Le torse trouvé à Kitchener est identifié


Peut-on espérer après avoir identifié assez vite cette jeune adulte malgré qu’il n’y avait que le torse que le ou les responsables de cette horreur soient traduit en justice ( Ontario Un torse humain retrouvé dans un conteneur à déchets )Est-ce une mode, une nouvelle être pour se débarrasser d’une personne ?
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Le torse trouvé à Kitchener est identifié

 

Les policiers poursuivent leur enquête sur le torse trouvé à Kitchener.

Les policiers poursuivent leur enquête sur le torse trouvé à Kitchener.  Photo :  CBC

L’identité de la femme dont le torse a été trouvé près d’un conteneur à ordures à Kitchener, samedi, est maintenant connue. Il s’agit de Kelsey Louise Felker, âgée de 24 ans.

Une autopsie a été pratiquée lundi. La police de Waterloo dit cependant qu’elle n’est toujours pas en mesure de préciser comment la femme est morte. L’enquête se poursuit.

Aucun suspect n’a été arrêté pour le moment et la police ne sait pas où se trouvent les autres parties du corps de la victime.

Ce sont des passants qui ont fait la macabre découverte à l’arrière d’un immeuble résidentiel du nord de Kitchener.

T-shirt similaire à celui trouvé sur le torseT-shirt similaire à celui trouvé sur le torse Photo :  Police régionale de Waterloo

T-shirt distinctif :Un t-shirt noir, sur lequel il est écrit en anglais « Oubliez la princesse, je veux être un vampire », une référence au filmTwilight, recouvrait le torse au moment de la découverte. Ce t-shirt distinctif, dont les policiers avaient publié la photo, a aidé les enquêteurs à identifier la victime.

Les policiers ont déployé un centre de commandement près de l’immeuble où le torse a été trouvé.

Affaire Magnotta

Il s’agit du troisième cas de corps démembré dans le sud de l’Ontario au cours des six derniers mois sur lequel la police enquête.

L’été dernier, un homme de la région torontoise a été accusé du meurtre non prémédité de sa conjointe de fait après que des restes humains eurent été trouvés à différents endroits à Toronto et dans la région de Peel.

L’été dernier, les policiers avaient aussi trouvé le torse d’une autre femme au pied des chutes Niagara. Il s’agissait de celui d’une mère de l’État de New York qui était portée disparue.

C’est sans parler du cas très médiatisé de Luka Rocca Magnotta, ramené par la police au Québec le printemps dernier après une chasse à l’homme internationale qui avait mené à son arrestation en Allemagne. Le résident de Montréal, originaire de Toronto, est accusé d’avoir tué et dépecé le corps d’un étudiant chinois, pour ensuite poster certains des restes humains.

http://www.radio-canada.ca

Rajeunir par le lifting du vampire


Une nouvelles méthodes pour ceux et celles qui refusent de vieillir tellement qu’ils essaient n’importe quoi et toutes les nouvelles modes sont bienvenue … et pourquoi pas avec engouement des vampires .. faire profit dans n’importe quoi
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Rajeunir par le lifting du vampire

 

Ariane Atieh Samimi

PHOTO AGENCE QMI

À la clinique Jeanne de Neval, la Dre Ariane Atieh Samimi injecte à un client son propre plasma, dans le but de favoriser la repousse des cheveux. Injectées sous la peau du visage ou du cou, les plaquettes sanguines vont libérer des hormones de croissance régénératrices pour un effet réparateur.

JOHANNE ROY

Sur la vague des héros de Twilight, voici maintenant le « lifting » du vampire, une nouvelle technique de rajeunissement réalisée à partir du propre sang du client.

Encore peu connue au Québec, cette procédure anti-âge a été introduite en France il y a quatre ou cinq ans. Elle rallie déjà de nombreux adeptes aux États-Unis.

Dans les chics salons d’esthétique new-yorkais, les clients n’hésitent pas à allonger 1 000 $ ou 1 500 $ par traitement, dans l’espoir d’un coup d’éclat et de rides estompées.

Le « Vampire lift » recourt à des injections de plasma riche en plaquettes (PRP), auquel on attribue des propriétés regénératives qui stimuleraient les fibres de collagène, afin de former un échafaudage sous la peau

A la clinique Jeanne de Neval, à Laval, la Dre Ariane Atieh Samimi prélève chez son client un échantillon sanguin dont elle extrait le PRP par centrifugeuse.

Le plasma (10 à 15 cc) est ensuite injecté dans les rides et les cernes, le cou ou le dos des mains. La technique peut être jumelée à l’injection de Botox ou d’autres agents de comblement, de façon complémentaire.

« Améliorations notables »

France (nom modifié à sa demande) souffre d’une névralgie du trijumeau qui lui occasionne des enflures d’un côté du visage, lors des changements de température.

Après deux traitements de PRP, la femme de 51 ans est on ne peut plus satisfaite des résultats.

« J’avais eu des réactions allergiques avec d’autres produits de comblement. On a essayé le Vampire lift et je n’ai fait aucune réaction indésirable. L’amélioration des petites rides du visage est notable; même que je ne fais plus de névralgie », témoigne France.

La Dre Samimi assure également que les injections de PRP se révèlent efficaces contre les marques d’acnée et la calvitie.

« Cela fonctionne bien et permet 10 à 15 % de repousse », dit-elle.

Des bémols

Le Dr Guy Chamberland, spécialisé en médecine esthétique à l’Institut privé de chirurgie de Québec, est assez sceptique sur la capacité de la technique PRP à favoriser la repousse capilaire.

Il émet aussi certaines réserves sur l’efficacité de cette technique pour remodeler le visage.

« La technique de PRP semble intéressante, mais il n’y a pas d’études scientifiques qui appuient les dires de ceux qui la pratiquent. Il n’y a aucune technique qui soit sans effets secondaires ou contre-indications », nuance le Dr Chamberland.

http://www.journaldequebec.com