Être différent : La femme qui est allergique à la lumière du jour


Si on voit une personne accoutrée comme cette femme, sûrement qu’elle se ferait traiter folle, excentrique ou je ne sais quoi ! Pourtant, cette femme se protège des rayons UV, car elle est allergique à la lumière du jour. Si elle ne fait pas attention, sa peau incapable de se protéger et des tâches apparaissent. Ces tâches sont des cancers de la peau
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Être différent : La femme qui est allergique à la lumière du jour

 

La couche d’ozone décline au-dessus des zones peuplées


La couche d’ozone en haut de la stratosphère semble se rétablir. Cependant, celle dans la partie inférieure semble être plus dangereuse, car elle est sous des endroits peuplés. Elle serait du aux changements climatiques, mais aussi des gaz à court porté que beaucoup utilise comme les solvants pour la peinture, les dégraissant etc
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La couche d’ozone décline au-dessus des zones peuplées

 

La couche d'ozone forme un bouclier gazeux, entre... (PHOTO AP)

 

La couche d’ozone forme un bouclier gazeux, entre 10 et 50 km d’altitude, protégeant la Terre des rayons solaires ultraviolets.

PHOTO AP

 

Agence France-Presse
Paris

La couche d’ozone qui protège la Terre des rayons solaires ultraviolets mortels décline au-dessus des régions les plus peuplées de la planète, selon les conclusions inattendues d’une étude publiée mardi.

En 1987, un accord international, le Protocole de Montréal, avait été signé pour supprimer progressivement les gaz CFC (utilisés dans la réfrigération et les aérosols), responsables du fameux «trou» dans cette couche gazeuse protégeant la Terre de rayons qui provoquent cancers de la peau, dégâts oculaires et immunitaires.

Grâce à l’élimination progressive des CFC, le trou au-dessus de l’Antarctique et les couches les plus élevées de la stratosphère montrent des signes clairs de rétablissement.

Mais l’ozone de la partie inférieure de la stratosphère (10 à 24 km d’altitude) se désintègre doucement, met en garde cette étude publiée dans la revue Atmospheric Chemistry and Physics.

«Aux latitudes tropicales et moyennes», où vit la majorité de la population mondiale, «la couche d’ozone n’a pas commencé à se remettre (…) C’est en fait un peu moins bien aujourd’hui qu’il y a 20 ans», explique à l’AFP l’auteur principal, William Ball, de l’École polytechnique fédérale de Zurich.

Selon de précédentes études, la couche d’ozone avait décliné, à son niveau maximum à la fin du XXe siècle, d’environ 5 %. La nouvelle étude estime qu’elle a perdu 0,5 % supplémentaire.

Et même si le déclin est moindre qu’au-dessus des pôles avant le Protocole de Montréal, les dommages potentiels aux latitudes tropicales et moyennes pourraient être pires qu’aux pôles, car les radiations UV y «sont plus intenses» et les zones sont plus peuplées, insiste une autre chercheuse, Joanna Haigh, du Grantham Research Institute on Climate Change de Londres.

L’étude pointe du doigt deux possibles responsables de cette détérioration.

Les VSLS (very-short-lived susbtances), gaz à très courte durée de vie utilisés comme solvants, décapants pour peinture ou dégraissants attaquent l’ozone dans la partie inférieure de la stratosphère.

Une récente étude avait indiqué que l’un d’entre eux, le chlorure de méthylène (ou dichlorométhane) avait quasiment doublé dans la stratosphère en dix ans.

«Si c’est un problème de VSLS, cela devrait être relativement facile à gérer», a commenté William Ball, suggérant un amendement au Protocole pour l’interdire.

Mais l’autre accusé est le dérèglement climatique.

Les modèles climatiques suggèrent que les changements dans la façon dont l’air circule dans la partie basse de la stratosphère finiront par affecter les niveaux d’ozone, d’abord au-dessus des tropiques où la substance se forme.

Mais cette évolution n’est pas censée se produire avant des décennies et ne devrait pas toucher les latitudes moyennes entre les tropiques et les pôles.

«Si le changement climatique est responsable, c’est un problème bien plus grave (…) Nous devrions être inquiets, mais pas alarmés», a indiqué William Ball.

