Un homme arrêté pour avoir mis une enfant de 11 ans enceinte


Pourquoi s’en prendre à des enfants ? Ce geste est impardonnable ! Cette jeune fille n’avait pas à subir ces agressions, ni à être enceinte. Ce bébé même s’il reste dans la famille va-t-il être étiqueté pour la vie ?
Nuage

 

Un homme arrêté pour avoir mis une enfant de 11 ans enceinte

 

Mathieu Roy est accusé d'agression sexuelle. Il aurait... (Photo: Facebook)

Mathieu Roy est accusé d’agression sexuelle. Il aurait mis une enfant de 11 ans enceinte.

PHOTO: FACEBOOK

NANCY MASSICOTTE
Le Nouvelliste

(Trois-Rivières) Une autre sordide affaire d’agression sexuelle a été mise à jour, vendredi, au palais de justice, avec la comparution d’un homme de 32 ans, Mathieu Roy, de Trois-Rivières.

Il aurait en effet mis enceinte une jeune fille de 11 ans. Cette dernière a accouché en mai dernier. Elle a maintenant 12 ans.

Le présumé agresseur a été arrêté jeudi soir par les policiers de Trois-Rivières au terme d’une enquête. Il a formellement été accusé, vendredi matin, d’agression sexuelle et d’attouchements sexuels. Lors de son court passage dans le box des accusés, il n’a manifesté aucune émotion particulière, hormis un peu de nervosité. Notons que des membres de la famille de la présumée victime s’étaient déplacés pour assister à la comparution. À leur sortie de la salle d’audiences, ils n’ont pas voulu faire de commentaires.

La procureure de la Couronne, Me Catherine Roberge, s’est pour sa part objectée à la remise en liberté de Mathieu Roy, et ce, même s’il n’a aucun antécédent judiciaire. Celui-ci, qui est défendu par Me Louis-R. Lupien, demeurera donc détenu tout le week-end. Son enquête sur caution a été fixée à lundi.

Les faits qui lui sont reprochés seraient survenus entre le 25 août 2014 et le 21 avril 2015. Roy aurait profité de rencontres qu’il avait avec la fillette pour se livrer à des agressions sexuelles sur elle.

Or, cette dernière a commencé à éprouver des malaises. Elle disait notamment avoir mal au coeur et au ventre. Elle aurait notamment rencontré un médecin mais personne n’aurait soupçonné une grossesse compte tenu de son jeune âge. Et comme la petite était plutôt bien enveloppée, la prise de poids n’a pas été considérée au départ comme un signe de son état réel, et ce, malgré les inquiétudes de sa famille.

C’est finalement à sa 36e semaine de grossesse qu’un médecin a découvert qu’elle était bel et bien enceinte. À ce stade-ci, un avortement était devenu impossible.

Elle a donc accouché en mai dernier. Le bébé aurait été confié à la grand-mère compte tenu de l’âge de la fillette. Des procédures civiles ont d’ailleurs été entreprises à ce sujet.

Enfin, notons qu’une enquête policière sur Mathieu Roy est toujours en cours en lien avec une autre possible victime.

http://www.lapresse.ca/

Dilemne pour une Trifluvienne Comment trouver un logement avec un python de 17 pieds?


Le serpent de Birmanie est déjà une espèce envahissante aux États-Unis ! Je peux comprendre la dame d’aimer les serpents, mais, si elle aimait vraiment son python, elle le laisserait vivre dans son milieu naturel et non dans une maison. Je pense que le gouvernement devrait opter pour des lois plus sévères pour les animaux exotiques justement pour éviter des incidents plus ou moins graves ou une invasion d’espèces qui seraient un danger pour les animaux qui y vivent déjà
Nuage

 

Dilemne pour une Trifluvienne

Comment trouver un logement avec un python de 17 pieds?

 

(Capture d’écran TVA Nouvelles)

Par Emilie Vallée

Manon Brisson de Trois-Rivières lance un cri du cœur. Le propriétaire de l’immeuble où elle demeure lui demande de déménager ou de se débarrasser de son animal domestique.

Il s’agit de Junior, un python de Birmanie de 17 ans qui mesure 14 pieds de long et pèse 80 livres. Elle souhaite trouver un logement où elle et son serpent seront bienvenus.

