence devienne la norme. »

Le Fonds des Nations Unies pour l’enfance appelle l’ensemble des parties aux conflits dans le monde à mettre fin immédiatement aux violences commises envers les enfants et « à la prise pour cible de l’infrastructure civile, notamment des écoles et des hôpitaux ».

Source: Belga

http://www.7sur7.be

57 millions d’enfants toujours privés d’école dans le monde


Le droit à l’éducation, aux soins de santé, a des endroits sanitaires et de l’eau potable ne devraient pas être discutable, mais bien une obligation pour tous. Malheureusement, certains sont exclus pour plusieurs raisons comme la pauvreté, être une fille, handicapé, en zone de conflits … etc Ce sont des droits que plus 57 millions d’enfants n’ont pas accès
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57 millions d’enfants toujours privés d’école dans le monde

 

© epa.

Source: Belga

Quelque 57 millions d’enfants à travers le monde n’ont toujours pas accès à l’éducation, rappelle lundi le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) dans le cadre de la journée internationale des droits de l’enfant.

A cette occasion, la sportive Nafissatou Thiam et l’acteur et présentateur flamand Tom Waes se prêtent au rôle d’ambassadeurs.

« Bien que les droits de l’enfant aient beaucoup progressé ces dernières années, il reste encore de nombreux défis à relever », souligne la championne d’heptathlon dans un clip vidéo de l’Unicef.

Certains enfants sont en effet plus vulnérables et risquent plus facilement d’être exclus de l’école. Il s’agit des filles, des enfants pauvres ou porteurs d’un handicap, ou encore de ceux issus de minorités ethniques.

D’autres se voient par ailleurs privés d’éducation en raison de catastrophes naturelles ou de conflits armés. En 2016, par exemple, plus de la moitié des déplacés à la suite des violences de Boko Haram au Tchad étaient des enfants, pointe l’Unicef sur son site. Or, l’éducation apporte une stabilité nécessaire aux enfants qui vivent dans des conditions difficiles et doivent parfois surmonter des traumatismes.

C’est pourquoi, le Fonds pour l’éducation de l’Unicef collabore avec les gouvernements pour éviter que les écoles ne soient prises de force par des groupes armés lors de conflits. Il aménage également des salles de classe temporaires pour faire face aux catastrophes naturelles. L’installation de sanitaires et l’accès à l’eau potable dans les établissements scolaires sont un autre moyen de garder les enfants à l’école.

« Tous les enfants, où qu’ils vivent, ont le droit de bénéficier d’une éducation de qualité », conclut l’organisme.

http://www.7sur7.be/

Boko Haram utilise quatre fois plus d’enfants kamikazes, selon l’Unicef


Déjà que les kamikazes qui obéissent à des ordres de Boko Haram sont des lâches, mais qu’en plus ils choisissent des enfants pour des attentats suicides sont des monstres. Si l’enfant réussit de sortir de cercles vicieux, ils sont quand même abandonné à son sort, car ils sont rejetés par les siens. Le pire, c’est que l’Islam interdit le suicide et de tuer des enfants, femmes, scientifiques, prêtre, moine, etc .. les seuls permis sont les combattants
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Boko Haram utilise quatre fois plus d’enfants kamikazes, selon l’Unicef

 

STEFAN HEUNIS VIA GETTY IMAGES

Les deux tiers de ces enfants étaient des filles.

Le groupe djihadiste Boko Haram a utilisé quatre fois plus d’enfants kamikazes depuis le début de cette année que pendant toute l’année 2016, a dénoncé mardi l’Unicef.

La porte-parole Marixie Mercado a admis être incapable d’expliquer pourquoi 83 petits kamikazes, dont les deux tiers étaient des filles, se sont donnés la mort cette année, comparativement à 19 l’an dernier.

Elle a dit que Boko Haram ne revendique pas toujours ces attaques, qui visent habituellement des cibles civiles, mais qu’on ne connaît aucun autre groupe qui utilise une telle tactique.

Conséquemment, ajoute-t-elle, plusieurs enfants qui réussissent à échapper aux djihadistes sont rejetés quand ils essaient de rejoindre leur communauté.

L’ONU estime que l’insurrection de Boko Haram, dans le nord-est du Nigéria, a déplacé 1,7 million de personnes et fait quelque 20 000 morts depuis 2009.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Bien-être des enfants: le Canada fait mauvaise figure, selon l’UNICEF


Il n’y a pas de quoi à se péter les bretelles avec de telles positions sur l’accès à une alimentation nutritif, homicide infantile et suicides chez les adolescents.
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Bien-être des enfants: le Canada fait mauvaise figure, selon l’UNICEF

 

Le rapport de l'UNICEF établit un classement des... (PHOTO UNICEF)

Le rapport de l’UNICEF établit un classement des pays de l’UE et de l’OCDE, et situe le Canada au 25e rang dans l’ensemble concernant le bien-être des enfants.

 

CAMILLE BAINS
La Presse Canadienne
Vancouver

Le Canada se situe au 37e rang sur une liste de 41 pays riches relativement à l’accès suffisant pour les enfants à des aliments nutritifs, et des taux supérieurs à la moyenne d’homicide infantile et de suicide chez les adolescents soulignent aussi la nécessité d’agir, indique un rapport de l’UNICEF.