Notant que les scientifiques ne sont pas tous d’accord sur le fait que la stratosphère est déjà victime du réchauffement, il a appelé à de nouvelles études.

http://www.lapresse.ca/

L’héritage génétique de l’homme de Néandertal se précise


L’homme de Néandertale ont disparu 30 000 à 40 000 ans, mais ils ont connu les Homo sapiens et des descendants ont suivi de ce mélange de ces deux groupes. Les chercheurs ont découvert des gènes qui ont survécu à l’homme moderne qui aurait une incidence sur certaines maladies, à la pigmentation de la peau et autres
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L’héritage génétique de l’homme de Néandertal se précise

 

L'homme de Néandertal a transmis une partie de son patrimoine génétique à l'Homo sapiens.

L’homme de Néandertal a transmis une partie de son patrimoine génétique à l’Homo sapiens. Photo : Reuters/Nikola Solic

De nouvelles mutations génétiques liées à certains traits ou à certaines maladies ont été détectées dans le génome d’un homme de Néandertal, affinant ainsi notre connaissance de la contribution de cette espèce disparue au génome humain.

Un texte d’Alain Labelle

Les Homo neanderthalensis ont disparu de la surface terrestre il y a 30 000 à 40 000 ans. Ils ont toutefois vécu en même temps que nos ancêtres Homo sapiens pendant plusieurs milliers d’années en Eurasie, si bien que les deux espèces se sont accouplées.

Les néandertaliens nous ont ainsi transmis une partie de leur patrimoine génétique.

Le néandertalien en nous

De précédents travaux ont montré qu’environ 2 % de l’ADN des populations non africaines actuelles proviennent d’Homo neanderthalensis.

Une équipe de l’Institut Max-Planck d’anthropologie évolutionniste tente de cerner la nature de cet apport depuis quelques années. Elle a notamment réalisé en 2014 le séquençage du génome d’un homme de Néandertal, dont les restes avaient été découverts en Sibérie. Cette analyse avait permis d’établir que les Néandertaliens ont contribué à l’immunité et à la vulnérabilité des humains à certaines maladies.

La même équipe a récemment séquencé le génome d’un autre individu, une femme, dont les restes ont été découverts dans une grotte de Croatie dans les années 1980.

Tricotés très serré

En comparant les deux génomes néandertaliens, le chercheur Fabrizio Mafessoni et ses collègues ont rapidement remarqué que les deux individus étaient beaucoup plus proches sur le plan génétique que deux humains peuvent l’être de nos jours.

Une relation aussi étroite entre des individus qui vivaient à des milliers de kilomètres l’un de l’autre, et probablement à des milliers d’années d’intervalle, laisse à penser que la population néandertalienne devait être très modeste.

Fabrizio Mafessoni

Les chercheurs ont aussi comparé les deux génomes à ceux d’humains d’aujourd’hui afin de mieux comprendre comment les Néandertaliens se sont mêlés aux ancêtres des Homo sapiens non africains.

Ils ont établi que la « femme » de Néandertal de Croatie est plus proche des Néandertaliens qui se sont mêlés à nos ancêtres Homo sapiens que le Néandertalien en provenance de Sibérie. Ces travaux ont montré qu’entre 1,8 et 2,6 % des génomes des humains non africains proviennent d’un mélange avec des Néandertaliens.

De nouvelles mutations identifiées

Les auteurs de ces travaux publiés dans la revue Science ont également pu identifier de nouvelles mutations « néandertaliennes » qui sont entrées dans le génome des humains modernes.

Certaines sont associées à un haut taux de cholestérol, à la schizophrénie et à l’arthrite rhumatoïde.

L’influence de l’exposition au soleil

D’autres découvertes améliorent nos connaissances. Par exemple, les précédents travaux montraient que les gènes humains impliqués dans la pigmentation de la peau ou des cheveux étaient influencés par l’ADN néandertalien.

Dans ces travaux, les chercheurs ont découvert que plusieurs allèles (différentes versions d’un même gène) contribuaient à la couleur de la peau et des cheveux des hommes de Néandertal.

Nos résultats laissent à penser que les Néandertaliens avaient différentes teintes de cheveux et de peau, un peu comme les humains actuels. Michael Dannemann

Ces traits physiques, mais également d’autres caractéristiques comme l’humeur et les rythmes circadiens, sont tous liés à l’exposition au soleil, notent les chercheurs.