Selon elle il n’est pas venimeux, il est doux et habitué à l’humain. Elle voudrait qu’il puisse sortir dehors sous surveillance.

«Il vit avec moi, il dort avec moi, je partage mon divan avec lui. Si je le met dans une cage il va mourir, il va se laisser mourir», affirme Manon Brisson.

Selon le règlement municipal la Ville de Trois-Rivières il n’est pas interdit de posséder un serpent tant qu’il n’est pas venimeux. Toutefois, il doit être gardé dans un endroit adapté et ne doit pas troubler la paix ou nuire à la sécurité publique.

Mathieu Naud, expert en reptiles, croit qu’il y a encore trop de préjugés concernant les serpents.

Il précise que les serpents comme le python de Birmanie, ne s’attaquent pas aux humains.

http://tvanouvelles.ca/

Une ceinture intelligente pour éviter les maux de dos


Je trouve admirable que des jeunes se démarquent dans divers domaines. Et je trouve important de le souligner à chaque fois. Ces deux jeunes vont probablement changer la vie de bien des gens, par leur mauvaise posture, grâce a cette ceinture intelligente. Ils ont franchi étape par étape les concours de science pour maintenant se présenter à la compétition internationale à Bruxelles
Nuage

 

Une ceinture intelligente pour éviter les maux de dos

 

Philippe Massicotte et Thomas Dupré ont été reçus... (Photo: Sylvain Mayer, Le Nouvelliste)

Philippe Massicotte et Thomas Dupré ont été reçus à l’hôtel de ville de Trois-Rivières, lundi, pour souligner les succès récoltés par leur projet scientifique «Tiens-toi droit!».

Photo: Sylvain Mayer, Le Nouvelliste

Vincent Gauthier
Le Nouvelliste

(Trois-Rivières) Deux finissants du Séminaire Saint-Joseph de Trois-Rivières ont peut-être trouvé la solution optimale afin d’éviter à des centaines de milliers de personnes de souffrir de maux de dos en raison d’une mauvaise posture au travail.

En effet, les génies Philippe Massicotte et Thomas Dupré feront rayonner leur institution et leur ville à l’échelle mondiale à l’Expo-sciences internationale grâce à l’invention d’une ceinture intelligente qui émet une vibration lorsque la position du dos n’est pas adéquate.

Tout est parti d’une idée lancée par la mère de Philippe, Sylvie Legendre, qui a défié son fils de trouver une façon de régler les problèmes de posture, notamment celle des travailleurs qui doivent demeurer assis longtemps devant un ordinateur.

«On voulait trouver une façon de rappeler aux gens de se tenir droit», note Philippe, 17 ans.

L’envergure de cette innovation pourrait être majeure si on considère le nombre de personnes qui sont affectées par des problèmes dorsaux en raison d’une mauvaise posture.

«Il y a environ 50 % des travailleurs qui ont des maux de dos et ça coûte 4 milliards $ par année, au Canada seulement», indique Thomas, 16 ans.

Selon la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST), une blessure au dos représente en moyenne 51 jours d’absence et coûte 2800 $.

De fil en aiguille, les deux étudiants du profil sciences au STR ont gagné le coeur des juges lors des rendez-vous local, régional, provincial et national. Chaque fois, ils ont présenté un prototype amélioré et ils souhaitent encore peaufiner leur outil de prévention. Au départ, un signal lumineux avertissait d’une mauvaise posture puis ensuite, c’était un signal sonore. Enfin, l’option de la vibration a été privilégiée. Jusqu’à présent, les deux jeunes Trifluviens ont consacré 200 heures à la concrétisation de leur ceinture.

Grâce à leur projet, les deux adolescents ont reçu une multitude d’honneurs, dont le prix de l’Excellence (médaille d’argent remis par Sciences jeunesse Canada), le prix S.M. Blair Family Foundation (projet qui mérite une demande de brevet d’invention), le prix de l’Université du Québec et le prix SYNAPSE or remis par l’Institut de recherche en santé du Canada, ainsi que plus de 9800 $ en prix et bourses.