Plus de 22% des enfants canadiens vivent dans la pauvreté et la plupart des enjeux reliés aux enfants ne montrent aucune amélioration ou s’aggravent depuis une dizaine d’années, affirme le 14e rapport de l’UNICEF sur le bien-être des enfants dans les pays riches.

La santé mentale des adolescents canadiens a décliné, 22% d’entre eux signalant des symptômes plus d’une fois par semaine, selon le document dévoilé mercredi. Le Canada se situe au 31e rang pour le taux de suicide chez les adolescents, indique-t-on.

Le rapport établit un classement des pays de l’Union européenne et de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), et situe le Canada au 25e rang dans l’ensemble concernant le bien-être des enfants. La Norvège se trouve au sommet de la liste de l’organisme onusien.

Le document principal se base sur des objectifs dits de développement durable établis en septembre 2015 par 193 pays visant à mettre fin à la pauvreté extrême et à la famine, à offrir un accès à l’éducation, à protéger les enfants de la violence et à combattre les changements climatiques.

David Morley, président d’UNICEF Canada, a souligné que les pays qui progressent dans le classement investissent davantage dans le développement de la petite enfance, incluant les services de garde.

«Lorsque vous investissez (dans l’aide) aux enfants les plus pauvres, le gain est plus grand. Lorsque le filet social est plus solide, les familles peuvent être plus solides», a-t-il affirmé.

Il est trop tôt pour dire si l’allocation pour enfant libre d’impôt, instaurée l’an dernier par le gouvernement Trudeau, aura un impact, a dit M. Morley.

Bien que bon nombre d’enfants autochtones vivent dans la pauvreté, ils représentent seulement environ 6% des enfants au Canada, ce qui laisse croire que tous les enfants ont besoin de politiques plus fortes, a souligné le président d’UNICEF Canada.

Le Canada se situe au 29e rang sur 41 pays relativement au poids santé des enfants.

http://www.lapresse.ca

Les conflits menacent la vie de 24 millions d’enfants, selon l’UNICEF


24 millions d’enfants qui souffrent et beaucoup mourront à cause des guerres, de l’eau potable inaccessible, des soins et les vaccins qui ne peuvent être donnés dans des pays en conflits. C’est toute une génération en péril.
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Les conflits menacent la vie de 24 millions d’enfants, selon l’UNICEF

 

Près de six millions d'enfants sont menacés en... (Photo archives AP)

Près de six millions d’enfants sont menacés en Syrie, dont plus de deux millions qui habitent des secteurs assiégés ou difficiles d’accès où l’aide humanitaire n’est que peu ou pas disponible.

PHOTO ARCHIVES AP

 

Associated Press
Beyrouth

La violence et les conflits au Moyen-Orient et en Afrique du Nord menacent la vie de 24 millions d’enfants, a prévenu mercredi l’agence onusienne des enfants, principalement au Yémen, en Syrie et en Irak.

L’UNICEF a ajouté que de multiples facteurs – comme une épidémie de choléra au Yémen, les attaques contre les hôpitaux en Syrie et l’offensive pour reprendre Mossoul en Irak – privent les enfants de soins de santé de base.

L’agence onusienne a déclaré par voie de communiqué que le Yémen arrive en tête de liste, avec 9,6 millions d’enfants dans le besoin.

Elle dit que l’accès à l’eau potable et aux installations d’hygiène a été compromis, provoquant des éclosions de maladies hydriques, et que plusieurs enfants souffrent de la faim.

Le directeur régional de l’UNICEF pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, Geert Cappelaere, a déclaré que «la violence paralyse les systèmes de santé dans les régions touchées par le conflit et menace la survie même des enfants».

«Au-delà des bombes, des balles et des explosions, un nombre incalculable d’enfants meurent en silence de maladies qui pourraient facilement être évitées et soignées», a-t-il dit.

Ces données témoignent de l’ampleur du problème. Le Yémen est suivi de la Syrie, de l’Irak, du Soudan, de la bande de Gaza et de la Libye, selon l’UNICEF.

La guerre civile qui déchire le Yémen depuis deux ans a poussé le pays le plus pauvre du monde arabe au bord de la famine, et on constate une malnutrition aiguë répandue parmi les enfants.

Près de six millions d’enfants sont menacés en Syrie, dont plus de deux millions qui habitent des secteurs assiégés ou difficiles d’accès où l’aide humanitaire n’est que peu ou pas disponible. Plusieurs n’ont pas accès aux vaccins qui pourraient leur sauver la vie, et ceux qui tombent malades ou sont blessés peinent à être soignés, a déploré l’UNICEF.

En Irak, l’approvisionnement en eau potable des camps de personnes déplacées autour de Mossoul est exploité au maximum de sa capacité. De nouvelles familles, souvent accompagnées d’enfants mal nourris, arrivent quotidiennement, selon le communiqué.

Les forces irakiennes appuyées par les États-Unis seraient sur le point de reprendre le contrôle de Mossoul, trois ans après que Daech (le groupe armé État islamique) se soit emparé de près du tiers de l’Irak.

http://www.lapresse.ca/i