Lorsque les humains sont arrivés en Eurasie il y a environ 100 000 ans, les hommes de Néandertal y vivaient depuis des milliers d’années. Ils se seraient ainsi adaptés à une quantité de rayons ultraviolets moins grande et plus variable que les nouveaux arrivants d’Afrique.

L’exposition au soleil peut avoir façonné les phénotypes [traits par lesquels se manifeste l’expression des gènes] de Néandertal et la présence de ces gènes dans l’homme moderne continue de contribuer à la variation de ces traits aujourd’hui.

Auteurs

http://ici.radio-canada.ca

Le Saviez-vous ► Quinze allergies bizarres


On connaît à peu près tous une personne qui a une ou des allergies comme aux arachides, sésames, pollen, etc. Il y a des allergies qui ne sont pas très connues et franchement étonnantes. Comme des allergies à l’eau, vous imaginez que simplement se laver peut être ardu et douloureux, ou selon moi une des pires voir la pire, est l’allergie à tous les aliments et boissons. Comment peut-on survivre à ne boire que de l’eau ou manger des glaçons ?
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Quinze allergies bizarres

 

L’eau

La réaction typique est l’urticaire, et cette allergie touche une personne sur 230 millions. Si vous avez la malchance de tomber dans ces statistiques, prendre un bain ou se laver les mains relève du défi

Le sexe

L’allergie n’est pas à l’acte lui-même mais au sperme de l’homme. Cette condition peut affecter les hommes et les femmes et les symptômes sont de la fièvre, de la fatigue et les yeux qui brûlent. Le traitement ? Utiliser un préservatif ou, pour ceux allergiques également au latex ne plus avoir de relations sexuelles.

Le toucher

Le dermographisme est une réaction au toucher de quelqu’un d’autre. La peau peut devenir rouge, ou même gratter. Cela serait causé par la trop grande faiblesse des membranes des cellules de la peau. Heureusement, un traitement à base d’antihistaminiques suffit en général.

Les sous-vêtements

Culotte ou caleçon ? Rien, pour certains ! Certains tissus (nylon et sphandex sont montrés du doigt) ou teintures peuvent causer de érythèmes. Attention donc à bien regarder les étiquettes si vous êtes sujet à cela

Les aliments crus

Les melons, les ananas peuvent causer des irritations, voire la mort pour certaines personnes allergiques. Il s’agirait pas d’une allergie alimentaire, mais une réaction aux traces de pollen trouvé sur le fruit lui-même.

Le chocolat

C’est cruel, mais véridique. La cause : le cacao, les additifs ou même certaines parties des insectes qui se retrouvent parfois dans le chocolat. Les symptômes varient, mais se limitent généralement à de l’eczéma ou à une crise d’urticaire.

L’alcool

Hé oui, les allergie à l’alcool, ça existe. On ne parle pas de la « gueule de bois »mais d’une réaction du type congestion nasale ou peau rouge

La chaleur/ la sueur causée par l’exercice

L’urticaire est la réaction typique, elle n’est pas causée par l’exercice en soit mais la soudaine hausse de température du corps. Qui peut être aussi causée par la nourriture épicée, un plongeon dans un bain trop chaud ou une piqûre de moustique

Les déodorants

Dur, dur d’être allergique à quelque chose qui peut vous empêcher de sentir mauvais. Heureusement pour ceux à qui cela arrive, ils peuvent éviter de se gratter en utilisant en alternative du talc, comme de la poudre pour bébé

Les adhésifs

Il s’agir d’une dermatite de contact. Certains produits chimiques, comme la colle ou la résine, produisent des réactions. Ainsi certaines personnes sont allergiques aux extensions, aux chaussures …

Le soleil

Les lucite estivale, ou urticaire due à la lumière du soleil, peuvent en guetter plus d’un. C’est une allergie aux ultra-violet. La peau exposée quelques minutes au soleil, réagit en grattant et en formant de petits boutons rouges. Heureusement l’arrête de l’exposition aide au retour à la normale.