Évidemment, toute cette reconnaissance représente une belle motivation pour les deux comparses de redoubler d’ardeur afin de peaufiner encore davantage leur invention et ainsi attirer les regards lors de l’Expo-sciences international qui se tiendra à Bruxelles, en Belgique, en juillet 2015. En 2013, à Abu Dhabi, ce sont plus de 1200 participants qui avaient pris part à ce rendez-vous international du savoir.

«On était surpris de recevoir autant de prix. On est très fiers», a lancé Philippe. «C’est très motivant de voir qu’on peut créer quelque chose qui peut aider le monde», a renchéri Thomas.

D’ici la compétition à Bruxelles, les deux jeunes hommes tenteront de réduire davantage la taille de leur produit afin de le rendre plus agréable à porter.

Plusieurs entreprises pourraient éventuellement être intéressées par un tel produit afin de mieux protéger leurs travailleurs. D’ailleurs, la ceinture a assurément piqué la curiosité de la Ville de Trois-Rivières.

«La Ville a certainement un intérêt dans le projet. C’est une préoccupation pour nous (les maux de dos) en ce qui concerne la santé et sécurité au travail», a mentionné le conseiller municipal du district des Estacades et professeur au STR, Pierre-Luc Fortin.

Malgré les nombreux commentaires élogieux reçus pour leur ceinture technologique, les deux camarades indiquent ne pas encore avoir reçu d’invitation à commercialiser leur projet.

«Il y a beaucoup de gens qui sont venus nous demander où ils pouvaient acheter la ceinture», note Philippe.

Quant au directeur général du STR, Pierre Normand, il a tenu à souligner l’engagement démontré par ces deux finissants tout au long de ce projet, en plus de les féliciter de faire rayonner l’institution d’enseignement.

«Vous êtes allés jusqu’au bout. Vous ne vous êtes pas mis de limite. Ça vous dessine un assez bel avenir», a-t-il indiqué aux créateurs du projet «Tiens-toi droit!».

http://www.lapresse.ca

«Nous avons vécu le pire moment de notre vie»


Le pire cauchemar qu’on vécut des parents. L’enlèvement de leur nouveau-né. Une femme s’est fait passer pour une infirmière et a pris le bébé prétextant des examens. La mère a eu un doute … Mais trop tard. Le bébé a été enlevé mais heureusement, grâce aux réseaux sociaux, aux policiers et 4 jeunes, la petite est revenu dans les bras de ses parents après une escapade de moins de 3 heures
Nuage

 

«Nous avons vécu le pire moment de notre vie»

 

La petite Victoria a été retrouvée saine et sauve

«Hier, nous avons vécu le pire moment de notre vie. Un sentiment que personne ne veut et ne devrait vivre. »

C’est en ces mots que la mère de la petite fille enlevée, lundi soir, à l’hôpital de Trois-Rivières a décrit les extrêmes moments d’angoisse qu’elle a vécus à la suite de l’enlèvement de sa petite Victoria, lundi soir, à l’hôpital de Trois-Rivières.

«L’impuissance face à cette situation était difficile à accepter. Nous devions être patients, chose qui n’est pas facile quand votre enfant est enlevé. Les pires scénarios tournent en boucle dans nos têtes. Malheureusement, les fins ne sont pas souvent heureuses, surtout dans ces cas là. C’était difficile pour nous de penser positivement étant donné les circonstances», a-t-elle écrit sur sa page Facebook.

Heureusement, trois heures plus tard, la jeune mère tenait sa petite fille dans ses bras. Un soulagement immense.

«La petite Victoria porte bien son nom pour cette victoire. Donner la vie à notre enfant est un moment incroyable, mais retrouver notre enfant sain et sauf est un sentiment indescriptible.»

Mélissa McMahon a tenu à remercier tous ceux qui ont permis de retrouver son nouveau-né.

«Merci à tous les Québécois qui ont pris la peine d’en faire plus… vérifier le secteur, les stationnements, les voitures rouges… Nous avons senti un grand soutien provenant de la population. Cette victoire vous revient à vous tous! Ce matin, nous sommes fiers et nous nous sentons en sécurité d’être des Québécois, un peuple qui se soutient et qui s’entraide dans de telles histoires d’horreur. Nous avons reçu une énorme vague d’amour de votre part!»

Elle a vanté le travail des policiers dont l’enquête a permis de diffuser rapidement la photo de la suspecte.

