Ne pas être toujours positif


Être positif, ne veut pas dire qu’on ne voit pas le mauvais de ce qui se passe dans le monde, ni que nous journées sont toujours parfaites. Faut dire qu’aujourd’hui, cette citation est tombé a pique pour moi !!
Nuage

 

Ne pas être toujours

positif

 

 

Vous n’avez pas besoin d’être positif tout le temps. C’est tout à fait normal d’être triste, en colère, agacé, frustré, effrayé ou anxieux. Avoir des émotions ne fait pas de vous une personne négative. Ça fait de vous un être humain.

Lori Deschene

A l’unisson


On se plaint beaucoup de notre quotidien, de nos peurs, de notre souffrance, mais rassurons-nous, nous ne sommes pas seule dans cette situation ?
Nuage

A l’unisson

 

Je ne suis pas seule à être fatiguée, malade, triste ou angoissée, je le suis à l’unisson de millions d’autres à travers les siècles, tout  cela c’est la vie.

Etty Hillesum

Nos émotions


Par un seul regard on peut remarquer si une personne est triste ou joyeux. out le corps prend la posture des émotions du moment …  Alors, nous pouvons changer notre aspect de notre physionomie pour changer notre état d’âme
Nuage

 

Nos émotions

 

Notre physiologie influence nos émotions et vice versa. En général, les pensées tristes nous recroquevillent, les pensées gaies nous ouvrent et nous dynamisent.

Le plus intéressant, c’est qu’il est très difficile de maintenir des pensées tristes en dansant ou en chantant.

Que pouvons-nous apprendre ?

Dynamisez-vous pour changer vos humeurs. Apprenez à changer vos émotions par divers exercices dynamisants.

Michel Poulaert

Regarder des films tristes rendrait heureux


Bon, peut-être de faire passer un film amour et triste dans la même histoire pourrait aider a apprécier la vie que nous vivons même si elle n’est pas parfaite … Cela montre peut-être que des films qui sont réalistes sont plus susceptibles de nous influencer ..
Nuage

 

Regarder des films tristes rendrait heureux

Regarder des films tristes rendrait heureux

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

© Shutterstock

Une recherche publiée dans le journal Communication Research révèle que les films tristes font en sorte que les spectateurs pensent à leurs êtres chers.

 

«Les histoires tragiques tournent souvent autour du thème de l’amour éternel. Cela mène les gens du public à penser aux gens qu’ils aiment et à réfléchir à la chance qu’ils ont», explique à Health Day la chercheuse à l’Université de Colombus, Silvia Knobloch-Westerwick.

L’étude a été faite auprès de 361 étudiants qui ont regardé une version raccourcie du film Atonement, dans lequel deux amoureux sont séparés et meurent durant la guerre. Ils ont dû répondre à quelques questions concernant leur bonheur, avant et après le film.

Les résultats ont révélé que plus les gens pensent au fait que leur vie est meilleure que celle des protagonistes, plus ils sont heureux.

«Ça aide à expliquer pourquoi les histoires tragiques sont si populaires auprès du public, même si elles causent la douleur», dit Knobloch-Westerwick.

Cependant, de nombreuses études ont démontré que de regarder la télévision trop longtemps avait des conséquences néfastes sur la santé. Entre autres, le fait de rester plus de deux heures devant le petit écran fait croître les chances de développer du diabète ainsi que diverses maladies cardiaques.

 

http://fr.canoe.ca

Vous êtes triste ?


Il y a des journées plus difficiles que d’autres qui parfois c’est la tristesse qui ennuage le ciel et ces journées la on rumine on tourne et retourne. Cela ne fait que faire trainer en longueur cette peine … Alors qu’il serait mieux de changer les idées pour reprendre les rênes de la journée
Nuage

Vous êtes triste ?

 

Quelle que soit la raison de votre chagrin, essayez en priorité d’échapper au pessimisme dans lequel vous baignez. Cela exige bien entendu des efforts, ou de se faire « violence » d’aller au delà de votre « naturel ».

Reprenez le cours normal de votre existence. Continuez à voir vos amis, faites-vous-en d’autres, faites un sport, consacrez-vous à des activités : vivez !

Michel Poulaert

Vaincre l’intimidation: la part des parents


Quelques conseils que tout adulte ayant contact avec des enfants et des adolescents devraient prendre le temps de lire,  car pour venir a bout de l’intimidation, il faut en parler
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Vaincre l’intimidation: la part des parents

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Photo :
Iatockphoto.com

Les Éditions de la Chenelière inc.,

L’intimidation empoisonne la vie d’un trop grand nombre de jeunes et comme parent, on se sent souvent impuissant. Mais prévenir l’intimidation, c’est possible. Voici de précieux conseils pour aider les parents à aider leurs enfants.

1. Dans le doute, ne vous abstenez pas. Vérifiez!

2. Prenez le temps d’écouter les plaintes de votre enfant, de parler franchement de ses succès et de ses difficultés.

3. Soyez vigilants! Certains signes peuvent révéler des problèmes d’intimidation.

4. Observez si votre enfant:

  • invente des prétextes pour s’absenter de l’école;
  • perd de l’argent ou des effets personnels;
  • dit souffrir de malaises, de maux de tête, de nausées;
  • a une diminution dans son rendement scolaire;
  • cherche à s’isoler;
  • est souvent triste et songeur;
  • a des problèmes de sommeil, d’appétit;
  • a peu ou pas d’amis;
  • évite de répondre aux questions.

5. Assurez-vous de recueillir le plus d’informations possible avant de sauter aux conclusions.

6. Dites à votre enfant qu’il a pris la bonne décision en vous racontant ce qu’il vit à l’école.

7. Soyez compréhensifs.

8. Collaborez avec lui et l’école afin de faire cesser l’intimidation qu’il subit.

9. Évitez de surprotéger votre enfant. Donnez-lui des stratégies, par exemple:

  • ne pas rester sur la scène d’intimidation;
  • éviter de rendre les coups ou d’essayer de se venger;
  • expliquer ce qui s’est passé à un adulte de l’école en qui il a confiance;
  • en parler avec ses parents ou avec des amis pour ne pas rester seul.

Si vous croyez que votre enfant est un agresseur :

  • demandez-lui des explications;
  • dénoncez ce comportement inacceptable;
  • proposez-lui des solutions de rechange pour contrôler son impulsivité;
  • identifiez avec lui les conséquences de l’intimidation (les agresseurs font preuve de peu d’empathie envers leurs victimes);
  • intervenez le plus tôt possible, avant que la situation devienne hors de contrôle;
  • travaillez de concert avec le personnel de l’école;
  • consultez des ressources supplémentaires si le problème persiste (psychologue, travailleur social, police jeunesse);
  • demandez de l’aide, ne restez pas seul.

Tiré du livre Quand la violence me rend malade, Camil Sanfaçon, Les Éditions de la Chenelière inc.

http://www.coupdepouce.com