Le nickel

Une allergie connue aussi sous le nom d’allergie au iPod ou cellulaire ! Le nickel est le métal allergène responsable, Attention également à la monnaie et à certains bijoux

Les champs électromagnétiques

Ceux qui souffrent de cette allergie ne peuvent pas utiliser de micro-ondes, d’ordinateurs ou de cellulaires sous peine d’avoir de douloureux érythèmes et de gonflements de la peau

La grossesse

L’herpès gestationnel touche une grossesse sur 50 000 et peut laisser la mère avec des cloques et des marques sur le ventre. Cela arrive au cours du deuxième ou troisième trimestre, ou même pendant l’accouchement. Le traitement : des stéroïdes appliqués localement

Tout nourriture et boisson sauf de l’eau

 

Il s’agit d’une réaction allergique tellement rare qu’aucun terme médical n’a encore été trouvé. Mais elle existe bel et bien. Voyez la vidéo de ce garçon australien de 5 ans qui à le malheur d’en être atteint. (en anglais) Kaleb Bussenschutt ne manque des glaçons et ne peut avaler qu’un certain type de limonade, Tout le reste lui cause des douloureux ulcères d’estomac

http://quebec.huffingtonpost.ca

Crèmes solaires et infertilité : le lien se précise


Quoique l’on fait, l’être humain met sur le marché des produits pour protéger contre la maladie, prendre soin de sa personne et cela finis toujours qu’il y a des conséquences qui peuvent être vraiment problématiques
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Crèmes solaires et infertilité : le lien se précise

 

Un homme met de la crème solaire

PHOTO : ISTOCKPHOTO

Un texte d’Alain Labelle

Plusieurs produits chimiques filtrant les ultraviolets (UV), couramment utilisés dans les écrans solaires, interfèrent avec le fonctionnement des cellules du sperme, et certains imitent même l’effet de la progestérone, une hormone féminine.

Ces données obtenues par des chercheurs danois ont été publiées en marge de la rencontre annuelle de l’Endocrine Society qui se tenait à Boston, aux États-Unis.

Ces résultats sont préoccupants et pourraient expliquer en partie pourquoi l’infertilité inexpliquée est tellement répandue. Niels Skakkebaek, Université de Copenhague

L’objectif des filtres chimiques UV est de réduire la quantité des rayons qui atteignent la peau pour ainsi diminuer les risques de développer un cancer. Or, ces filtres sont absorbés par la peau et se retrouvent dans le sang et dans 95 % des échantillons d’urine provenant des États-Unis, du Danemark et d’autres pays.

Ces travaux ont permis de tester 29 des 31 filtres UV autorisés dans les écrans solaires en vente libre aux États-Unis et dans l’Union européenne. Les chercheurs ont analysé leurs effets sur des cellules en bonne santé de sperme humain, à partir d’échantillons obtenus à partir de plusieurs donneurs sains.

Les spermatozoïdes ont été testés dans une solution qui recrééait les conditions rencontrées dans les trompes de Fallope de l’appareil génital féminin.

Résultat : pas moins de 13 (45 %) des 29 filtres UV testés induits ont interféré avec la fonction cellulaire normale du sperme.

Cet effet est observé à de très faibles doses de produits chimiques, en dessous de celles rencontrées chez une personne qui applique un écran solaire sur l’ensemble de son corps. Niels Skakkebaek

En outre, 9 de ces 13 filtres UV semblent imiter l’effet de la progestérone.

Selon Niels Skakkebaek, ces résultats laissent à penser que les écrans solaires sont des perturbateurs endocriniens et qu’ils peuvent interférer avec le fonctionnement normal de spermatozoïdes, notamment de leur mobilité.

Les auteurs de ces travaux appellent maintenant les autorités publiques à examiner de plus près les effets des filtres UV sur la fertilité avant de les approuver. À leur avis, d’autres études doivent être réalisées pour bien cerner leur rôle dans la fertilité humaine.

Actuellement, 8 des 13 filtres UV qui perturbent le fonctionnement des cellules de sperme sont approuvés aux États-Unis.

Les voici :

  • Avobenzone
  • Homosalate
  • Meradimate
  • Octisalate
  • Octinoxate
  • Octocrylène,
  • Oxybenzone
  • Padimate O

Ces produits chimiques sont des ingrédients communs actifs dans les crèmes solaires, mais aussi dans des produits de soins personnels contenant un écran solaire, tels que du maquillage, des crèmes hydratantes et des baumes à lèvres.

http://ici.radio-canada.ca/