«Je voudrais remercier les milliers de policiers, enquêteurs à travers le Québec qui ont fait preuve de beaucoup de compassion et qui se sont mis au travail sans tarder pour retrouver mon bébé. Ils ont fait un travail efficace et ont lancé l’alerte très rapidement. Hier, c’était une victoire pour nous, mais aussi pour vous. votre travail a été exceptionnel et nous avons de la chance d’avoir un système aussi efficace pour nous aider dans une telle situation.»

Elle a également tenu à exprimer toute sa reconnaissance envers le personnel du Centre hospitalier régional de Trois-Rivières où a lieu l’enlèvement

«Vous avez vécu cette terrible histoire avec nous. De plus, vous avez été très alerte, ce qui m’a rapidement fait réaliser, en moins d’une minute, que mon bébé m’avait été enlevé. J’ai couru vers la sortie de l’hôpital et encore là, de nombreux patients et visiteurs m’ont porté secours et nous ont transmis des informations rapidement sur la femme ainsi que sur son véhicule. Merci à ces gens, merci aux gardiens de sécurité qui ont rapidement agi et trouvé une photo avec l’aide des policiers.»

Une photo qui a eu un impact déterminant dans la suite des choses. Elle a été transmise des milliers de fois sur les réseaux sociaux, ce qui a permis d’identifier la ravisseuse.

«La photo a sauvé notre fille! En moins d’une heure, la photo était partout.  Vous avez été plusieurs milliers de personnes à partager la photo de cette femme sur les réseaux sociaux et ce, sans relâche. Sachez que c’est ce qui l’a sauvée, notre petite Victoria. Chaque clic, chaque partage a fait la différence.»

Elle n’a pas oublié les quatre jeunes qui ont identifié la suspecte et qui ont contacté les policiers, ce qui a permis son arrestation.

«Quatre merveilleuses personnes, que nous avons eu la chance de rencontrer, ont identifié cette femme grâce à Facebook. C’est la seule raison qui explique pourquoi Victoria est dans mes bras en ce moment.»

Elle conclut en conseillant aux mamans de faire preuve de vigilance.

«Ne vous laissez jamais influencer par un uniforme. Je sais que ça peut paraître anodin, mais si je m’étais méfiée plus, tout ça aurait été évité. Vérifiez le badge de l’infirmière, posez des questions. C’est votre enfant, ne le quittez pas des yeux. Je ne voudrais pas que quelqu’un d’autre vive cela.»

 

http://www.lapresse.ca/

Des pirates informatiques demandent une rançon


C’est vraiment inimaginable de voir comment des gens doués en informatique choisissent de faire du trouble un peu partout sur la planète. Je ne parle pas de ceux qui piratent dans le but de dénoncer des abus, mais ceux que c’est vraiment pour faire du tort et faire de l’argent. Je trouve quand même dommage qu’ils ont payé pour que tout soit en ordre.
Nuage

 

Des pirates informatiques demandent une rançon

 

L’Office municipal d’habitation de Trois-Rivières a été victime de pirates informatiques.

PHOTO: STÉPHANE LESSARD, LE NOUVELLISTE

GABRIEL DELISLE
Le Nouvelliste

(Trois-Rivières) Les pirates informatiques ne connaissent pas de frontières. L’Office municipal d’habitation de Trois-Rivières l’a d’ailleurs appris à ses dépens. L’organisme a été victime de pirates informatiques qui séviraient selon toute vraisemblance de la Russie.

«Nous avons effectivement été victimes d’une fraude informatique», lance d’entrée de jeu le président de l’Office municipal d’habitation (OMH), Robert de Nobile.

Les pirates ont pris possession à distance d’un ordinateur de l’organisme la semaine dernière par un procédé d’hameçonnage. Les malfaiteurs ont crypté des centaines de fichiers et de dossiers informatiques, bloquant donc leur accès.

«Un employé a vu que son ordinateur était sous le contrôle d’une autre personne. C’est comme ça que nous l’avons appris», précise le président de l’OMH.

Le directeur général de l’OMH, Marco Bélanger, soutient qu’un courriel frauduleux est à l’origine de cette intrusion. Un employé a ouvert par mégarde un lien dans un courriel.

«Le virus a paralysé l’utilisation de la suite Office et de fichiers .pdf. C’est bien évident que cela a généré des ennuis, explique M. Bélanger. Ce virus est très virulent.»

La direction de l’OMH assure toutefois que les renseignements personnels des résidents ainsi que des clients n’ont pas été piratés.

«Ce n’est que des formulaires, des documents de travail ou des présentations qui ont été piratées. Il n’y avait aucune donnée nominative ou comptable. Ces données ne sont pas à Trois-Rivières, elles sont sur un autre serveur. Mais c’est sûr qu’on a eu la frousse. C’est un acte de piratage.»

Ces pirates informatiques, qui séviraient de plus en plus au Canada et au Québec, ont demandé une rançon à l’OMH, environ 300 $, pour décrypter les données.

«Ils nous ont dit: « payez et on vous débloque les dossiers sinon vous les perdez »‘, affirme M. de Nobile. Pour récupérer les centaines de dossiers, ça aurait pris deux ans. Ça donne une idée du nombre de dossiers.»

L’OMH a donc décidé de payer la rançon exigée.

«Nous l’avons payée et nous avons eu nos dossiers quelques minutes plus tard», précise le président de l’organisme.

«Nous avons décidé de payer, car c’était plus simple de cette façon. Et nous avons mesuré les coûts, ajoute M. Bélanger. Nous avions des sauvegardes informatiques, mais réactiver le tout, ça coûte cher en temps de personnel.»

La direction de l’OHM affirme de plus que tout est désormais rentré dans l’ordre, que des dispositifs ont été pris pour qu’une telle situation n’arrive plus et qu’une plainte a été déposée à la Sécurité publique de Trois-Rivières.

«C’est important de le faire, de signaler ça à la police.»

Un phénomène très répandu

Le conseiller en sécurité informatique, Carl Charest, affirme que les cas de fraude informatique par hameçonnage (phishing) sont très répandus. Cette technique de piratage consiste à profiter d’une «porte» laissée ouverte par un utilisateur.

«Il semble avoir une recrudescence des problèmes de piratage», souligne M. Charest.

Selon le spécialiste en sécurité informatique, la mafia russe retirerait énormément d’argent de ses activités de piratage informatique.

«La mafia russe ferait près des trois quarts de son argent avec du piratage informatique et de l’hameçonnage. C’est leur modèle d’affaires», explique Carl Charest.

«Selon plusieurs sources, près du tiers des ordinateurs de la planète auraient été infiltrés par la mafia russe.»

Les internautes doivent être conscients de ces risques. Carl Charest rappelle que les institutions bancaires, les compagnies de cartes de crédit ou toute autre entreprise ne communiquent jamais avec leurs clients pour leur demander leurs informations personnelles. Les fraudeurs utilisent les mêmes logos que les banques et envoient ces courriels frauduleux via des adresses courriel qui peuvent porter à confusion.

http://www.lapresse.ca/

Un serpent dans les rues de Trois-Rivières


Hier j’ai parler d’un alligator dans une cour en Ontario et aujourd’hui, un serpent dans les rues de Trois-Rivières … Encore un autre animal même s’il n’est pas bien méchant (mais certains en ont vraiment peur) qui devrait être dans son environnement mais l’égoïsme humain ne fait que s’approprié des créatures qui ne devrait pas lui appartenir
Nuage

 

Un serpent dans les rues de Trois-Rivières

 

Le serpent a été récupéré par la Société protectrice des animaux de la Mauricie.

PHOTO: FRANÇOIS GERVAIS

Marie-Eve Lafontaine
Le Nouvelliste

(Trois-Rivières) Les policiers de la Sécurité publique ont poursuivi un fugitif plutôt particulier, vers 8h30, ce matin, dans les rues de Trois-Rivières. Un serpent d’environ 1,5 mètre se promenait sur la rue Sainte-Angèle.

Le serpent dans la poubelle avant que la SPAM n’intervienne.

PHOTO: FRANÇOIS GERVAIS

Ce sont des citoyens qui ont contacté les autorités policières après avoir aperçu le reptile. Les policiers l’ont mis dans une poubelle le temps que la Société protectrice des animaux de la Mauricie vienne le récupérer.

La SPAM s’est adressée au spécialiste Mathieu Naud pour en savoir plus sur ce reptile, et heureusement, il semble qu’il est tout à fait inoffensif.

 «Il ne représente aucun danger pour les humains. C’est un animal qui est paisible et relativement curieux. Il n’est pas venimeux», explique Serge Marquis, directeur général de la SPAM.

Il s’agit d’un serpent des blés qui serait très commun au sud des États-Unis. Il semble qu’il n’errait pas dans les rues depuis longtemps puisqu’il était bien nourri. Même s’il pesait moins de trois livres, il était à maturité.

La SPAM va garder le serpent quelques jours pour laisser le temps au propriétaire de se manifester. S’il ne le fait pas, il sera remis aux bons soins de M. Naud qui est aussi connu sous le nom de Monsieur Reptile. Lorsqu’un tel animal est ainsi retrouvé dans la nature, il est très rare que son propriétaire vienne le réclamer, note M. Marquis.

Ce dernier précise qu’il est tout aussi rare que la SPAM recueille un serpent.

«Heureusement, ce n’est pas fréquent. Ça fait environ deux ans qu’on n’a pas eu de serpent ici», explique-t-il.

http://www.lapresse.ca

Trois-Rivières Un centre de désintoxication lié à la scientologie


C’est bien quand on est faible psychologiquement parlant que les sectes font le plus d’adeptes. Il était temps qu’on leur enlève leur certification même dans les écoles ils s’étaient infiltré pour enseigné des notions de bases de la Scientologie ..
Nuage

 

Trois-Rivières Un centre de désintoxication lié à la scientologie

 

Trois-Rivières - un centre de désintoxication lié à la scientologie

Le centre Narconon.

© Nicolas Ducharme / Agence QMI

Agence QMI

L’Agence de la santé et des services sociaux de la Mauricie a rencontré lundi les dirigeants de Narconon, un programme de désintoxication liée à l’Église de Scientologie dont Québec aurait révoqué la certification.

Sept à huit heures de sauna par jour pendant 21 jours, engueuler un cendrier, ingurgiter des doses massives de vitamine. Voilà le traitement que propose, entre autres, Narconon Trois-Rivières à des toxicomanes.

Cette méthode singulière de désintoxication est basée sur les écrits du fondateur de l’église de scientologie, L. Ron Hubbard.

Un séjour typique de deux à trois mois chez Narconon Trois-Rivières coûte environ 23 000 $.

Beaucoup de familles de toxicomanes n’hésitent pas investir cette somme pour permettre à leurs proches de mettre fin à leur dépendance.

Il faut dire que Narconon Trois-Rivières prétend que son taux de succès est de 80 %. Ce qui est nettement en haut de la moyenne.

La clientèle du centre vient principalement des États-Unis et du Canada anglais.

C’est le cas de David Edgard Love qui s’est tourné vers Narconon Trois-Rivières pour une dépendance à la cocaïne et aux médicaments. Il en est ressorti un an plus tard sevré, mais complètement traumatisé.

Depuis, appuyé par le groupe Anonymus qui milite à travers le monde contre les activités de l’Église de Scientologie, Love a multiplié les plaintes officielles au Collège des médecins, à la Commission des droits de la personne et à l’Agence du revenu du Canada.

L’homme a aussi organisé diverses manifestations pour attirer l’attention des médias sur les méthodes controversées du centre.

Parallèlement, l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie a mené une enquête et rencontré d’ex-patients mécontents.

Cette enquête s’inscrivait dans le cadre d’un processus de certification des centres de désintoxication présents sur le territoire québécois.

L’initiative était d’ailleurs venue de Québec en 2007. On venait alors d’apprendre que les employés de Narconon offraient des cours dans certaines écoles du Québec, enseignant ainsi aux jeunes des principes de base de la scientologie.

« J’ai le sentiment du devoir accompli », a dit David Love.

http://fr.canoe.ca

Disparition de Cédrika Provencher Une fillette reconnaîtrait le rôdeur


Un enlèvement qui a fait couler beaucoup d’encre et reste encore mystérieux, cependant, malgré les années si les circonstances auraient été tout autre, une jeune fille aurait pu être a la place de Cédrika. Elle se souviens du personnage qui rôdait dans le coin et même après 5 ans elle pourrait reconnaître l’homme … Mais le temps a passé, peut-on vraiment penser qu’un jour nous la vérité ressortira
Nuage

 

Disparition de Cédrika Provencher

Une fillette reconnaîtrait le rôdeur

 

Une fillette reconnaîtrait le rôdeur

Crédit photo : Agence QMI

TVA Nouvelles

À la suite de ces nouvelles informations obtenues par Claude Poirier, deux enquêteurs de la Sûreté du Québec se rendront à Trois-Rivières vendredi pour rencontrer la petite et son père.

Une fillette qui aurait été abordée par un inconnu la veille de la disparition de Cédrika Provencher à Trois-Rivières dit être en mesure d’identifier l’homme qui pourrait être responsable de la disparition de Cédrika.

Selon ce qu’a appris Claude Poirier lors de son émission Le Vrai négociateur à LCN, la petite, qui avait 10 ans à l’époque, aurait été approchée par un rôdeur qui se promenait à vélo, le 30 juillet 2007, et non pas à bord d’une voiture Acura rouge.

L’individu circulait dans son quartier avec un vélo loué à la municipalité. Tout comme dans le cas de la disparition de Cédrika, l’inconnu était à la recherche de son petit chien perdu.

Un montant important offert à la petite

Il a offert à la petite une somme d’argent et a fait monter les enchères jusqu’à ce qu’elle accepte de l’accompagner.

«Au début il avait offert une récompense d’une quarantaine de dollars, explique le père à Claude Poirier. Puis il a monté jusqu’à 165$ pour retrouver son chien. On s’entend que 165 ‘piastres’ pour essayer de retrouver un chien, on trouvait ça pas mal bizarre» raconte l’homme.

L’enfant devait retourner chez elle, pour ramener son propre chien qu’elle promenait au moment où elle a rencontré l’homme.

«C’est un chien assez imposant, on pense que le suspect voulait avoir plus de latitude avec notre fille» juge le père de la petite.

Son père qui était à la maison a refusé de la laisser repartir après avoir pris connaissance de l’histoire et a appris le lendemain que Cédrika Provencher était portée disparue.

«Malheureusement, c’est une semaine plus tard qu’on a cliqué que ça pouvait être la même personne qui aurait agressé Cédrika» confie l’homme.

Un portrait-robot non concluant

Le père de la petite a contacté le service de police de Trois-Rivières, dès qu’il a compris qu’il pourrait s’agir du même individu Il déplore le fait que les enquêteurs n’aient jamais tenté d’identifier le suspect à l’aide de sa fille, qui dit pouvoir le reconnaître.

Aujourd’hui âgée de 15 ans, sa fille affirme qu’elle pourrait le reconnaître si elle revoyait son visage.

Toutefois, peu de temps après la disparition, il y a 5 ans, la petite avait fourni des informations pour la création d’un portrait-robot.

La Sûreté du Québec en avait fait faire trois à l’époque, selon des témoignages de trois fillettes différentes. La description des suspects ne correspondait pas.


La fillette n’a jamais revu l’homme dans son quartier.

Description fournie par la fillette

  • L’homme qui l’aurait approché en 2007 avait une cinquantaine d’années
  • Il faisait 5’9 »
  • Pesait 170 livres
  • Il avait les cheveux grisonnants
  • Il s’exprimait très bien en français

http://tvanouvelles.ca

La SQ ouvre une enquête ►Des textos de mauvais goût


Il y a des gens qui ont du temps a perdre et aime dépenser les fonds publics pour satisfaire leur temps a faire autant d’idiotie, En plus de troubler la personne qui les reçoit, on ne peut que s’imaginer que ce n’est qu’une blague de très mauvais gout
Nuage


 

La SQ ouvre une enquête ►Des textos de mauvais goût

 

Des textos de mauvais goût

Crédit photo : Archives

Par Cynthia St-Hilaire | Agence QMI

Des textos mensongers envoyés à des gens au hasard donnent du fil à retordre à la Sûreté du Québec depuis deux semaines.

Ces textos font état d’un meurtre ou d’une agression grave qui viendrait tout juste de se produire. Le message est rédigé de façon à ce que la personne qui le reçoit croie qu’il lui est adressé par erreur.

«C’est comme si la personne s’adressait à un ami, mais qu’en l’envoyant elle se trompait de numéro, a indiqué Ingrid Asselin, porte-parole à la SQ. Ça dit, par exemple, « Salut mon chum, j’ai tué quelqu’un et j’ai jeté son corps à l’eau ».»

L’auteur du message prend également soin d’indiquer précisément l’endroit où le crime a été commis.

«La personne qui le reçoit contacte les policiers et on déploie plusieurs ressources comme des plongeurs, des bateaux, des hélicoptères, des maîtres-chiens, a expliqué Mme Asselin. On se doit de faire les vérifications dans ce type de situation. Le problème, c’est que si quelque chose d’autre se produit pour vrai, en même temps, il y a moins de ressources disponibles.»

La porte-parole n’était toutefois pas en mesure de chiffrer l’argent dépensé inutilement par la SQ pour ces canulars.

Trois régions touchées

Depuis deux semaines, une personne de l’Estrie, une de Trois-Rivières et une autre de Québec ont reçu l’un de ces textos.

«Chaque fois, on a déployé des services, mais aucun de ces événements n’était fondé, a déploré la porte-parole de la SQ. La personne qui pose de tels gestes peut être arrêtée pour méfait public.»

Enquête en cours

Les enquêteurs de la Division des crimes contre la personne de la SQ tentent de retrouver le ou les auteurs de ces textos.

Mme Asselin n’était pas en mesure de déterminer, vendredi soir, si les enquêteurs ont pu retracer le ou les numéros d’où provenaient les appels.

«L’enquête permettra de savoir s’il y a une façon d’utiliser un texto sans que ce soit le numéro de téléphone de celui qui l’envoie qui apparaisse ou si c’est possible de retrouver le propriétaire», a indiqué la policière.

http://tvanouvelles.ca

Une photographe de Gatineau sonne l’alarme



J’avoue ne pas comprendre ces jeunes qui dans l’espoir de devenir mannequin, elles acceptent de se dévêtir devant un inconnu. Ce genre de personnage doivent avoir vraiment le sens de la manipulation avec ses arguments ..
Nuage

Une photographe de Gatineau sonne l’alarme

Caroline-Andrée Boulet, propriétaire du studio Photo Flash que l’on voit ici à l’oeuvre, sonne l’alarme quant à un prédateur sexuel utilisant l’identité de son studio pour piéger des adolescentes.

Photo courtoisie

Louis-Denis Ebacher
Le Droit

Une photographe de Gatineau dénonce un prédateur sexuel qui utilise le nom de sa compagnie pour convaincre des adolescentes en « audition » de se dénuder devant leur webcam.

Caroline-Andrée Boulet, propriétaire du studio Photo Flash de Gatineau, sonne l’alarme en s’adressant au Droit. Un homme approche des jeunes filles en se servant des médias sociaux comme Facebook et Tagz, et leur demande de se montrer dans leur plus simple appareil. Il justifie sa demande par la nécessité de voir ses modèles avant de les photographier, ajoutant que son employeur tient un concours destiné aux jeunes mannequins.

Les victimes sont de Gatineau, mais aussi de Québec, Rimouski, Trois-Rivières, et Montréal. Le prédateur fait croire à la tenue d’une éventuelle séance de photographie professionnelle, et va toujours un peu plus loin dans ses demandes.

Encourager l’estime de soi

Dans le vrai studio de Photo Flash, Caroline-André Boulet utilise la photographie pour aider les jeunes filles à s’apprécier pour ce qu’elles sont, et non pour les comparer aux canons de beauté des magazines.

« C’est l’estime de soi, explique-t-elle. Lorsqu’elles se voient en photo, elles se trouvent belles. D’autres le font pour se payer un trip en studio. C’est une façon de devenir mannequin d’un jour. On sort du stéréotype qui veut que seule la femme parfaite que l’on voit dans les revues puisse être belle. »

L’idée de Mme Boulet a fait du chemin depuis la dernière année. Sa clientèle se multiplie, mais le stratagème du rôdeur d’Internet risque de nuire à son commerce et de faire d’autres jeunes victimes. Elle a contacté la police de Gatineau, sans déposer de plainte officielle pour l’instant.

Mme Boulet photographie des jeunes et des adultes. Elle s’assure d’avoir le consentement des parents des personnes mineures.

« Je parle aux parents si elles n’ont pas 18 ans. »

http://www.cyberpresse.ca